dit wistiti w/scott

souvenir du passé qui refait surface. putain de souvenir. t'es pas prête à ça. t'aimes pas te faire surprendre ollie. t'aimes être prête à toute les éventualités et celle qui s'était présentée devant toi, tu l'avais pas vu venir. corps en feu qui demande à se calmer, à retrouver l'apaisement. t'avais retrouver refuge dans ce photomaton. un moyen pour toi, d'être à l'abri de pratiquement tout le monde. émotion que tu devais ranger dans un tiroir. la rage, la rancoeur, la tristesse des années de merde que tu avais passé. ce mec, il avait broyer la machine qui te servait de cardio. bouteille de champagne que tu avais voler quelques minutes avant de te retrouver ici. rideau tirée. goulot que tu apportes à tes lèvres, t'es bien décidé à vouloir oublier cette terrible rencontre. ce mec, tu ne veux pas le revoir dans ta vie. tu ne veux pas de lui et ses excuses. tu t'en fous, aujourd'hui, t'es différente de celle qu'il avait blessé. le rideau s'ouvre. " c'est occupé ! " que tu dis sans pour autant regarder la personne qui s'était introduit avec toi. ouaiii, le photomaton était plus grand que la normal. aménager et étudier pour la soirée. le visage qui se tourne pour croiser ces ovales. " qu'est-ce que tu fais là ? "

Erre l’ombre. Divague entre les étudiants. Réduit sa soirée à une présence volage. A l’entrée de la grange, l’homme est appuyé. Contemple la foule, tout en parlant à quelques potes. Le verre porté aux lippes, il boit une gorgée lorsque ses yeux assistent à une scène. Une de plus. La vipère prise au piège. Il s’en régale Scott. Si de loin, il ne comprend pas la teneur de l’échange, il perçoit en revanche, la déstabilisation dont souffre la brune. Et il ne les entend déjà plus. Les voix de ses collègues. Les émeraudes capturés par Ollie. Assiste à la scène. Invisible de ses orbes à elle. Patiente. Jusqu’à ce qu’elle lui donne l’opportunité de la suivre. Rodeur. Liquide déversé dans sa trachée, il quitte ses compagnons. Se débarrasse du contenant. Entre les âmes, il se déplacé. L’aisance souple. Elle file vite. Sa proie. Endosse le rôle de la voleuse pour s’emparer d’une bouteille de champagne. Pour finalement, trouver refuge dans le photomaton. Arriver devant, il tire le rideau l’ombre. Se confronte à la colère de la brune. Tellement palpable. Elle l’atteint de plein fouet. Ne fait qu’accroître le machiavel sourire. Réalise la gamine. Que c’est lui l’intrus. « La bouteille. » Sans son accord, il pénètre son antre. Force son espace intime pour venir se placer à ses côtés. En vrai, il était pas fan du champagne. En plus d’être l’alcool des coincés du cul, le goût était pas plus attractif que ça. A moitié, il pivote vers elle. Froissement. De leurs tissus qui se touchent. Le bras opposé tendu vers la bouteille, il abaisse légèrement son ovale. Opales croisées. « T’croyais pas te l’enfiler toute seule. » Les doigts qui agrippent le goulot, il tire d’un coup sec pour s’en emparer. En boit une lampée, tout en se calant contre le fond.

