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Les originesOrigines anglaises, australiennes, néerlandais et irlandaises.
feat. olivia dejonge
mise au monde le 20/03/98 à londres.
britannique.
célibataire et hétéro.
étudiante en design de mode, histoire de l'art et architecture en mineur.
riche, héritière.
Le caractère
Le sourire qui éclos facilement sur ses lèvres, Betty se veut être de lumière. Toujours tirée à quatre épingles, aucun fil qui dépasse, aucune mèche qui n’est pas à sa place, elle maîtrise à merveille l’art de la présentation. La poupée blonde aux yeux bleus, délicate, le menton haut, polie et toujours classe. Elle irradie la bienveillance, quand on la voit on se dit qu’elle ferait pas de mal à une mouche, qu’elle doit être douce comme un agneau, la gamine riche innocente, couvée, dont on marcherait plutôt sur le pied. Elle a pas franchement l’air courageuse, têtue, ou particulièrement forte, tout trait de caractère trop fort gommé par cette vision de princesse éthérée, image dont elle joue quand même, plus espiègle qu’elle n’en a l’air. Elle n’a pas forcément confiance en elle, n’est pas toujours heureuse de l’image qu’elle projette. Elle sait qu’on l’apprécie, qu’elle gagne facilement sa place dans le cœur des gens, mais elle crains de lasser aussi. Y a plus fun que de se trimballer une poupée à son bras, son ex pourrait vraisemblablement en dire beaucoup le sujet.
Elle a le coeur toujours lacéré, Betty. Ça ne guérit pas vraiment. La morsure de la trahison et cette voix persistante dans sa tête qui persiste à tonner qu’elle aurait pu faire mieux. Que si elle était différente, plus impulsive et divertissante, alors il n’aurait jamais eut ne serait-ce que l’idée de partir. Tout ça, elle n’aime pas en parler, Betty. En fait, elle ne parle pas des caisses, les lèvres closes. Ses expressions faciales la trahissent déjà trop. Elle est émotive et même si elle essaie de se renforcer, de transformer la soie en acier, rien n’y fait. Les joues qui rosissent pour rien et ses maudits yeux bleus qui deviennent immenses et humides, prévenant l’arrivée des grandes eaux. C’est peut-être ce qu’elle aime le moins chez elle. Cette faiblesse qu’elle est bien incapable de museler en elle. Tout est lisible, poupée trop expressive.
Elle se fait pas de cadeaux en somme, Betty. Elle se dégomme dans sa tête, formulant des reproches qui rebondissent et font des dégâts sur son estime. Y a pourtant tant à aimer chez elle, preuve en est : elle est toujours très bien entourée. Et ça n’a rien à voir avec l’argent ou la beauté. Les moyens, qu’ils soient physiques ou financiers, attirent, mais ils ne retiennent pas. Betty ne se réduit pas plus à un nom qu’à un physique. Plus brave qu’elle n’en a l’air, elle est même capable de se battre, la demoiselle, d’autant plus quand il est question de défendre les gens qu’elle aime. On trouve difficilement personne plus fidèle, une amie (et une petite amie) émérite. Bon, elle à ses défauts aussi, mais rien de bien méchant. Elle transpire l’argent déjà et c’est vrai qu’elle fait parfois sa princesse, mais ça tiens plus de l’habitude que d’une envie de souligner la puissance de sa famille. Vraiment, elle ne se sent pas supérieure à qui que ce soit. Flattée, gâtée par la vie, mais elle se désintéresse pas de ceux qui ne sont pas aussi vernis qu’elle par le destin. Au contraire, bien plus ouverte que son nom peut le laisser croire, elle a le coeur au bord des lèvres et une envie sincère de s’ouvrir au monde.
Elle a le coeur toujours lacéré, Betty. Ça ne guérit pas vraiment. La morsure de la trahison et cette voix persistante dans sa tête qui persiste à tonner qu’elle aurait pu faire mieux. Que si elle était différente, plus impulsive et divertissante, alors il n’aurait jamais eut ne serait-ce que l’idée de partir. Tout ça, elle n’aime pas en parler, Betty. En fait, elle ne parle pas des caisses, les lèvres closes. Ses expressions faciales la trahissent déjà trop. Elle est émotive et même si elle essaie de se renforcer, de transformer la soie en acier, rien n’y fait. Les joues qui rosissent pour rien et ses maudits yeux bleus qui deviennent immenses et humides, prévenant l’arrivée des grandes eaux. C’est peut-être ce qu’elle aime le moins chez elle. Cette faiblesse qu’elle est bien incapable de museler en elle. Tout est lisible, poupée trop expressive.
