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(werthorne) pain, power and passion

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with @Théodore Hawthorne

Les lumières de la ville observés à travers la fenêtre du véhicule, les lampadaires qui jaillissent, les passants s'en allant et avançant entre les rues. Léger soupire de soulagement qui s'échappe lorsqu'elle reconnait son immeuble une fois la voiture arrêtée. Longue soirée passée dans un restaurant étoilé, déviant entre les plats raffinés et les multiples questions acharnés. Liberté retrouvée, première journée sous le signe des responsabilités, parce que même quand la grande faucheuse s'approchait, elle se devait d'être présente pour les festivités. Fatigue accablante qui se déchaine contre son corps et son esprit. Les anti-douleurs dont elle avait abusé pour tenir sur sa chaise et ses talons, souriante et forte. Alors qu'à l'intérieur, elle explosait, dépassée par ce retour à la vie normale sûrement trop brusque. Mais c'était son père et devant lui, elle se devait d'être parfaite, sans bavure, ni cassure. Alors elle gardait la tête haute, plongeant tout ce mal-être à l'intérieur. Parce que ce soir, c'était pas n'importe quel soir. Parce que pour la première fois, elle décidait de faire entrer quelqu'un dans ce mauvais jeu que peut représenter son cercle familiale. Ce soir, elle laissait le fou peut-être prendre la possession du roi. Parce que face à son père, Théodore s'était montré parfait, comprenant bien les cartes qu'il avait en mains pour les jouer à son tour. Rusé et presque trop doué pour s'en sortir, elle avait découvert un nouvel aspect du Hawthorne, le négociateur, le courageux, celui qui gardera la tête haute pour obtenir ce qu'il veut. Elle le sait, la soirée aurait pu durer moins longtemps, mais elle a su observer les signes que son père a laissé. Parce que ce n'était pas anodin, cet air intéressé lorsqu'il lui parlait, les verres de whisky qui se commandent les uns après les autres pour allonger la conversation.  Alors, oui, c'était une soirée réussi. Le visage qui se tourne vers son brun une fois la voiture arrêté, sourire qui s'affiche, sourire qui veut certainement en dire long sur son envie de le retrouver et ça rien qu'à deux. Silhouette féminine qui s'extirpe du véhicule une fois la portière ouverte, baiser qu'elle dépose sur la joue de son père, dernier sourire qu'il lui affiche, un regard fier qu'elle était certaine de déceler pour la première fois de sa vie sur son visage. La voiture éloignée, la main du brun qu'elle attrapait pour retrouver l'intérieur de son immeuble ainsi que l'ascenseur. Tu lui plais, c'est la première fois qu'il a l'air vraiment fier de moi. Les yeux qui se lèvent au ciel, faussement amusé de la situation. Le corps qui se tient à l'un des murs de l'élévateur, la fatigue et la douleur de plus en plus pesante à retenir. Je suis crevée.. On va directement s'allonger ? Parce qu'elle aimerait lui dire à quel point il avait été parfait ce soir, à quel point elle ne regrettait pas, mais aussi à quel point il lui faisait vibrer le coeur par ses mots et cette tenue. Les portes de l'ascenseur qui s'ouvrent face au salon, les environs silencieux, certainement la plupart déjà endormie. Petite moue qui s'affiche à la vue des escaliers pour retrouver sa chambre. Ou je vais peut-être opter pour le canapé.. Dit-elle alors qu'elle s'était déjà déchargée de ses talons, incapable d'aller plus loin que cette entrée.
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with @Orphéa Wertheimer

