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Les originesirlandaises, anglaises, américaines, ashkenazes, écossaises, suisse-allemandes, néerlandaises.
feat. zoey deutch
le 8 mars 1998 à dublin, irlande
americano-irlandaise
bisexuelle officiellement mariée mais officieusement célibataire
4e année en politiques
très aisée
Le caractèrecalme, contrôlée tel que son éducation le lui a appris, maîtresse de ses émotions. sociable mais méfiante de toutes personnes qui l'entourent parce qu'être intelligent, c'est être méfiant, même à l'égard de soi-même comme dirait son père. sa méfiance est d’autant plus décuplée depuis la menace qui plane constamment sur elle, persuadée d’être épiée ou observée. ce qui peut la qualifier d’un tantinet paranoïaque malgré les sourires factices qu’elle dessert à tout va. studieuse, réfléchie, intelligente , chaque parole et décision de sa part est calculée. ruse parfois portant à confusion, pouvant être perçue comme vicieux ou calculateur pourtant il n’en était rien si ce n’est son éducation. encore et encore. parce que dans le fond, jacey est l’incarnation de la naïveté rêveuse, sensible et amoureuse de l’amour, éternelle romantique . un fond qu’elle dissimule ardemment depuis son mariage, depuis les désillusions. voile permanent, fragilité dissimulée, refoulée, elle ne vit que de faux-semblant. même si l’espoir reste présent, tous les signaux présents dans sa vie lui crient méfiance et désenchantement. un jour peut-être, elle arrivera à se défaire des griffes de son patrimoine, de son passé et s’envolera au loin. pour ne plus jamais s’échouer.
Les anecdotes
- ( 01 )Heureux cadeau de la lune de miel de ses parents durant leur vol de retour de l'Afrique du Sud, Jacey Chambers née Sutton Burnham a hérité de la nationalité sud africaine à sa naissance comme le stipule la loi "un enfant né à bord d’un bateau ou d’un avion aura la nationalité du pays auquel est enregistré ". Mais par volonté de son père, elle ne garda pas longtemps la nationalité et est naturalisée irlandaise à son premier anniversaire.
- ( 02 )Elevée par son père, influent politicien européen, Sutton a connu une enfance stricte, endoctrinée par la philosophie familiale qui ne faisait pas de place à l’échec. Fille unique et fille ingénieuse, elle était le petit reine de la maison quand bien même sa principale préoccupation ne s’alignait pas constamment avec celle de son père. ce dernier, envoûté par sa petite reine, ne lui en avait jamais porté rigueur, enfant. Ce n’est que quelques années plus tard qu’il commencera à serrer son éducation, surveiller ses passions et fréquentations.
- ( 03 )Bien que confortable dans sa capitale irlandaise, Sutton a énormément voyagé aux côtés de son paternel, toujours, qui l'emmenait dans ses allers-retours de "business" - comme il les appelait, la faisant naviguer entre tous les pays européens et Boston, ville où l’oncle avait élu domicile. Elle appréciait particulièrement cette dernière pour sa cousine, Dusty.
- ( 04 )Dusty. L’prénom davantage plus poétique que le sien, de Sutton. Dusty, son alter ego, son ancre réfugiée à l’autre du bout du monde, dans cette ville qu’elle apprend à apprivoiser à chaque visite. Boston. Dusty, Boston. Le répit de son quotidien irlandais. La lune et le soleil, le yin et le yang, deux cousines, deux inverses, deux personnalités opposées mais qui se complétaient. A travers ses nombreuses visites, Sutton apprend à tomber sous le charme de Boston et notamment Harvard, ancienne université dont son père avait fréquenté. Les cieux - et le géniteur - avaient décidé, elle ferait perdurer la fierté de son père.
- ( 05 )tw : début de relation abusive, violences conjugales ; Jamie. Sutton et Jamie. Le couple phare, un tantinet cliché de ce lycée privée anglais qu’elle venait d’intégrer. Les parents faisant la réputation, cette récente intégration n’en était pas moins mise en avant. Elle n’avait, en tout cas, pas été invisible aux yeux de Jamie, le beau ténébreux, supposément désiré de toutes les filles de l’école. D’abord peu ouverte à ses avances, Sutton tomba vite entre ses griffes, se découvrant une personnalité plus doucereuse, légère, romantique, naïve. Complètement naïve. Histoire d’amour aussi passionnée que tragique, à leur premier anniversaire de couple, il leva la main sur elle. Ce n’était que le premier ‘incident’ d’une longue lignée.
