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Les originesanglaises, irlandaises, suisses, allemandes, italiennes et américaine
feat. Jack Falahee
né le sept août mille neuf cent quatre-vingt-seize au st mary's hospital de londres.
de nationalité britannique.
opportuniste anthropophage, s’ils te donnent ce que tu veux, alors tu leur donneras ce qu’ils aiment.
transféré de la saïd business school d’oxford, sixième année en finance et économie.
vicomte hastings déchu, étranglé par un mode de vie dont tu es incapable de te défaire.
Le caractère
attrayant × prétentieux × énigmatique × calculateur × aimable × secret × abject × intrépide × exubérant × voluptueux × cynique × arrogant × versatile × cruel × délirant × égocentrique × ambitieux × corrompu × énivrant × inflexible × folâtre × manipulateur × impitoyable × élégant × × individualiste × hâbleur × paradoxale × pervers × observateur × égoïste × persuasif × sombre
Les anecdotes
- ( 01 )L’Origine × Ne jamais se comporter comme les autres, cette masse informe d’insectes proliférant sur les avenues. Vulgaires pions sur l’échiquiers des royaux, pauvres fous persuadés de conquérir le damier… S’abaisser aux mêmes actions pour seulement faire mieux. Toujours mieux, puisque seules les apparences règnent dans ton univers. Scindé en deux, les jouets sur le plateau et vous les joueurs. Ils ont une famille, un labeur, une voiture, une location minable : métro, boulot, dodo. L’insomnie et les problèmes d’argent pour les mortels, un avenir se répétant de génération en génération. Derrière les pupilles, l’honteuse envie nourrit leurs espérances. Ils vous observent, jalousant l’opulence éclatante et dorée si caractéristique de votre existence. L’argent, les amis, les maisons, les contacts, les privilèges… La chiatique quiétude, l’impossible inquiétude. Comment ne pas s’ennuyer lorsqu’on a plus rien à désirer ? Tu avais réalisé leur moindre rêve d’évasion à tes dix ans, arpenter le globe depuis un jet privé. Maigres ambitions piétinées par tes caprices puériles.
- ( 02 )Les Responsabilités × « Le rang ne confère ni privilège, ni pouvoir. Il impose des responsabilités. » Quel affreux mensonge n’est-ce pas ? Comment oser omettre les avantages et les faveurs de vos situations bourgeoises au profit des responsabilités ? Le Devoir. Mythomanie paternelle pour ancrer dans ton encéphale l’importance de l’image. L’inviolable grandeur d’augustes familles aristocratiques mise en danger par l’unique denrée faillible de vos existences, chancelantes à la moindre rumeur, aux moindres bruits de couloir… Véritable épée de Damoclès, l’outrage médiatique parvenant en une fraction de secondes à écrouler un héritage centenaire. Même les révolutions n’ont pas réussi un tel prodigue. Cette époque est l’apogée de l’apparence, elle seule revêt une quelconque importance. Ni morale, ni responsabilité. Qui ne paraît, disparaît. Dès ton commencement mondain, tu as dû t’entraîner à ne jamais avoir de désirs trop violents, à ne jamais commettre un impair. Ce fameux faux pas conduisant à la dégradation de votre réputation familiale. Célébrons la victoire des cosmétiques, de l’hypocrisie et des belles façades. Il serait fort idiot d’avouer aux anonymes la vérité. Cette vérité qui remettrait en question leurs piètres espoirs... En effet, si les riches ne parviennent pas à être heureux, peut-être que le bonheur n’est pas réel.
- ( 03 )Le Scandale × Sir Henry Portman. Était-ce de l’amour ? De l’affection ? Les élans tendres de deux cœurs se réclamant d’une mystique alchimie ? Des êtres détruisant le carcan d’intolérance, luttant contre leurs constructions et éducations pour suivre des sentiments ? Non. Ne soyons pas aussi candides que les enfants et les fleurs bleues, les pétales s’arrachent et les racines se broient des molaires. Non, non… L’amour n’est que le prétexte rassurant, l’excuse offerte pour pardonner l’union dépravée. Un simple voile justifiant les velléités perverses, l’inéluctable Solitude se pare d’une telle étoffe. Aliénation raffinée n’est-ce pas ? Était-il possible de mieux fuir la condition humaine ? Sublimer la fornication par un chant romantique, consolider la jouissance par des déclarations. Désabusé, tu vomis sur cette facilité des sentiments, sur la quintessence esthétique des belles émotions. Dévorant son épiderme sans le moindre scrupule pour les apparences ou pour sa femme, ton besoin de débauche s’est consumé entre ses draps. Ceux de beaucoup d’autres également. Dans le secret d’une résidence secondaire ou d’une chambre d’hôtel, à l’abri des regards indiscrets les yeux grands ouverts pour guetter l’intrusion. Néanmoins, les secrets ne demeurent jamais bien longtemps malheureusement, certainement car Éros est né du Chaos. Une petite souris curieuse et des révélations murmurées… Une gosse s’écorchant les genoux refuse toujours d’être seule dans la tourmente, elle préfère pousser ses petits copains pour qu’ils se blessent également.
