gigantesque demeure familiale retrouvée pour quelques jours tout juste, pour les affaires, parce que ton père et ton oncle ont eu besoin de toi. blanca embarquée avec toi à des milliers de kilomètres de boston, ta mère ravie de la revoir, ton paternel aussi. dix-huit heures quarante-cinq lorsque vos trois silhouettes masculines quittent l’énorme bureau dans lequel vous vous trouviez depuis la fin de matinée, désormais parti à la recherche de ta meilleure amie au travers de la villa pour rattraper les heures perdues en sa compagnie. ton sourire qui s’étire lorsqu’enfin tes billes se posent sur elle, au loin. « désolé princesse, ça a été un peu plus long que prévu. » que tu lances d’une voix calme en t’approchant davantage d’elle encore, tes lèvres que tu viens déposer sur son front avec délicatesse. « je t’emmène dîner en ville, est-ce que je te laisse du temps pour te préparer ? » que la réponse soit oui ou non, elle est toujours sublime à tes yeux.