Tu me fais honte, une prostituée, sérieusement ! /Feat Ulysse

Les prénoms grecs !

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J'avais eut un mal fou à me réveiller ce matin. Quand mon réveil avait sonné, j'avais vraiment cru que j'allais le faire passer par la fenêtre, mais du premier étage je doute qu'il ait vraiment mal. Au pire il ramerait encore plus, non j'attendrais de vivre en haut d'une tour pour le faire passer avec un sourire sadique par la fenêtre. Je le regarderais tomber, et je songerais à tout ces matins où il avait sonné, terrible et impitoyable pour mon sommeil. J'étais sortie encore un peu dans les vapes, habillée en été, car le soleil avait pointé le bout de son nez , pour boire un café dans un petit café où j'allais souvent. J'adorais aller boire un café dans un coin du lieu, un peu à l'abri du monde, un journal sur les genoux, pour me tenir au courant des dernières nouvelles. J'étais dans ma petite bulle, à l'abri des autres personne, parfois je prenais un croissant ou un pain au chocolat avec, pour faire durer encore et encore ce moment hors du temps. Mon petit rituel matin, j'y tenais, c'était comme une sorte de prière pour moi. Si je n'avais pas ça au moins une fois dans la semaine, j'étais en manque. Mais bon, aujourd'hui, je n'avais pas la tête à savourer mon café tranquillement, un peu dérangée par une rumeur que j'avais entendue dans les murs de la Cabot house. Ulysse, un garçon avec qui j'avais eut une courte aventure et avec qui j'entretenais de bonnes relations avait, il parait, décidé d'hébergé chez lui une prostituée.

Je ne voulais pas y croire, mais bizarrement cette possibilité ne me paraissait pas impossible du tout. Je voulais aller voir ça, du coup j'avais décidé d'aller sonner chez lui, et je comptais avoir une explication, espérant qu'il me rassurait, et qu'il n'était pas tombé si bas.. J'avais payé mon café, puis j'avais marché jusque chez lui, un immense manoir, et j'avais sonné. En croisant les doigts pour qu'il soit là..

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Olympe & Ulysse

• Les baies vitrées de la villa ouverte, je laisse le vent s’engouffrer entre ces murs pour avoir un peu d’air frais. J’aime ce temps, ce soleil qui te brule la peau et qui te fatigue, il n’y a rien de mieux. L’été approche ainsi que le Summer Camp, et je compte bien en profiter pour m’amuser un peu, profiter de ces vacances loin d’Harvard pour faire de nouvelles rencontres, et, pourquoi pas, me faire quelques contacts dans cette ville, après tout, je ne vais pas cracher dessus. Avachi dans mon canapé, je regarde la télé et je zap toutes ces chaines peu intéressante. Qu’est-ce que je peux me faire chier. J’ai rien à faire aujourd’hui, Carmen n’est pas là pour me distraire, Marta, la femme de ménage a pris sa journée, j’pourrais même pas la faire chier, et j’ai la flemme de sortir. Alors je glande, j’attends que le temps passe et j’attends un appel, un message qui pourrait me permettre de passer le temps. J’attends encore et encore, jusqu’au moment où j’entends la sonnette de la villa sonner. Oh putain enfin de la compagnie, j’espère juste que c’est pas le postier ou une merde du genre. J’me lève du canapé et j’vais ouvrir. Derrière la porte se trouve Olympe. Olympe… Que dire sur elle ? J’suis sorti avec elle il y a quelques temps mais depuis on est resté en bon terme, disons que je l’aime bien cette petite, elle a de la chance non ? « Putain tu me sauves de l’ennui ! » Lui avais-je dis avant d’ouvrir la porte en grand et de retourner sur le canapé ou elle n’allait pas tarder à me rejoindre. J’ai pas besoin de lui dire d’entrer non plus hein. « Tu fais quoi ici ? » Bah ouais, il doit bien y avoir une raison pour qu’elle débarque sans prévenir non ? •

