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There is nothing like the rain.
quinze avril au matin, jacques cabaret.
w/ @esteban j. quesada

Les filles s’il vous plaît. Regardez vos pointes au lieu de regarder Monsieur Quesada ! Elles sont toutes jeunes mais il faudrait être aveugle pour ne pas voir le charme d’Esteban. Je le sais parce que c’est bien le seul papa qui a réussi à me faire m’intéresser à lui autant qu’à sa fille. Je les entends glousser et je passe entre les rangs, prête à lancer mon regard le plus menaçant si elles ne font pas les exercices comme il le faut. Au bout d’une heure de leçon, elles sont toutes assises en rond en train de boire leurs briques de jus d’orange et manger leur goûter sur le sol pendant que je me dirige vers Esteban. T’es un vrai élément perturbateur. Je souffle ces mots en riant légèrement. Je pousse un sac à côté de lui et m'assieds rapidement. Je jette un coup d’oeil sur la bande de copine qui s’est formée il y a quelques mois de cela et ne cesse de se renforcer au fur et à mesure des jours avant de tourner le regard vers le père célibataire. Alors, comment t’as trouvé ta fille ? Sa professeure n’est pas trop mauvaise ? Je ne cherche pas les compliments mais je veux savoir s’il est fier d’elle, de ses progrès, de sa prestance et grâce sur scène. Elle pourrait aller loin si elle le voulait mais je ne sais pas si la danse est vraiment ce qui anime Tillie en ce moment.
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Tu avais demandé au préalable si tu pouvais passer un peu de temps avec ta fille et surtout la venir voir à la danse. Ça faisait tellement de temps qu’elle te le demandait et que tu ne trouvais jamais le temps pour y aller. Maintenant, le bras en écharpe, quelques égratignures sur le corps, tu avais décidé de mettre en stand by, un peu toute tes activités pour ta fille. Tu avais vu ta vie défiler, tu n’étais pas certain de sortir de cet endroit en vie, tu avais pensé à elle et à ces derniers mois. Tu n’avais pas été un père très présent et merveilleux, entre ta chute aux enfers après ta séparation et cet accident, il était temps que tu reprennes ta vie en main et que tu places cette demoiselle au centre de celle-ci. Elle était toute ta vie, ton pilier, et elle te donnait la force de te battre. Assis au fond de la pièce, tu souriais en écoutant la demoiselle, il est vrai que les regards se tournaient souvent dans ta direction ce qui te faisait rire intérieurement. Tu tentais de rester de marbre, histoire de ne pas les perturber encore plus. Tillie se donnait tellement, histoire de te rendre fier d’elle, ça te faisait tellement chaud au coeur. Love s’installa à tes côtés, ton regard se décrocha du petit groupe pour se poser sur la jeune femme « Je crois que je l’ai toujours entendu ce mot, c’était souvent marqué dans mon bulletin scolaire et mes carnets. » tu rigolais légèrement à tes paroles. « Elle a tellement progressé, tu fais vraiment un travail merveilleux. » c’était réel, tu n’en revenais pas. Elle avait la patience, elle voyait chaque petite erreur. « Tu donnes également des cours pour les plus grandes ? » essayant d’en apprendre un peu plus sur la jeune femme, tu ne pouvais le nier, elle était sublime.

