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Sharada sharada •• Lexie

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Sharada sharada
Une nouvelle journée en amoureuses avec, au programme, un départ relativement matinal pour la plage. Avant, j’avais plutôt tendance à m’occuper de mon bronzage lors des heures les plus chaudes de la journée ; maintenant, avec mon petit bout à charge, c’est niet. Mon 14h-16h est réservé à un temps de repos dans des conditions on ne peut plus rafraîchissantes. Alors, je nous réserve un moment plage dans la matinée, où le bruit des vagues s’emmêle avec les éclats de rire de ma fille, où les grains de sable s’accrochent à sa petite peau protégée, où les premières fondations d’un château de sable apparaissent. Mais nous les laissons bien vite de côté, Anaé se dressant sur ses petites jambes en un rien de temps et tirant bien vite sur ma main pour me presser de me lever et de l’accompagner jusqu’au bord de l’eau. Et, bien évidemment, ma jolie canaille choisit le moment où l’ombre du parasol ne nous cache plus des rayons du soleil pour attraper son chapeau et l’enlever. « Hop hop hop, Anaé, on remet le chapeau. Regarde, comme ma- oh ! Mon chapeau ! » Stoppées dans notre élan, il nous faut quelques secondes à toutes les deux pour nous retourner et voir qu’il attend bien sagement à côté des prémices de notre château de sable. Demi-tour. « Tiens, tu me le mets, s’il te plaît ? » Juste après l’avoir essayé et constaté que ce chapeau de paille est décidément bien trop grand pour sa tête, c’est avec plaisir qu’elle le dépose sur la mienne. Je la remercie avec un bisou sur le bout de son nez, lui remets son chapeau car mimétisme oblige, et l’emmène jusqu’au bord de l’eau. Comme tout à l’heure, l’une de ses mains reste cramponnée à la mienne tandis que l’autre tente de toucher l’eau. À chaque nouvelle vague, elle y arrive, et c’est un cri mélangeant joie et surprise qui s’échappe de ce petit être. De même, à chaque nouvelle vague, elle piétine jusqu’à ce que l’eau recule et ne la touche plus. Les joies enfantines. Chaque jour, je la vois s’émerveiller et s’amuser avec tout ce qui l’entoure – et, à chaque fois, je me dis que nous, les adultes, avons beaucoup à apprendre des tout-petits, de leur innocence, de leur fascination pour les choses les plus simples – et les plus belles – de la vie. Oh. Tiens. En parlant d’adulte… J’ajuste mes lunettes de soleil sur mon nez, plisse les yeux avant de te reconnaître. La jolie Lexie. « Regarde Anaé, c’est une amie de maman. Puis, je pousse un peu sur ma voix histoire d’attirer ton attention, Lexie ! Hey ! » Comme pour mieux te voir, Anaé réclame mes bras et, une fois à ma hauteur, laisse éclater sa sociabilité au grand jour. Elle agite l’une de ses mains en guise de bonjour, et pousse un claironnant hi ! avant de s’essayer à prononcer un maladroit coucou ! Ah, mon bébé bilingue qui apprend tout juste à parler.
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L’été, le vrai au soleil brûlant de cette étouffante chaleur, malgré le vent qui vient faire danser ses mèches sur son visage, réchauffe les âmes. L’air marin est familier et susurre à son oreille un souvenir récent des plus agréables. Il y a quelques jours encore, Lexie foulait le sable d’une autre plage, plus éloignée des yeux et des oreilles de Boston, étrangère aux préoccupations du Monde réel. Le temps était aussi clément qu’aujourd’hui et la compagnie des plus parfaites. Mia et elle étaient totalement coupées de l’Univers et de ses tourments. Il n’y avait qu’elles devant ce tableau si idyllique, ou plutôt, il n’y avait qu’Elle pour rendre ce tableau si idyllique.

Ça y est tu recommences.

Lex’ lâche un soupire. Ouais, le lent retour à la réalité a été étonnamment brutal. Parce qu’une fois seule dans son appartement le soir, ce fameux sourire incontrôlé scotché sur ses lèvres, elle a laissé, sans s’en rendre d’abord compte, les questions sur ses propres sentiments s’immiscer dans son esprit et parmi elles, la plus fondée de toutes : Quelle est la nature de cette relation ?
Bref elle a tenté de la chasser, l’euphorie de l’après-midi aidant, mais la violence des attaques de l’interrogation n’a cessé de revenir depuis, bien qu’elle se retrouve encore repoussée par ce souvenir allègre qui commence peu à peu à baisser sa garde…

C’est par cette même nostalgie, qu’elle a décidé aujourd’hui de rejoindre les autres ici à carson beach, pour une partie de volley et un rodéo avec les vagues, qui sont plutôt belles en cette journée ensoleillée, elle doit l'avouer. Le vent épouse la mer et la houle devient indomptée et indomptable.