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J'étais curieuse de nature, et apprendre que un type avec qui j'étais sortit puisse se taper une pute à temps plein, ça me choquais un petit peu. Dans le principe. Déjà, vendre son corps, je ne comprenais pas. Quelle fille pourrait avoir cette audace? C'était du manque de respect envers sois-même, à mes yeux. Surtout que les hommes qui la payaient ne devait pas être des apollons, mais plutôt du genre gros boutonneux qui n'a pas le physique pour coucher avec un fille sexy et belle. Et comme Ulysse ne rentrait pas dans cette casse, j'étais forcément surprise d'apprendre qu'il pouvait faire ça. Mais après tout, il m'avait toujours surprise, peut-être que cette fois-ci encore je serais surprise.. Mais quand même, une prostituée, chez lui.. J'avais décidé de tirer tout ça au clair, en allant le voir. De vive voix, c'était toujours mieux que par message. Quand j'avais sonné, j'avais peur qu'il ne soit pas là, mais finalement il était venu m'ouvrir. Sans dire bonjour, c'était Ulysse quoi. Je souris, si je le sauvais de l'ennui, ça voulait dire qu'il allait m'écouter. " Moi aussi je vais bien, merci de t'en soucier. " Chaque fois que je voyais, je le charriais là dessus, car il ne se préoccupait jamais de la politesse, ou même du bon sens. Demander à son interlocuteur si il allait bien. Je fermais la porte derrière moi, puis je m'assis sur le canapé à côté de lui. Il faisait bon, il y avait un courant d'air agréable, qui changeait de l'agression extérieur avec le soleil brûlant. " C'est vrai que tu loge une prostituée, à tes frais, ici ? " Parfois, il valait mieux être directe, et j'avais vite compris qu'avec Ulysse si je me perdais dans les discours, je perdais son attention. Je fis un petit sourire, j'avais soif, et il ne m'avait rien proposé ! " T'as pas un truc à boire ? "

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Olympe & Ulysse

• Non je ne prenais jamais la peine de demander aux gens comment ils allaient, car je savais très bien qu’au fil de la discussion que nous pourrions avoir, je finirais par le savoir. Alors ouais, je l’avais laissé entrer seule, comme une grande, et j’alla me poser sur mon grand canapé ou je passais beaucoup de temps ces derniers jours. Eteignant la télé en claquant des mains. « Ça c’est le luxe ! » Avais-je sorti en la regardant avec un large sourire, une nouvelle option que j’avais acheté sur internet que je m’étais fait livré, le plaisir de l’argent. " C'est vrai que tu loge une prostituée, à tes frais, ici ? " […]" T'as pas un truc à boire ? " Bon, comme quoi, elle n’était pas venue par hasard, il y avait quelque chose qui se cachait derrière ça, et je venais de l’apprendre. Elle était cash, et j’aimais ça. Soupirant, je me leva pour aller dans la cuisine et sortir divers boissons que j’amena avec deux verres et que je déposa sur la petite table qui se trouvait face à nous. Reprenant place sur le canapé, je la laissa se servir avant de répondre à sa question précédente. « Ouais c’est vrai… Elle est jolie et c’est con que des vieux pourris lui passe dessus, alors je la paie et elle reste là, ça te choque que j’sois généreux ? Mais t'en fais pas, je t'aime toujours autant ! » Ouais j’retourne la question contre elle, j’aime bien faire ça, tourner la situation à mon avantage… Et puis, Carmen a beau être une prostituée, je l’aime bien cette fille… •

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Il m'avait laissé entrer, ne prennant même pas la peine de fermer la porte derrière moi. Je le fis donc, avant de m'installer à côté de lui dans le canapé, alors qu'il éteignait la télévision d'une manière assez.. originale et surprenante. Il avait toujours adoré les manifestations du luxe, c'était un point sur lequel nous étions d'accord, et j'avais déjà vu ce système plusieurs fois, sans pour autant l'installer dans mon appartement à Sydney. Ni dans ma chambre Cabot. Par flemme à vrai dire, je n'aimais pas les réparateurs.. Je ne fis aucune commentaire, me contentant de sourire, puis lui exposer la raison de ma visite. Un peu directe, mais au moins je ne tournais pas autour du pot. Avant de me répondre, il se leva pour aller chercher deux verres, avec plusieurs boissons. Je pris un verre, me servis du jus d'orange, curieuse d'entendre sa réponse. Mais vu sa tête, il n'allait pas nier l'existence de cette fille.. « Ouais c’est vrai… Elle est jolie et c’est con que des vieux pourris lui passe dessus, alors je la paie et elle reste là, ça te choque que j’sois généreux ? Mais t'en fais pas, je t'aime toujours autant ! » En l'écoutant, j'avais bu quelques gorgées, savourant la douceur du jus. Alors c'était vrai, il avait vraiment une prostituée ici.. Balayant la pièce du regard comme si elle avait put être là depuis le début, je me mordillais la lèvre. Il me retournait la question, je n'aimais pas cette habitude chez lui.. " ça me choque pas, mais enfin, c'est une prostituée. C'est immoral comme truc.. elle est ici, en ce moment? Et tu sais, elle pourrait bosser, c'est elle qui a choisit de passer sous des vieux comme tu dis. " Je croisais les bras, gênée de parler d'une fille qui se vendait, et qui si se trouve était pas loin.