@Love Thompson
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Je ne sais pas trop comment je vais réussir à m’arranger pour garder mes classes de danse si je suis prise pour Dirty Dancing. Ça me parait impossible de gérer les deux mais je refuse d’abandonner les filles avant la fin de l’année scolaire, pour sûr. Il faudra que je m’arrange avec les répétiteurs et l’équipe en général mais ce ne sont que deux heures tous les samedis alors avec un peu de chance. Enfin, j’aurai tout le temps de me poser ces questions si j’obtiens le rôle tant convoité de Frédérique Houseman. Je l’espère tellement même si je sais que cela voudra dire que je dois travailler à nouveau avec Jacob. Je ne suis pas prête pour cela, il n’y a pas à débattre, mais remonter sur scène est bien l’une des seule chose qui m’anime ces derniers temps… En plus des quelques rencontres que je fais. Un sourire sur le visage, je m’installe à côté de l’une des belles rencontres de ces derniers mois et ne me gêne pas pour m’installer tout à côté de lui. Pourquoi est-ce que ça ne m’étonne pas ? Que je souffle en souriant, imaginant totalement Esteban comme le faiseur de troubles à l’école, profitant de la situation pour faire le clown et démarrer un fou rire général. Il a cet aura que l’on a envie de suivre, cette personnalité qui rayonne malgré la difficulté des moments alors bon, rien ne m’étonne. C’est gentil mais c’est elle qui fait le plus gros du travail. Et je parle de Tillie, puisque c’est sa fille, mais aussi de chacune des crapules qui dansent avec moi depuis quelques mois déjà. Avec un peu de discipline, elles sont toutes capables de faire tellement plus que ce qu’elles se pensent capable de faire. Pas pour le moment non. Il faut souvent des qualifications spécifiques pour les plus grands et je ne les ai malheureusement pas. Pour les adultes du moins. Et j’ai une expérience théâtrale, ce qui ne correspond pas toujours aux instituts et salles de danse. Mais si je n’ai pas le rôle dans la comédie musicale, je me promets de chercher un peu plus sur ce sujet, ne souhaitant pas rester à servir des cafés pendant des mois encore. J’ai besoin de retourner dans ma voie, j’ai besoin de danser plus qu’autre chose. Mes yeux sur Esteban, je souffle Mais je vais donner des cours de danse pour la journée internationale de la danse le vingt-neuf si ça t’intéresse… C’est dans deux semaines, peut-être que son bras ira mieux d’ici là et qu’il aura envie de venir voir ce que ça donne, pour les plus grands. J’aurais les petites le matin et après, il y a des tas d’activités de prévues. Tillie pourra en apprendre plus sur d’autres danses avec d’autres professionnels. Et lui sur la danse contemporaine, l'atelier que j’anime.
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Cet accident t’avait fait revoir pas mal de chose, mais aussi ton séjour au spring break, t’avait remis un peu les idées en place. Tu avais commencé à glisser le long d’une pente et tu avais bien du mal à remonter, mettant parfois de côté ta fille. Pourtant, elle était absolument tout pour toi, c’était ta fille, ta vie et ton pilier, mais tu avais parfois, ce besoin de t’éloigner un peu, pour reprendre encore mieux ta vie en main. Tu ne pouvais pas faire de connerie devant elle, alors, quand tu te sentais un peu faiblir, tu préférais l’amener chez tes parents et souffler de ton côté. Tu n’avais pas le droit à l’erreur avec elle, tu devais lui montrer l’exemple et le droit chemin. Tu n’étais pas le parent le plus simple, tu avais une éducation assez stricte, mais tu voulais le meilleur pour elle. Tu voulais qu’elle puisse s’en sortir une fois qu’elle sera plus grande et qu’elle devra prendre ses décisions. Bien évidemment, tu resterais toujours présent pour elle, ce n’était pas une option, mais tu savais parfaitement, qu’un jour, elle volera de ses propres ailes et que tu ne pourras pas la retenir. Tu haussais les épaules en rigolant en écoutant ses paroles, tu n’avais jamais été un bon élève, toujours en train de bavarder ou bien de préparer ta prochaine connerie. Tu en avais fait des heures de colles, des punitions à rallonges et pourtant ça ne t’avait jamais empêché de recommencer le lendemain. Un cas désespéré c’était bien toi, mais par contre, tu avais tout de même de très bonnes notes malgré le bordel que tu pouvais faire. « Disons, que j’avais du mal à rester sur une chaise à écouter un professeur, des fois c’est chiant. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu repensais à tes cours de français ou même de mathématique, clairement, c’était grâce à ces études que tu avais compris que tu n’étais pas fait pour être derrière un bureau. Tu avais besoin de travailler en extérieur, de bouger et de découvrir des nouvelles choses. Ton regard se posa sur ta jeune fille, tu te demandais encore dans quelle voie, elle allait se diriger. Dans tous les cas, tu allais la soutenir et tu l’aiderais à y arriver et devenir ce dont elle désirait. Ton regard se posa ensuite sur la jeune femme, pour la remercier du travail prodigieux qu’elle faisait avec ces enfants, tu avais bien vu l’évolution de ta fille. « Quand on a une bonne professeur, c’est toujours plus simple de progresser ! » tu parlais en connaissance de cause. Avec un bon professeur, il y avait la possibilité d’aller loin et tu n’en doutais pas qu’avec Love c’était le cas. « Oh je vois ! Je ne pensais pas que c’était autant compliqué pour la danse. » il en fallait des accréditation, comme dans chaque métier finalement. « Pourquoi pas, ça serait avec plaisir ! » laissais-tu glisser entre tes lèvres « Ça fera la sortie du week-end et ça me fera prendre un peu l’air et découvrir un peu plus en détails ton domaine. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, léger sourire sur celles-ci.

