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i think i'm losing it (roman)

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i think i'm losing it.
24 juin 2023 sur les coups de trois heures.
w/ @Roman H.-Abbott

Lorsque je pousse la porte de mon appartement, je retire mes talons hauts et les fais glisser vers le mur. Un soupire s’échappe de mes lèvres et lorsque la plante de mes pieds s’écrase sur le sol, c’est l’extase qui pourrait se lire sur mon visage. Dieu que j’ai hâte de me déshabiller et de filer vers mon lit. Il est bientôt trois heures du matin et je suis exténuée. Cependant, je sais que la soirée n’est pas finie pour moi. Je jette un coup d’oeil à mon téléphone et découvre le message de Roman auquel je réponds rapidement. Je ne sais pas ce que cela va donner et j’appréhende énormément tout ce qu’il risque de se passer ce soir. Ce que j’ai ressenti pendant le bal, l’observant de loin une partie de la soirée, ne me plaît pas. Ce n’était absolument pas les règles du jeu et si ne rien savoir ne me gênait pas le moins du monde jusque là, de me rendre compte qu’il était avec une autre ce soir me perturbe plus que de raisons. Je me dirige vers la cuisine, la tête lourde de cette discussion qui va nous garder éveillés une bonne partie de la nuit, j’attrape une bouteille d’eau pétillante et bois à même cette dernière. Je ferme les yeux quelques secondes et me questionne sur ce que je veux réellement. Suis-je prête pour tenter quelque chose ? En ai-je réellement envie ? N’était-ce pas que de la jalousie mal placée, incapabale de savoir comment réagir logiquement face à tout cela ? Après tout, face à l’absence d’invitation de sa part, je ne me faisais pas d’illusions. Si ce n’était pas moi, ça serait une autre. La sonnette retentit dans l’appartement et je me dirige vers l’entrée, le pas lent. Ce n’est pas que je vais à ma mort mais je crois que nos âmes n’en sortiront pas indemne. La main sur la poignée, je ferme les yeux quelques secondes et lorsque je les rouvre, j’ouvre la porte en même temps. Il est toujours aussi beau. Malgré l’heure tardive, malgré la fatigue qui se lit sur ses traits, il est beau et moi, je suis toujours plus perdue. Hey. Tu veux quelque chose ? Que je demande comme pour éviter de rendre le moment plus étrange qu’il ne devrait l’être.
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Je suis parvenu à laisser la conversation à venir dans un coin de ma tête afin de profiter pleinement du reste de la soirée. On a beaucoup dansé avec Love, pas mal déliré avec Jace, je suis passé par un tas de tables pour passer un petit moment avec mes potes, bref c’était une édition très réussie. J’étais à moitié convaincu du thème mais au final, c’est la bonne compagnie qui prime, le reste ce ne sont que des détails futiles. Je bois un verre ou deux en début de soirée mais je m'arrête assez rapidement, conscient que je dois reprendre le volant en fin de soirée. Love n’est d’ailleurs pas la seule personne que j’embarque au moment de partir, mais elle est la dernière que je dépose devant chez elle. Je choisis de ne pas monter avec elle car il se fait déjà tard et j’ai d’autres plans. C’est sur le pas de la porte en bas du building que je laisse la danseuse, non sans un câlin et un baiser sur la joue pour la remercier de m’avoir accompagné. Un sms à Louise, j’attends une confirmation qu’elle est bien rentrée avant de me mettre en route.
L'atmosphère a totalement changé. La Louise qui m'ouvre la porte n'est plus celle qui se tenait face à moi il y a quelques heures et j'ai l'impression de, physiquement, sentir mon cœur descendre au fond de mon estomac. Qu'est-ce qui a changé ? A-t-elle réalisé que ce n'était que de jalousie mal placée, sur le moment ? Est ce que Stevie est parvenue à la faire tomber sous son charme en cours de soirée ? La française semble avoir repris ses esprits et c'est déconcertant. Mes sourcils se froncent lorsqu’elle me demande si je veux quelque chose, comme si je me pointais à l’improviste sur le pas de sa porte au beau milieu de la nuit. Ce que je veux ? Lui vendre des cookies pour financer le voyage de l'orphelinat du coin ? Rentrer, ce serait un bon départ. je ne peux pas cacher la déception dans ma voix car ce n'est pas l'accueil auquel je m'attendais. Je n'espérais pas, non plus, une décision de se mettre en couple en deux minutes mais s'il y a une chose dont j'étais certain, c'est que mes lèvres seraient sur les siennes en un temps record. Un verre d'eau, ça peut être pas mal aussi. Et si tu as des restes qui traînent dans le frigo... j'ajoute, nonchalant, et la dépasse pour me diriger vers la cuisine avant qu’elle ne fasse le choix de me claquer la porte au nez. Je ne suis pas venu pour manger mais je meurs de faim, c'est donc la première chose à dire qui me vient à l'esprit.
