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Les originesfranco-américaine (mère), anglaise ainsi qu'irlandaise (père).
feat. EMMA MACKAY
née à Montecito - Californie (USA) le 17 janvier 1998
américaine
célibataire et hétérosexuelle
architecture, sixième année (2022-2023)
très aisé
espiègle
têtue
perfectionniste
angoissée
mystérieuse
flègme british
Résumé de l'histoire
MINA BETH aime le chocolat noir plus que tout au monde. + Elle prétend ne pas fumer et avoir toujours un paquet sur elle pour dépanner ses ami(e)s, mais on la voit très souvent avec un clope entre les lèvres. + Elle adore les bières, c’est sans doute son alcool préféré. + Le champagne aussi, la jeune femme étant habituée aux fines bulles depuis ses quinze ans. + Elle sait nager, mais refuse de le faire à la mer ou dans l’océan, ayant une peur bleue de l’immensité, sans conteste. + Elle se rend au salon de coiffure chaque fois qu’elle doit retrouver ses parents, car sa mère la trouve « jolie » uniquement lorsqu’elle se trouve avoir les cheveux longs. + Elle est angoissée et grignote beaucoup durant la période des examens. + De manière générale, Mina est gourmande, elle adore les gâteaux, seulement, elle refuse de s’en acheter. + Depuis qu’elle réside sur Boston, elle mange peu. + Entretien son seul point en commun avec celle qui se trouve être sa mère. Il lui arrive de se mettre en rogne lorsqu’elle trouve une situation injuste. + Elle adore sortir, se rendre à des concerts, au restaurant, au cinéma, avec ses ami(e)s. Lire est sans doute ce qu’elle fait le plus dans la journée. + Elle boit énormément de thés. + Elle gobe un peu trop de médicaments rapport à ses crises d'angoisse. + Passe du temps dans des endroits où l’on parle peu en journée. + Feint d’écouter de la musique en ayant des écouteurs dans ses oreilles afin de ne pas être dérangé. + Écoute du rock des années passées. + Adore les couleurs, les paillettes, contrairement au dictat de sa mère qui impose le noir. + Elle est féminine, mais aussi une sale gamine. + Il lui arrive d’être assez bourrée en revenant de soirées. + Elle n’aime pas le sport et se contente donc de ne faire que du jogging.
Les anecdotes
- ( 01 )Beth a vu le jour dans un hôpital privé à Montecito. Avant même qu’elle ne voit le jour, sa mère la détestait. Raison numéro une : elle avait pris du poids à cause d’elle et ça lui était insupportable. La seconde était due à son précédent accouchement. Elle ne souhaitait qu’un seul enfant et sa première petite fille, aux traits similaires aux siens, était née prématurée. Elle n’a malheureusement pas survécu. Pour son mariage, elle s’est essayée à tomber enceinte, seulement, dès qu’elle l’a appris, une haine sans pareille à commencer à grandir en elle, à l’image de ce fœtus, désireux de s’épanouir pour finalement voir le jour.
- ( 02 )Elle n’était pas assez belle, Beth. Aux yeux de sa mère, elle ne tenait rien d’elle, du tout. À croire qu’ils avaient interchangé les nourrissons, comme elle aimait l’affirmer. Pourtant, la réalité était tout autre. L’enfant possédait la couleur de ses yeux, ainsi que la teinte de ses cheveux. Mais rien ne pouvait y faire, elle exécrait sa fille, un point c’est tout.
- ( 03 )Madame Moriarty a donc considéré qu’elle ne devait lui porter aucun intérêt et uniquement la tolérer. Monsieur, quant à lui, travaillait trop pour être présent. Avocat à l'aide judiciaire, il passait plus de temps au bureau plutôt qu’à leur domicile. Lorsqu’il rentrait - la plupart du temps - Beth était déjà endormie. Il déposait alors un baiser sur son front et remontait sa couverture sur son petit corps frêle, avant de se retirer sur la pointe des pieds.
- ( 04 )Plus le temps s’écoulait, plus la mauvaise humeur de madame s’intensifiait. Ses crises réveillaient tout le quartier et elle - comme à son accoutumé - rabaissait son époux en lui rappelant qui ramenait le plus d’argent à la maison : elle, en tant que journaliste reconnue par ses paires.