Se débarrassant du sable collé contre sa cuisse, à la suite d’une chute, totalement contrôlée et volontaire (bien sûr on y croit) pour rattraper le ballon, en vain, à la fin d’une partie, Lexie s’éloigne de ses amis. Elle explique à Louisa qu’elle va chercher une glace, par nostalgie de nouveau sans doute, et se met en route, évitant habilement les enfants qui courent sur le sable, les seniors en train de cuir/bronzer sur leur serviette de plage et les couples s’embrassant à l’abris des regards, du moins c’est ce qu’ils croient, sous leur parasol.

Elle n’a pas le temps d’arriver à destination qu’elle entend une voix familière la héler. Quelque peu surprise, son regard erre à la recherche de l’origine de cette apostrophe, et ses lèvres s’étirent en un petit sourire chaleureux, lorsque ses pupilles se posent sur Céleste. Voilà longtemps qu’elles ne se sont pas vues et Lexie est plus que ravie de la croiser ici. Oh et elle n’est pas seule…
Elle s’approche d’un pas vif des deux filles et s'attarde attendrie sur la petite fille qui la salue.

« Hey ! Salut toi ! » répond t-elle au bambin qui ne semble pas du tout intimidée. « C'est quoi ton petit nom ? Moi j’m’appelle Lexie, mais c’est peut-être un peu dur à prononcer... tu peux m’appeler Lex’ c’est plus court, ou bien t’en battre les steaks et ne pas m’appeler du tout aussi. »

J’crois qu’on dit pas trop « s’en battre les steaks » à un enfant… Rhoo ça vaaa, elle n'a pas dit "s'en battre les couilles" non plus ! Puis il faut bien que quelqu’un lui apprenne quelques conneries non ? Et Lexie se sentirait tout à fait à l’aise dans ce rôle là !

Elle reporte ensuite son attention sur Céleste. «  Et bonjour à la maman ! », elle la prend dans ses bras dans une accolade enthousiaste, veillant à ne pas trop gêner la petite posée dans ses bras. « ça va ? » puis elle s’écarte un peu et désigne du pouce, le marchant de glace dont le stand est posé derrière, en extrémité de plage. « Je m’apprêtais à prendre un sorbet, je vous paye un truc ? » Elle lance un regard vers la fillette : « J’suis sûre que tu serais ravie d’avoir une glace toi ! Enfin… si ta maman est d’accord bien sûr.



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Sharada sharada
Malgré les parasols, les gens, les chaises de plage et tout ce qui aurait pu détourner mon attention, je t’aperçois dans ton joli maillot de bain. Heureusement que j’ai une voix qui porte, car pas sûre que tu m’aurais entendue avec le bruit des vagues et la parlotte de certains autour. Anaé oublié tout ce que nous étions en train de faire en te voyant arriver, bien ravie de rencontrer une nouvelle personne — car, c’est vrai, tu ne connais pas vraiment ma fille. C’est la nature de notre relation qui veut ça. Lorsque tu viens à la maison, ce n’est pas que pour jouer aux cartes ou boire un thé (quoique… quand sa saveur est aphrodisiaque…) et, dans ces moments-là, Anaé est généralement chez son papa. Ou alors elle est endormie depuis bien longtemps, dans une pièce où seuls ses gazouillis la bercent. Et pas d’autres… bruits… Ahem, enfin bref. Comme à chaque fois que quelqu’un lui parle et qu’elle est dans mes bras, Anaé offre un petit sourire, attrape le premier vêtement qu’elle peut trouver au niveau de mon épaule — là, c’est la bretelle de mon maillot de bain. Elle n’a pas encore le truc de la baisser et de l’enlever, elle aime encore trop le fait de tirer dessus. Avec plus de délicatesse qu’il y a quelques mois, bien sûr. « Comment tu t’appelles, toi ? » Anaé me regarde mais ne dit rien, préférant plutôt poser ses petites mains sur sa poitrine après quelques secondes d’hésitation. Je lui souris. « Oui oui, toi ! C’est Anaé. Et, voyant qu’elle ne veut pas encore se lancer dans une tentative de prononciation de son prénom, je réitère, A-na-é. » Et je ponctue chaque syllabe de mon index, la chatouillant doucement autour de ses aisselles, lui arrachant un grand sourire et quelques légers rires. Puis, c’est enfin à mon tour de recevoir ton attention — il faut dire que j’ai l’habitude maintenant. Ma petite princesse a tendance à me voler la vedette et, ce, depuis son arrivée soudaine au monde ! Tout comme sa maman, elle aime bien débarquer au moment où les autres s’y attendent le moins. « Bonjour, ma chère Lexie. » Je t’offre un grand sourire, ajuste mon bout de chou dans mes bras après notre accolade. « Tout va bien, oui. Comme quelqu’un en vacances ! Et toi alors ? Depuis la dernière fois ? » Cela fait un bon bout de temps que nous ne nous sommes pas vues, toi et moi. Et rien de mieux que ton alléchante proposition pour rattraper tout cela. « Va pour un sorbet, je te suis. Mais peut-être pas une glace pour celle-ci… elle piquera ce que je vais prendre, ne t’en fais pas. » Elle a tout le temps devant elle pour goûter à et tomber dans ces bêtises… Pas que je la prive d’un écart tous les 36 du mois, mais j’essaie d’éviter un maximum. Probablement un reste de mes propres conneries lors de cette grossesse cachée ; un reste de sa naissance prématurée. Alors que nous nous frayons un chemin jusqu’au marchand de glaces enfants le sable, Anaé toujours dans mes bras pour ne pas être ralenties, je jette un œil autour de nous, quelque peu curieuse, « Tu es venue seule ? » Ou vais-je faire la rencontre de quiconque te tient compagnie en cette journée ?
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Combien de temps s’est écoulé depuis qu’elles se sont vues ? Une éternité sans doute. Entre les examens, les déboires avec son banquier et son esprit complètement obnubilé par Mia, Lex’ n’a pas pris le temps d’aller voir Céleste. Ne serait-ce même uniquement pour  parler. Bon, le plus souvent elles finissent par une conversation, APRES avoir dansé sensuellement et froissé les draps si soyeux de la française. Lexie ne va pas s’en plaindre. Elle aime caresser ces courbes enivrantes autant qu’échanger avec son amante sur divers sujets. Aussi cela lui fait plaisir de la trouver ici, totalement par hasard d'ailleurs.

