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Inquiète je ne pouvais pas rester sans rien faire à l'autre bout du monde, mais pourtant je ne voulais pas qu'il lui arrive de mal. Si A était ... devait être de mon passé, il n'y avait que moi pour penser que c'était possible, mon coeur lui était sur une autre vérité, ... La vérité. Je ne pouvais pas la savoir en danger. Je tente un appel, en priant qu'elle décroche. Je tourne en rond attendant une réponse de sa part...

"Décroche.. aller... A.. putain décroche..."



@Abril Ojeda <3
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Elle sait pas trop où elle est Abril, s'est laissée porter par la soirée, par l'alcool, par des bras qui n'étaient pas les siens. Accrochée à une cigarette, elle qui fume trop rarement, a pensé à Zola, égaré quelques messages flous dans son sillage comme des petits cailloux sur ce chemin qui l'a menée jusqu'à ce lit. Celui d'un inconnu dont elle n'a pas retenu le prénom et qui embrasse son cou alors qu'elle fixe le plafond. Et puis soudain la vibration, elle sursaute, repousse le corps sur elle et sort de la poche de son jeans un téléphone qu'elle n'hésite pas à décrocher.

- Mi Zoooool, qué tal? Pourquoi t'es pas là ?
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Et enfin elle décroche son putain de téléphone. Je suis sur les nerfs, elle est ivre, elle est seule, sans moi , elle est dans une rue, dans un lit, j'en sais rien mais elle n'est pas en sécurité dans cet état. Et visiblement sa nana n'est pas avec elle. Je vais prendre le premier avion et la rejoindre c'est pas possible autrement...

"A. Putain j'ai cru mourir de peur. T'es où toi?"


Un soupir suit ma phrase. Je me passe la main sur le visage. Fatiguée..

"Je suis en Espagne A. Je peux pas rentrer en un claquement de doigt."
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Déstabilisée par l'alcool qui coule dans ses veines, Abril se rqccroche au téléphone dans sa main comme si c'était les doigts de Zola. Oh, qu'est ce qu'elle aimerait qu'elle soit là, avec elle, tant pis pour la grossesse, tant pis pour Bradley, elle veut juste la serrer dans ses bras...

- Ze sais pas... l'alcool la fait zozotter. Dans un lit. J'aimerais que tu sois... arrête.

D'une main lassive, un peu éteinte par l'ivresse, elle repousse les doigts qui tentent de glisser sous son haut pour caresser sa peau. Elle n'a pas envie de ça, n'en a plus envie. La seule qu'elle désire dans l'instant présent, c'est son ex.
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Arrête... Elle n'était pas seule ! Putain je savais pas si ca me rassurait ou a contraire si javai envie de la rejoindre de la retirer à cette personne qui n'était pas moi ! Sa voix si perdue.... Je panique j'ai besoin d'elle de son corps contre le mien pour sentir sa chaleur. Son odeur...

"A. Il se passe quoi ? Qui est avec toi? Dis moi !"

Je devais savoir, la mettre en sécurité. Appeller même sa nana s'il le fallait. Mai elle devait aller bien ... Mon amour.. la seule. Celle qui était le début de moi même. De mon être.... Elle me manquait.. tout Boston me manquait.

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TW : tentative d'agression sexuelle


Elle aurait pas dû boire autant, elle aurait pas dû griller clope sur clope avec cet inconnu au point de se laisser entraîner chez lui. Elle aurait dû appeler Aisling ou Angèle, mais la seule qu'elle désirait voir c'était Zola. Zola à l'autre bout du monde, Zola avec qui elle avait rompu...

- Z'ai envie de dormir... ze sais plus son nom...

Le nom de la main qui s'accroche comme une araignée à son ventre, et la voix grave et ivre elle aussi qui s'y associe.

- Allez, juste une fois... tu as passé la soirée à m'allumer. Raccroche et laisse moi te déshabiller...
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Elle a bu, je le sais, ce petit z qui se balade sur sa langue quand la boisson est de trop. Je fais les cent pas dans la maison de mon père, je devrais être à Boston, près d’elle. Putain pourquoi je suis pas là bas..

« Amore écoute moi, tu dois prendre un taxi, je t’en réserve un tout de suite, mais tu dois me dire où tu es… »

Mais c’est de trop, j’entends la voix d’un type. Grasse et embrumé, il à l’air d’avoir picoler lui aussi… Quoi? PARDON? Il déconne là? Je soupire et cherche quoi faire paniqué, je peux pas la laisser comme ça.

