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Les originesDes origines françaises, mais aussi canadienne et aussi grecques.
feat. Céleste desjardins
Tu naquis dans ce pays, la France, Toulouse, qui coule dans tes veines et ton âme. La richesse de ton histoire se reflète dans tes yeux. Tu vis le jour avec émoi, le quatorze juillet deux mille un. Une naissance désirée par des parents qui t’aiment plus que tout au monde. Ton premier jour, tu l’as vu. C’était une belle journée ensoleillée. Toi, belle fleur qui vient de naître, tu ne pensais qu'au doux parfum enivrant et naturel, de ta mère. Dormir, dans le creux de ses bras, de surcroît ...
Française, fière de l’être. Tu ne peux te résoudre à oublier ce pays, malgré que maintenant tu vis le rêve américain, cela n’a jamais quitter ton cœur et tu te plaît à y retourner de temps en temps. Tu avoues que la France, c’est merveilleux de flâner dans les villes les plus huppés, juste pour les grands magasins.
T’aimerais dire que tu l’attends encore, mais hélas tu as vite compris qu’il ne reviendrait jamais. Voilà, bientôt 4 ans que tu souffres en silence, par amour tu as accepter bien des choses, avant tout pour lui, mais pour la seule chose qui comptait : votre bonheur. Tu as été cette fiancée qui attendait patiemment cet homme, Arès, qui vienne à toi et que votre amour soit plus fort que tout, mais rien ne s’est passer comme prévu. Maintenant, tu es juste célibataire, devenue reine des glaces. Tu a le cœur meurtri d’avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d’inconnus lorsque la solitude est trop intense. Se lassant assez vite, ne voulant plus s’attarder, les virant sans vraiment avoir de raison. Ton cœur est éteint, peut être à tout jamais. Devenant même. Insaisissable. Sans attache ou presque, qui rêve de cette liberté palpitante, qui n’a battu que pour un seul être. La comète a traversé le ciel de quelques âmes, a su glisser des poussières de galaxie dans les pupilles de garçons presque conquis mais jamais atteint. A chaque que tu sens ton cœur devenir sensible, tu lui dit à ce putain d’organe de la fermer.
Hétérosexuelle. Pour toujours. A jamais. La testostérone. Les muscles saillants. T’aimes avoir le choix, et surtout c’est toujours toi qui définis les règles. Tu te sait irrésistible et tu en joues énormément. Cette vision tentatrice et sublime des corps sveltes, musclés et dessinés aux pinceaux tels de véritables œuvres d'art des hommes.
Hétérosexuelle. Pour toujours. A jamais. La testostérone. Les muscles saillants. T’aimes avoir le choix, et surtout c’est toujours toi qui définis les règles. Tu te sait irrésistible et tu en joues énormément. Cette vision tentatrice et sublime des corps sveltes, musclés et dessinés aux pinceaux tels de véritables œuvres d'art des hommes.
tu as toujours été une excellente élève, avec toujours des notes fabuleuses, faisant en sorte de rendre fière ta famille, surtout le patriarche. Suivant des cours de danse depuis toujours, c’était pas un choix si difficile, même si en faire ton métier plus tard, n’était pas du tout prévu au programme. Et, tu savais qu’être danseuse n’était pas seulement un rêve mais bien ta destinée. La danse, c’est ton moyen de t’évader et trouver ta place dans ce monde, qui peut se montrer très cruel par moment, mais le seul hic c’est que dans cette famille les faire accepter était tout autre chose. Devenir une étoile filante, gravitant dans le ciel. Et, tu avais un immense talent, plus que cela un don. C’est pourquoi tu te diriges vers les études de danse, aspirant à devenir une danseuse renommée, parce que même si on ne peut pas forcément comprendre ce choix, personne ne pourra vraiment te faire changer d’avis.
À côté de ça, tu passes le plus clair sur les réseaux sociaux, ou tu as même créer une page Instagram, TikTok et un blog sur le monde de la danse et aussi sur la beauté. Devenant une influenceuse avec 7,5 millions d’abonnés, qui t’admirent et qui te respectent. Tu caches bien entendu ta vie privée, car il y a des sujets sur lesquelles tu ne souhaites pas parler.