Détestable colère qui s’acharne sans relâche, infligeant des souffrances sempiternelles et offrant en pâture ta pauvre charogne à des maux plus nauséabonds que tes maigres perversions… L’ombre d’Orphéa assujettie aux décombres, des blessures sur son corps naissent dans ton cœur d’étranges cicatrices. Où étais-tu piètre déserteur ? Tellement occupé à panser tes plaies idiotes. Les regrets contristent ton être, proie des chiens et des cruautés humaines. Les achèvements du Destin rappellent à ta mémoire qu’il n’est pas heureux de connaître ton attachement. Néanmoins, Théodore, dompte ce myocarde fragile qui ne cesse de battre douloureusement pour elle. N’est-ce pas tes actions qui ont conduit à cette situation ? Il est nécessaire de point fléchir maintenant et d’humer la fumée de son sacrifice. Le prix de ton abandon, de ton absence de discernement couvre son corps d’une plaie vive. Non le tien. La portière se referme derrière toi et tu patientes docilement qu’elle salut son paternel avant de te rejoindre. Elle attrape ta main, sa chaleur vivace comme baume. Elle est là. Toujours là. Encore là. « — Tu lui plais, c'est la première fois qu'il a l'air vraiment fier de moi. » Malgré l’amusement transperçant sa voix, sa posture chancelante t’arrache une légère grimace. Tu préfères lâcher sa paume pour enrouler ton bras autour de sa taille, l’invitant à se reposer sur toi. « — Un membre de ta famille qui m’apprécie, c’est une victoire » Un léger rire fait vibrer tes cordes vocales. Tu ne veux plus la voir souffrir… Néanmoins tu es incapable de la délivrer de ton emprise, incapable d’ouvrir une échappatoire. Non. Il serait insupportable de ne plus la toucher. De ne plus lui parler. De ne plus l’écouter. De plus la voir. Jamais plus, même s’il s’agit probablement de la seule solution promettant son bonheur. Quelle limite à ton égoïsme Théodore ? « — Je suis crevée.. On va directement s'allonger ? » Tu acquiesces en resserrant doucement ton étreinte avant de la délivrer lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrent. « — Évidemment, j’imagine que la soirée a été éprouvante » Pendant qu’elle ôte ses talons, tu interprètes le silence dans l’appartement comme le passage de Morphée auprès de ses colocataires. « — Ou je vais peut-être opter pour le canapé… » Tu n’hésites pas à un instant à la saisir pour soulever la pauvre poupée entre bras. Même sa légèreté est douloureuse, son squelette creusant plus encore sa chair. « — Ou alors tu me fais confiance pour que je t’emmène jusqu’à ton lit. Tu dormiras mieux dans tes draps bébé » Poids plume ne laissant même pas le goût de l’effort dans tes membres, tu prends gardes à sa sécurité en monter les escaliers, ne la relâchant que devant la porte de sa chambre.
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with @Théodore Hawthorne

L'air frais du soir qui frappe ses joues rosés, regard qu'elle dépose sur son immeuble, lumière qui s'approche enfin du tunnel. Parce que ces jours enfermée dans la prison aseptisée se sont trouvés long, beaucoup trop long. Quotidien qui devra reprendre sa place, vie chargée qui s'avance à toute allure et qu'elle n'était plus certaine de réussir à suivre. Corps frêle et fatigué face à cette journée trop longue. Elle restait positive, se disant que cette soirée aurait pu terriblement mal se passer. Elle en revenait plutôt sereine, à présent accroché à l'idée de retrouver son lit à tes côtés. Parce que ce retour à la vie réelle, elle le fait avec toi, présence masculine devenue bien trop nécéssaire à son existence. Elle le savait, les jours à suivre risquaient pourtant d'être compliqué, mais elle se rassurait, parce qu'elle savait que t'étais là. Parce que déjà, lorsqu'elle était encore branchée par tous les fils, t'as été capable de penser aux évidences. Léger sourire amusé qui s'affiche face à sa remarque sur sa famille, certes, elle gardait pourtant l'espoir que les choses s'arrangent et que la panique a préféré parler à la place de la logique. Poupée qui se tient au brun pour retrouver son immeuble et finalement son appartement. Libérée des échasses imposés pour le regard de son père, soupire de satisfaction face à cette fin de soirée. Parce que les jours ainsi que les nuits ont défilés, le temps passé sans ta présence à ses côtés devenu excessivement long. Destin qui s'acharne contre vos premiers jours, ceux où tout semble parfait, ceux où le reste du monde parait insignifiant face à votre cocon d'amour. Destin qui ne peut s'empêcher de semer sa discorde sur son existence, mauvais jeu qu'il entreprend depuis sa naissance. Sourire qu'elle affiche face à sa proposition de la porter, silhouette féminine qui retrouve ses bras sans grande difficulté. Merci.. Sourire aussi sincère qu'il pouvait être triste, incapable d'accepter cette nouvelle situation, incapable d'accepter d'être aussi faible. Princesse remontée jusque sa tour, léger baiser qu'elle lui volait avant d'être déposée. J'ai cru que je reviendrai jamais dans cette chambre.. Ça fait du bien. Parce que le destin lui avait tout de même permis de continuer de vivre, jusqu'à qu'un jour, il en décide autrement. Le lit qu'elle retrouve pour s'y asseoir, le regard dirigé vers Théodore, un sourire qui ne peut s'empêcher de se graver face à l'idée de retrouver ses bras pour cette nuit et les prochaines. J'propose qu'on reste dans ce lit le reste du week-end. Dit-elle légèrement amusée, le dos qui se retourne légèrement pour lui faire face, la fermeture de sa robe qu'elle tente d'attraper. Tu peux m'aider.. ? Regard désolé qu'elle affiche, comme toutes ces fois où elle sera incapable de faire ce qu'elle faisait si facilement avant.
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with @Orphéa Wertheimer