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Olympe & Ulysse

• Carmen m’avait marquée. Ça aurait été une autre fille je ne l’aurais pas fait, j’suis pas du genre à faire dans la charité, j’m’en fou du malheur des autres, du moins, pas totalement, mais dernièrement, je m’en carre complètement, j’fais ma vie et j’emmerde ceux qui sont pas content. Sauf que cette petite blonde ne m’avait pas laissé indifférent, elle avait l’air si fragile que ça me faisait de la peine qu’elle soit obligé de vendre son cul pour se faire de la thune. Elle la choisi, je le sait, mais, je sais pas, un truc m’avait troublé chez elle. " Ca me choque pas, mais enfin, c'est une prostituée. C'est immoral comme truc.. elle est ici, en ce moment? Et tu sais, elle pourrait bosser, c'est elle qui a choisi de passer sous des vieux comme tu dis. " Olympe n’a pas l’air de voir ça du même œil que moi, et, elle n’a pas tort. Sauf que non, si au moins une fois dans ma vie j’peux faire quelque chose de bien en la sortant de cette merde, et bien j’essayerais. Je lui ébouriffe un peu les cheveux en souriant et je reprends la parole. « Non elle est pas là aujourd’hui… Mais, tu sais, ça a beau être une pute, elle est touchante comme fille, et si au moins une fois dans ma vie j’peux faire quelque chose de bien en l’empêchant d’aller vendre son cul, bah… Je le ferais ! » Ulysse le gentil Part One. J’sais pas s’il y aura une part two hein, je tiens quand même à vous prévenir. J’pense que Olympe a du entendre parler du fait que Carmen était chez moi, et vu qu’elle aime bien me faire la morale ou m’engueuler, elle a sauté sur l’occasion. Mais ne vous inquiétez pas, à part ça, elle est adorable comme fille, et en plus, elle a un bon cul ! •

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Gif © tumblrImaginer Ulysse en train de veiller sur quelqu'un, c'était comme une bonne blague. Je ne pensait pas qu'il était capable de penser à autre chose que son petit nombril, son manoir qui doit être au top de la technologie et du luxe, et de son corps qu'il veut entretenir. Mais visiblement il avait prit sous son aile une "pute".. Il me demanda si ça me choquait, je répondis à la négative : non ça ne me choquait pas, mais cette fille avait choisit sa vie. Et à ce que j'avais entendu elle ne se gênait pas pour mener un grand train de vie.. une vraie profiteuse. Suite à ma phrase, il m'ébouriffa les cheveux, et je grognais un peu, n'aimant pas ça, et il le savait très bien. « Non elle est pas là aujourd’hui… Mais, tu sais, ça a beau être une pute, elle est touchante comme fille, et si au moins une fois dans ma vie j’peux faire quelque chose de bien en l’empêchant d’aller vendre son cul, bah… Je le ferais ! » Il y avait des millions de façon de faire du bien dans sa vie, sans craquer des sommes folles pour une pute. Mais je ne sais pas, Ulysse avait l'air de l'avoir oublié. Ou alors à ses yeux c'était plus important que des gosses qui crèvent de faim, ou un truc du genre.. « Ce qui te plait chez elle ce n'est pas qu'elle soit touchante, juste qu'elle te touche. » Bah oui, parce que qu'il n'aille pas me faire croire qu'il était dessus par hasard.. Je fis un petit sourire, moqueuse. " tu as tant de mal que ça trouver des filles qui veulent de toi..?" C'était vache et attendu, mais bon. Je bu une gorgée, toujours intriguée par cette histoire, même si j'étais plus rassurée sachant qu'elle n'était pas là car je n'aurais jamais sut quoi dire face à elle.