« Abril va-t-en de là tout de suite. Ne reste pas chez ce type ! »

J’ai envie d’arracher la tête de ce mec pour tenter de mettre ma nana dans son lit.. Ma nana… Non plus ma nana, mais putain c’était Abril.

« Je .. trouve le numéro de ta copine je l’appelle. Donne moi un nom que je prévienne quelqu'un sur Boston ! "


@Abril Ojeda <3
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TW : tentative d'agression sexuelle, violence physique, insulte

Il se fait de plus en plus insistant, des mains qui se baladent sans qu'elle puisse les rattraper, et l'alcool toujours qui la rend si faible et si mélancolique. Elle aimerait que tout s'inverse, qu'à la place de ce type ce soit Zola qui soit là.

- Un taxi pour aller en Espagne ?

Ça lui paraît loin, mais peut être qu'un tunnel a poussé sous l'océan comme celui sous la Manche.
À l'autre bout du fil son ex s'agite alors que l'inconnu qui l'a ramenée tire sur son short, trop occupé à penser à sa braguette pour se préoccuper de ses désirs - ou non désirs. Décrochant le téléphone de son oreille, elle envoie sa localisation et un numéro de téléphone par message avant de reprendre la ligne.

- Mon oncle... je veux pas qu'Ais me voit comme ça... appelle mon oncle... @George Cavendish.

Au-dessus d'elle ça jure - l'inconnu n'est pas si inattentif que ça finalement.

- Cavendish est ton oncle ? C'est bon, t'as cassé le mood, barre toi de chez moi, salope !

Et avant qu'elle n'ait pu dire quoi que ce soit, il la repousse violemment du lit. Paume qui tente de retenir la chute, qui craque douloureusement sur le parquet.
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Je fais les cent pas, putain ce mec était en train de profiter d’elle, il allait lui faire du mal et moi ici, loin d’elle à des milliers de kilomètres.. J’étais bloqué et j’avais envie de hurler ma douleur de la savoir dans les griffes de ce pervers !
« Pour rentrer chez toi Abril et après je t’envoie un billet tu me rejoins ok? On se retrouve très vite Amore mais tu dois partir d’ici. »
Un bip rapide.. Putain oui ! Sa localisation et le numéro de téléphone.. Son oncle. Ok je vais faire ça. Mais je pouvais pas la quitter. « Je vais lui envoyer un sms A. Je ne te laisse pas seule avec ce gros porc ! »
Le mec râle, il lui demande de partir. J’ai un poids qui s’échappe de mon corps, il ne lui ferait pas de mal. Même si les mots qu’il utilise me donne envie de le tuer.. « Abril… Amore ça va? » Je demande dans un état de panique tellement élevé que mes mains tremblent en écrivant le message à son oncle.
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Une douleur aiguë s'enroule autour de son poignet alors que l'homme qui vit là, toujours vissé sur son lit, lui hurle de se barrer, l'insultant copieusement au passage. Elle n'a pas envie de lui rappeler que c'est lui qui a insisté pour faire le chemin avec elle, qui l'a tirée du taxi pour qu'elle monte chez lui - quand elle pensait simplement partager la course pour faire des économies. Et combien même elle aurait changé d'avis une fois allongée, le mec a besoin d'un sérieux rappel sur la notion de consentement. Mais pas ici, ni maintenant.
Difficilement, à l'aide de sa main encore valide, Abril se redresse et reprend son téléphone, pas du bateau ivre sur la moquette.

- Allo ? Zola tu es là ? chuchote-t-elle, comme si elle avait peur que l'autre l'entende ; évidemment qu'il l'entend, il est à peine à un mètre.

Au fur et à mesure qu'elle s'éloigne, son poignet la tire de plus en plus, mais elle choisit d'ignorer la douleur pour se concentrer sur l'appel. Son corps, plus malin, abaisse la poignée grâce à son coude, la libérant de la chambre pour arriver dans un salon austère. Elle ne prend pas la peine de s'y installer et le traverse rapidement pour arriver jusqu'à la porte d'entrée. Téléphone bloqué contre l'épaule, elle utilise sa main qui ne souffre pas pour déverrouiller l'entrée.
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