À côté de ça, tu passes le plus clair sur les réseaux sociaux, ou tu as même créer une page Instagram, TikTok et un blog sur le monde de la danse et aussi sur la beauté. Devenant une influenceuse avec 7,5 millions d’abonnés, qui t’admirent et qui te respectent. Tu caches bien entendu ta vie privée, car il y a des sujets sur lesquelles tu ne souhaites pas parler.
Scandaleusement riche, trop même. Issu d’une famille plus qu’aisée, tu ne manquais jamais de rien. Sans toutefois dépenser trop, même si tu as vécu une période dans ta vie ou tu as sombrer vers un côté obscur, ou bien la moitié de ton fric est bien parti en fumée, ta famille à détester te voir te gâcher de la sorte, mais à cette époque on ne pouvait rien te dire. Ton père a même osé s’en mêler, à rendre coupable cet homme, que tu avait tant aimer dans le passé, mais c’était trop dur d’entendre son prénom dans la bouche de ton père. Tu lui en veut toujours, et ne lui parle plus depuis, car ayant déjà un tempérament volcanique, personne ne te dicte quoi que ce soit, encore moins lui.
Le caractère
(ABC) ~ altruiste - ardente - amère - addict aux shopping - audacieuse - ambitieuse - attentive - analytique - artistique - arrogante - belle - brillante - bosseuse - brutal - confiante - créative - capricieuse - charismatique - caractériel. (DEF) ~ déterminée - débrouillarde - désireuse de plaire - distinguée - direct - diabolique - démesuré - désinvolte - écartelée entre les extrêmes - esthète - envieuse - enivrante - empathique parfois - élégante - endeuillée - entêté - froide - fragile - frivole - fière - franche. (GHI) ~ gracieuse - généreuse - inconsciemment solaire - hautaine - infatigable - idéaliste - indécise - inventive - insouciante - imprudente - intrépide - intransigeante - intelligente. (JKL) ~ joviale - lucide - loyale - lunatique - la fin justifie les moyens - jalouse - joueuse. (MNO) ~ maternelle - manichéenne - malin - méthodique - manipulatrice - moqueuse - mystérieuse - menteuse - maniaque - méfiante - naturelle - noble - narcissique - original - obsessionnelle - obstinée - orgueilleuse - observatrice - organisé. (PQR) ~ passionnante - perspicace - pragmatique - protectrice - possessive - perfectionniste - persévérante - passionnée - patiente - provocatrice - paradoxal - possessive - rigoureuse - raffinée - rebelle - rancunière - rêveuse. (STUV) ~ séduisante - sincère - sur la brèche - sportive - sans tact - studieuse - sarcastique - susceptible - scandaleuse - sensible - talentueuse - tenace - travailleuse - tempétueuse - tricheuse - têtue - tempérée - tolérante.
Les années ont fait de toi, une jeune femme impossible à tenir en place.
Vibrante, solaire. T’as grandit dans la retenue toute ta vie, mais ton tempérament ne colle pas avec toutes ces convenances à suivre, rêvant de liberté depuis toujours. Tu fuis la médiocrité comme la peste méprise presque ceux qui se contentent d'être ordinaires. toi, t'as une seule ligne de conduite, depuis toujours :
être meilleure que.
T’as bien l’impression d’en faire jamais assez, pour qui ? Pourquoi ? Nul ne pourrait le dire.
perfectionnisme exacerbé qui t'a tant coûté. des orteils en sang, des claquages, des larmes à l'acidité dévorante. par passion, tu donnes t o u t, et jusqu’à ce qu’on te dise stop, tu ne t’arrêteras jamais.
Lorsque ton regard a vu celui de Ares, tu savais au fond que c’était lui et personne d’autre. Le cœur en première ligne. Tu as quand même continuer à enfiler tes chaussons et tu savais que ton destin était tout tracer. La vie en a décider autrement, il s’en est allé et à laisser un beau c a d e a u, que tu as porter pendant 9 mois. Ce secret tu l’as bien garder au choix, sachant que dans un premier temps, tu as voulu t’en débarrasser. C’est un sacrifice que tu n’as pas été capable de faire…
Quand on porte la vie, on se doit de le chérir toute sa vie.