colère que tu ne camoufles pas. t'as besoin d'extériorisé. tu lui en veux de t'avoir surprise et d'avoir agis contre ta volonté. tu ne voulais pas de lui ici, ni dans ta vie, ni ailleurs. goulot que tu apportes à tes lèvres, tu bois sans raisonnement. les pensées tu les camoufles par de l'ivresse. ce mec, il te renvoie des années en arrière. à cette fille que tu n'es plus. celle qui se laisse séduire par des mots, des gestes et des attentions. aujourd'hui, t'es différente. t'aurais pu retrouver ton cavalier mais tu doutes de sa fragilité. le rideau qui glisse pour finalement revenir dans la pénombre. son regard, tu le croises. " y en a plein d'autres. " tellement plein d'autres pourquoi celle-ci avait-elle attirer son attention. scott n'était pas prévu à l'équation. toi et la bouteille. rien de plus. il s'assoit à tes côtés. espace restreint et épaules qui se frottent. tu ne lui donnes pas la bouteille, t'en profite même pour boire une nouvelle gorgé. tu te fiches bien des manières. le corps qui pivote, le regard braqué sur elle. tu le regards, fureur qui se lit dans ton regard. tu ne peux pas le masquer. c'est impossible. il prends la bouteille avec tellement de facilité, ta résistance est égale à zéro. tu tournes toi aussi pour être face à lui. " redonne la moi, j'ai pas envie de partager ce soir. " ta main est tendu vers lui. les regards qui s'affrontent. " je n'aurais aucune gêne à venir la chercher moi même scott " au non, t'as peut-être pas de force mais tu sais faire preuve de persuasion. corps qui se penche légèrement vers lui et main qui s'accroche à la bouteille, tu le regardes. " tu m'as vu ? " bien sûr qu'il t'avait observer.      

Amère vipère. Bouillonne en elle, la hargne. Fait d’elle une coléreuse. Et lui s’en amuse. Profite d’une faille pour la torturer. Tellement réactive. Sans même le savoir, elle rentre dans un nouveau jeu, car affaiblit. Du moins, suffisamment pour laisser ressurgir sa colère. Le contrôle inexistant. Le corps tourné vers lui, elle se fait possessive en enroulant sa main autour de la bouteille. Braquées sur lui, ses orbes lancent des éclairs. Menacent qui transperce sa bouche. « Vu quoi ? » Le rictus déserteur. Il le ravale. Ses yeux devenues froids. Parce qu’elle est pas la seule à subir ce soir. Lui en parfait observateur. La soirée à errer jusqu’à être témoin de scène qu’il aurait peut-être préféré ignorer. Elle. Lena. Parce que l’ignorance est parfois préférable au savoir. Quand on a connaissance, on ne peut plus faire marche arrière. La réponse à peine formulé, il tire le goulot jusqu’à ses lèvres. Emporte avec lui, la poigne de la brune. Par la force, sa poitrine s’écrase contre lui. La gorgée avalée, il prend le dessus. Décroche sa main.

entrailles qui se déchirent. tu le sens ce malaise naitre dans tes boyaux. souvenir qui brouille ton présent. t'es aveuglé par le coup que tu viens de te prendre. tu ne t'en rends même pas compte ollie. toi, celle qui semblait si forte. bouteille que tu ne veux pas prêter, à laquelle tu te raccroches. il te la dérobe sans aucune résistance. tu le menaces, tu utilises les mots comme tu sais si bien faire. et pourtant " rien " admettre que ton château de carte venait de s'effondré ? jamais de la vie. il t'avait vu... son sourire espiègle le trahissait. tes doigts agrippent l'objet convoité. corps suspendu pour avoir plus de possibilité, de force et de résistance. d'un coup sec, sa musculature agit contre toi. bouteille qu'il amène à ses lèvres, ton corps bascule sur lui. poitrine qui s'écrase sur son torse, visage qui fait affront au sien. il retire ta main de la bouteille, ton poids sur lui. sa respiration qui se fait sentir, son torse qui se soulève à chaque inspiration. tu places une main au dessus de sa tête pour redresser le haut de ton corps. " tu veux jouer scott ? " bien sûr qu'il voulait jouer. sa manigance, tu la vois que maintenant. les sourcils froncées, ton regard ne failli pas. il pourrait s'attarder sur ses lèvres, sur les marques de son visage se laisser submerger par la brume de son parfum. mais non. parce qu'il te regarde, analyse chaque chose que tu fais. animal qui attends qu'à bondir. tu ne le laisses pas prendre la main. les ovales qui le fixent, tes mains viennent finalement se poser sur son torse. ta poitrine qui s'écrasse sur lui." oublier cette soirée de merde. " bien sûr qu'il veut. toi. là. t'aimerais qu'il te rende ta bouteille. " ou évaluer  ma résistance ? "   