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L’appréhension du moment est si forte que les mots qui sortent de ma bouche ont l’air faux et je ne me rends pas compte de l'ambiguïté non souhaitée de ces derniers. Je ne souhaitais pas savoir ce qu’il voulait à être ici - je crois que l’on sait tous les deux ce qui nous attend - mais bien ce qu’il voulait comme collation. J’ouvre la bouche et la referme rapidement, incapable de dire quoi que ce soit pour me rattraper et clarifier la chose. Je le laisse entrer dans l’appartement et soupire doucement. Il me reste de la pizza de midi. Ou probablement un peu de ratatouille d’hier soir. J’aime cuisiner et m’arrange toujours pour prendre mes plats - bien plus sains - avec au boulot mais ce n’est pas toujours faisable. Je n’avais pas envie de légumes pour midi et la pizza quatre fromages du pizzaiolo proche de la clinique est vraiment bonne. J’ouvre le frigo, sors la carafe d’eau, prends un verre et me décale du frigo avant de souffler Prends ce que tu veux. J’ai l’estomac un peu trop retourné pour manger quoi que ce soit. Je vais me contenter de piquer un bonbon dans la jarre et ça sera très bien comme cela. Quand je te demandais ce que tu voulais, c’était à boire ou à manger, pas ce que tu voulais à être ici. Je préfère le notifier. C’est à ce moment que je me rends compte qu’on est tous les deux complètement stressés. J’attrape ma bouteille d’eau pétillante et bois une gorgée avant de demander Tu as passé une bonne soirée ? D’une banalité extrême mais j’ai envie de savoir si après m’avoir quitté, il a profité du moment, s’il a passé des moments mémorables avec ses amis et ses proches. Ça m’intéresse vraiment et là est une nouvelle preuve de ce qu’il se passe avec Roman. Je fais craquer mon cou et tire doucement sur le voilage au niveau de mon cou, ayant l’impression de commencer doucement à suffoquer. Merde.
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Louise me répond sérieusement et bordel, j’ai envie de hurler. Bon en vrai j’ai vraiment faim de vraie nourriture, pas uniquement d’elle, mais la liste de ce qu’elle a dans le frigo est la dernière chose que je m’attendais à entendre en la rejoignant. Pourtant je suis passé par pas mal de scénarios sur les dix minutes qui séparent l’appartement de Love au sien, mais pas celui-ci. J’imagine que je vais devoir me le servir moi-même ce verre d’eau, puisque la française ne sort qu’un seul verre du placard. Ce n’est pas la première fois que je me servirai dans ces armoires mais tout m’énerve, parce que j’ai l’impression d’avoir complètement imaginer notre conversation un peu plus tôt dans la soirée. Quoi que non, elle était belle et bien réelle car Louise n’a jamais agi de la sorte en ma présence. Ok. Je souffle et sort la boîte à pizza du frigo avant de refermer celui-ci. Je grimace légèrement quand je découvre la tonne de fromages dessus mais ça fera l’affaire, ce n’est pas pour le petit bout que je vais ingurgiter… Bien que le petit bout en question risque de me donner une haleine horrible. Oups. Je me serre un verre d’eau, que je bois d’une traite, puis un deuxième que je laisse poser sur le meuble avant de remplir à nouveau la brita pour la remettre au frais. C’était bizarre, demandé sur le pas de la porte. Mais ça me rassure qu’elle le clarifie. Je déteste cette sensation de marcher sur des œufs, ça n’est jamais arrivé depuis notre rencontre. Je mords dans la pizza froide - car flemme -, appuyé contre le meuble de cuisine et hoche positivement la tête à sa question, ne répondant pas tout de suite car j’ai la bouche pleine. Je la vois tirer sur son col et me tourne rapidement pour me passer les mains sous l’eau, après avoir remis le quartier de pizza dans sa boite, et les essuyer. Viens là. Mais je n’attends pas qu’elle me rejoigne, je sépare moi même cette distance et la fait tourner sur elle-même pour avoir accès à son dos et ouvrir la fermeture de sa robe. J’avoue, je pensais faire ça de manière beaucoup plus sensuelle, ou sauvage, mais Louise a toujours l’option de la garder sur elle sans que celle-ci ne vienne l’étrangler. Oui, c’était vraiment cool. Je n’étais pas convaincu par le thème mais j’ai pu passer du temps avec pas mal de potes, on m’a mis une couronne sur la tête. J’énumère avec un sourire, et dépose un rapide baiser sur son épaule après y avoir fait glisser le voile, avant de m’éloigner et retrouver ma part de pizza - priorités! Et toi ? Stevie avait l’air… épuisante. Ce n’est pas une critique, j’ai un sourire aux lèvres mais bon sang, même de loin je me suis demandé où était les piles.