Le bourdonnement des halogènes et le supplice de la patience. Lumière agressant tes pupilles et la chorégraphie médicale. Inhospitalière atmosphère qui creuse dans tes viscères la douloureuse appréhension. L’espoir lutte dans ton cœur contre l’hyène effroyable. Œillade refusée, pour accorder un quelconque apaisement. Rien. Attendre. Attendre. Attendre. La colère, l’injuste cruauté. Tout semble bien désertique dans ta cage thoracique, les heures pendues à la tolérance des autres, ceux qui continuent de vivre comme si rien ne s’était produit. Souvenir dont les ornières de s’effaceront pas. Non, Théodore, ta proximité est une engelure violente qui progresse jusqu’à éteindre la dernière flamme. Néanmoins, contre ta poitrine, sa respiration fragile s’élève et son cœur bat. « — Merci.. » Ses lèvres semblent bien timides lorsqu’elle te dérobe un baiser. Tu contiens l’envie de la retenir, laissant Orphéa rejoindre son lit. Une fatigue harassante pèse sur ses épaules. « — J'ai cru que je reviendrai jamais dans cette chambre.. Ça fait du bien. » Un léger sourire naît sur ton visage. Comme il est agréable d’assister à ses retrouvailles avec son cocon, n’est-ce pas Théodore ? Piètre esclave de ses besoins, serviteur de son bien-être. Tes résolutions misanthropes ont été éclipsées bien aisément par son rayonnement. « — Toutes les bonnes choses ont une fin, je comprends que les néons et les infirmiers aient un certain charme… Mais je suis d’accord, c’est mieux ici. » Ton regard parcourt la chambre, vérifiant rapidement qu’elle ne manque rien. Que son confort soit maximal. Tu abandonnes ta veste de costume sur la chaise du bureau. « — J'propose qu'on reste dans ce lit le reste du week-end. » Ton sourire s’agrandit à cette proposition alléchante. Un week-end sans discontinuer en sa compagnie, sans barrière désagréable pour vous séparer ? Cette idée semble utopique. « — J’adore tes propositions, si tu en as d’autres n’hésites surtout pas » Elle se tourne légèrement et la rigidité de son corps, témoin de l’accident ronge ton cœur. L’acide s’écoule dans tes capillaires jusqu’à l’apparition d’une grimace. « — Tu peux m'aider.. ? » Tu sais Théodore que derrière ce sourire amusé, la tristesse dresse son triomphe dans son regard. Tu t’empresses à la rejoindre sur le lit, descendant d’une main sa fermeture éclair alors que ta bouche se presse doucement le long de sa colonne vertébrale. « — Tu m’aides avec ma chemise en échange ? »
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