Rien. Sans consistance est son mot. Elle ment ouvertement en étant consciente qu’il le savait. Force centrifuge. Il l’a fait basculer la gamine. Elle qui refuse de céder son dû, avant d’y être contrainte. Persistante. Prennent place sur sa tête, les mains. S’en servant comme d’un appuie pour se redresser. Tentatrice. Charme pour mieux piquer. Fonctionnement identique. Où sont les nuances ? Il veut les voir Scott. Etudier ce qui la diffère de lui. Abat sur son torse, ses paumes brulantes. Leur chaleur, le transperce. Suit le poids léger de sa poitrine. Elle dont il peut deviner les contours rien qu’au ressenti.  Envoie une décharge d’adrénaline quand de ses lèvres, apparait la proposition. Et il cherche Scott. Le piège. Celui qu’elle est surement en train de lui tendre. « Qui a dit que j’passais une soirée d’merde ? » La bouteille toujours en main, il l’a fait passer aisément à sa main gauche, afin de la placer sous le banc du photomaton. Loin d’elle. De ses doigts, il encerclent les fins poignets de la provocatrice. Elle qui s’était vilement pavaner à sa table. Elle qui jouait jusqu’à perdre la face devant un type. « Quand à ta résistance, j’pas besoin de l’évaluer .. » La voix basse, il effleure l’intérieur de ses poignets avec ses pouces. Douceur. Trop irréelle pour perdurer. D’un seul élan, il la rejette en arrière. La plaque contre le panneau de bois à l’autre extrémité. « J’ai déjà pris mon pied en t’voyant la perdre devant c’type. Et t’sais quoi ? .. » Imposante carcasse. Se penche légèrement l’ombre. Murmure près de ses lippes. « C’était encore mieux que de t’entendre gémir mon nom. » Machiavel dans son sourire. Il la relâche brusquement. Récupère la bouteille pour se placer contre l’autre extrémité. Ses genoux effleurant ceux de la brune. Il reprend une gorgée.

[justify]résistance, ta position est délicate tes mains encercles sont visage. suspendu. les abdos qui tirent, tu te résignes à l'idée de le toucher, tes mains finissent par se planter sur son torse. déferlant le poids de ton corps sur lui. première fois que vous vous autorisiez à toucher l'autre. les mots t'avaient pourtant déjà effleuré et captivé. les yeux qui se plissent, habitude que tu as avant chaque duel. " les traits de ton visage et ton regard " attentive et discrète. tu l'avais observé lorsque doria t'avait présenter à sa table. elle avait même su te donner quelques détails personnelles. accrochant une étiquette au prénom lena et davy. ex-petit amie qui flirte avec le crush de son amie. pathétique. la situation n'était-elle pas identique ? finalement scott. la bouteille qui te contourne et le regard qui se tourne pour la suivre. salopard. ses mains viennent saisir tes poignets. délicatement et avec douceur. regard suspendu au creux de ses mots, il te réponds. abdos qu'il contracte, il te redresse et te plaque brutalement en arrière contre cette plaque en bois. un grognement s'échappe de tes lèvres. tu secoues légèrement la tête et reporte ton attention sur lui.  la situation est renversé, il te domine complètement. mot tranchant qu'il utilise avec soin. il utilise l'une de tes faiblesses contre toi. le jeu était-il de faire mal à l'autre ? visage qui s'approche, beaucoup trop prêt de toi. ses lèvres qui murmurent au creux des tiennes. son souffle chaud, tu peux le sentir contre ta peau. dernière pièce qu'il avance dans son jeu d'échec avant de récupérer la bouteille pour se mettre à l'autre extrémité. les genoux qui se touchent presque. tu lèves les yeux aux ciels et accroches ce sourire faussement moqueur sur les lèvres. " ne penses-tu pas que ma résistance est identique à la tienne scott ?  " ces mêmes putain de faiblesse qui font de vous ce que vous redoutez. dos qui se décolle de la paroi et fesse qui glisse sur le banc. main qui rejette son premier genou. jambes qui s'écartent brutalement. tu t'inities dans l'antre de son intimité. une main qui s'appuie sur le banc et qui maintient ton buste. tu te penches sur lui. ton bras longue la ligne médiane de son entrejambe. tu ne le touches pas mais t'es assez proche de lui pour qu'il te sente et ressente. tu prends la bouteille de champagne cette fois-ci aucune résistance. tu bois une gorgée. " t'es sûr de vouloir partir sur ce terrain glissant ? " tu le questionnes comme pour le prévenir que tes mots allaient sans doute piquer. t'es gentille, tu le préviens. " parce qu' il ne serait pas difficile pour moi de prendre mon pied en imaginant ta tête après ce que ta cavalière a fait ce soir. " tu n'avais peut-être rien vu mais tu devinais parfaitement les choses ollie. doria t'avait expliqué pas mal de chose. tu t'approches encore épaule mise en avant, visage qui s'attarde au niveau de son oreille. " t'es sûr que tu ne veux pas que je gémisse ton prénom maintenant ? " bouteille que t'apportes de nouveau à tes lèvres. tu glisses en arrière, effleurant sa joue. endroit safe retrouver. tes billes qui le mitraillent.