Elle se fait pas de cadeaux en somme, Betty. Elle se dégomme dans sa tête, formulant des reproches qui rebondissent et font des dégâts sur son estime. Y a pourtant tant à aimer chez elle, preuve en est : elle est toujours très bien entourée. Et ça n’a rien à voir avec l’argent ou la beauté. Les moyens, qu’ils soient physiques ou financiers, attirent, mais ils ne retiennent pas. Betty ne se réduit pas plus à un nom qu’à un physique. Plus brave qu’elle n’en a l’air, elle est même capable de se battre, la demoiselle, d’autant plus quand il est question de défendre les gens qu’elle aime. On trouve difficilement personne plus fidèle, une amie (et une petite amie) émérite. Bon, elle à ses défauts aussi, mais rien de bien méchant. Elle transpire l’argent déjà et c’est vrai qu’elle fait parfois sa princesse, mais ça tiens plus de l’habitude que d’une envie de souligner la puissance de sa famille. Vraiment, elle ne se sent pas supérieure à qui que ce soit. Flattée, gâtée par la vie, mais elle se désintéresse pas de ceux qui ne sont pas aussi vernis qu’elle par le destin. Au contraire, bien plus ouverte que son nom peut le laisser croire, elle a le coeur au bord des lèvres et une envie sincère de s’ouvrir au monde.
Les anecdotes
- ( 01 )Héritière, Betty est l'une des petites filles du milliardaire John Caudwell. Elle proviens d'une famille nombreuse (son père, lui-même élevé au sein d'une fratrie de cinq, a eut avec sa femme Serena sept enfants) et occupe le statut de la benjamine. Elle n'a jamais connu que l'opulence, a toujours jouit de nombreuses opportunités, les portes s'ouvrant sans peine pour elle. Source d'affection et d'attention, elle c'est celle qu'on couve qu'on protège. Les gens ont tendance à la traiter comme une petite chose fragile, comme une poupée de porcelaine vivante, vision favorisée par son apparence, ses grands yeux bleus et sa chevelure blond pale. Outre son physique, il émane également d'elle beaucoup de féminité, de bienveillance et de douceur. On tend à la sous-estimer, à voir en sa gentillesse une preuve de faiblesse.
- ( 02 )Elle a grandit à Londres. Une enfance heureuse, faut dire qu'elle a toujours été plus que bien entourée. Pouvant compter sur ses frères et soeurs, elle a aussi toujours bénéficié du soutien de ses parents, des gens très occupés et plein d'attentes envers leur progéniture, mais tout de même présents et bienveillants. Betty s'est vu ouvertes toutes les portes, accordées toutes les chances pour réussir dans la vie. Allant d'écoles privées en écoles privées, elle s'est illustrée comme une jeune fille sérieuse, un peu réservée plus jeune, puis plus assurée. Même lorsqu'elle était plus timide et silencieuse, elle n'a jamais eut de mal à se faire des amis, sa nature gentille et douce tendant à attirer les autres.
- ( 03 )Ses parents qui se sont rencontrés sur les bancs de l'université sont très amoureux et représentent aux yeux de Betty un couple parfait. Très amoureuse de l'idée même d'être amoureuse, Betty a toujours rêvé de trouver la personne faite pour elle. Croyant au principe des âmes-soeur, c'est ce qu'elle s'est rapidement mise à chercher. Sa moitié, la personne taillée sur mesure pour elle et vice-versa. Rêveuse, biberonnée aux contes de fées et aux grandes romances littéraires et cinématographiques, elle a choisi Hardin quand ils avaient douze ans. Un amour d'enfance, quasiment, encouragé par des parents s'entendant bien et étant plus que motivés pour solidifier cette amourette initiale en une véritable alliance. Le crush a vite pris de plus grandes proportions et Betty s'est abandonnée totalement à ça, s'éprenant complètement d'Hardin. Elle aimait tout chez lui. Surtout, là où il appréciait sa gentillesse et son tempérament d'apparence facile et malléable, elle aimait qu'il lui soit de bien des façon (pour ne pas dire de toutes les façons possibles et imaginables) opposé. Leurs parents s'emballaient, parlaient déjà pour eux de mariages et d'enfants alors même que les principaux concernés l'étaient pour ainsi dire encore, des enfants. Betty a eut la naïveté de s'enliser dans tout ça. De voir en Hardin plus que ce qu'il était, de lui prêter des traits qui n'étaient pas les siens. Elle l'a placé sur un piedestal, consciente de ses défauts et de ses failles, mais incapable de les voir comme des choses susceptibles de la blesser elle. Elle se croyait hors de portée, princesse bien gardée, romance acquise. Grand mal lui a pris. Tant d'espoir accumulé en elle seulement pour s'y voir opposé une encore plus grande déception.
