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Les originesJaponaise, sa culture est une fierté poussée par une éducation parfois fermée sur le monde. Ses origines s'évadent jusqu'aux limites de l'archipel d'Okinawa, fille de Seto.
feat. MIYAWAKI SAKURA
Née le seize mars 2002 à Osaka, Kensai chihō, au Japon
日本, Japonaise
En relation longue distance depuis quatre ans avec son petit ami resté à Osaka. Aveugle face à son évidente bisexualité
Quatrième année de bachelor en biologie, en complet décrochage scolaire au vu de la difficulté des matières. Setter dans l'équipe universtaire de volleyball féminin
Moyenne, sa scolarité est soutenue par une bourse sportive de la part d'Harvard mais l'argent reste une question constante depuis qu'elle est aux USA
Le caractère
Bubblegum bitch, un peu chaotique. Head on the clouds, elle écoute à moitié ce qu'on lui dit, toujours un ballon dans les mains. Bohème, funny girl, un peu mesquine et sarcastique. Snake like, vipère sans venin. Elle est solaire, volubile parfois candide. S'est construit une double persona, la nonchalante et l'angoissée, celle qui laisse rien passer sur le terrain. Obsédée par le volley, une perfectionniste de l'extrême qui se refuse l'indulgence et tolère mal l'échec. Difficilement indépendante, influencée par son sport et les valeurs du Japon, 序列の秩序 joretsu no titsujō. La hiérarchie surpasse, elle aime croire à sa force de caractère mais son excellence n'est réservée qu'au filet. Silencieuse devant les aînés, incapable de dire non à l'autorité, souvent terriblement perdue par elle même. Incroyablement organisée et routinière mais aussi impulsive et créative.
NUJABES, MODAL SOUL
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pisces - sagitarius - libra
Bubblegum bitch, un peu chaotique. Head on the clouds, elle écoute à moitié ce qu'on lui dit, toujours un ballon dans les mains. Bohème, funny girl, un peu mesquine et sarcastique. Snake like, vipère sans venin. Elle est solaire, volubile parfois candide. S'est construit une double persona, la nonchalante et l'angoissée, celle qui laisse rien passer sur le terrain. Obsédée par le volley, une perfectionniste de l'extrême qui se refuse l'indulgence et tolère mal l'échec. Difficilement indépendante, influencée par son sport et les valeurs du Japon, 序列の秩序 joretsu no titsujō. La hiérarchie surpasse, elle aime croire à sa force de caractère mais son excellence n'est réservée qu'au filet. Silencieuse devant les aînés, incapable de dire non à l'autorité, souvent terriblement perdue par elle même. Incroyablement organisée et routinière mais aussi impulsive et créative.
Les anecdotes
- ( 01 ) Née sur les rives de Seto dans une famille calme de la banlieue d'Osaka, elle grandit dans le quotidien ordonné d'une japonaise classique poussée à l'excellence par des parents obnubilés par leur première fille, brillante. Mélange de normes sociales et de désirs de pouvoirs, de 礼儀 reigi et de 敬語 keigo, isolée par son île. Pop culture nerd, gamine sans histoire qui vit trop fort, aime trop fort, voit trop grand.
- ( 02 ) Extatique, passionnée et née pour jouer. Elle a commencé très jeune sous l'influence de sa grande sœur pour ne jamais plus quitter les terrains. Addicte au ballon, elle s'entraîne tous les jours, se croit invincible. Incapable de se blesser ou de se lasser, elle ne pense qu'à devenir meilleure, battre tout le monde. Finir sur la première marche du podium ou rien. Elle intègre un bon lycée d'Osaka réputé pour ses performances sportives et devient titulaire de l'équipe en tant que setter dès sa première année, se fait remarquer par la fédération japonaise comme prometteuse, brillante. L'avenir du volley asiatique. Elue meilleure joueuse lycéenne à l'âge de 17 ans, elle gagne les championnats nationaux avec son équipe deux ans de suite, obsédée par la performance. Le corps qui fatigue sans qu'elle le laisse savoir.
- ( 03 )Il a les yeux rieurs, une fossette à la joue gauche et cet air irrésistible d'ange déchu. Il est calme, froid, intelligent et manipulateur. Miyamura Yuji. Excellent élève, capitaine de l'équipe masculine de volley de son lycée et dealer de méthamphétamines à ses heures perdues. Une innocence calculée cachée sous l'exquis de ses traits. Elle en est tombée amoureuse bêtement Chirin, comme une de ces lycéennes de manga à la Komatsu Nana. Ils avaient l'habitude de s'entraîner ensemble après les cours, partenaires de matchs, de services et de rêves. Yuji l'a toujours poussé à l'excellence et au dépassement de ses limites, allant parfois trop loin. Passe de petit ami à dealer personnel, gardien de ses secrets et de ses addictions, démon sous la tempe mais elle l'aime. Ils s'aiment. En couple depuis cinq ans, relation longue distance depuis quatre ans, il lui a promis de venir aux USA - d'intégrer Harvard même - à la première occasion. Satan sans ses ailes lui manque.
- ( 04 )Le lycée est un enfer qu'elle s'emploie à oublier en traversant les océans. La valeur de l'amour parental se mesure en bonnes notes chez les Osada et contenter sa mère d'une moyenne correcte sans transcender ne suffit pas, malgré son palmarès sportif. Passer après Kaori rendrait n'importe qui médiocre. Sa grande soeur est une élite intellectuelle, l'excellence personnifiée. La seule légitime des sœurs Osada à Harvard à entendre le patriarche. Chirin la jalouse, pétrie de rancœur et voit sa reconnaissance mondiale grâce au volley comme un moyen d'écraser son aînée.