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C’est la soirée des incompréhensibles avec Roman et je crois que nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Je n’arrive pas à expliquer comment on a pu passer d’une relation aussi linéaire et en symbiose à ces deux individus qui ne savent plus communiquer. C’est ridicule et ça me dépite totalement, je ne peux le nier. Mes mains autour de la petite bouteille d’eau gazeuse, je le regarde et souris légèrement. Ouai, je m’en suis rendue compte après coup. Mais tout est bizarre à ce moment précis et ça ne me plaît pas. J’aimerais retourner dans le passé, ne pas me retrouver jalouse au milieu de la piste de danse… Ça serait bien plus facile. Ne peut-on pas faire ça ? Qui est-ce que je dois payer pour arracher les papillons qui ont voulu décoller de mon estomac lorsqu’il m’a embrassé ? Je suis prête à mettre un sacré montant voire même à échanger quelques années de vie. Mais puisque personne n’y peut rien, nous continuons là-dessus. Debout au milieu de la cuisine, on dirait vraiment deux éléphants dans un magasin de porcelaine et cela m’agace, provoquant une gêne physique. J’ai envie d’arracher ma robe, de m’en débarrasser et d’oublier les heures de recherches et de discussion avec les couturiers de la maison pour me créer une robe qui me ressemblerait réellement. Celle-ci a tout. La douceur du tissu, la transparence avec laquelle le cuir de mon body joue. Je le regarde et me laisse faire, sentant un long frisson parcourir mon échine lorsque je sens ses doigts frais contre ma peau brûlante. Merci. Que je souffle, me sentant un peu plus à l’aise maintenant que ma robe est ouverte. Je relève le visage et sens rapidement ses lèvres sur ma peau. Je souris et me rends compte que les papillons sont de retour dans mon bas ventre. Putain. Je frotte mes tempes et me tourne dès que je ne sens plus la chaleur de son corps dans mon dos. La robe toujours sur le dos, je ris légèrement et souffle Inépuisable. Mais j’ai passé un bon moment, on a pas mal discuté, bien ris et bien dansé. C’est ce que l’on recherche toujours lorsque l’on va en soirée mais surtout à un bal, non ? J’ai été emmerder quelques inconnus - ce qui me semble primordial - et j'ai passé un moment mémorable dans l’ensemble. C’est ce que je recherchais en y allant alors je suis comblée. J’attends de voir les clichés des photographes professionnels dans les jours à venir, ça va être quelque chose vu le temps que nous avons passé à changer de position devant ce dernier. On va tourner du pot encore longtemps tu penses ? Que je finis par lancer. Je sais qu’on appréhende cette discussion l’un comme l’autre mais je n’ai pas envie de rester là pendant une demi-heure à parler de tas de banalités. Il y a un abcès à crever et il faut qu’on le fasse sinon je vais exploser. Mais d’abord finis ta pizza que je t’embrasse. Parce que ça devient un besoin viscéral. C’est le bordel dans mon abdomen et je vais avoir besoin d’aide pour tout remettre en place.
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J’ai un sourire en coin lorsqu’elle confirme que sa remarque était bizarre mais je ne surenchéris pas. Il y a tellement de choses que nous devons aborder, on ne va pas passer la soirée à débattre de son accueil qui m’a laissé perplexe, c’est déjà oublié. L’important est que Louise ne m’a pas claqué la porte au nez - et que j’ai un truc à me mettre sous la dent. Car vraiment, je ne pense pas que je puisse avoir une conversation aussi importante, ou tout du moins compliquée, l’estomac vide. Le repas du bal remonte à plusieurs heures maintenant et puisque je n’ai pas fermé les yeux entre temps, je suis prêt pour un repas complet. Je pourrais littéralement me faire un entrée-plat-dessert mais je vais me contenter de couper ma faim et attendre le petit-déjeuner qui, au final, est déjà dans quelques heures. J’hésite d’ailleurs à abandonner mon snack lorsque mes lèvres rencontrent sa peau mais ce n’est pas pour les trois pauvres minutes que ça va me prendre, avant de pouvoir être tout à elle. Avec plaisir. Il me semble que c’est pour ça que j’étais invité dans un premier temps. Pour lui retirer sa robe. Pas que, mais ça faisait partie du deal et j’espère que mes remarques et mon sourire idiot parviendront à nous détendre un petit peu. Je me sens déjà beaucoup moins stressé qu’il y a cinq minutes, bien que le “pire” reste à venir. C’est top, je suis content que t’aies passé une bonne soirée. C’est sincère. Je ne m’attendais pas à l’y croiser et encore moins à ce qu’elle soit au bras de quelqu’un d’autre mais puisque je ne lui ai pas envoyé d’invitation, Louise n’a