- ( 04 )En 2015, les choses se compliquent. Le lycée qui se termine, le chapitre université qui se dessine. Si Betty ne s'angoisse pas particulièrement vis-à-vis de son admission à l'université en elle-même (son dossier scolaire est très solide), Hardin parle de quitter l'Angleterre, arrête son choix sur Harvard. Betty se retrouve devant un dilemme : le suivre ou non. Elle espère à moitié ne pas être admise à Harvard, nourrissant l'espoir dont elle n'imagine pas combien il est lunaire alors qu'Hardin pourrait renoncer à aller là-bas si elle se révélait incapable d'intégrer la même universitaire. Elle sait que c'est égoïste mais ne peut s'empêcher et de toute façon elle apprend vite qu'Harvard est aussi une option pour elle. Une fois encore, les portes sont ouvertes pour elle. Acceptée dans une poignée d'universités, dont Harvard et Oxford, les opportunités ne manquent pas. Inquiète, elle passe plusieurs blanches à retourner tout ça dans sa tête. Un pressentiment lui saisit le ventre, sa tête la pousse à orchestrer son départ pour les USA, à s'accrocher à Hardin même si son coeur la maintiens en Angleterre, auprès de toute sa famille. Finalement elle choisit Oxford, le familier, le confortable et donc de laisser Hardin partir loin d'elle. Angoissée par cette perspective, elle se réconforte dans ses certitudes. Qu'Hardin l'aime, qu'elle l'aime aussi, qu'ils sont ensemble depuis des années, qu'elle ira le voir, qu'il viendra la voir. Que ce n'est pas la fin, que ce n'est que le début et que si la distance complique tout, elle peut aussi solidifier les sentiments, non ? Elle essaie de se convaincre surtout, les membres de sa fratrie laissant entrevoir plus de doutes, entrevoyant le crash avant qu'il ne survienne.
- ( 05 )2017. Et ça lui pendait au nez. Mais le monde s'écroule. Hardin qui rompt, qui la laisse, qui lui brise le coeur. Tout qui s'effrite, tout qui s'effondre. Elle aurait dut le voir venir. Elle aurait dut s'y être préparée, mais elle voulait y croire et c'est ce qu'elle a fait. 2017 et elle a le coeur en miettes. Une période sombre où elle se rabat sur ses études, mais elle a le coeur à rien si ce n'est lui. Idiot comme il lui manque, comme elle le voudrait près de lui soudain alors qu'il est plus là, déjà, depuis longtemps. Elle se sent bête de l'aimer autant alors qu'elle devrait le détester. Elle se sent bête de pleurer pour lui, mais ça se résume pas à ça et, larmoyante, enfin, elle le reconnaît. Qu'elle aimait pas juste Hardin pour ce qu'il était, même si elle l'aimait vraiment. Elle aimait l'image qu'elle s'était faite d'eux en tant que le couple, l'image qu'elle s'était bâtie de lui. Un garçon en chair et en os, réinventé en prince rebelle, en grand méchant loup qu'elle saurait mater d'un baiser. Absurde, stupide. Elle se sent tellement gamine. On la console. Les membres de sa fratrie qui sont toujours dans le coin la trimballe à droite à gauche, tente de lui refiler le sourire. Il ne te méritait pas. Tu vaux tellement mieux que lui, Betty. Et à chaque fois elle acquiesce, d'un léger mouvement de tête. Elle ouvre pas la bouche, elle en est pas capable. Elle ne peut pas dire les mots, mettre entièrement sur lui le blâme. Même si elle devrait. Il l'a trahie. Mais elle s'interroge, Betty et elle rejoue les scènes. Les moments rien qu'à eux, à elle et à lui. Les moments où il a pu se lasser d'elle, la trouver trop tarte peu, trop faible, trop gamine; Et ça lui fait un mal de chien de se dire qu'il puisse penser ça. Qu'il ait cessé de l'aimer juste comme ça. Elle comprend même pas que ça puisse être possible. Cela ne fait pas sens pour elle.