C’est la première fois qu’elle rencontre la petite Anaë. Il en faut peu pour attendrir la basketteuse qui lui accorde même toute son attention et répond un : « Enchantée petite Anaë. Tu ressembles pas mal à ta maman » avec un grand sourire. Maman qu’elle finit par saluer également. Cette dernière rayonne de bonheur. En même temps, avec un ptit bout si solaire, il ne peut en être autrement. Cette énergie si chaleureuse, dégagée par la petite famille apporte un peu de baume au cœur tourmenté de Lexie.

« Haha tu m’étonnes ! Rien de mieux que des vacances pour relâcher la pression hein ? » Tu parles ! Voilà plusieurs semaines qu’elle reçoit ces textos menaçants, que son banquier la harcelle de message, car les chiffres sur son compte sont en négatif, et que son oncle lui menace de lui couper les vivres… Seule cette escapade au bord de l’Atlantide avec Mia lui a permis de s’évader de cette réalité si oppressante. Mais à présent, son enseignante ne quitte plus ses pensées et elle passe son temps à guetter le moindre de ses messages, et sourit comme une imbécile quand son nom s’affiche sur son écran... « Et bien ça va ! Je fais ma petite vie tu sais rien de bien passionnant. » A part ton Idylle avec une femme mariée, qui est ta prof qui plus est, tu veux dire ?
Elle ignore superbement sa conscience avant de se diriger vers le stand de glaces en compagnie de ces deux demoiselles.

« ça marche ! » Elle lance un regard désolé vers la petite « Ton propre sorbet attendra que tu grandisses un peu ptit bout ! »
Puis elle enchaîne en répondant à la question de son amie.

« Non pas tout à fait, on est sortis entre potes de l’équipe de basket pour faire du volley et nager un peu, histoire de se détendre tout en gardant la forme. Faut bien entretenir le cardio... » renchérit-elle avec un clin d’oeil appuyé en direction de Céleste, qui sait très bien ce que Lex’ fait également pour entretenir son cardio, puisqu'elle participe également activement à ces... activités.

La saison prochaine risque d’être intense. L’équipe de basket abandonnant quelques joueurs qui terminaient leurs études cette année, il va falloir recruter des nouveaux et les intégrer à la cohésion d’équipe. Ce qui n’est pas toujours évident.

Arrivées devant le marchand qui les regarde, l’air blasé de celui qui est là depuis le début de l'été et en a marre de tous ces touristes et leurs mômes capricieux, Lex’ se tourne vers Céleste : « Tu veux quoi ? »
Après avoir écouté les doléances de la belle princesse, la joueuse passe commande. Les glaces ne se sont pas trop attendre. La jeune femme règle avec un billet de dix dollars (le dernier qu’il lui reste.) et tend son cornet à son amie.

« T’as fait quoi jusqu’ici pendant ces vacances ? » demande Lex’ en entamant avec délices sa glace à la vanille qui vient lui rappeler avec tout autant de saveurs agréables cette journée paradisiaque passée en si charmante compagnie. " A part t'occuper de ton petit bout de chou ?"




