Consolons nous comme on peut (hot)

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Consolation :loukas:

Cette soirée était un cauchemar… Rien de ce que je m’étais imaginée ne se déroulait comme prévu et je ne pouvais m’en prendre qu’à moi même. Encore une fois, Caly et moi nous venions de nous prendre la tête et par dessus le marché je venais de bousiller ma chemise en renversant ma coupe de champagne dessus. J’avais suffisamment de problèmes de thunes comme ça, voilà qu’à présent je flinguais le seul costard classe que je possédais. Je pénétrai de nouveau dans la salle après mon altercation avec ma meilleure amie et me dirigeai aussitôt vers les sanitaires. Je n’avais aucune idée de ce qu’il fallait appliquée sur une tâche de champagne mais j’allais déjà essayer d’utiliser de l’eau. Arrivant devant le lavabo, je tournai le robinet et imbiber un mouchoir d’eau avant de venir le frotter contre l’auréole que le champagne avait formé sur le devant de ma chemise. Quelques secondes après mon entrée, la porte s’ouvrit et je relevai la tête pour voir qui arrivait…

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Priape & Camms

Une soirée étrange, c'était le cas se le dire. Je vivais des trucs bizarre tout comme je ressentais des choses étranges, ouais qui me donnait envie de faire n'importe quoi, je crois définitivement être incapable d'assumer de ressentir des choses trop lourdes, trop vraie. Je restais pendant quelques minutes comme une débile au centre de la salle où m'avait laissé Denys avant de retourner aux toilettes, me rafraichir. Olympe ne devait plus y être quand meme, enfin je l'espérais sinon j'allais encore vivre un truc étrange, bizarre, totalement loufoque pour moi. Marchant à une allure des plus rapides, je bousculais limite les gens comme voulant sortir de mon "wonderland" mais ce n'était pas vraiment un monde merveilleux là, c'était un peu une bizarrerie cauchemardesque ... Oui, j'exagère mais mon esprit l'a ressenti ainsi ! J'arrive enfin à la poorte des toilettes et la pousse rapidement pour me retrouver dans ce lieu public, commun, dédié, je crois, ce soir, a plus que des besoins naturels surtout dans mon cas, j'en suis le parfaite exemple. Je vois un jeune homme qui baisse la tete, lorsqu'il lève sa tete vers moi, je le reconnais ... il ressemble beaucoup à Denys, c'est un de ses frères et inconsciemment, je ne peux m’empêcher de dire tout doucement en m'approchant des lavabos, donc de lui "C'est la soirée zacharias ou quoi ..." Je lui souris timidement avant de passer mes mains sous l'eau et appliquer celle-ci sur mon visage avant de le regarder, il semble pas dans un bon état d'esprit et surtout, bien accaparé. Je soupire avant de lui dire : Alors mauvaise soirée ?
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Consolation :loukas:

La porte s’ouvrit et je redressai la tête vers la nouvelle venue : une ravissante brune aux yeux d’un bleu hypnotique. Elle les posa d’ailleurs sur moi et sembla me reconnaître puisqu’elle laissa échapper une phrase faisant référence à mes frères. Son visage m’était également familier, je l’avais surement déjà croisée en compagnie de l’un d’eux sur le campus. Elle semblait tout aussi désemparée et blasée par cette soirée que moi. Elle s’approcha du lavabo pour se passer un peu d’eau sur le visage avant de se tourner vers moi et de me demander si je passais une mauvaise soirée. Un petit sourire se dessina sur mes lèvres : je devais avoir l’air d’un parfait idiot, là, debout dans les sanitaires, devant ce robinet à frotter obstinément cette fichue tache. « Une très mauvaise soirée même » lâchai-je dans un souffle avant d’ajouter : « Mais apparemment je ne suis pas le seul… Lequel de mes frères t’a torturée ? » fis-je alors. Mon regard se reposa ensuite sur la tache de ma chemise, me rappelant la raison qui m’avait poussé ici dans un premier temps et je balançai le mouchoir à l’autre bout de la pièce, agacé de ne pas parvenir à mes fins. Après ce petit geste d’énervement, un soupire s’échappa de mes lèvres et mon attention se focalisa de nouveau sur la charmante demoiselle à mes côtés. Je profitai de de sa présence pour l’interroger : « Tu saurais pas comment te débarrasser d’une tache de champagne par hasard ? »