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Olympe & Ulysse

• C’est vrai que ça peu paraitre étrange que moi, Ulysse, fils de mafieux, futur mafieux, enfoiré de première, tête de con, provocateur né, pense à quelqu’un d’autre qu’à lui. Mais, c’était possible, et c’est ce qui c’était pensé avec Carmen, au-delà du fait que j’ai couché avec elle, au-delà du fait que ça soit une pute, j’avais vue en elle un mal-être, un petit truc qui l’avait poussé à faire tout ça, et, j’avais senti que je devais l’aider à s’en sortir, car si ce n’était pas moi, ça ne serait pas un autre. Alors ouais je lui payais des trucs, ouais je lui faisais gouter au luxe, mais c’était pour ensuite lui montrer que tout ça, elle peu l’avoir si elle arrête ces conneries de baiser pour du fric. « Ce qui te plait chez elle ce n'est pas qu'elle soit touchante, juste qu'elle te touche. » … " Tu as tant de mal que ça trouver des filles qui veulent de toi..?" Elle n’avait pas l’air de comprendre, mais à sa place, j’aurais eu la même réaction, c’est tout à fait normal. Alors je relève pas sa première phrase, elle est loin d’être conne, elle sait que j’ai couché avec, elle me connait. « J’ai pas besoin de trouver des filles quand j’ai la plus belle en face de moi ! » Lui avais-je lancé. J’essayais de détourner quelque peu la conversation, mais je savais très bien qu’elle allait revenir à la charge, alors, dans un élan de franchise, je repris la parole. « Sérieusement Olympe, j’sais pas pourquoi, mais je sais que cette fille elle a pas eu une vie facile, j’arrive à le voir dans ces yeux, et ça me fait chier qu’on puisse en arriver là pour s’en sortir. Alors ouais je connais pas sa vie, ouais elle aurait surement pu faire autre chose, mais elle a pris la solution de facilité j’pense, et, si j’essaye pas de l’aider, qui le fera ? » Ulysse, ce héros AHAH •

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Gif © tumblrIl ne l'aidait pas pour moi. Elle allait prendre gout au luxe, seulement pour avoir ce luxe, il fallait qu'elle trouve du fric, et ce fric, elle ne pourrait l'avoir que en couchant avec des hommes déjà riche. Il l'entretenait dans ce cercla vicieux.. Je soupirais, et me levais, j'étais énervée. Par principe il ne pouvait pas faire ça.. « J’ai pas besoin de trouver des filles quand j’ai la plus belle en face de moi ! » Je soupirais, finissant mon verre. Ne répondant pas, il cherchait encore à éviter le sujet. J'attendais mieux, une meilleure explication. « Sérieusement Olympe, j’sais pas pourquoi, mais je sais que cette fille elle a pas eu une vie facile, j’arrive à le voir dans ces yeux, et ça me fait chier qu’on puisse en arriver là pour s’en sortir. Alors ouais je connais pas sa vie, ouais elle aurait surement pu faire autre chose, mais elle a pris la solution de facilité j’pense, et, si j’essaye pas de l’aider, qui le fera ? » Bon, là il m'avait carrément surprise à être franc comme ça. Dommage que j'ai l'impression qu'elle se fou totalement de lui, de toute façon j'avais raison, ce n'était pas discutable : il se faisait avoir, et ne l'aidait pas. " Elle te pompe ton fric en échange de quelques pipes, et tu lui offres un luxe énorme, auquel elle va s'habiter. tu l'aide pas. Je te comprends vraiment pas. " Je faisais la moue, j'espérais sincèrement en venant que toute cette histoire n'était que rumeurs.. Je me mis à jouer avec mon verre vide, glissant mon doigt sur le bord en cercle, d'un air distrait.

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Olympe & Ulysse

• Comme une envie de me dire qu’au moins une fois dans ma vie j’aurais fait quelque chose de bien, j’avais décidé d’essayer de changer une personne, de lui faire oublier le fait qu’elle exerce la profession de prostituée et de la rendre meilleure, de lui montrer qu’après tout la vie ne se résume pas au luxe, et que si elle désire vivre de cette façon, dans le luxe, il faut se donner les moyens pour, sans pour autant vendre son cul au premier venu. Olympe avait l’air de ce soucié du fait qu’elle me dépouille, mais, niveau argent, je ne me faisais pas de soucis, les voitures qu’elle utilisait étaient les miennes, et je lui donnais juste un peu d’argent. « Mes poches ne seront jamais vide tu sais, j’pourrais acheter une deuxième villa encore plus grosse que celle-là et continuer d’être blindé… » Mon père m’avait largement laissé de quoi vivre, et j’avais toujours quelques rentrée d’argent assez conséquente, alors oui, je dépensais mon argent sans compter, et j’aimais ça. Par la suite, je lui avais demandé d’arrêter de tourner en rond et de s’énerver, sa réponse me fit sourire. C’était de ma faute en fait. Je lui tends ma main pour qu’elle la prenne et qu’elle vienne se rasseoir et je lui dis en même temps. « Je sais ce que je fais t’inquiète pas, j’te dis que j’vais réussir, j’le sens, sérieusement ! Alors maintenant rassied toi et dit-moi comment toi tu vas ! » C’est pas une question, c’est limite un ordre en fait… •

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