- ( 06 )Persuadée d’être dans le faux, persuadée par Jamie d’être dans le faux, elle applique dans sa vie amoureuse ce que son père lui a inculqué socialement ; tout peut être dissimulé d’un sourire assez convaincant. Les bleus éclosent, les larmes retenues s’empilent, les craintes s’accumulent, la frayeur s’installe mais amoureuse, bêtement amoureuse, promise à un avenir radieux comme son père lui a appris, c’est un ‘oui’ qui sort automatiquement de sa bouche lorsqu’il se trouve devant elle, à genoux. Dix-huit ans et elle maîtrisait mieux que personne les sourires factices.
- ( 07 )Contrôlée par son mari, son rêve tu de fréquenter Harvard, de parfaire son cursus scolaire dans la politique à l’image de son père se déchire. A dix-neuf ans, elle se voit endosser le rôle d’une jeune femme au foyer, présente pour accueillir Jamie les soirs où il daignait faire savoir sa présence. Au fond de son placard, un prospectus pour Harvard se languit.
- ( 08 )Isolée de tous, de ses amis, de sa famille, seul son père n’a que de brèves discussions avec Sutton. Mais plongé dans son monde d’illusions, de fausse perfection, d’élitisme, il ne voyait qu’à travers la puissance de la dynastie du beau-fils. Esseulée, ce n’est qu’à l’usure qu’elle avoue et s’avoue enfin l’enfer dont elle était plongée. Le prospectus ne fait que l’appeler, jour et nuit. C’est un beau matin, veille de ses vingt-et-un ans que le courage l’habite. Plus que jamais déterminée, c'est dans un plan minutieusement mis en place que l’oiseau décide de se libérer des griffes de son prédateur et s’envoler vers sa liberté.
- ( 09 )Sutton Burnham disparaît, laissant place à Jacey Chambers, jeune femme libre et coupée de son passé. Physiquement. Moralement, tout n’était qu’une autre belle illusion inculquée depuis toute petite qu’elle mit en place sans vergogne. Son père n’est plus, déçu, brisé par un silence inexpliqué ; sa mère n’a jamais été. Sutton disparaît dans les méandres de quelques souvenirs, et malgré le désespoir joué de son géniteur, celui-ci ne semblait faire aucun effort pour retrouver sa fille, réfugiée à Boston, chez sa cousine, là où elle suit ses rêves.
- ( 10 )‘Colin Burnham (…) est décédé’. Une phrase normalement constituée lue dans un journal qui pourtant elle ne faisait aucun sens pour la Jacey de l’année précédente. suicide apparemment. Le temps d’un instant, elle était redevenue Sutton, petite protégée et prodige d’un père stricte et vénal. Suicide. Le poids d’une addiction irrattrapable. C’est ce qu’il dit dans sa lettre, que Dusty lui a apporté. Au milieu des excuses adressées à femme et fille disparue aujourd’hui. Au milieu d’aveux d’abord incompréhensibles et brouillons qu’elle ne parvenait pas à mettre en place, Jacey. adultère, addictions, blanchissement.. enfant non reconnu.. la lettre pouvait s’apparenter à une liste de délits et crimes citées au hasard tant elle n’avait pas de sens. Rien n’avait de sens. Dusty y apparaissait sur cette lettre. Milwaukee, également. une ville. Rien n’avait strictement aucun sens. Son père est mort.
- ( 11 ) Donovan Joyner qu’il s’appelait. Le nouvel énigme d’une vie d’ores et déjà signe de méfiance. Nouvelle addition qu’elle ne tarda pas à partager avec Dusty et son oncle, ses alliés. Aujourd’hui plongée dans un quotidien paisible, un tantinet trop paisible, Jacey redoute de plus en plus les conséquences de la mort de son père. Un passé revenu la troubler, revenu la hanter qui ajoute son lot de complications. Elle qui avait oublié quelques prénoms de son passé se voit enchaîner cauchemars sur cauchemars aux souvenirs de Jamie.
- Code:
<div class="card-user-bottin-pfo"><pfo class="text-s-bebas text-upper">ZOEY DEUTCH</pfo><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Jacey Chambers"</span></div>
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