pas eu le choix. Honnêtement, je ne me sens pas menacé par Stevie. J’avale avec un peu de mal le bout de pizza que j’ai en bouche lorsque Louise met les pieds dans le plat, comme elle l’a fait lors de notre danse. Je m’apprête à lui répondre que j’ai besoin d’une minute de plus - et que je viens à peine de passer le pas de la porte! - mais elle me devance à nouveau. Je me mords la lèvre inférieure alors que je sens mon anxiété revenir au galop, à moins que ça ne soit l'excitation. Toujours est-il que j’en ai l’estomac tout bizarre, un peu retourné et j’abandonne l’idée de manger la croûte de ma tranche de pizza que je remets dans la boîte. C’est con, j’aurais pu opter pour la poubelle directement mais entre la fatigue et la situation, je ne suis pas en mesure de réfléchir plus loin que le bout de mon nez. Le verre d’eau à la main, j’en avale une longue gorgée pour me nettoyer au mieux la bouche et une fois les deux mains libres, je viens encadrer son visage et l’embrasser comme si mon avenir en dépendait. C’est peut-être un peu le cas, mais je vois beaucoup trop loin. C’est ce genre de pensées qui ont tendance à me faire faire dix pas en arrière plutôt qu’un en avant. On m’a tellement planté dans le passé que j’ai pris soin d’écarter la possibilité que ça arrive dans le futur. Mes mains quittent son visage pour descendre sur ses épaules et y faire glisser délicatement sa robe le long de ses bras, sans que mes lèvres ne quittent jamais les siennes. On peut peut-être tourner autour du pot trente minutes de plus ? Je suggère, bien conscient que je n’échapperai pas à cette conversation pour autant. Mais bordel Louise est tellement belle, j’ai envie qu’on soit juste nous pour, peut-être, la dernière fois avant de venir tout chambouler.
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Dans un premier temps ? J’avais plutôt l’impression que c’était l’activité dans un second temps, celle qu’on pratiquerait après avoir discuté parce que ça ne pouvait que bien se passer. Pour le coup, je doute légèrement de cela. Est-ce qu’on va vraiment partir dans deux directions opposées maintenant ? Je ne sais pas et je crois que tant que l’abcès ne sera pas crevé, on ne saura tout simplement pas. C’est la première fois que je me sens comme ça et je n’apprécie pas cette sensation. J’ai toujours tout en mains, je contrôle normalement parfaitement le cours de ma vie mais là, ce n’est pas le cas. L’arrivée de Roman dans cette dernière n’annonçait rien de si perturbant sinon c’est sûre que tout aurait arrêté avant même de commencer. Mais là, je suis au milieu du l’histoire et j’ai perdu le fil de cette dernière. Je ne suis pas sûre de pouvoir reconnecter le tout, ni de savoir comment faire, mais je crois que nous sommes tous les deux en terrain inconnu. Ni l’un, ni l’autre, ne sait sur quel pied danser et cela veut dire que l’on va galérer mais aussi que nous sommes à égalité, ce qui n’est pas plus mal. Seulement, pour ne pas passer des heures à patauger, je sais qu’il faut se lancer mais se détendre aussi. C’est l’heure du grand saut et lorsqu’il s’approche de moi et m’embrasse, je ferme les yeux, glissant mes bras autour de sa taille, réduisant l’espace qu’il y avait entre nous à néant. Je resserre ma poigne sur la veste de son costume et lorsque ses lèvres se détachent des miennes, je relève les yeux vers son visage. Ma robe glisse doucement le long de mes bras et reste coincée en plein chemin, ces derniers étant le long de ses flancs. Trente minutes ? Tu es radin ce soir. Que je souffle en l’embrassant à nouveau, sentant mon corps tout entier se déchaîner. Est-ce que c’est une bonne idée de craquer avant de discuter ? Est-ce que ça va avoir un goût d’adieu ou bien trop d’importance et de signification ? Est-ce que ça ne va pas tout gâcher ? Je pose mon front contre le sien et inspire doucement. C’est pas du sexe d’adieu, je te préviens Abbott. Deviens pas tout mielleux. Que je lance en riant légèrement, détachant mes mains de son dos, ce qui fait glisser le reste de ma robe sur mes bras. Elle pend désormais sur mes hanches alors que je glisse mes mains dans les cheveux de Roman et l’embrasse avec force, passion et fougue. Les langues dansent le tango de leur vie et mon cœur s’emballe très rapidement. Cependant, je l’ignore, me concentrant sur le moment et l’effet non négociable qu’il me fait. Et si on finit par s'envoyer en l'air dans la cuisine, ça serait nous. Sauvage, incapable de se contenir et en symbiose où que ce soit. Cependant, je n'ai pas de préservatif entre les épices alors autant aller dans ma chambre.
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