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love me like you do (damya)

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un aveu que tu n'as pas su contenir plus longtemps. même si ça peut sembler rapide et la façon de faire assez impersonnelle, il fallait que tu lui dises. tu es tombé amoureux, toi, l'homme presque indomptable, qu'aucun ni aucune n'a su attendrir le muscle avant elle, ni comme elle. des mots que tu voulais lui dire en face mais que les conditions ont poussé à être verbalisées à l'écrit. tu ne pouvais pas laisser ça en suspens, tu as contacté la nounou -qui heureusement vit à deux immeubles de là- pour garder les enfants en urgence, laissant ton téléphone de côté le temps qu'elle n'arrive, laissant damya sans réponse quelques instants. tu t'es préparé brièvement, avant de saluer cette voisine que tu paies gracieusement à chaque fois que tu as besoin de ses services à l'improviste, avant de quitter ton appartement pour rejoindre celui de ta belle, passant du côté d'un fleuriste ouvert de nuit pour acheter un bouquet de roses. tu veux rendre cette déclaration plus formelle, plus réaliste et romantique, ce que tu penses qu'elle mérite vraiment comme première fois. tu t'engouffres dans son bâtiment et tu viens toquer à sa porte, le bouquet devant toi, sentant le stress monter de cette déclaration d'amour que tu t'apprêtes à faire, sans l'avoir préparée au préalable. faites juste qu'elle ouvre la porte. « ma belle, c'est ian. » que tu viens annoncer derrière la porte pour la rassurer.

@Damya Morales
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août 2023
@Ian Fairchild
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Un message qui l'avait laissé sur le cul. Elle avait lu le message, encore et encore. Des papillons dans le ventre, le sourire aux lèvres, des larmes dans les yeux, elle n'avait pas su quoi répondre. Elle avait tout de même terminé par répondre. Réponse nulle, mais elle était encore sous le choc de la révélation. Oui, elle était heureuse. Et en même temps, légèrement déçue que ça se soit dit de cette manière. Elle aurait aimé le regarder dans les yeux, l'embrasser et lui dire que c'était réciproque. Mais elle n'allait pas faire la difficile. Elle était tout de même heureuse. Elle gardait son téléphone contre elle, comme s'il s'agissait de l'objet le plus précieux qu'elle pouvait avoir sur terre. Sur le canapé, vêtue d'un petit legging et d'un petit top qu'elle mettait pour être à l'aise chez elle, elle somnolait. Rêvant déjà d'un futur avec Ian. Jusqu'à ce qu'elle entende quelqu'un taper à sa porte. La forçant à se réveiller. Elle pensait alors qu'il s'agissait de la voisine d'à côté qui allait surement lui demander quelque chose. Elle décida alors de ne pas répondre, préférant rester dans son canapé. Mais ce fut avant qu'elle n'entende la voix de Ian. Elle se leva d'un coup. "Je - J'arrive, attends." Cria-t-elle, tout en courant sa salle de bain et se regarder dans un miroir. "Fais chier." Elle tenta de se coiffer en deux-deux, une petite touche de rouge à lèvre. Heureusement ses cils étaient déjà faits. Elle se dirigea alors dans sa chambre, pour se changer. Lançant tout sur son lit, elle cherchait ses plus beaux sous-vêtements, juste au cas où. "Putain, putain... Plus elle tentait d'aller vite, moins elle trouvait ce qu'elle cherchait. Après quelques minutes, en dessous d'un de ses longs tee shirt, elle avait mis son plus beau body noir. Laissant ses jambes découvertes. Le tee shirt cachant à peine ses fesses. "J'suis laaaaa Termina-t-elle par crier avant de lui ouvrir la porte. "Pardon je rangeais." Pas vrai du tout et il allait s'en rendre compte en voyant l'état de l'appartement. "Je peux faire quelque chose pour toi?" Rougissant en le regardant, elle ne pouvait oublier son dernier message. Et avait cet envie de lui sauter dans les bras, mais elle se retenait.
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derrière cette porte, tu entends toute cette agitation, et ça te fait rire parce que t'as l'impression qu'une tornade est en train de se réveiller chez elle à l'instant même où t'as annoncé ta présence. mais tu fais preuve de patience, adossé contre le mur du couloir extérieur de son appartement, ta fleur toujours en main contre ta jambe. cette fille est vraiment incroyable. t'es heureux de partager sa vie. sans le vouloir, elle parvient à te faire rire comme personne. sa voix qui résonne à nouveau pour dire qu'elle arrive, tu reprends ta position initiale, fleur passion cachée à nouveau dans ton dos, tu armes ton plus beau sourire charmeur. « j'crois qu'un ouragan est passé derrière toi le temps que tu ouvres la porte. ou bien c'est ta beauté qui a tout renversé sur ton passage. » tu ris légèrement, venant déposer tes lèvres sur les siennes en douceur. « je voulais faire les choses correctement. » tu dévoiles donc ce que tu as à lui offrir en la regardant dans les yeux. « je t'aime, damya morales. » que tu dis avec la plus grande sincérité qui te caractérise.
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août 2023
@Ian Fairchild
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Derrière la porte il l'attendait, mais elle ne pouvait pas lui ouvrir dans l'état où elle était. Pas après ce qu'il lui avait dit par texto. Elle avait trop peur qu'il ne veuille plus d'elle. Pourtant ça serait un bon test, qu'il la voit au naturel. Bien qu'il l'avait déjà vu au plus bas, et il était encore là. Alors elle se permettait de se refaire une petite beauté quand même. Elle ne comptait pas se ravaler la façade, juste cacher un peu la fatigue, mettre un peu de couleur sur son joli visage, pour égayer le tout. Un petit coup de fond de teint, du rouge à lèvre et le tour était joué. Ses cils étant déjà fait par du permanant. Ca lui sauvait bien la mise ça. Après quelques minutes à le faire patienter, elle lui ouvrit enfin la porte. A ses mots, elle regarda derrière elle et remarqua que son mensonge n'était pas du tout crédible. Tout en se mordant les lèvres pour se retenir de rire, elle le regarda de nouveau et lui répondit. "Qui dit que ce n'est pas ton charme à toi ? Quand j'ai ouvert la porte ?" Son regard dans le sien, elle le trouvait de plus en plus beau. Les jours passants, elle ne se lassait pas de lui et de sa présence. Elle rougit en entendant ses mots, se retenant presque de pleurer. Le stress lui fit dire des conneries evidemment. La fleur entre les mains. "Attends je dois aller chercher s'il y a d'autres Damya Morales..." Elle se mit à rire avant de se jeter dans ses bras, passant ses mains autour de son cou. Lèvres déposées sur les siennes, elle vint l'embrasser passionnément avant de lui dire, doucement. "Je t'aime aussi Ian Fairchild." Elle continua à l'embrasser avant de lui dire. "Tu veux rentrer ? Ou c'est trop le bazar pour toi ?" Puis lui vint une idée, afin de consummer cet amour. Elle vint alors lui murmurer à l'oreille. "Ou alors on peut tenter de mettre encore plus le bazar..." Ses dents vinrent lui mordre le lobe de son oreille, alors que sa main libre vint se faufiler sous son haut.
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