- ( 05 ) Sa deuxième année de lycée est marquée par sa pré sélection dans l'équipe japonaise des U18 pour participer aux compétitions mondiales réservées aux moins de dix huit ans. Place assurée seulement si ses résultats scolaires suivent. Les entraînements et l'école du soir l'épuisent, le rythme est impossible à tenir, les notes chutent mais Chirin ne pense qu'aux mondiaux. Yuji réussit à lui procurer du méthylphénidate hydrochloride, un dérivé amphétaminique qui la maintient concentrée. Ses notes remontent, l'entraînement la propulse au sommet des meilleures membres de la future équipe. Elle finit sélectionnée pour le championnat international de 2020 en Turquie. Son équipe termine seconde, elle finit addicte à la ritaline.
- ( 06 )Un appartement un peu miteux à l'étage d'une izakaya sur Tyler street dans le cœur de Boston Chinatown. Cliché mais elle a appris à aimer l'endroit, et l'anglais patiné de Kansai ben de sa logeuse lui rappelle le Japon. Elle aide parfois au restaurant, se fait payer un peu au black pour supporter une bourse qui l'aide sans pouvoir toujours couvrir toutes ses dépenses. La vie aux Etats-Unis reste difficile, encore plus depuis qu'elle a déménagé des dorms de la Kirkland après sa première année. Elle a demandé à être relogée sur le campus pour la rentrée de septembre mais les places sont chères et la bataille rude.
- ( 07 )Harvard lui fait perdre la tête. Elle adore son équipe et reste passionnée par le volley presque à la manière d'une fanatique, vit pour son sport et s'éclate à gagner de nombreuses compétitions inter universités mais les notes ont parfois du mal à suivre. Chirin dans sur la ligne rouge des limites, ayant validé son année à la limite du tolérable. Il ne lui reste que deux ans avant d'obtenir son bachelor's degree mais reçoit déjà des offres d'équipes. Esprit de spleen et d'idéal, elle sait qu'elle doit remonter ses résultats mais n'arrive pas à trouver d'intérêt à ses cours, s'ennuie en biologie et remet sans cesse à plus tard le besoin de trouver des tuteurs pour l'aider dans ses études. Loin des yeux loin du cœur, elle est du genre à ignorer les problèmes jusqu'à ce qu'ils se présentent sans qu'elle ne puisse plus leur échapper.
- ( 08 )Personne n'est au courant de ses problèmes de drogues, surtout pas son équipe. Ni les coaches, ni les profs, ni les amis... ni personne. Sauf Yuji, à l'autre bout du monde, aussi camé aussi perdu. Elle est très forte pour éviter les contrôles anti-dopage récurrents, limite sa consommation - le pense-t-elle - de manière très raisonnable malgré les fortunes qu'elle passe en aderall et ritaline depuis qu'elle est sur le continent américain. La différence de variété et de puissance des drogues aux USA par rapport aux législations restrictives du Japon l'ont plongées dans une spirale dont elle ne se voit même plus sortir. Elle est consciente de son problème, des angoisses terribles que ses médicaments dealés entraînent mais ne peut plus se passer des sensations d'invincibilité et de contrôle que les petites pilules roses et blanches lui procurent, en cours et sur le terrain. ジャンキー junkie.
- I hate everything about you
- You do ?
- I like to pretend i do
( 09 ) Vague à l'âme qui s'évade, elle ignore la réalité de ses attirances divisées depuis qu'elle est assez âgée pour revenir sur les arguments martelés par son ersatz de société depuis toujours. Elle aime Yuji comme on aime un souvenir un peu dilettante, son absence à ses côtés depuis quatre ans a crée à la fois le manque et une liberté renforcée par son exile hors du Japon. Il est toxique, un poison sirupeux dont elle ne peut plus se passer. L'idée de ne pas l'avoir à ses côtés pour le reste de sa vie sonne comme une blague de mauvais goût. Mais il y a les yeux qui divaguent parfois sur les silhouettes féminines. Elle refuse de se coller l'étiquette bisexuelle sur le front parce que c'est juste des questionnements right ? Des films qu'elle se fait seule dans le noir parce qu'elle n'aura jamais le droit de l'assumer sous la lumière.likes : se lever tôt, les tamagoyaki, aller au temple, prendre le train, le volleyball, la couleur lavande, les chiens, O'Hanami la fête des fleurs de cerisiers, l'été, le matcha, l'odeur du bitume après la pluie, la mode, les karaokés, gagner, les films du studio Ghibli, matcher des gens randoms en fonction de leurs groupes sanguins (why is Japan so hooked on this ?)dislikes : les salary men qui ne respectent personne, 塾 les jukus, les moustiques, rester trop longtemps assise ou à rien faire, la nourriture japonaise aux USA, galérer en anglais, les crampes, sa tolérance pathétique à l'alcool, les gens qui gardent leurs chaussures à l'intérieur (the ick for real) le prix des manga traduits en anglais
- Code:
<div class="card-user-bottin-kirkland"><kirkland class="text-s-bebas text-upper">MIYAWAKI SAKURA</kirkland><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Chihiro Osada"</span></div>
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