(( Aposmo )) first thing for everything

Cette prise de tête, tu as mis les nerfs à vif. Elle était légère, mais le simple fait qu’il traite ta meilleure amie et ton ex de catins, t’as fait l’effet d’une douche froide, désormais, tu te devais de te calmer, de faire ce que tu excelles. Après tout, il t’as fait des allusions à ce qu’il s’attendait de son séjour dans ta ville natale, tout ça n’est pas entré dans l’oreille d’un sourd. Dès qu’il a franchi la porte de la salle de bain, tu n’as pris peu de temps avant de déposer l’une de tes mains sur son torse afin de le faire entrer de nouveau à l’intérieur, le plaquant contre le mur tout près de vous. Vos iris qui se rencontrent, ton regard qui se balade plusieurs fois entre ses yeux et ses lèvres, tu plonges rapidement sur cette bouche qui te donne envie, avec ferveur et fermeté. « J’vais te la faire taire cette belle gueule. » paroles dites entre deux baisers avant que ta main ne se faufile sous la bordure de son pantalon, attrapant l’objet de tes désirs présents, exerçant une certaine pression. Tu guettes sa réaction, voir ce qu’il fera avant de t’aventurer plus loin dans tes envies du moment. Un seul signe positif de sa part et tu deviendras ardent, désireux de découvrir cette partie d'Apollon que tu ne connais pas...

tw : langage, sexualité

T’as pas fait tout ce chemin pour rien, en vrai, tu ne sais pas trop ce que tu fous ici. Vous avez échangé quelques mots, des vérités, mais pour toi ça reste du vent. Tu connais Kosmos et son palmarès de femmes. Mec qui vit pour son harem et qui pense surtout avec sa bite. C’est l’truc qui te rebute le plus chez quelqu’un. T’es difficile, tu choisis soigneusement qui pose son cul dans ton lit. Tu sais qu’il discute avec ses dames, t’es pas con et c’est pour ça que t’es allé t’enfermer dans les chiottes. Résolu à quitter cet endroit pour t’évader ailleurs en ville, tu ouvres la porte mais la confrontation est inévitable. Kosmos te pousse à l’intérieur, il te fou contre le mur. Ta mâchoire se serre au même titre que tes poings. C’est un combat de coqs à savoir lequel des deux aura le dessus sur l’autre. Puis il vient plaquer sa bouche contre la tienne. T’es pris de court, totalement surpris par son geste. Tu t’attendais à un combat impliquant la force… pas à ça. ‘’ Fait attention à c’que tu dis. ‘’ T’es pas l’genre qu’on fait taire, ni celui qui prend les ordres. Mais te voilà à nouveau le réceptacle de ses pulpeuses. Cette fois, sa main s’aventure sous ta ceinture, il capture ta virilité. Sans perdre une seconde tu viens attraper son poignet, le serrant de toutes tes forces. ‘’ Tu t’crois tout permis ? ‘’ Tonnerre qui gronde dans le fond de tes entrailles, tu le toise sans sourciller. Il embrasse bien c’est une chose, mais t’es pas une de ses nanas qu’il s’envoie et de qui il exige ce qu’il veut. ‘’ C’pas en faisant l’sauvage que tu vas réussir à me chauffer. ‘’ Avoues tu finalement.

@Kosmo Siegel

tw : langage, sexualité

Tu la vois sa réaction, tu le vois qu’il est sur le point de faire valser son poing contre ta mâchoire. Cependant, tu vois également sa surprise lorsque ce sont tes lèvres qui entre en contacts contre les siennes. Il n’est pas content, mais t’en a que faire, il t’as mis hors de toi à cette simple réflexion, désormais, il devra en payer le prix. « Sinon quoi ? Tu vas m’encastrer contre le mur ? Tu veux que ça se termine en bain de sang ? » Tu n’as pas dit ton dernier mot. Voulant aller plus loin, mais tu es arrêté dans ton mouvement. « Viens m’dire le contraire, viens m’dire que t’as pas envie de t’faire astiquer la bite. » Sourire narquois sur le visage, t’arrêtes néanmoins tout geste, te contentant simplement de le regarder en chiens de faïence. Vous pourriez jurer que vous êtes en train de jouer à qui pisse le plus loin. « Oh t’aurais dû m’le dire que tu voulais que j’t’achètes des fleurs avant. » Tu le regardes de haut cette fois-ci, plissant les yeux, reculant de plusieurs pas. T’es pas quelqu’un qui fait dans la douceur, t’es ni romantique, ni invitant dans tes actions. T’avais envie d’lui faire cette fellation, t’en avais rien à faire de son avis. C’est pas ton problème s’il est trop farouche. T'étais même prêt à t'offrir à lui, sachant son énorme réticence face à la gent masculine. Mais, là, tu ne comprends plus rien. Qu'est-ce qu'il est venu faire ici ? Tu ne vas pas non plus pleurer s'il te laisse pas le toucher, tu comptes très bien dormir ce soir. Frustré certes, mais ceci est un autre histoire.  « Tu m'feras signe lorsque t'auras arrêté de jouer à l'enfant prépubert et qu'tu deviendras enfin un homme. » Haussement de sourcil, tu tournes les talons, prêt à aller prendre place sur le canapé pour te mater un porno ou d'quoi du genre.