- ( 04 )La Déchéance × Cesse donc ces douces utopies, ces chimères galopantes. L’existence serait bien morne, bien simple si elle se poursuivait selon tes desseins vicieux sans le moindre heurt. L’idéal aristocratique est une promesse trop belle pour toi, un engagement que tu es incapable d’honorer. Et l’échec n’est pas pardonnable parmi les tiens, c’est une histoire pour la foule prolétaire. Apostasié. « Heureusement que Lady Portman ne souhaite pas faire d’esclandre, mettre en péril notre nom. » Désavoué. « Tu es la honte de cette famille… Qu’ai-je bien pu faire pour mériter un fils pareil. » Renié. « Sors d’ici et ne reviens jamais. » Une véritable caricature de l’hériter déviant qui a tout mais qui n’est rien, désargenté pour faute. Si vos conflits se déroulaient sans insultes ni coups, une discorde sourde et quotidienne… Jamais le scandale ne s’était présenté au seuil de Hodcott House. Le poing s’est abattu, vibrante connaissance dans les os de son courroux effroyable. Pendant quelques secondes, tu as même imaginé que ton nez éclate sous la violence de son geste. Rien, seulement la douleur lancinante dans le crâne et les poches vidées.
- ( 05 )L’Exode × Il est possible de survivre sans plaisir. La masse bactérienne s’exécute vaillamment à cette noble mission, accomplissant avec bravoure les rôles les plus ingrats de cette société, sauvegardant vos gourmandises. Regardez-les s’enthousiasmer avec des miettes… N’est-ce pas particulièrement adorable ? Ils méritent une médaille pour tant de résilience, mais ne l’affirmons pas trop fort : l’être humain est naturellement vorace. Une médaille aujourd’hui, une situation confortable demain. Comment rejoindre cette masse informe d’ignorants après avoir connu des délices subtils ? De s’être rassasié dans la jouissance immédiate ? Impossible. Tu es convaincu que sans plaisirs, la vie ne devrait pas être infligée. Heureusement, la maternité comporte des failles et les beaux mots s’écoulent avec aisance de ta gorge. Mère, ne me torture pas, je suis déjà à l’agonie… La honte étreint mon âme, je t’en supplie, apporte-moi une aide charitable. Une simple main tendue, le doigt désignant un ailleurs et évidemment un billet d’avion, Boston. Débrouille-toi maintenant.
- ( 06 )L’Escroquerie × Allégorie de ta propre déchéance, incarnation de l’enfant roi détrôné. Tu refuses. Incapable d’apprécier cette apparence ectoplasmique, usurpant allègrement tes rencontres d’un mouvement de la main. Bienheureuse étiquette apprise, les apparences sauvent toujours les joueurs connaissant les règles. Davantage lorsque le nom Hastings résonne contre ton palais. Si la propriété est à l’origine de l’inégalité humaine, jamais tu ne t’en plaindras. Tu as un talent inné pour acquérir ce que tu désires : séduire pour mieux obtenir. Une nuit de beuverie, lamentable spectacle des vodkas s’empilant sur le comptoir, la première victime de l’arnaque s’est présentée. Mimer les euphories grotesques de la première embrassade, les murmures essoufflées d’un romantisme inventé… Seconde nature d’enchanter les demoiselles aux billets verts pour subtiliser quelques privilèges, s’entourer d’amitiés généreuses. Une pyramide de Ponzi à échelle réduite.
- ( 07 )Le Cercle × Les tentatives de prohibition ont toujours été vouées à la défaite face aux affres de Luxure. Ses méandres sirupeux sont inhérents à vos caprices libertaires, et peu importe les efforts pour demeurer vertueux, pour correspondre à la politique cordiale des apparences… Dompter la bestialité est impossible. La créature rugit dans les cages thoraciques, prédateur affamé réclamant l’assouvissement de ses pulsions. Il suffit de pratiquer cet hédonisme mondain à l’ombre. Ta déchéance a été un bon apprentissage. Nous connaissons tous les sociétés secrètes, il était simplement nécessaire d’en créer une à ton image. Une liste de noms privilégiés. Des cartons d’invitation. Une adresse, une date, une heure qui ne sont jamais les mêmes… Un pseudonyme et un masque, et laissez-vous guider jusqu’à la lie. Nulle extravagance ne devrait être honteuse, seulement silencieuse.
- Code:
<div class="card-user-bottin-pfo"><pfo class="text-s-bebas text-upper">JACK FALAHEE</pfo><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Sylas Hastings"</span></div>
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