- ( 06 )Betty, elle ne se résume pas à l'amour et elle ne se résume sûrement pas à Hardin. Elle a d'autres trésors en elle, d'autres combats à mener et c'est ce qui la fait tenir. Le soutien qui surgit de toute part, de par sa famille, de par ses amis, et l'envie de transcender son chagrin qui la pousse avant. Alors soit, elle en mène pas franchement large le soir quand elle gagne son lit et qu'elle se retrouve toute seule avec pour toute compagnie son manque de lui. Mais quand le soleil grimpe dans le ciel, la douceur de la soie revêt la force de l'acier et elle va de l'avant. Les talons hauts qui cliquettent, ses longs cheveux blonds impeccablement tirés en une queue de chevale haute, elle rassemble toute l'assurance qu'elle est encore capable de rassembler et elle la brandit en étendard à la face du monde. Un bout de sa vie qui s'est effondré, mais c'est jamais qu'un bout. Elle est toujours brillante, et pleine de projets. C'est un pré-requis dans sa famille, après tout. Elle a ça dans le sang, du moins il paraît. Les parents de Betty ne sont pas particulièrement sur le dos de leurs gosses, mais ils attendent beaucoup de lui. Ils n'exigent pas de les voir prendre une voie en particulier, mais ils attendent d'eux qu'ils bossent, qu'ils se distinguent, qu'ils bâtissent quelque chose de leurs mains et avec l'appui et le soutien des leurs. La famille est une ressource non négligeable et inépuisable, mais elle ne suffit pas d'elle même et tout un chacun doit déployer les efforts nécessaires pour s'élever. Certains y arrivent plus aisément que d'autres, certaines routes sont moins praticables que celles que d'autres empruntent ou ont emprunté, mais au final tout le monde doit s'en tirer. Betty fait pas exception. Elle a ses propres plans et c'est ce qui maintiens sa tête blonde hors de l'autre. Son conte de fées initial ruiné, il lui en faut en bâtir un autre et de préférence un qu'un homme n'aura pas le pouvoir de ruiner.
- ( 07 )Son truc à elle c'est la mode. C'est un univers qui la fascine, faut dire qu'elle a de quoi de tenir, sa mère étant une créatrice de mode qui a sut se faire un nom au fil du temps. Elle a baigné là-dedans, a fait un peu de mannequinat aussi, mais elle rêve pas de podiums, ou du moins pas d'être dessus. Elle veut créer des collections démentes, voir les univers qui pullulent dans sa tête prendre vie. Ce sera plus simple pour elle de réaliser ce rêve, pouvant jouir de l'appui de sa mère et de sa notoriété, mais Betty ne se repose pas sur ses lauriers pour autant. Studieuse, appliquée, elle s'investit beaucoup dans ses études, comme dans tout ce qu'elle fait.
- ( 08 )Elle s'est fait transféré à Harvard mi-2022. Une décision décriée par certains membres de son entourage, qui voit en cette décision un retour en arrière et ouais, y a sans doute un peu de ça. Elle n'a jamais essayé de reconquérir Hardin, étonnamment lucide sur leur relation soudain, et sur son incapacité à regagner le coeur d'un garçon, coeur qu'elle n'a peut-être jamais possédé pour commencer. Il n'empêche qu'il aura toujours une place particulière dans son coeur et qu'une partie d'elle l'aimera toujours. Et elle avait envie de le revoir, ou de l'entrevoir. Tout du moins de découvrir ce pour quoi il l'a laissée derrière. Son choix de se faire transférer ne repose pas intégralement sur Hardin toutefois, ce serait trop pathétique. Au cours des dernières années, plusieurs membres de la fratrie Caudwell ont échoué aux USA et la décision de Betty de déménager tiens aussi dans son envie de retrouver sa fratrie, cette armée de sept si chère à son coeur.
- ( 09 )Betty n'a jamais vécu sur le campus. Comment aurait-elle pu faire entrer ne serait-ce qu'un dixième de sa garde robe dans un des petits placards des chambres des résidences. A la place, elle a fait des recherches en amont de son arrivée à Boston avec deux de ses frères et ils se sont tous les trois trouvés un grand appart remplissant chacun de leurs critères. C'est rassurant pour Betty, de vivre avec ses frères. Elle s'est beaucoup investie dans le choix des meubles et de la déco de l'appart, en faisant son gros projet avec l'aval de ses frères qui se sont effacés tout en gardant un droit de vote, quand même.