@Love Thompson
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Si on venait à me demander une chose sans laquelle je ne pourrais pas vivre, ce serait la danse. C’est toute ma vie, tout ce que j’aime faire et la seule chose que j’ai envie de faire de ma vie. Il n’y a que lorsque je suis dans une salle de danse que je suis heureuse et je m’en rends compte de plus en plus. Plus les jours passent et plus le manque de la scène se fait ressentir. J’essaye de pallier cela avec les cours que je donne mais ce n’est pas pareil. Je n’ai pas envie de faire des arabesques avec des enfants toute la journée mais j’ai envie de tournoyer dans une salle, de vivre et de créer avec un partenaire. Je sais que ça va finir par arriver, par revenir dans ma vie mais c’est dur de se contenter de ces petits moments de bonheur quand je nageais dans celui-ci il y a plus d’un an. Je comprends. Je n’étais pas bonne à l’école, je détestais cela. Être assise huit heures par jour, ça n’a jamais été pour moi. Et ça ne le sera jamais. La danse, ça se vit, ça se créait et on ne créait pas toutes ses chorégraphies avec une feuille et un stylo en mains, loin de là même. Pourtant, t’es à Harvard, tu t’es donc réconcilié avec l’école ? Que je demande rapidement. Je sais bien que l’enseignement général et les études que l’on choisit sont deux choses bien différentes mais l’un comme l’autre, ce n’est pas pour moi. Tu n’as pas idée du nombre de qualifications qu’il faut, c’est complètement dingue ! Bon, je comprends bien la démarche derrière ça parce que sinon pourrait enseigner et ce n’est pas le but… On se ferait piquer nos jobs et ça ne serait vraiment pas cool pour les passionnés comme moi. Ceux qui ont leurs certifications enseignent à de plus hauts niveaux et moi, je m’occupe des petites pépettes surexcitées. Cool ! Je vous ferai un petit cours alors… Je lui adresse un clin d’oeil et me redresse légèrement. Je jette un coup d’oeil sur les filles et me concentre à nouveau sur Esteban. Tillie le prendrait comment si je devais arrêter d’être sa prof l’année prochaine ? Que je demande à voix basse pour qu’aucune des paires d’oreilles proches de nous n’entende ce que je dis.
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Finalement, plus le temps passait et plus tu apprenais à la connaitre. Tu n’avais jamais imaginé un jour que tu allais parler un peu plus avec la professeur de danse de ta fille. Mais plus tu lui parlais et plus tu avais l’impression de l’avoir connu depuis toujours. Elle avait beaucoup de points en communs avec toi, et elle ressentait ce que tu pouvais ressentir chaque jour avec ta fille. C’était rare d’avoir des personnes avec qui tu avais autant de point en commun et tu appréciais chaque moment où tu échangeais avec elle et encore plus ce moment, où tu te trouvais au fond de cette salle. Tu observais les demoiselles danser, encore plus ta fille qui faisait son maximum pour y arriver et te faire plaisir. Tu voyais bien ton trait de caractère en elle, plus elle grandissait et plus elle te ressemblait. A vrai dire c’était toujours flatteur que son enfant ressemble à l’un ou l’autre parent, mais à vrai dire, vu comme tu étais avec tes parents, tu espérais qu’elle n’allait pas te faire vivre le même enfer. Tu n’avais pas été toujours le petit gamin parfait, mais bien le démon de temps en temps. Les faire crier, tourner en bourrique et leur affliger du stress, clairement, tu n’avais pas hâte qu’elle grandisse et qu’elle devienne une petite adolescente. La savoir en train de fricoter avec quelqu’un, qu’elle se rende en boite et qu’elle commence à boire ou même toucher à la drogue. Juste à ses pensées, un frisson traversait absolument tout ton corps, reportant ton attention sur la femme. « Je ne connais personne qui aime les cours. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, un léger sourire sur tes lèvres. « C’est vrai, mais parce que je suis passionné par le métier d’archéologue ! » tu ne te voyais pas faire autre chose. « Tu vois, tu m’apprends des choses, je ne pensais pas que c’était aussi compliqué ! » soufflais-tu, regardant du coin de l’oeil, les petites. « Avec plaisir. » soufflais-tu avec un léger sourire, tu n’étais pas contre d’apprendre des nouvelles choses, bien au contraire. Même si dans le fond, tu savais que tu étais un piètre danseur, une chose était certaine, ta fille ne tenait pas de toi pour la danse. Tu réfléchissais à sa question « Je pense qu’elle va être triste au début, mais quand elle connaitre la raison, ça sera différent. » tu finissais par bien la connaitre Tillie.

