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Les originesLexa a le sang chaud de la méditerranée et de la mer rouge : égyptienne copte et grecque du côté de sa mère , et égyptienne ainsi que libanaise du côté patriarcal
feat. Sherouk Farid
le 24 juillet 1999, en Grèce à Thessalonique
détentrice de la double nationalité grecque et italienne, puisqu'elle a passé une bonne partie de sa vie à Rome.
célibattante hétérosexuelle, se refuse à l'amour et au moindre prétendant. On a failli l'y prendre une fois, depuis elle a épuisé sa capacité à croire à ses fables
septième année en histoire de l'art, Lexa vise au moins le master.
it girl de la haute société, elle ne se refuse rien parce qu'elle en a les moyens et qu'elle le vaut bien.
Le caractère
m o o d b o a r d
ENTJ-A the commander
Alexandria « celle qui repousse l'ennemi et protège les hommes », c’est ce portrait vivant d’une amazone tout droit sortie du récit de l’Iliade, une héroïne à part et sans pareil, amalgame d’Héra trônant en reine, d’Athéna la vaillante guerrière, d’Aphrodite désirée de tous et d’Artémis apprivoisée par personne. A la fois gracieuse et distinguée, elle subjugue aisément avec un sourire et un regard avenants. Néanmoins, elle ne se dévoile qu’à très peu de gens et rares sont ceux à connaître la véritable Alexandria, celle qui en réalité est inaccessible. Mystérieuse et secrète, elle ne parle jamais pour ne rien dire : chaque mot, chaque expression et chaque geste sont mesurés. Farouche, elle ne vous laisse approcher que si elle vous trouve un attrait ou un atout. Elle connaît les codes pour évoluer en foule et en société, afin d’éviter les personnes douteuses ou ennuyantes, voir même pour obtenir ce qu’elle veut. Il est difficile de ne pas être troublé par cet être si délicat et de succomber à sa séduction qui ne dépasse jamais les limites et les atours platoniques, malgré ses yeux de biche qui lancent des regards de braise. Mais elle n’est pas en porcelaine, loin de là. La belle métisse est confiante, prudente et ambitieuse : elle sait ce qu’elle veut et gare à ceux qui se mettent sur son chemin. C’est ce à quoi les femmes Vassillades l’ont préparée toute sa vie : être une jeune femme bien dans sa peau et dans sa tête, fuyant la vie de femme bafouée que lui réservait son géniteur et ne vivant que pour son propre bonheur, sans être entravée par les chaines et les carcans du patriarcat. Aussi orgueilleuse qu’intransigeante elle n’a pas un caractère aussi commode que son visage d’ange n’y paraît : elle a la dent dure et ne pardonne jamais les gens qu’elle estimait. Si un jour c’est le cas pour vous, alors elle ne vous a pas réellement considéré comme un proche. Elle sait être très rancunière et revancharde. Mais lorsqu’elle se met à nu et qu’elle enlève son armure de conquérante, on découvre le cœur en or d’une amie loyale et protectrice : c’est à la vie à la mort ! Lexa a de grandes difficultés à faire confiance aux autres, principalement à la gent masculine ; ayant tendance à voir le verre à moitié vide, à être persuadé que tout être humain est capable du pire, même elle. ENTJ-A the commander
Les anecdotes
- ONELorsque sa mère a rencontré son père, celle-ci cru vivre au départ un conte de fée. Fille de parents grecques et descendante d’une grand-mère égyptienne copte, voulant être plus en phase avec ses origines arabes, elle était partie étudier au Caire. Petite à petit, elle a trouvé son épanouissement en lisant le coran puis en rencontrant celui qui lui promettra la lune et les étoiles. Mais après le mariage, le rêve s’est étiolé, morceau par morceau jusqu’à ce que sa première fille décède après que son mari et son beau-père firent pratiquer une mutilation génitale sans son accord. Tous les droits revenant au sexe opposé, le seul moyen d’obtenir le divorce fut de payer la dot qu’elle avait reçu. C’est ce qu’elle fit après avoir appris sa seconde grossesse, qu’elle dissimula jusqu’au divorce. Ne reconnaissant plus son époux qui se révélait être violent, elle préféra confier sa fille à sa famille après l'accouchement sur sa terre natale et partir vivre en Italie, le temps que les choses se tassent et espérant que jamais on ne découvrirait qu'elle avait donné naissance à Alexandria Noor Vassilades.
- TWOEn dehors de son grand-père, PDG de son entreprise de construction maritime, Alexandria n’a pas eu de figure paternelle à ses côtés qu’elle aurait pu aduler et présenter fièrement à toutes ses amies et camarades. Son père n’est pas l’homme le plus abjecte qu’il soit… il a des principes mais même les plus grands dictateurs en ont eu. Lui, il a une image très réductrice des femmes, l’une des plus néfastes qui perdure comme de la mauvaise herbe et qu’on se transmet de père en fils. Sa chance, c’est qu’on son père a pris toute la culpabilité de leur crime, lui évitant d’aller aussi en prison, malgré la déclaration de son épouse. Alors non, jamais elle n’a pu se battre avec sa mère pour avoir son affection et déclarer qu’elle l’épouserait lorsqu’elle serait grande. Mais il ne valait mieux pas, puisqu’il n’en était pas digne. Grâce à sa mère, Alexandria a été épargnée, elle n’a pas vécu la misogynie de son père et des hommes de la famille Emara. Mais pour cela, elle a d’abord vécu sept ans loin de sa mère. Elle n’y comprenait pas grand-chose et pensait que ses parents ne l’aimaient pas, qu’ils l’avaient abandonnée. Mais l’amour de ses grands-parents et de sa tante, lui a permis d’avoir une enfance heureuse, comme n’importe quelle autre gamine. Et un beau jour, elle a pu voir son visage, quand elle l’a ramené avec elle à Rome.