@Scott Guerin

« Non. » La négation sortie presque instantanément. Habité par l’égocentrisme, il se dit meilleur, mais au fond, il a bien conscience qu’elle est capable de résisté autant que lui. C’est surement ça qui lui plait dans ce jeu. Repoussé les limites. Tendre le fil à l’extrême. Avoir un aperçu avec les effilochures, mais sans jamais aller à la rupture. Devant lui, se met en mouvement la gamine. Refus d’abdiquer. Glisse, le tissu de la jupe sur le banc. A ses oreilles, lui viennent les insupportables froissements. Eux qui créent la tension. Le haut entrouvert, sa peau dorée appelle ses orbes. Possessive main, sur son premier genou, elle l’évince. S’ouvre un passage entre ses cuisses. L’autre sur le banc, elle prend appuie pour mieux se pencher. Trop près de son intimité. Eclat malicieux dans les yeux, il sait parfaitement ce qu’elle est en train de faire. Et elle est douée Ollie. La vipère excelle. Calculatrice. Elle est sans scrupule la brune. A parfaitement connaissance de ce qu’elle peut déclencher chez l’autre. A sa taille, l’adversaire. Parce qu’il est entrainé Scott. A surpasser celui d’en face pour toujours avoir le dernier mot. Malgré ce qu’elle peut provoquer. Réveiller. Entêtant garçon. Qui aime manipuler l’art du vice. Encore plus quand l’attirance s’y retrouve mêlée. Vicieuse, elle reprend la bouteille. Avec facilité. Uniquement, parce qu’il pouvait au moins consentir ses efforts. Immobile. L’antre toujours pris d’assaut par elle, il regarde le numéro. Suit le goulot porté à ses lèvres. Second acte. S’avance davantage Ollie. La parole coupante qui pense le blesser, mais elle a tort. Scott est tellement sûr de lui que chaque homme qui le succède, il les voit comme un jouet. Consommé, avant d’être jeté. Et sans doute qu’il a tort, mais son ego est trop ancré. Bouée de secours. A laquelle il s’est temps maintenu. Pulpeuse effleure son oreille. Souffle les mots suaves. Rappel à lui, l’intonation de sa voix lorsqu’elle gémit. Laissant l’effet trouver son âme, elle boit une autre gorgée. Se recule. Et l’observe. Si fière d’elle. Passent les secondes. Qu’il finit par mettre en pause. Accrochée à ses orbes, il lève un bras. Essuie du pouce, les traces de champagne sur le coin de ses lèvres. « C’tout ? » Qu’est-ce qu’elle pouvait bien savoir de sa relation avec Lena ? Doria. Est-ce qu’elle avait trop parlé ? Contre le panneau, le brun se renfonce. Provoque un léger espace entre leur deux corps. Passe un bras derrière sa nuque. « Finalement, t’es plus ennuyante que j’le pensais. » Lasse d’apparence.