C’est un comble pour ta petite personne, qui s’est toujours montrer égoïste et superficielle, avec les autres, dans ton art — toujours prête à tout pour être la meilleure.
Et puis, A A R O N a débarquer dans ta vie.
Un petit être pour remplir ton cœur vide, qui t’as enfin rendu d’une certaine manière douce, qui t’as fait grandir et à demander beaucoup de sagesse, une qualité que tu n’avais pas en toi. Il a chasser ton monde obscur et à pour la première fois apporter de l’espoir dans ton ciel. Ne voulant que rien ne change, tu as cependant renier cet amour, un amour qui te rappelait sans cesse celui que tu avais perdu. Peut-être que les choses n’arrivent jamais tout seul, qu’être la meilleure danseuse et être une bonne mère peut être combiner, si tu t’en donnes bien sûr les moyens.
Et, tu as deux facette, celle qui accomplit des miracles dans tes études, qui s’acharne au travail et l’amour éternel de la mère à son enfant, celui qui surpasse tous les autres. tu avais ce cœur abîmé, palpitant fragilisé, blessures invisibles qui font encore souffrir. Plaie pas pleinement refermée, myocarde qui refuse tout attachement en espérant se remettre de ces blessures profondes. Grande sensibilité cachée sous une caparace solide forgée avec les années, larmes retenues qui ne coulent qu'une fois la nuit tombée. Princesse qui est devenue sorcière, laissant ton cœur de glace, masque porté en permanence pour se protéger. Nombreux sont ceux qui veulent découvrir ce qui s'y cache, mais trop peu ont pu apercevoir la véritable toi. Les yeux qui trahissent la dureté des épreuves endurées, douceur dans le regard, séduction sur le bord des lèvres. Visage de poupée qui envoûte. Vilaine tentatrice qui en fait pécher plus d'un, tu aimes contrôler les choses.
les yeux revolver, le sourire désarmant.
A T H É N A Ï S
Les années ont fait de toi, une jeune femme impossible à tenir en place.
Vibrante, solaire. T’as grandit dans la retenue toute ta vie, mais ton tempérament ne colle pas avec toutes ces convenances à suivre, rêvant de liberté depuis toujours. Tu fuis la médiocrité comme la peste méprise presque ceux qui se contentent d'être ordinaires. toi, t'as une seule ligne de conduite, depuis toujours :
être meilleure que.
T’as bien l’impression d’en faire jamais assez, pour qui ? Pourquoi ? Nul ne pourrait le dire.
perfectionnisme exacerbé qui t'a tant coûté. des orteils en sang, des claquages, des larmes à l'acidité dévorante. par passion, tu donnes t o u t, et jusqu’à ce qu’on te dise stop, tu ne t’arrêteras jamais.
Lorsque ton regard a vu celui de Ares, tu savais au fond que c’était lui et personne d’autre. Le cœur en première ligne. Tu as quand même continuer à enfiler tes chaussons et tu savais que ton destin était tout tracer. La vie en a décider autrement, il s’en est allé et à laisser un beau c a d e a u, que tu as porter pendant 9 mois. Ce secret tu l’as bien garder au choix, sachant que dans un premier temps, tu as voulu t’en débarrasser. C’est un sacrifice que tu n’as pas été capable de faire…
Quand on porte la vie, on se doit de le chérir toute sa vie.
C’est un comble pour ta petite personne, qui s’est toujours montrer égoïste et superficielle, avec les autres, dans ton art — toujours prête à tout pour être la meilleure.
Et puis, A A R O N a débarquer dans ta vie.
Un petit être pour remplir ton cœur vide, qui t’as enfin rendu d’une certaine manière douce, qui t’as fait grandir et à demander beaucoup de sagesse, une qualité que tu n’avais pas en toi. Il a chasser ton monde obscur et à pour la première fois apporter de l’espoir dans ton ciel. Ne voulant que rien ne change, tu as cependant renier cet amour, un amour qui te rappelait sans cesse celui que tu avais perdu. Peut-être que les choses n’arrivent jamais tout seul, qu’être la meilleure danseuse et être une bonne mère peut être combiner, si tu t’en donnes bien sûr les moyens.