- ( 05 )Petite, Mina a nourri le souhait de marcher dans les pas de sa mère, afin qu’elles se rapprochent, seulement, lorsqu’elle a enfin osé le lui confesser, cela a fini en crise de larmes. Comment détruire le rêve d’une enfant ? Interroger Lisbeth Moriarty et elle vous fera le plaisir de vous l’apprendre ! Pas assez intelligente, ni intuitive, sans parler du fait qu’elle ne possédait en rien son charisme, elle lui a assuré, qu’au mieux, on lui laisserait rédiger la rubrique nécrologie d’un journal bas de gamme.
- ( 06 )En grandissant, elle a appris à faire le mur et à découvrir seule les alentours. Centre commerciaux, parcs, boutiques, elle trainassait sans cesse en reculant toujours l’heure où elle se devait de refaire surface. C’est lors d'une occasion - étant rentré plutôt - que William s’est inquiété et la police est partie à sa recherche. En récompense, elle a reçu une gifle monumentale de sa dite mère, qui avait mieux à faire que feindre un semblant d’inquiétude à son égard.
- ( 07 )Une déception sans nom. C’est ce qu’elle a entendu lors d’une dispute qui a éclaté dans le bureau de son père, à leur domicile. Évidemment, et sans surprise, sa « reine » mère la dénigrait, mais elle a surtout assuré à son époux qu’elle aurait préféré que ce soit elle, qui soit né-prématurée, pour la perdre, elle, et non sa première fille. Elle n’en a pas fallu davantage à la jeune adolescente pour intenter à sa vie, se trouvant être malheureuse et empoisonnée au quotidien par celle qui lui a donné la vie.
- ( 08 )Son passage dans un « établissement de repos » a duré plusieurs mois, presque une année. Lisbeth ne lui parlait jamais lors de ses visites et son père s’en voulait indéniablement. Entre sa femme et lui, une tension est née de cet incident qui aurait pu être fatal à leur fille. Publiquement parlant, madame a assuré que sa frêle fille était épuisée, mais qu’elle se porterait comme un charme sous peu de temps, et monsieur n’a soufflé le moindre mot, regardant d’un œil mauvais son affreuse épouse.
- ( 09 )Lorsqu’elle a été acceptée à UCLA, Mina était fier, du moins, durant un certain laps de temps. Car maman lui a assuré que c'était grâce à elle, à son nom ainsi qu’à sa généreuse donation. Morale zappée, confiance en soi brisé, elle s’est vue y débarquer sans lac moindre envie, avant que son émancipation du domicile familial lui a fait pousser des ailes ! Biden entendu, elle était une déception pour sa mère, vu qu’elle choisissait l’architecture au journalisme, mais il lui est finalement apparu qu’ainsi, elle lui ferait bien moins honte.
- ( 10 )Peu désireuse d’étouffer les années suivantes, en retrouvant le domicile familial, Beth a souhaité s’éloigner afin de rejoindre les rangs d’Harvard. William croyant en elle, contrairement à sa mère, l’a aidé dans le but de fournir toutes les pièces justificatives pour étoffer son dossier. Lors de son admission en sixième année, c’est avec un sourire ineffaçable présent sur son visage qu’elle a fait ses valises. William l’a accompagné sur Boston, pour lui trouver un logement, sa mère préférant visiter Washington, en prévision de s’y établir.
- ( 11 )Beth se doit de la supporter à chaque vacance composé de fêtes. Noël et Thanksgiving sont indéniablement les périodes les plus abominables selon elle. Leur relation ne s’améliore pas avec le temps, se détériore même, et à l’annonce de William, de divorcer, Beth et Lisbeth ont vacillé.
- ( 12 )William ne la supporte plus et s’est accroché pour le bien-être de sa fille, seulement, il s’est rendu compte qu’il n’avait fait que laisser les choses empirer. Son actuelle épouse ne l’a pas vu venir et accuse leur fille de leur séparation lors du dîner de noël, ce qui la pousse à partir, sous la neige, sa valise en main. Durant des heures, elle attend un vol pour Boston, sans répondre au moindre appel de ses parents.
- ( 13 )En mars dernier, Lisbeth refait surface et explique à sa fille, via un coup de fil, qu’elle se trouve fiancer à un homme qui a lui-même un fils étudiant à Harvard. Elle ne veut qu’une chose : qu'elle lui fasse bonne impression, car elle souhaite épouser cet homme qu’elle connaît à peine. Sans lui demander quoi que ce soit sur son année à Harvard, ni plus largement à Boston, elle raccroche et laisse sa fille ruminer, peu désireuse de s’entendre avec celui qui deviendra probablement son demi-frère.
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