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Je ne peux m’empêcher de rire à ses mots. Ne dis pas ça devant ta fille sinon elle ne fera aucun effort ! Et je n’ai aucun doute sur le fait qu’Esteban veuille que sa petite princesse ait un avenir radieux et ne galère pas à longueur de journée et tout au long de sa vie. Bien sûr, elle ne sera pas abandonnée mais je crois que le plus important c’est d’entendre que l’on peut le faire, que c’est bien - toute sorte d’affirmation positive en quelque sorte. Je n’ai pas grandi dans ce climat positif mais c’est pourtant ce que je compte bien faire avec Rosalia pour la soutenir et l’aider à devenir la meilleure personne possible. Je vais te poser une question que tu trouveras probablement débile mais… Il y a des archéologues aux États-Unis ? Ils ne sont pas tous en Égypte ? Comme s’il n’y avait que l’Égypte à déterrer et découvrir. Il risque de se moquer de moi et de me prendre pour une nunuche mais je n’y connais absolument rien. Je souris à ses mots et me rends compte qu’il ne me jugera pas, aussi bête que mes questions peuvent être. Nous ne pouvons pas tout connaître sur tout et peut-être que l’un avec l’autre, nous apprendrons à en savoir plus sur nos environnements mais aussi sur nous même. Et quand je lui pose cette question, c’est une manière pour moi de savoir comment je vais pouvoir annoncer cela aux filles mais surtout comment elles vont le prendre. Si tout se passe bien, je serai embauchée par le théâtre pour la comédie musicale Dirty Dancing et les heures de répétitions ne pourront pas s’additionner à mes heures de cours ici. Il me sera impossible de tout gérer de manière effective. Je pourrais garder deux ou trois groupes de danse mais le rythme effréné ne sera pas tenable pour moi et je le sais. Je ne veux rien regretter et je crois qu’il est temps que je  mette ma vie professionnelle - celle qui m’anime encore plus que ces cours - au premier plan. Si j’arrive à avoir le rôle que je veux dans la comédie musicale qui se monte, je ne pourrais pas tout gérer mais j’ai peur de la réaction des filles. Je les abandonne pas parce qu’elles ne sont pas bonnes mais ce serait parce que c’est mon opportunité de retrouver les planches, de retrouver ma vie. Et c’est aussi libérateur que douloureux à dire à voix haute. Rien n’est fait mais bon… Je préfère m’imaginer le mieux que le pire.
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Tu rigolais à ses paroles, mais d’un côté, elle n’avait pas tord. Tu espérais que ta fille serait un peu comme toi au niveau des cours, qu’elle allait comprendre qu’il fallait des bagages pour pouvoir y arriver et aller loin dans la vie. Tu n’étais pas du genre à baisser vite les bras, certes, les cours n’étaient pas un bonheur, mais tu avais compris que pour être archéologue, tu ne pouvais pas simplement passer un simple diplôme. Non, tu savais que tu devais te battre, obtenir tes différents diplômes pour devenir quelqu’un dans ce monde. « Tu n’as pas tord, je vais devoir la suivre et la motiver pour faire des belles études et surtout, ne jamais baisser les bras. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Ton regard posé sur ta petite fille, encore jeune et innocente et tu aimerais que celle-ci reste ainsi, même si tu savais parfaitement que ce n’était pas possible. La vie avançait bien trop vite, tu n’avais pas l’impression de pouvoir profiter pleinement d’elle, mais tu devais l’accepter, elle deviendrait une adolescente, une jeune adulte et une adulte dans si peu de temps. Ton regard se posa de nouveau sur la jeune femme, te posant une question que plus d’une personne t’avait déjà posé. « Il y a des bureaux, des antennes un peu partout ! Des entreprises dans le monde entier, mais par contre, on est envoyé que dans les endroits où l’histoire est encore à découvrir. » un léger sourire glissa sur tes lèvres. Tu étais souvent amené à te déplacer, tu avais déjà été en Égypte, tu avais été au Guatemala récemment, tu allais avoir encore des nouveaux voyages, aussi intéressants les uns que les autres. Tu aimais ce métier, même si tu savais que ce n’était pas forcément très compatible avec une vie de famille, mais tu arrivais bien à gérer avec ta fille. Peut-être que si tu rencontrais quelqu’un, elle accepterait ton métier, ta vie et tes passions ? Pour le moment, la question ne se posait pas, tu vivais seul et tu ne te portais pas si mal, bien au contraire. La liberté de tes choix, sans te poser de questions, sans avoir à te demander comment pouvait réagir la personne à ton énième départ. Tu l’écoutais et tu pouvais comprendre, tirailler entre les deux, mais elle devait penser à son bonheur et être heureuse, comme tu l’avais décidé pour toi. « Tu dois penser à ce qui sera meilleur pour toi, ce qui te rendra le plus heureuse. Même si tu aimes partager ces moments avec elles, tu es bien plus animé sur le fait de danser, alors écoutes ton coeur. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, le regard sérieux et posé sur la jeune femme. « Tu as le temps d’y réfléchir. » elle n’avait pas le couteau sous la gorge, elle devait peser le pour et le contre et surtout tout donner pour y arriver.