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Comme à son habitude, Anaé fait son petit effet et fait fondre les personnes qui la rencontrent pour la première fois — et c’était déjà le cas à la maternité dans le Wyoming, puis à mon retour à Boston. Au départ, lors que ça arrivait, je comprenais que mon entourage craquait parce qu’elle n’était qu’un nourrisson, qu’elle était toute petite et trop mignonne, etc. Au départ, en plus de cette compréhension, l’affection que je lisais dans le regard des autres me rassurait — car j’étais complètement perdue, déboussolée, traumatisée, après sa venue au monde. Maintenant, aujourd’hui et depuis que j’ai surmonté mon traumatisme, ma culpabilité et tout ce cocktail de sentiments négatifs envers ce qui aurait dû être l’un des plus beaux jours de ma vie, lorsque quelqu’un regarde ma famille de cette manière, mon cœur se gonfle de joie et de fierté. Quand j’y repense, quel chemin nous avons parcouru, en un an et demi… Toujours soulagée de constater à nouveau l’évolution de cette histoire qui est la mienne — la nôtre —, je te souris, à tes paroles que je prends comme un compliment. « Aussi canon que sa mère, n’est-ce pas ? » Je pouffe de rire, regarde ma petite poulette qui, d’après beaucoup, me ressemble (bon, quand on connaît Anders, il y a de lui quelque part aussi). Elle de bons gènes, cette petite. « Carrément, je pense que nous en avions tous besoin… » Ou alors est-ce parce que la période des examens a été plus remuante de mon côté, avec mon petit bout qui courait dans tous les sens et qui cherche à faire plus de bêtises que l’an dernier ? « Rien de bien passionnant ? Je fais la moue, presque déçue. À deux doigts de te faire les yeux doux pour voir si tu ne caches pas quelque chose. Ce n’est pas possible, il s’est forcément passé quelque chose dans ta vie depuis tout ce temps, quand même. » Ou alors, ce fameux quelque chose, tu ne souhaites pas en parler — et je peux le comprendre. Moi-même, avec ce que j’ai découvert récemment à propos de l’une de mes sœurs, je ne souhaite pas le divulguer. Nous avons tous ce petit secret, cette petite chose actuelle que nous ne souhaitons pas partager — et quand bien même j’adore me mêler de la vie des autres, sans pour autant me foutre dans leurs problèmes car, selon ce dont il s’agit, je ne peux pas me permettre en tant que maman, je peux également comprendre et respecter le fait qu’il y ait des choses dont on ne veut pas parler. Que l’on veut à tout prix garder pour soi.
Et nous voici devant le stand de glaces. Anaé s’agite un peu à ce moment-là, désireuse de pointer tout ce qu’elle voit une fois qu’elle a vu d’autres clients porter à leur bouche une glace préparée ici. « On va en prendre amour, ne t’inquiète pas. Et je reporte mon attention sur toi, zieutant de temps en temps les parfums. Eh bien, quelle sportive ! Je suis ravie de savoir que tu entretiens tout ça, mais tu sais qu’avec moi, j’ai besoin d’avoir des preuves beaucoup plus concrètes que de simples paroles. » Ah, que j’aime les sous-entendus. C’est toute ma vie, ça. Petit sourire en coin, et je fais une note de peut-être passer voir cette équipe de basket en plein volleyball. Rien que pour le plaisir des yeux. Puis la commande s’enchaîne, devant mon Anaé aux jambes remuantes et aux yeux pétillants lorsque mon cornet fraise-litchi (pas de violette…) se retrouve dans ma main libre. Elle se penche, bouche ouverte, prête à croquer dedans. « Hey, je n’ai même pas encore goûté ! Et c’est avec ta langue. Si tu croques dedans, tu vas avoir du mal avec le froid. » Mais malgré tout, après lui avoir montré, je laisse ma fille goûter à ce sorbet. Qu’elle semble beaucoup aimer. Ah, l’inconvénient d’être une maman ! « En plus de passer du temps avec des amis qui ne sont pas partis au Summer Camp, une de mes sœurs est venue avec ma nièce, ce qui nous a permis de passer du temps ensemble. Même si avec deux enfants, ce n’était pas si reposant que ça… Et maintenant qu’elle est repartie, je compte aller voir mes parents en France.  Oh, si ! Illumination soudaine. Il y a quoi, même pas deux semaines ? Si, c’est ça, c’était la semaine dernière — j’ai failli vriller en voyant un copain. Il faudra que je te raconte ! » Mon cher Davy. Un sexfriend qui a failli se prendre ma main sur la joue. Heureusement, ça n’est pas arrivé et je me suis tempérée depuis. « Pas de Summer Camp cette année, pour toi ? » Normalement, tout le monde saute sur l’occasion…
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