- THREEDurant son adolescence, on lui reprochait assez souvent d’avoir soit des traits trop orientaux soit des habitudes trop occidentales ou trop grecques, en bref d’être une métisse. Même si en apparence, elle n’a rien hérité des deux cultures de son père (elle ne parle pas l’arabe mais comprend quelques mots) ; ses racines arabes lui sont très chères. Victime de rejet et de racisme, elle se sentait dans l’incapacité de satisfaire qui que ce soit même si ce n’était pas elle mais sa mère qui portait le voile.
- FOURFervente pratiquante du tourisme culturelle, elle est fière de sa collection de tampons accumulés sur ses deux passeports. Elle aime voyager par-delà le monde, découvrir et explorer de nouveaux horizons. Son plaisir, c’est de s’immerger dans des lieux pittoresques marqués par l’histoire ainsi que partager le us et coutumes des locaux. Elle profite de la vie et de ce qu’elle a offrir tout en assouvissant sa soif d’en apprendre encore plus et de vivre de nouvelles expériences. Cette passion, elle la doit à sa grand-mère qui l’y a initié un mois avant ses 10 ans, lors de l’inauguration du musée de l’Acropole d’Athènes. Dès lors, elle n’a cessé de parcourir le monde avec sa petite-fille, jusqu’à ce que des problèmes de santé n’y mette fin. Alexandria est attristée du fait que cette mémoire vivante qui été conservatrice du musée archéologique de Thessalonique, ne sera bientôt plus que l’ombre d’elle-même à cause d’une neurodégénérescence (maladie de Huntington)
- FIVEEn Italie, elle devient viscéralement amoureuse de l’art, elle s'essaye à toutes les disciplines jusqu’à ce qu'elle devienne éprise de modelage d’argile. Cette passion lui permet de laisser libre-court à son imagination et de lui donner vie avec ses propres mains. D’ailleurs, l’argile est bien la seule matière où elle aime les plonger. Mais son art elle le garde à l’écart des regards indiscrets, comme un jardin secret.
- SIXJusqu’à lui, elle n’a connu que l’amour minuscule, de crush en crush, de simples amourettes d’adolescents. Lui, il a fait son cœur battre la chamade avec ses grands sourires, ses fossettes et sa voix grave. Puis elle est tombée de très haut, allant de désillusion en désillusion. Il s’en est pris à elle… et à d’autres aussi. En dehors de ceux qui ont fréquenté le campus de Columbia, à New York, personne n’est au courant, pas même sa famille. Certainement parce que derrière cette montagne d’amertume et de rancune, elle cache une culpabilité pesante : « pourquoi n'ai-je pas su voir ». Pourtant c’est lui le coupable, un autre être gars abjecte… peut-être pire que ce père dont elle vient de découvrir l’existence. On dirait que c’est un truc de mère en fille d’accorder naïvement sa confiance au premier qui lui fait tourner la tête. Le poids de ce fardeau est devenu exponentiel, alors peut-être qu’il suffirait de s’en délester un peu, d’oser parler de la violence subie, de la gifle de trop et de la tentative d’enlèvement (ce qui n’est qu’un avant-goût de l’amplitude de son machiavélisme). En attendant, la blessure est encore béante et refuse de cicatriser.
- SEVENAvant que son univers, à lui, rentre en collision avec le sien, Lexa était plutôt insouciante, toujours joyeuse et optimiste, avide de contacts humains. Depuis petite déjà, elle abordait les inconnus croisant son regard pétillant et elle les inondait de questions aussi intrusives que loufoques. Cela révélait déjà une curiosité inextinguible pour la vie et ses mystères. Au fond, Lexa est restée la même, rien n’a pu étouffer sa flamme, pas même le souvenir de ses poings serrés à lui, ni de ceux qui refusèrent de croire à son témoignage. Mais même si l’étincelle est encore visible sur ses iris et dans ses sourires, elle porte un masque et ne sait plus comment cesser cette obsession du contrôle exercée afin de maintenir les étrangers à bonne distance de son cœur, tout en gardant cette image lisse de femme forte… ce qu’elle est à n’en pas douter. Cependant, un peu d’aide et de chaleur humaine ne lui ferai pas de mal.
- EIGHTElle impressionne assez facilement par sa culture générale, et par le fait qu’elle soit une touche-à-tout : polyglotte qui parle quatre langues (le grec, l’italien, l’anglais, et le français), excellente nageuse qui a gagné quelques médailles lors de compétitions, elle est aussi captivée par l’artisanat (les métiers du bois, la couture ou encore la lutherie). D’ailleurs, l’année dernière elle a dessiné elle-même son bureau et l’a fait fabriquer par un menuisier. Elle est de plus en plus tentée par l’idée de se mettre à la sculpture sur bois. Alexandria aime se découvrir de nouveaux centre d’intérêts, découvrir de quoi elle est capable et surprendre là où on ne l’attend pas.
- NINELes deux choses que cette jeune femme coquette et sophistiquée déteste plus que tout sont :
- la vulgarité verbale et/ou physique, principalement chez ceux qui aiment étaler le fait qu’ils sont riches bien que la véritable classe leur fassent défaut. Allez savoir, c’est peut-être ses années passées avec ses grands-parents qui lui donne cet air un peu « old soul »,
- et les choses sales ainsi que celles qui grouillent en général dans l’herbe, la terre ou les arbres. Elle aime la nature mais à petite dose et à condition d’être vêtue et équipée pour.
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- Code:
<div class="card-user-bottin-pfo"><pfo class="text-s-bebas text-upper">SHEROUK FARID</pfo><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Alexandria Vassilades"</span></div>
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