esprit qui s'apaise et fumée qui jaillit. il t'aide, sans le savoir. à penser à autre choses, tu balayes ce dernier moment de ta soirée, celui qui t'a mise à mal. tu résistes, tu t'interdis d'imaginer une possible discussion avec celui qui a briser ce coeur. tu ne pardonnes pas, t'es rancunière ollie. sang qui bouillonne en toi, tu le canalises avec un peu d'alcool et ce jeu devenu une habitude. animal qui reprends ses droits. tu attaques. tu ne fais pas attention à la négativité de sa réponse. toi t'es persuadée de l'inverse. similitude entre vous, tu les as parfaitement retracé avec l'aide de doria. respiration contrôlé qui souffle sur tes mèches de cheveux. tu ne capitules pas, ce n'est pas dans tes gênes. t'attires chaque regard, t'animes chaque partie de son corps sans omettre l'erreur de le toucher. l'imagination est un art que tu maitrises à la perfection. tu recules fière d'avoir implanté ta présence à ses côtés. toi, tu pouvais encore facilement sentir son souffle sur ta peau. les yeux qui ne se quittent pas et le silence qui s'installe. tu bois encore, tu ne sens plus l'acidité dérangeante du liquide. t'es anesthésier. mains masculine qui se lèvent. tu le regardes méticuleusement. pousse qui vient essuyer le coin de tes lèvres. tu ne bouges pas, prête à lui faire face. il s'écarte une nouvelle fois de toi pour t'assener d'un nouveau reproche. menteur. tu souris délicatement, la bouteille que t'approche une nouvelle à tes lèvres. tu fais exprès cette fois-ci de mouillé un peu plus tes lèvres du liquide pétillant. tu poses la bouteille en dessous le banc, ton buste se penche vers lui. encore. tu le fixes en passant ta langue sur tes lèvres mouillés, doucement, tendrement pour qu'il n'oublie rien. " fallait me dire que tu voulais t'amuser. " les sourcils qui se redressent, tu te tournes vers l'écran qui se trouvait face à vous. tu tapotes sur l'écran, heureusement c'est gratuit. t'avais pas ton sac avec toi. tu sélectionnes un programme de photo. tu les connais ses machines, tu te redresses comme tu peux. ta main qui se pose une nouvelle fois sur son genou pour lui écarter les jambes. sans lui demander, tu poses tes fesses entre ses cuisses. dos à lui. tu tournes légèrement la tête. fesse collé contre son entre jambe. " t'es un menteur scott " tu ne le vois pas, mais tu le devines. objectif qui s'apprête à capture ce moment. tu peux voir son regard à travers l'écran. celui qu'il dépose sur toi. toi, tu t'amuses !
@Scott Guerin

Rebondis sur elle. Les mots. Aucun impact. Insensible. Porte une fois de plus, le goulot de la bouteille aux lèvres. En avale le contenu avec la volonté d’en laisser déborder. Brille le liquide. Perle de diamant s’écoule de sa bouche pour luire sur son derme. Erotique est sa gestuelle. Assez pour qu’il s’en retrouve percuté, mais fidèle à lui-même, il donne l’illusion de la nonchalance. Insolente, elle se penche. Capture de sa serpentine, le champagne. Provoque les sens. Fait germer dans son esprit, un bref aperçu de ce qu’elle pourrait lui donner. Autour de lui, elle referme le piège. Un piège dont il peut saisir les rouages. Y mêler le sien pour mieux l’apprivoiser. Union. Elle agit la brune. Allume le photomaton. Pièce rajoutée à leur jeu. D’une force insoupçonnée, elle écarte ses cuisses à lui. Force le passage pour s’y assoir. Son cul sur son désir. Mis à découvert. Elle peut la sentir. S’en servir. Chose qu’elle ne tarde pas à faire. L’ovale tourné vers lui, elle balance à sa gueule le mensonge. A l’instant même où le flash inonde la cabine. Lumière pénétrante. Etrécie son champ de vision à elle. Ses orbes qui le dominent. « Et ? » Ne dément pas l’ombre. « T’vas en faire quoi hein ? » De son mensonge. Sur sa taille, il passe un bras. L’entour pour la bloquer par le ventre. Contre lui, il la comprime. Elle qui s’appuie un peu plus sur sa virilité. « Dis-moi Ollie. » Susurre l’obscure. Les lèvres si proches. Nouveau flash.