Et, tu as deux facette, celle qui accomplit des miracles dans tes études, qui s’acharne au travail et l’amour éternel de la mère à son enfant, celui qui surpasse tous les autres. tu avais ce cœur abîmé, palpitant fragilisé, blessures invisibles qui font encore souffrir. Plaie pas pleinement refermée, myocarde qui refuse tout attachement en espérant se remettre de ces blessures profondes. Grande sensibilité cachée sous une caparace solide forgée avec les années, larmes retenues qui ne coulent qu'une fois la nuit tombée. Princesse qui est devenue sorcière, laissant ton cœur de glace, masque porté en permanence pour se protéger. Nombreux sont ceux qui veulent découvrir ce qui s'y cache, mais trop peu ont pu apercevoir la véritable toi. Les yeux qui trahissent la dureté des épreuves endurées, douceur dans le regard, séduction sur le bord des lèvres. Visage de poupée qui envoûte. Vilaine tentatrice qui en fait pécher plus d'un, tu aimes contrôler les choses.
les yeux revolver, le sourire désarmant.
Les anecdotes
- ( 01 ) Beauregard, un nom qui représente tout et surtout ta fierté. Nom captivant, qui attire le regard des curieux. Athenaïs, prénom dérivé de « ambrotos », qui signifie « immortelle ». Fierté parentale, prénom mystique, symbolique. Héritage prestigieux. L'élégance incarnée. Naquit le 14.07.2001 à Toulouse, douce France. Sous un soleil de plomb qui s’annonçait, cette naissance ça équivaut à être cancer ascendant capricorne, maître même de votre destin, qui contrôle un territoire, rigoureuse dans les actes. Crocs acérés, griffes sorties. Tu es identique a cette créature divine et pourtant vorace. Une similarité que tu partages au sein de ta famille. Naissance d’une culture bien riche. La connaissance c’est le pouvoir. Un apprentissage bien adapté, savourant chaque histoire, chaque image d’un pays tant adoré et tant désiré. Une manière de s’évader, de l’ailleurs au lointain, le pays du soleil levant ou les écrits manuscrits mêlent symbole et paradis.
- ( 02 ) Tableau de famille. Au début ça a l’air beau, peut-être presque trop parfait, comme une simple image. La famille, ce havre de sécurité et en même temps le lieu où on doit toujours revendiquer sa place. Toi, fruit d’un amour pur et sincère. Avec toujours ce statut privilégié, parce qu’on compte tellement sur toi, et ce nom qui ne passe pas inaperçu, un prestige à souhait. Un avocat renommé qui adorait son métier, qui était prêt à tout pour écraser les autres. Il a fait de son affaire familiale un vrai empire. Tu es une des héritières, mais tu savais qu’au fond, que tu ne reprendras jamais le flambeau, que ce destin était au tour de ta sœur Capucine. Un rôle, que lorsque tu était enfant tu ne comprenait pas. Mais pour intégrer une famille, il faut à tout le monde une certaine part de reconnaissance. Et, ça c’est un truc que tu n’as pas vraisemblablement.
- ( 03 ) Lors d’une urgence à l’hôpital , on a déceler chez toi : un soucis au cœur. Un souffle au cœur. Lors d’un cours de danse, ou tu as baigner dès que tu as été en âge de marcher, un accident s’est produit et tout a changer. Cette maladie a toujours été là depuis ta naissance, la bonne nouvelle c’est que sa reste fonctionnel. Cela dit, il faudra respecter les visites chez le médecin pour surveiller. Cela fait peur, mais avec beaucoup de précaution, tu arriveras à danser et à réaliser tes rêves les plus fous. Parce que danser est l’essence de ta vie, briller comme une étoile chaque minute que dieu fait. Tes professeurs ont très vite remarquer que tu avais ce talent, un talent qui a vite pris de l’ampleur par ta ténacité et ta grace. Il n’y avait que cette discipline qui te plaisait. Jeune fille de bonne famille, qui a été très vite emmenée en internat, surtout parce que niveau caractère tu ne rentrais pas dans le moule de ta famille. Beaucoup trop volcanique, avec ta langue toujours bien pendu et qui aimait vraiment bien répondre à tout bout de champ. Et, pendant ce temps, tu as arrêter la danse, car pour toi c’était beaucoup trop dur. Et, au final lorsque tu sortis du pensionnat, t’es petits cheveux, aussi brun qu’un tronc d’arbre, retombant tout le long de ton dos, en cascade. Ton père, était là, heureuse de pouvoir le retrouver, enfin. Visiblement trop occupé pour s’intéresser à ta personne. Il voulait juste s’assurer que tu avais compris et s’en est aller. Tu regardes ton père, les yeux embués de larmes, et laisse tomber par terre tout tes affaires. Toi, l’enfant, qui n’avait rien demandé à personne … Alors, que tu étais toujours rester sur ta petite couchette, bien douillette, ton frère arriva doucement et s’allongea à côté de toi, te caressant les cheveux avec tendresse, une douceur infinie. Quelques heures plus tard, tu t'endors, dans ses bras, espérant que demain est un autre jour.