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Priape & Camms

Regardant mon visage dans le miroir, j'avais simplement l'air las. J'avoue que j'étais vraiment crevé par cette soirée perturbante plus que nulle en fait, c'était perturbant pas spécialement atroce mais bizarre. Je me regardais, touchant mon visage pour retoucher doucement, avec finesse mon maquillage parce que le noir de mes yeux coulés un peu, je laissais donc mon doigt doucement glisser avant de me retourner vers le brun, si musclé qui me parlait, confirmant ma thèse sur le fait qu'il avait aussi passé une mauvaise soirée, je grimaçais alors mal pour lui malgré que je le connaissais pas, enfin pas a proprement parlé, juste parce qu'il était le frère de ce si beau garçon qui me faisait ce truc bizarre et qui me faisait me sentir si étrange ... Enfin sans commentaire. Je voulais zapper la partie de la soirée avec l'autre zacharias, je savais pas si je pouvais mais je tentais. Le jeune homme me demanda d'ailleurs lequel de ces frères m'avaient torturé et j'eus un sourire timide et très peu sincère, tentant de cacher ma gêne ; Oh ... Il ne m'a pas torturé ne t'en fais pas ... Je n'avais pas envie d'en parler et je ne manquais pas de taire son prénom, j'avais pas envie d'en parler du tout surement pas à un de ses frères meme si il le serait surement après dans le cas où il évoquerait cette discussion au deux. Je le vis relever à nouveau la tête pour lancer le mouchoir décidément énerver que la tache ne parte pas, en meme temps, l'eau froide c'est pas géniale, je rigolais doucement avant qu'il me regarde et qu'étrangement, je ne puisse que devenir directement impassible. Il me demande alors, après un soupire, si j'ai une idée de comment l'enlever. J'ouvre alors ma pochette en souriant, le regardant du coin de l’œil et règle la température sur le tiède, attendant un peu en le regardant : Laisse-moi faire ... Je serrais pour que l'eau ne coule pas sur le sol et me dirigeais vers le jeune homme plantant mes yeux dans les siens comme pour demander l'autorisation avant de le faire malgré tout, restant accroché à ce regard si perçant. Je frottais doucement le chemise, à l'endroit de la tache : Pour toutes les taches, il faut de l'eau tiède ... l'eau froide, ne permet pas de décoler les particules ou je ne sais quoi qu'il y a dans toutes choses meme les liquides, genre le coté sucré, vois-tu ? enfin tu dois le savoir, ça a rien d'exceptionnel mais l'énervement doit pas aider ... dis-je en souriant. Je laissais tomber le mouchoir dans la pubelle à coté, restant près de lui, scotché à son regard, ma main ayant remonté inconsciemment sur son torse et je souriais simplement : Il t'est arrivé quelques choses de grave ce soir ? je me mordais les lèvres, soucieuse.

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Consolation :loukas:

La jeune femme qui m’avait rejoint à côté du lavabo me parut familière. Je l’avais déjà vue en compagnie de l’un des mes frères, pourtant je ne n’arrivais pas à me souvenir duquel des deux il s’agissait. La jeune femme garda ce détail pour elle, se contentant de me répondre qu’il ne l’avait pas torturée. Pourtant, je pressentais que son attitude et le peu d’enthousiasme qu’elle manifestait pour cette soirée étaient liés à cela. Je n’insistais pas, après tout si elle n’avait pas envie de s’éterniser sur le sujet c’était son droit. Un petit sourire étira alors mes lèvres et je répondis simplement : « Me voilà rassuré… Je n’aurais pas aimé que l’un d’eux ruine la réputation des Zacharias auprès d’une si jolie fille… » Et j’en profitais pour me présenter à elle : « Je m’appelle Priape au fait. » fis-je avant de me pencher de nouveau sur ma mission détachage de chemise. Mission vouée à l’échec, je dus me rendre à l’évidence, et je balançai mon mouchoir d’énervement avant de me reprendre. Je n’étais pas seul et la jeune femme allait me prendre pour un taré si elle me voyait perdre mon calme ainsi. Je me tournai vers elle pour lui demander conseil. Un petit sourire étira ses lèvres, elle devait probablement me prendre pour un incapable, mais elle accepta de m’aider, s’emparant elle même d’un mouchoir qu’elle imbiba d’eau avant de s’approcher de moi. Ses yeux fixèrent les miens, un regard bleu, hypnotique, captivant qui me troubla un instant. « Merci.. » fis-je tout en restant accroché à ses yeux, incapable de décrocher de ce regard azur alors qu’elle m’expliquait comment il fallait que l’eau devait être tiède pour que cela fonctionne. J’essayais de me focaliser sur ses paroles en vain, captivé par ses yeux. Et ses doigts qui s’activaient contre le tissu mouillé de ma chemise n’aidaient pas à me concentrer sur ces mots, accentuant plutôt davantage mon trouble. « J’essayerai de m’en souvenir pour la prochaine fois » Mon regard se décrocha un instant du sien, pour découvrir qu’elle avait réussi à complètement effacer les traces qu’avait laissé le champagne sur ma chemise. Puis mes yeux retrouvèrent les siens alors que sa main remonta lentement sur mon torse, faisant dangereusement s'accélérer mon rythme cardiaque. Sa question concernant ce qui s’était passé pour moi me ramena soudain à la réalité. Caly, notre dispute, le fait que j’avais tout fichu en l’air… Non finalement je n’avais vraiment pas envie d’y repenser, je préférais me perdre dans les yeux magnifiques de mon interlocutrice, me concentrer sur sa main tout contre moi, oublier ce début de soirée catastrophique… Je répondis donc simplement : « Disons que le début de soirée a été plutôt merdique... » Je la couvais d'un regard brûlant qui ne cachait plus rien de ses envies avant d’ajouter : « Mais il semblerait que ce ne soit pas irrémédiable…»