@Love Thompson
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Je n’ai aucun doute sur le fait qu’Esteban est un bon père. Le jeune homme est d’une douceur extrême et même si je le taquine sur son passé de cancre, s’il est à Harvard, ce n’est pas pour rien. Quand je vois certains élèves, on a vraiment l’impression qu’ils prennent leurs études par dessus la jambe mais je ne vois pas l’Espagnol réagir ainsi. En tout cas, Tillie a un bel exemple et je sais qu’elle sera une battante. Il n’y a qu’à voir son petit caractère quand elle est là pour les cours. Quand elle n’arrive pas quelque chose, elle recommence jusqu’à y arriver et elle ressent une joie énorme quand elle y arrive. Un vrai confident boost pour elle. Cela va vraiment me manquer l’année prochaine mais ma vie m’attend ailleurs et Esteban sait à quel point une carrière est importante - pas la chose la plus importante non plus. C’est d’ailleurs à ce moment que j’apprends que les archéologues ne sont pas forcément sur site, je n’en avais aucune idée. C’est trop cool. À part ce qu’on nous montre dans les documentaires ou dans les films un peu débile genre La Nuit Au Musée, je n’y connais rien. Ça ne m’a jamais intéressé et j’ai quitté l’école à seize ans, alors je ne sais pas tout. À vrai dire, même avec un diplôme universitaire, je ne saurais pas tout ce qu’il se passe dans le monde et sur tous les domaines. Confiant ma crainte au jeune homme, je souris timidement et acquiesce. Écouter mon coeur, c’est ce que je compte bien faire mais je les aime, ces petites puces… Elles rythment mes samedis matins et les décevoir me fend le coeur d’avance. Je sais bien qu’elles ne m’en voudront probablement pas - ou jusqu’au moment où il faudra passer la porte du studio - mais moi, je me souviendrai de leurs petits visages décomposés. J’ai le temps oui mais ça arrive si vite ce genre de choses… Le studio sait déjà qu’ils doivent chercher quelqu’un, juste au cas où. C’est dur de prévoir sans savoir. Mais la réponse arrivera rapidement, je le sais. Madame Thompson, il faut que j’aille aux toilettes. Qu’une petite demande en s’approchant d’Esteban et moi, les mains croisées devant ses parties intimes. Le devoir m’appelle. Tu gardes un oeil sur elles ? Je ne vais pas déranger la gérante pour un pipi, ça devrait aller vite. J’embrasse rapidement sa joue et me lève. La main sur l’épaule de la petite, je file de la salle avec elle. C’est rapide et lorsque l’on revient, Esteban est au milieu des filles à discuter avec elles. Vous voulez bien laisser Mr Quesada tranquille oui ? Elles me regardent et haussent les épaules toutes ensemble. Non mais je rêve ! Heureusement, les parents récupèrent rapidement leurs monstres et Esteban et Tillie sont les derniers. On se voit dans la semaine ? Que je demande au jeune papa. Pour un dîner, une discussion, un échange, quelque chose quoi. Y aura Rosie avec moi. Et ça, ça va faire plaisir à la tête blonde, je le sais.

hj - j’te laisse clôturer ? there is nothing like the rain 3232039673
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