- ( 04 ) A l’âge de dix sept ans, tu fais la rencontre de Ares, un nouveau monde s’offre à toi. Un garçon différent de ta famille. Un faux riche. Toi, tu es née avec une cuillère dans la bouche, alors,que lui il est née pauvre et t’as menti depuis le début. Cherchant à tout prix la reconnaissance et prouver que tu existait dans ce monde, tu voulais à tout prix être aimer. Ton corps commençait à changer, tes émotions aussi, au départ tu ne voulais pas,céder à la tentation parce qu’au fond c’était mal. Détournant la tête lorsqu’il essayait de s’approcher, mais ça t’amusait cette situation avec tes yeux brûlants, vos regards de braise, en caressant vos lèvres du bout des doigts. t’étais tout sauf innocente, tu savais très bien ce que tu faisais, ce que tu provoquais chez lui. Un an plus tard, une année en plus à ses côtés, il t’as demander en épousailles, mais avant de passer à cette étape il fallait se fiancer devant tout vos proches. Chose faite. Sauf qu’Ares a oublier de se pointer le jour j, te laissant toute seule devant le regard de vos familles respectives. Et la, il a réveiller le démon,qui dormait en toi, cette flamme qui s’éteint éteinte est venue hanter tes jours et tes nuits. Malgré toutes les conneries, que tu as pu faire, ta famille passe l’éponge, et oublie même que ce pseudo Ares a existé. C’est le cœur éteint plein de souffrance que tu avais peine a vivre. Mais la relation que tu as avec le patriarche est à vomir, s’est détériorer avec le temps, peut être à cause de ce foutu secret qui a diviser ta famille en deux. Une dispute de plus, vous remettant dans la gueule toutes vos erreurs. Toi qui fout le bordel, qui renverse la table, qui casse les verres en gueulant et lui, qui se décide à te maîtriser, à t'encastrer dans le mur. Et il y a la rage, cette rage qui te pousse à t’éloigner de lui à tout jamais. Tu trouves encore la force de rire, et haïr, haïr ces hommes qui n’ont fait que t’abandonner. Toi, tu n’agis pas comme une mauviette, et chaque matin tu compris qu’il ne sera plus là, l’être aimer et tout ses rêves sont oublier. Athé, tu te dois de ne pas fréquenter de la vermine. T'aurais aimé dire que t'as été forcée, menacée, mais tu l'as fait exprès. Parce que tu supportais pas de l'aimer autant, de te dire qu'un jour, il briserait ta famille, et malgré ton envie de vengeance sur la vie, y a que toi qui doit et qui peut contrôler cette situation.