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Priape & Camms

A la suite de mon annonce concenrant lequel de ces deux frères étaient de ma connaissance, il m'avait souri pour me complimenter, c'était charmant et très appréciable. Je souriais à pleine dent tandis qu'il m'annonçait qu'il se nommait Priape, je le regardais avant de lui répondre à mon tour ; Je m'appelle Camélia, ... Fawkes, mais on m'appelle Camms ... J’espérais qu'il allait pas me dire Fawkes comme le producteur ou comme la mannequin sinon je partirais très très loin. D'un sourire, j'avais continué à le regarder avant de lâcher son regard pour m'occuper de ce qu'il m'avait demandé. J'étais soucieuse de l'aider et je le fis minutieusement. Je l'avais ensuite provoquer sans plus attendre voulant jouer avec le feu, je devais l'avouer. Je le sentais comme accroché à mon regard et le sien ne faisait que pire effet sur moi. En tout cas, on n’oubliait très vite, cette histoire de tache pour se provoquer avec ses regards si personnels, si coquin, je crois dans le fond en tout cas c'était mon cas, parce que j'étais si mal, je ressentais tellement de chose que je comprenais pas, que j'avais envie de me lâcher comme pour oublier le reste. Oublier que j'avais eu peur d'un ressenti envers Denys, oublier les gaffes, oublier Olympe, oublier tout. Il me confirmait anxieux que son début de soirée n'avait pas été bon avant de me dire d'un petit sourire presque radieux, que ça allait surement changer, je lui rendais donc mon sourire, un sourire qui se voulait malicieux presque enfantin par instant, par seconde. Ah oui et pourquoi ça ? Pourquoi ta soirée va s'améliorer ?Avais-je en laissant ma main glisser sur son torse très doucement alors que mes yeux plongeaient plus encore dans les siens. Je reculais, cassant la provocation, comme le laissant sur sa faim, sur ce qu'annonçait mes gestes, mes regards, mes sourires et j'allais m'appuyer contre le mur le plus proche en le regardant, souriante. Je ne parlais pas, mais mon regard en disait long sur ma potentielle envie d'oublier, de changer la soirée ... avec lui. j'attendais d'avoir confirmation d'une envie, d'un souhait, de beaucoup de chose, mais je comptais bien jouer aussi, c'est ça la détente !

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Consolation :loukas:

Elle déclina son identité tout en précisant son surnom, et je lui répondis avec un sourire aux lèvres : "Enchanté de faire ta connaissance Camms..." Je souriais parce que finalement l'entrée de Camms dans les toilettes était une distraction parfaite. Exactement ce qu'il me fallait pour oublier l'espace d'un instant ce qui venait de se produire entre Calypso et moi, la confrontation, les aveux et surtout le fait que j'avais, encore une fois, tout fait foirer entre nous... J'oubliais tout ça grace à Camms et lorsque la jeune femme m'aida à me défaire de cette fichue tâche, je sentis ses doigts à travers le tissu de ma chemise. Ce simple contact, son regard bleu qui se posa sur moi, sa main restant ensuite contre mon torse, toute cette situation sembla instituer un climat particuliers entre nous, le genre de tension électrique palpable entre deux personnes qui s'attirent mutuellement. Oui Camms était ravissante et j'étais loin d'être insensible à son charme. Je lui fis part de mon impression selon laquelle la soirée allait s'améliorer, c'était une façon subjective de lui faire comprendre que notre rencontre n'était pas pour me déplaire. Son sourire me fit comprendre aussitôt qu'elle était joueuse, qu'elle avait très bien compris le sous entendu de ma phrase. Mais elle s'amusa en me demandant de clarifier cela tout en rompant le contact qu'elle avait instauré entre nous. Elle s'éloigna un peu de moi pour aller s'adosser contre le mur de la pièce son regard toujours posé sur moi. Je pus y lire l'envie de jouer et mon sourire ne fit que s'élargir davantage, amusé par ce côté joueur de la jolie jeune femme. "Je ne sais pas... Probablement parce que ma chemise est désormais détachée grâce à tes doigts de fée..." répondis-je en utilisant le même ton qu'elle avait employé. Bien sûr, la suite de ma soirée n'aurait probablement rien à voir avec l'état de ma tenue... Quoi que si en fait, indirectement : ma soirée serait parfaite si ma chemise terminait arrachée de mon torse et gisant sur le sol de cette pièce. "Je suis impressionné..." Je m'éloignai moi aussi du lavabo, me dirigeant vers elle, réduisant à nouveau la distance qui nous séparait, attiré comme un aimant par elle et son regard magnétique dont je n'arrivais désormais plus à me détacher. "Peut être que tu pourrais encore m'aider davantage à améliorer ce bal qui était jusque là médiocre..." proposai-je alors sur un ton à nouveau plein de sous-entendus.

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Priape & Camms

Il semblait ravie de ma présence tout en semblant anxieux surement à cause de sa soirée et j'avais limite envie de le consoler ce beau garçon, si canon. On comprends d'où vient la beauté de Denys, ce sont presque tous des Dieux mais je leur dirais jamais. Enfin, c'était étrange l'ambiance entre nous encore plus à la suite de ce que je croyais ressentir ou avais pu ressentir pour le plus jeune, le fameux Denys. Je voulais zapper, tellement zapper et ne pas y croire que je m'en fichais meme que face à moi, ce soit son frère, lui s'en foutrait surement comme il se fout de moi. Il fut bien amusé par mon jeu, par mes provocations et ça me laissa rire doucement tandis que son sourire fut bien plus franc. Son charme m'envoutait comme ses yeux pouvaient le faire. Il me lança une réponse sur un ton ironique pour se foutre de moi tandis que je me rapprochais, le sourire coquin et le regard malicieux au possible. Mais il s'éloignait tandis qu'il s'extasiait en riant sur mes exploits de ménagère. Je lui faisais un clin d’œil tout en riant à pleine dent avant de le voir, pret à reprendre la parole, le regard si ... provocateur ; Peut être que tu pourrais encore m'aider davantage à améliorer ce bal qui était jusque là médiocre... Des sous-entendu, le jeune homme semblait etre firand de tous cela car ce n'était pas son premier sous-entendu. Je ne répondais rien, continuant d'avancer doucement d'une manière sexy et provocatrice qui ne se devait pas ridicule contrairement à ce qu'on aurait pu penser et quand je fus assez pret de lui, toujours absorbé par son regard magnifique, je posais doucement mes lèvres sur les siennes avant de descendre dans son cou puis me détacher, restant un maximum collé à lui, avant de porter ma bouche à son oreille ; Comme ça ? Un sourire coquin qui voulait tout dire, je ne pensais plus à mon ami Denys, je ne voulais plus y penser parce que lui ne pensait surement pas à moi et il avait pas à le faire. Je laissais ma main glisser sur son torse tandis que je mordillais son oreille avant de replonger dans ses yeux et attendre qu'il me montre le chemin qu'il voulait prendre.

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Consolation :loukas:

