Bah le souci c'est que je sens à peine à quel point ça te fait chier d'en parler... m'enfin bon.
Ouvertement ? Très bien. Tu me sors petit à petit de ta vie en jouant les gamines insupportables exprès pour me dégoûter parce que tu as peur que l'on s'attache à toi. Sauf que j'étais ton pote bien avant qu'on couche ensemble, que je suis un grand garçon et quand on me dit non, je n'insiste pas. Peut-être que tu n'es pas habituée à ce que l'on respecte ta volonté ou tes sentiments, mais ce n'est pas moi qui te chasse de ma vie. Tu en as toujours fait partie, et de mon côté, je n'ai aucune intention de t'en virer comme une malpropre. Après tu es aussi une grande fille, si tu veux fuir joyeusement comme tu as l'habitude de le faire... eh bien fais-le. Je suis fatigué et tu n'es pas la seule à avoir des soucis. Si tu ne veux plus de notre amitié, alors sache que ce serait TON CHOIX et que tu ne pourras pas dire que je t'ai abandonné. Parce que tu sais très bien que, dans le fond, ce n'est pas la vérité.
Et ce soir je suis à deux doigts de la crise donc non, navré, je vais rester allongé.