- ( 05 ) un vide s'est rompu en toi, aspirant tous les jours à son retour. C'est étrange, mais pendant tout ce temps, tu as cru à ses paroles qui n'étaient que mensonge. C'est toi et lui contre le reste du monde. Il a même réussi à te mettre dans la tête que Capucine ne méritait pas son statut d'héritière et que ce titre te revenait à toi seule. Cette sœur avec qui l'entente était parfois mouvementée, car deux feux sacré ensemble, ça passe ou ça casse. Il représentait bien des choses, tantôt mystérieux, tantôt solaire et brillant. Il attirait les regards et les compliments, si bien que tu as souvent remarqué, avec bonheur, qu'on t'oubliait facilement. Et pour celle que tu étais, ça te convenait. C'est comme si en dehors de lui, ta vie était si insignifiante, comme si tu n'avais jamais existé. Dieu que parfois ça faisait du bien, de se détacher de ce rôle, fille de bonne famille, danseuse était ton seul privilège et tu as continué avec ou sans lui. Avec le cœur brisé, avec cette maladie qui te poussait toujours à te dépasser et à ne jamais laisser tomber. T'enfermer dans la danse. En boucle. On pourrait te plaindre, trouver que cette vie était triste, mais tu te souviens, que cette vie, elle te convenait. Et puis il est parti, tu es passée d'une vie où tu n'étais pas sans lui, à un quotidien vide de lui. La vérité ? Tu l'apprends bien des semaines après, ce mec en avait rien à foutre de toi, c'était seulement ton nom qu'il voulait avoir et son pouvoir qui allait avec ça. Voler tout ce que tu possédais et en faire ce qu'il voulait, en tout cas ça c'est la version officielle. Pourquoi est-il parti alors ? Seule dans l'obscurité, seule face aux démons. Tu essayes de combattre, te battre, te débattre, mais rien n'y fait. Tu dérapes, déraille, t'effondre. La belle s'efface, la belle s'effrite. Cassé. Brisée. L'ange aux ailes brisées, voilà ce que tu es devenue. Voilà, ce que tu es désormais. Un ange déchu, déçu aussi. Une folle aux ailes brisées. La folle au visage d'ange, au regard de démon. La folle aux allures démoniaques, tu n'es plus là, nulle part, perdue, partout en danger. Et, boum sans que tu saches, pourquoi, tu as reçu une lettre qui te disait {un jour, je reviendrai et je t'expliquerais.} ce mot tu l'as déchiré et tu en as même vomi tes tripes, avant d'uriner sur un bâtonnet qui allait indiquer si une part de lui vivait en toi. Bingo, le test était positif. Le choc est total, vas-tu garder ce bébé ? Tu étais partie pour ne pas le garder, ce test était parti aux oubliettes. Alors, tu te perds dans un excès total, même à risquer ta santé ça t'était égale et si tu pouvais faire une fausse couche tant pis. Tu bois plus que de raison, mélangeant l'alcool aux pilules prescrites. Cela te permet de calmer ton anxiété, de te permettre de faire des nuits entières. Tu te fais charmeuse, t'offrant au premier venu et encore, sans te soucier si c'était mal. Prête à tout risquer, tu rêvais de refaire le monde, tu avais le sourire contagieux quand tu daignais sortir de ton monde. Et après ? C'était fini. Et, y a eu cet évanouissement auprès de ta sœur Capucine, ou dans un état d'ivresse, tu lui avoues que tu es tombé enceinte. Tu souris, non pas parce que tu te sens idiote, mais bien parce que tu te sens presque heureuse de lui avoir dit. D'humeur changeante, tu passes parfois du rire, aux crises de larmes parce qu'à l'intérieur, il y a tout qui est déglingué. Et, pour une fois, elle t'as aider à ouvrir les yeux, qu'il était temps de prendre tes responsabilités. Allant à la rencontre du danger dans le but de ressentir quelque chose, de voir que la vie est belle, que même si c'est dur, il faut parfois lâcher prise. Toi, tu as appris à te moquer du monde qui t'entoure et avoir un polichinelle dans le tiroir n'y changera rien du tout. Derrière un sarcasme que tu apprends encore à manier, tu lances des vérités que tu n'aurais jamais énoncées dans le passé, te fichant de blesser au passage. Tu es maintenant une nouvelle version de toi-même, plus impétueuse que jamais, plus rien à faire de l'opinion qu'on peut avoir de toi. Fille pitoyable Check. Plus fréquentable Check. Tout ça test égal. Alors, il a fallu que tu disparaisses de la circulation, pour répondre à une seule question ? Qui est tu ? Tu n'en sais rien.
