Parce que je te l'avais promis.
Alors que moi j'étais parfaitement à l'aise, elle je la sentais étrangement nerveuse et tendue ce qui m'intriguais pas mal d'ailleurs mais bon, je laissais couler, tâchant de justement la mettre le plus à l'aise possible car merde ce n'était qu'une danse, je n'allais pas la manger et on était encore moins noté. Je confirmais donc mon compliment avant qu'elle ne me raconte le désastre de sa soirée et que j'enchaine avec la mienne. Ouais, il y avait pas à dire, ce bal était vraiment... Bah chelou. Entre les bons moments il y avait un bordel monstre qui au final gâchait énormément le tout et s'était dommage mais bon, comme d'hab' on faisait avec, foutus Mather! Ouais car dans l'ensemble c'est eux qui avait chiés avec leur quincy lèchent culs! Con que Nay' en face parti et heureusement, elle n'avait pas participé à la baston sinon ça aurait laissé un malaise... Enfin bref! Suite à ma réplique elle relevait les yeux vers moi pour me répondre apparemment étonnée
-Toi te bastionné. Non jamais., fronçant les yeux je souriais pour rire un peu "
Quoi? Pourquoi jamais ça te surprend? Genre à t'écouter je ne suis pas de ce genre là.", à croire que dans ma période de "creux" j'avais été plutôt calme, à ma grande surprise d'ailleurs car me connaissant... Enfin elle enchaina plus sérieuse
-Plus sérieusement. Ça va? Tu n'as rien?, riant un peu plus en redressant la tête pour regarder autour de nous je répondais en reposant les yeux sur elle "
Non rassure toi, on en est pas venu aux poings même si ça a frôlé l'apocalyspe. Il n'y a qu'une mather dégueulasse qui a pété son cable à soulever sa chaise comme une folle furieuse mais sinon on a très vite stoppé le délire." ouais l'espèce de vampire de service était venue de nul part et pour jouer les guerrière de façon ridicule. M'enfin continuant à danser, j'inspirais un grand coup avant de croiser du regard ma table et de repenser à ce qu'on s'était dit, Nay' et moi la dernière fois.. Parler des choses, de ce qu'il se passait honnêtement, et ce soir, c'était l'un de ces moments. J'inspirais donc profondément avec un petit moment de calme pour reprendre "
Au fait... Tu te souviens quand tu m'as demandé d'être franc quoi qu'il arrive? Et bien ce soir j'ai justement quelque chose à te dire..." et je me demandais bien comment elle allait prendre ça, la pauvre..