Je n’avais pas prévu de me retrouver ici, dans cette pièce, avec une jolie fille, et m’embourber dans un jeu inattendu de sous-entendus et de regards qui en disent longs. Rien de tout cela n’avait été calculé et au plus profond de moi, je savais que commencer ce flirt, et peut être le pousser plus loin, n’était probablement pas une bonne idée. Mais sur le moment, cela me sembla la meilleure chose qui me soit arrivée depuis le début de ce fichu bal. D’ailleurs, je venais de défier Camms d’améliorer encore plus cette soirée. Joueuse, elle avança doucement vers moi, une démarche lente et sensuelle à vous donner des crampes sous la ceinture tout en continuant de me regarder de manière équivoque. Une fois face à moi, son visage s’approcha doucement du mien et ses lèvres se posèrent un instant sur les miennes avant de glisser dans mon cou. Un baiser court, délicieux mais trop bref, qui en demandait un autre. Le contact de ses lèvres contre ma peau, délicat et voluptueux, ne fit qu’accentuer l’excitation que notre petit jeu avait fait naitre en moi. Exit tous mes tracas du début de soirée, à présent je n’avais plus qu’une chose en tête : éteindre le feu que la jolie brune venait d’allumer en moi. Elle me demanda si c’était comme ça que j’avais envisagé l’amélioration de ce bal et un sourire amusé étira mes lèvres. « Ca en prend le chemin en tout cas… » Alors qu’elle était déjà très proche de moi, mes mains glissèrent sur la taille de la jeune femme et je l’attirai encore davantage, plaquant son corps au mien. Mon visage se pencha vers le sien et ma bouche s’empara de la sienne d’abord avec la même douceur et la même délicatesse dont elle avait fait preuve lors de son propre baiser. Puis mes lèvres se firent plus pressantes contre les siennes. Je l’embrassai avec plus de passion, plus d’urgence, emporté par le désir qu’elle m’inspirait depuis son entrée dans la pièce…

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Priape & Camms

Je le regardais, fixement. Impossible de dériver de ses yeux si profond. J'aimais le regard de ce garçon et il fallait dire que je trouvais que le regard chez un homme était l'une des choses primordiales donc forcément, je ne pouvais que me sentir séduite dans la mesure où c'était une simple soirée et non, la promesse d'une relation pour la vie d'après ce que j'avais compris. Je voulais oublier et ce n'était pas dur là tout de suite surtout que son nom de famille, je voulais m'en foutre tout autant vu ce que je devais zapper. J'étais perdue et cet état de perdition m'entrainait encore à faire des conneries car oui, c'était surement une connerie de coucher avec le frère d'un ami qui me faisait ressentir d'étrange chose pourtant je ne lui devais rien mais une partie de moi s'obligeait à se dire que si. Oh malheur ... Malgré tout, j'allais contre ce que ma tete me disait et je suivais ce que moi, là, tout de suite, je voulais, le regardant, laissant toute ma malice et mon coté provocateur ressortir tandis qu'il me lâchait que c'était sur la bonne voie. Je sentais alors ses grandes mains glisser vers le bas de mon dos, un contact si bon, si doux, si tendre, j'oubliais tout au toucher de ses mains envers mon corps si fin. Priape m'attirait plus franchement contre son corps. Je sentais son souffle contre moi, je sentais son regard persécuter le mien dans le but de l'hypnotiser et ne plus me quitter. Je sentais son désir coller contre moi, tout comme je le sentais dans ses yeux. J'aimais me sentir désirer et j'aimais sentir le désir monter en moi, tant de choses se bousculaient en moi que ça en devenait bien trop troublant. Je secouais la tête légèrement pour oublier tout, comme pour vider ma tête d'un coup au meme moment où le brun commença à avancer de nouveau sa bouche de la mienne pour venir presser ses lèvres contre les miennes avec une délicatesse insaisissable, impressionnantes pour un homme, ça ne faisait que plus me plaire encore et tout mon être brula. Le Zacharias donna ensuite plus de passion à se baiser, m'emmenant dans son monde, avec lui, m'emprisonnant dans ses bras, lèvres contre lèvres, je le sentais si proche, si tactile avec moi et si désireux de m'avoir que je ne pouvais presque pas imaginer le quitter maintenant si quoique ce soit nous couper. J'approfondissais à mon tour le baiser, forçant le barrage de sa bouche pour prendre l'autorisation, et y enfoncer ma langue. Elles se joignirent alors en une danse frénétique. Ce contact incroyable me faisait tourner la tête à un point qu'on ne peut imaginer sans le vivre. Le contact avec sa peau me permettait pendant l'instant de tout oublier, de m'évader et je crois qu'il était dans le meme cas. Je laissais mes mains dans son cou avant de foncer un peu plus bas, histoire d'enlever sa chemise de son pantalon et passer ma main en dessous de celle-ci. Je voulais toucher sa peau, la caresser, sentir sa chaleur à meme sa peau et non à travers des vêtements. Presque dans une envie de provocation et d'excitation, alors que ma main s'était glissée sous sa chemise, j'avais rompu tout contact avec lui, me dégageant de l'endroit où j'étais coincé pour marcher en le regardant, -en arrière- d'un air provocateur jusque dans une cabine avant de lui faire un signe tout aussi provocateur pour qu'il me rejoigne et qu'il n'est plus qu'une envie me faire l'amour comme jamais, on n'avait pu me le faire. Sauf si tu veux arrêter maintenant ... Un sourire limite pervers sur les lèvres.

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