- ( 06 ) Au revoir, famille. Tu ne pouvais pas rester ici. En affirmant à ta sœur, que de toute façon tu avais perdu ce bébé, pourquoi ? Tu avais avalé tellement de cachet, sombrer tellement de fois dans l'alcool. C'était impossible pour toi d'envisager le contraire. Tu t'en vas loin de ta famille, dans un premier temps nageant vers le côté obscur, jusqu'à que tu découvres que finalement ce fœtus était bien accroché et vivait toujours. S'en est suivi d'une échographie qui t'as fait écouter son cœur et boum l'amour revenait dans ton cœur. T'as essayé de faire semblant, mais avoir peut-être peur de le perdre, ou bien même avoir la surprise de voir qu'il était toujours là, t'as donnée un vrai espoir. Il te fallait suivre une cure, bien sûr loin de ta famille, à qui tu adressais des lettres, en affirmant que tout allait bien. Et, surtout à ta sœur, tu lui mens, en disant que tu as perdu ce bébé. Première chose que tu n'as rien qu'à toi et cela personne ne pourra te l'enlever. Il a fallu des mois et des mois de thérapie pour t'en sortir et pour admettre que les gens que tu aimes t'abandonne, ce n'était pas contre toi. C'était juste eux le problème. Ce bébé est peut-être ta chance de recommencer à vivre. C'est la colère qui émane de toi, une meuf à présent sans âme. Avec les autres, mais pas avec ton bébé.
- ( 07 ) tellement de questions fusent dans ton esprit, mais lorsqu'on t'as déposer ton enfant dans tes bras, tout était merveilleux. Et, tu fais tout ton possible pour reprendre ta vie en main, postule pour entrer à Harvard, ce rêve avait été si loin de toi, mais être mère t'as fait comprendre qu'il fallait suivre ces rêves et ne jamais rien lâcher. Tu es effrayé d'aimer et de tout l'amour que peut t'apporter ce petit être, qui compte tant à tes yeux. Aaron, un petit garçon. Voilà, ce que Ares, t'as laisser en partant et dans ses yeux, tu vois la bonté et à quel point tu es importante dans sa vie. Il n'y a que lui qui pouvait animer ton cœur, femme libre qui vit une vie bien rangé à Boston, ton retour n'était pas prévu au programme, ni encore cacher ton bébé, ça ferait scandale aux yeux de tous. Le passé ne compte plus, une page que tu as recouvert de nuages assez épais pour ne pas être tentée une nouvelle fois de sombrer. C'était une autre vie, une autre personne. Une fille que tu connais a peine, à présent. Les rires ont continué, mais ce n'est plus la même chose, une cassure est restée dans ton cœur. Il a refermé certaines de tes blessures, mais pas toutes.
- ( 08 ) c'est une renaissance, t'amenant vers une vie plus douce et harmonieuse. Tu laissais échapper un léger soupir, cependant que tu te rendais dans une salle de classe, spécialement en cours de danse. Suivre ton destin et cela faisait tellement du bien de pouvoir recommencer à vivre. Tout était calme, trop calme à ton goût. Des semaines entières que tu t'étais inscrite. L'université était juste fabuleuse, où tu pouvais apprendre encore et encore. On dit toujours qu'après les ténèbres vient la lumière, c'est exactement ça, ce que tu ressentais. Un amour démesuré pour la danse, virevolter au firmament, une des raisons qui t'as poussé à revenir. Nouvelle vie, nouvelles habitudes. T'as réussi à t'implanter dans une nouvelle ville, dans un bel appartement et apprendre à vivre avec ton fils, ce bébé qui compte tellement sur toi. y a seulement un seul bémol c'est que tu dois mettre un peu de côté ta famille, négligeant parfois de les appeler, devoir mentir est même presque trop facile et tu sais qu'un jour, tu devras tout leur dire. Face au monde, tu es la fille resplendissante qui rayonne dans ce domaine, solaire et dynamique. Essayant de réconcilier ta part d'humanité avec les autres, de les aider s'il le faut en espérant que tes démons ne reviennent pas te hanté. lorsque tu rentes dans une salle, le regard est dirigé vers toi, captivante, le soleil. Et, le reste de la journée tu accomplis des miracles avec Aaron, où tu lui parles constamment d'une vie qui est belle, que tous ses rêves peuvent s'accomplir.