- ( 10 )Changer de pays ça n'a pas été simple pour elle, habituée à évoluer dans un monde familier. Les premières semaines ont été compliquées, mais les mois se sont écoulé sans encombres particuliers et le noeud permanent logé dans les entrailles de Betty s'est peu à peu atténué. Plus à son aise désormais, elle a retrouvé des habitudes et réussis à tisser de nouveaux liens. Ballotée entre soif de nouveauté et attrait envers le passé (inévitable maintenant qu'elle vit de nouveau dans la même ville qu'Hardin), elle poursuit vaille que vaille sa route, essayant de faire les bons choix.
- ( FACTS AUTRES ) B, Beth, Liz, Lizzie, Lizbeth... Autant de diminutifs possibles découlants de son prénom mais qui sont largement délaissés au profit d'un autre : Betty. Rare sont les gens de son entourage utilisant son prénom entier, au point où ça lui fait presque bizarre d'être ainsi appelée. Ca ne sonne pas juste, comme si ce n'était pas vraiment elle. - La famille occupe une place centrale dans sa vie. Elle s’entend bien avec ses parents, mais elle est surtout très liée à ses frères et à sa soeur. Dernière née d’une fratrie de sept, elle est très bien entourée, très protégée. Les écarts d’âge jouent un peu dans la proximité avec les uns et les autres (elle a plus de dix ans d’écart avec le plus âgé de ses frères) et tout le monde vit sa vie, mais les Caudwell sont très soudés et constituent un front uni face aux autres. Betty est très reconnaissante pour sa famille nombreuse. Particulièrement complice des deux frères nés moins de deux ans avant elle, ils sont un soutien permanent pour elle, de même que l’est entre autre sa soeur qui reste à ce jour l’une de ses meilleures amies au monde. Profondément dévouée à cette grande famille, Betty se sent capable de tous les sacrifices pour chacun de ces membres. - Elle a l'âme d'une collectionneuse et possède de nombreuses choses en quantité. L'une de ses plus grandes collections est sa collection de chaussures et de vêtements. Véritable accro du shopping, sa garde robe est immense et, dans l'appart qu'elle partage sur Boston avec deux de ses frères, elle a dut empiéter sur les placards de ces derniers. - Elle a une préférence pour les couleurs pastel et porte très souvent très du blanc et/ou du rose. - Elle adore les fruits rouges et tout ce qui rentre dans la catégorie gâteaux à la fraise fait partie de ses péchés mignons. - Elle aime revoir encore et encore les films/séries qu'elle aime. Idem pour les livres. C'est un peu fatiguant pour les autres, mais elle ne s'en lasse pas. - Elle s'entretiens, prends soin de son corps et de ce qu'elle ingère. Elle boit un peu malgré tout, mais pas de façon excessive et elle n'a jamais touché à une seule cigarette. - Elle aime dormir avec quelqu'un à côté d'elle. - Même si on l'a blessé et trahie dans le passé, elle aspire à la confiance, à se fier aux autres. Elle est d'une nature positive et ne laisse pas les mauvaises expériences empiéter sur les bonnes choses qui pourraient se produire dans le présent et dans l'avenir. - Elle lit beaucoup, essentiellement des romans d'amour et fantastique. - Les déceptions qu'elle a encaissé n'auront pas eut pour effet de venir à bout de l'incurable romantique qui sommeille de longue date en elle. Elle veut encore croire au grand amour, même si sa première expérience dans de domaine s'est soldée par un retentissant échec et que son coeur cicatrise encore, même bien longtemps après les faits. - Elle adore qu'on lui brosse les cheveux, elle trouve que c'est l'une des meilleures sensations au monde. - C'est une bonne joueuse d'échecs qui se débrouille aussi plutôt bien en sport, avec un penchant pour la danse (elle a fait du ballet durant des années) et le tennis. Elle est globalement pleine de surprises et de talents et n'a pas peur de travailler dur pour s'améliorer. - Elle est très humaine dans ses sentiments et dans sa réaction et elle a horreur d'incarner une source de peine pour qui que ce soit, qu'ils aient mérité de ressentir la peine en question, ou non.
- Code:
<div class="card-user-bottin-adams"><adams class="text-s-bebas text-upper">OLIVIA DEJONGE</adams><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Elizabeth Caudwell"</span></div>
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