Les originessuédoise par ton père, américaine par ta mère.
feat. krista keehus
treize novembre quatre-vingt-quatorze à boston, scorpio vibes
exclusivement américaine
l'amour des coeurs plus que des corps, célibataire
l'une des meilleures tatoueuses de boston, barmaid au hocus pocus la nuit
plus proche du zéro que du million
Le caractère
bagarreuse, bon public,
dure d'apparence, drôle,
facile à vivre, franche, sans limite,
tendre, vengeresse.
le mensonge comme plus grand ennemi, la trahison comme phobie, t’es de celles qui ont la franchise au bout des lèvres, qu’importe qu’elle soit bonne ou mauvaise à attendre. parce qu’à tes yeux, une vraie relation est basée sur l’honnêteté ; parce qu’aucune confiance ne peut s’obtenir par le mensonge, la tienne encore moins. si tu peux paraître dure de l’extérieur, t’es pourtant plutôt tendre ; facile à vivre quand on te connaît, du genre à ne pas te prendre la tête, à profiter de la vie telle qu’elle te vient sans penser au lendemain, tu profites de chaque seconde que le ciel t’offre sur cette terre. si t’es suffisamment à l’aise pour te montrer telle quelle au grand jour, t’es surtout la dernière à faire semblant ; parce que le paraître t’importe peu, tu préfères amplement être pleinement celle que t’es au fond. pourtant, quiconque s’avise de toucher à un seul cheveu des tiens s’expose à tout ce qu’il y a de pire en toi ; à ta colère, à ton esprit de vengeance, à ta violence, à ton manque de limite.
dure d'apparence, drôle,
facile à vivre, franche, sans limite,
tendre, vengeresse.
le mensonge comme plus grand ennemi, la trahison comme phobie, t’es de celles qui ont la franchise au bout des lèvres, qu’importe qu’elle soit bonne ou mauvaise à attendre. parce qu’à tes yeux, une vraie relation est basée sur l’honnêteté ; parce qu’aucune confiance ne peut s’obtenir par le mensonge, la tienne encore moins. si tu peux paraître dure de l’extérieur, t’es pourtant plutôt tendre ; facile à vivre quand on te connaît, du genre à ne pas te prendre la tête, à profiter de la vie telle qu’elle te vient sans penser au lendemain, tu profites de chaque seconde que le ciel t’offre sur cette terre. si t’es suffisamment à l’aise pour te montrer telle quelle au grand jour, t’es surtout la dernière à faire semblant ; parce que le paraître t’importe peu, tu préfères amplement être pleinement celle que t’es au fond. pourtant, quiconque s’avise de toucher à un seul cheveu des tiens s’expose à tout ce qu’il y a de pire en toi ; à ta colère, à ton esprit de vengeance, à ta violence, à ton manque de limite.
Les anecdotes
- ( 01 ) les trafics de père en fils, ton grand-père y avait les pieds avant de passer le flambeau à ton père. tes grands-parents sont décédés dans un accident de voiture dans les semaines qui ont suivi l'arrestation de ton père.
- ( 02 ) une vie de famille des moins admirables, papa a pourtant tout fait pour tes beaux yeux lorsque maman a disparu avec son amant. du moins, c'est ce qu'il t'a toujours raconté, papa. t'as jamais réellement su où elle était passée, en réalité ; et t'as jamais cherché à le savoir non plus tant tu la haïssais pour tous les coups qu'elle t'offrait trois années durant avant de se volatiliser du jour au lendemain.
- ( 03 ) toute ton existence passée ici, à boston ; de ton premier souffle à ton actuel, c'est ici que t'as tout vécu. t'as rarement eu l'occasion de partir d'ici, enchaînée à cette ville comme une malédiction que tu comptes bien rompre tôt ou tard. et lorsque t'as pu en sortir, tes voyages ne se sont que rarement faits en-dehors du pays.
- ( 04 ) enfant plus douée de ses doigts que de sa tête, c'est dans l'art que tu découvres une véritable passion. le dessin et la peinture, des heures passées à t'exercer, des nuits entières à te perfectionner au détriment de ta scolarité. les études abandonnées avant la fin du lycée, aucun diplôme en poche.
- ( 05 ) les petits boulots enchaînés avec un objectif en tête : ouvrir ton salon de tatouage. t'as donné tout ce que t'as pu pour apprendre, un book monté au fil des mois pour trouver une place dans un shop existant. dix-neuf ans lorsque tu commences officiellement le tatouage, des petits boulots cumulés à côté pour subvenir à tes besoins.
- ( 06 ) la figure paternelle comme plus grand soutien, t'as continué de vivre avec lui jusqu'à tes vingt-quatre ans pour alléger ton compte bancaire. lui, il est de ceux qui auraient tout fait pour toi ; et il l'a fait. il s'est démené pour vous offrir une vie convenable, les mains trempées dans l'illégalité, sans cesse à flirter avec le danger.
- ( 07 ) février deux mille dix-neuf, le lancement de ton propre shop ; des tatoueurs et pierceurs à leurs comptes accueillis à tes côtés, les affaires qui se lancent réellement au fil des mois. capable d'en vivre désormais, t'as pourtant décidé de garder un travail d'appoint, préférant assurer tes arrières.
- ( 08 ) août deux mille dix-neuf, la chute. de mille étages. l'impression de sentir ton coeur imploser à l'instant où la sentence est tombée. papa est incarcéré, ton pilier disparaît pour des années, l'espoir toujours d'un jour l'avoir à nouveau à tes côtés. parce que papa était le bras droit d'un grand trafiquant et qu'ils sont tous tombé, les uns après les autres, lui en dernier. et toi, si tu savais qu'il baignait pas vraiment dans des affaires légales, tu pensais pas qu'il en était là.
- ( 09 ) apprendre à vivre sans lui, le souffle coupé par la distance ; devoir voler de tes propres ailes, loin de l'homme de ta vie. un loyer à payer seule, ton shop à gérer, la sensation que le sol se dérobe sous tes pieds. t'as pourtant tenu bon, t'as gardé la tête haute en regagnant le sourire au fil des semaines, à retrouver ton optimisme. t'as compris à cet instant que tu devais réellement vivre ta vie sans t'inquiéter du lendemain ; parce que demain, peut-être que tout s'écroulera sur ta carcasse, elfy.
- ( 10 ) deux mille vingt-trois, la carrière est définitivement bien lancée. parmi les meilleurs tatoueurs de boston, tu te donnes corps et âme à ta passion. pour toi, pour eux, pour vous tous. parce que t'aimes plus que tout voir leurs yeux briller de joie lorsqu'ils découvrent leur nouvelle peau.
- Code:
<div class="card-user-bottin-fire"><fire class="text-s-bebas text-upper">KRISTA KEEHUS</fire><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Elfy Mohn"</span></div>
(Anthea Oppenheimer)
— you'll be the ruin of me, won't you ?
— yes. does that scare you ?
— yes. does that scare you ?