- ( 09 ) ton cœur s'est vraiment entichée de ton fils, avec des gestes doux, lorsqu'il est sur ton ventre et qu'il essaye de prendre dans ses mains ton visage, quelque chose en toi se glisse. Ce petit être charnel, sait à quel point tu es son monde. Et, repris de remord, tu te souviens que tu as été horrible avec ce bébé, surtout quand tu étais enceinte. Des émotions ont pourtant bien essayé de parcourir ton être, mais les démons étaient bien trop intenses. Prête à bouleverser ton quotidien pour ses beaux yeux. Et, au fur et à mesure, que les choses se passaient calmement, quelqu'un, une personne en qui tu avais confiance, a vendu la mèche sur ta vie de maman. Saleté de rumeur qui s'est répandue partout. Le doigt rivait fréquemment dans ta direction. Rumeur que tu n'as pas su démentir, non pas parce que tu en avais pas envie, mais parce que ton rôle de mère, n'était pas une honte et tu en étais fière. Et, c'est le drame familial. Un enfant, que tu as eu avec le mec qui t'as humilier à tes propres fiançailles, que tu as en plus caché à ta propre famille; c'est une honte et une incompréhension pour la plupart des gens. T'es pas triste, ni coupable. Tu t'en moques des autres, mais que personne ne parle mal de ton fils. T'es plus un astre, c'est bien plus fort que ça. Changeante comme la lune, t'as essayé de reprendre comme avant, obligeant à ces commentaires débiles à se taire, fermer les clapets des autres c'était ton jeu préférée.
- ( 10 ) tu gagnes à être connue, surtout sur internet. Les réseaux sociaux. C'est une autre forme d'art, te faisant gagner de milliers d'abonnés surtout qu'autre la danse, le monde de la photographie. Toi en première page, illustrant les plus belles images de toi, y a des photos varier comme la famille, les amies qui ont pu partager ta vie, Ares, des photos que tu avais prises à l'époque, toi, enceinte à chaque mois capturer cet instant de toute une vie. Et, maintenant, toi faisant là mannequin et danseuse influenceuse sur les réseaux que tu utilises le plus souvent. Tu t'amuses tous les samedis à montrer les vêtements, que tu as pu acheter, le shopping que tu as pu faire, tout en cachant ton bébé. Tout ce que tu fais, ou accomplit dans ta vie, désirant dans un premier instant t'éloigner du parcours de ta sœur. Pourquoi ? Tu préfères qu'on te qualifie de douer et qu'on n'entende pas son prénom par après, certes elle a fait de la danse et elle était talentueuse, mais c'est ton ADN d'être danseuse et cela elle le sait, même si pas sûr qu'elle te le dira. Prisonnière de tes propres croyances et voulant à tout prix te détacher de cette famille, pourtant tu avais réussi et tu as fait les choses tellement différemment, pour le bien de ton enfant. Un mois s'est écoulé avant que le chaos refasse surface dans ta vie, celui qui avait capturée ton cœur est de retour. Un message sur une de tes photos Instagram, t'as interpeller, avec un pseudonyme qui n'est pas resté longtemps étranger. Un simple commentaire qui a dit : je t'avais dit que je reviendrai, pour le meilleur ou pour le pire. Et, dans cet élan de peur, tu as refermé de suite ta page, ne voulant pas retomber dans ce piège de l'amour. Un câlin a Aaron, car lui révéler que son père est peut-être revenue était ta peur numéro 1. Tu es resté à ses côtés, lui chantant une berceuse, lui rappelant à quel point tu l'aimais et que rien ni personne ne pourrait vous séparer. Relation la plus saine qui existe entre sa mère et son enfant. Mais tu le sais au fond de toi, tu ne pourras pas le protéger toute ta vie, on ne fait pas un gosse pour soi, mais bien pour lui donner toutes les chances au monde, mais t'as tendance a tout gâché, à chaque fois. Tu aimerais un jour, pouvoir donner ton cœur à une autre personne, mais y a plus de place dans ta vie pour un autre homme et qui peut bien sur prétendre avoir ton cœur ? Personne. Tout est sous contrôle, mais jusqu'à quand ? Tu le sentais au fond de toi, il était revenu, t'obligeant à te cacher des réseaux pendant un petit moment, tu te poses une seule question, jusqu'à quand va-tu supporter de vivre comme ça sur le qui-vive, est-ce que tes nerfs vont exploser un jour ?
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<div class="card-user-bottin-students"><students class="text-s-bebas text-upper">CELESTE DESJARDINS<students><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Athénaïs Beauregard"</span></div>
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