@Apollon D. Featherington

tw: vulgarité, sexualité

‘’ Je crois que c’est ta place en effet. ‘’ Tu t’es pas pointé dans cet endroit avec une idée fixe. T’es le genre de mec à analyser en silence avant de prendre tes décisions. À tout coup tu calcules le risque versus le bénéfice et avec Kosmos y’a pas de doute, le bain de sang est plus attrayant que tout le reste. Vous vous ressemblez sur énormément de points et ce petit détail joue contre vous. ‘’ J’y réfléchirai quand t’auras prit ta douche au javel. ‘’ À voir les gens qu’il fréquente et tout ce qui se dit sur les réseaux à leur sujet, non ça ne te fait pas envie du tout. T’as bien des défauts, mais pas celui d’embrocher toutes les moules de Boston, les propres et les poisseuses. Les autoroutes, tu les parcours en bagnole point barre. ‘’ T’attend quoi ? Vas-y, il se fend l’cul le marchand pour vendre des fleurs. ‘’ Un rire sarcastique réchauffe ta gorge tandis que tu relèves le menton un cran au-dessus du sien. T’es pas romantique pour un sous, t’es pas un sentimental, tu ne connais rien à tout ça, sauf quand il s’agit de mettre une petite vierge dans ton lit. Tu trouves toujours le moyen de parvenir à tes fins, mais là… c’est égo contre égo. Orgueil démesuré contre un autre. Ses paroles te blessent ? Pas le moins du monde, au contraire, ça te fait marrer. ‘’ Et toi quand t’aura fini d’jouer au collectionneur de morpions. ‘’ Tu sais ce que tu vaux, ou tu vas. T’as travaillé dur pour devenir l’homme que tu es et ce ne sont pas ses mots qui risquent de t’atteindre. Dans un soupir, tu attrapes ton téléphone et saute par-dessus de canapé pour venir t’y installer. L’orage semble être passé, mais tu restes tout de même sur tes gardes. Au bout de quelques minutes, tu te lèves en silence. Tu attrapes ta veste en cuir et sors de la maison pour te rendre au marché du coin. Tu achètes le plus joli bouquet de fleur et revient à l’emplacement initial en lui lançant tout simplement.

@Kosmo Siegel

Ta libido venait de descendre d’un coup. Que tu prennes ta douche à l’eau de javel? Il est sérieux avec cette réplique de merde? Il vient vraiment de t’attaquer à ce sujet? En fait Apollon n’est qu’une petite bite. Il parle bien, te parle beaucoup, te dit qu’il a envie de te baiser pour se faire invité, mais lorsqu’il est temps de passer aux choses sérieuses, il change d’avis. Un grand parleur, petite faiseur. Mais ses paroles, t’ont heurtées. Tu n’en feras pas tout un cas, tu vas même pas faire de réflexion en fait. Mais t’as compris le message, tu l’écoeure. C’est aussi simple que ça. Tu ne prends même pas la peine de relever sa sois disant pique au sujet des fleurs, ça n’en vaut même pas le coup, ni même sa réplique sur les morpions qui a déjà été fait à ton encontre à mainte reprises. Ça ne fait que tu prouver qu’il n’est qu’un gamin, en fait. Qui attaque encore les autres à ce sujet? Lui, visiblement. « T’es un petit comique toi en fait, tu t’es trompé de carrière t’aurais du faire clown. » Assis sur le canapé, tu ne le regarde pas. Tu ne sais même pas ce qui te retient de le jeter dehors à grand coup de pieds au cul. Le faire dégager de chez ta grand-mère aussi vite qu’il n’est arrivé. Ne trouvant pas de film à ton goût te décide simplement de regarder le sport à la télé, le regardant néanmoins partir. Tu souhaites qu’il ne revienne pas. Malheureusement, à peine quelques minutes plus tard, il est de retour. Tu reçois même ce putain  d’bouquet de fleurs à la tronche. Tu le prends dans tes mains et le regarde un instant avant de regarder Apollon un sourire en coin. « Ma grand-mère va l’adorer. » Tu essayes de garder ton sérieux, mais n’y arrive pas. Tu commences à rire lui jetant à ton tour le bouquet en pleine poire. « Allez on sort. Peut-être que tu vas t’trouver une petite perruche qui ne te dégouttera pas. » Si vous ne baisez pas, autant que vous vous amusiez un peu en ville.

@Apollon D. Featherington