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Les originesAMÉRICAINES.
feat. KADEN HAMMOND
LE 01.05.1999 À NEW YORK (USA).
AMÉRICAIN.
PANSEXUEL CÉLIBATAIRE.
ÉTUDIANT EN MÉDECINE DU SPORT.
RICHE MAIS PUNI.
Le caractère(COMPÉTITIF) plus avec toi-même qu'avec les autres, t'hésites pas à mettre une raclée à ta petite voix qui te dit que t'es pas assez bien - et à celles qui osent s'élever à côté de toi. t'es du genre à foncer quand tu le sens, parfois par égo, parfois par amusement et parfois par soucis d'adrénaline. (VIOLENT) impulsif de nature, colérique d'adolescence, t'as toujours eu du mal à la contenir. maintenant, tu sautes plus au cou de la moindre personne qui te fait chier car tu te dépenses autrement mais tu mâches pas tes mots et t'envoies chier si on tire sur ta corde. t'aimes pas qu'on te dérange et personne viendra te casser les couilles - seulement te les laper. (PROTECTEUR) quand on fait partie de ton cercle proche, t'es un putain de pitbull. tu cognes, t'accuses les coups, tu défends ta portée comme si elle était vraiment la tienne. t'es pas le gars le plus fiable sur plein de points mais t'as pas peur quand faut défendre tes vrais proches. (INFIDÈLE) le couple, ça a jamais été ton truc. autant en amitié, ça dépend de qui, autant côté coeur, t'as toujours fait de la merde. t'arrives pas à te poser, t'as déjà promis d'être exclusif sans vraiment te définir "en couple" et pourtant, tu t'es pas toujours caché d'avoir trempé ton biscuit dans tous les laits qui captivaient tes yeux. t'as un paquet de personnes qui t'en veulent dont la moitié en redemande. (TOXIQUE) c'est le mot récurent. tu cumules violent, je-m'en-foutiste, "bâtard", t'as le combo parfait de celui qu'on qualifie d'excessivement toxique. t'es le mec qui vient avec un warning où tout le monde prévient de pas jeter son dévolu dessus au risque de bouffer le bitume avec chagrin et colère. t'as envie de rendre de compte à personne et t'aimes être apprécié comme l'inverse. (REBELLE) aller à l'encontre des normes, ça te qualifie bien. que ce soit en soirée ou dans ta vie hors campus, t'as le don pour faire ce qui se fait pas. t'aimes ça, t'en jubiles et tu adores davantage quand ça remonte à tes parents. être le mouton noir des caskey, c'est plus qu'une médaille, c'est un accomplissement à tes yeux. (ASSIDU) malgré ta dégaine de beau gosse sorti d'un lemon de wattpad, quand t'es en cours, t'es pas là pour faire le mariole. tu bosses, tu te donnes, tu veux comprendre et tu vois ça encore comme une compétition avec toi-même. tu veux ce foutu diplôme, tu veux pouvoir sortir des études et te barrer le plus loin possible de l'influence familiale. t'as toujours été bosseur mais ce qui t'a fait défaut avant harvard, c'était ton attitude. t'as rangé l'insolence au boulot, tu la réserves en dehors. (DIRECT) t'es pas souvent celui qui prend des pincettes. soit tu dis rien généralement, soit tu fous le malaise et tu dis ce que tu penses. en règle général, blesser les autres te dérange pas. la vérité - ou ta vérité - sort si elle est demandée ou si ça te brûle la langue. et quand tu veux quelque chose, tu y vas. il y a qu'en séduction que t'es plutôt du genre joueur, quitte à paraître froid parfois. tu vibres sur le moment, tu viens sans notice et sans manuel explicatif. (SPORTIF) en dehors des études et des débauches, t'as le sport en toi. faut que tu te dépenses, faut que tu pousses à la salle et surtout : faut que tu cognes. c'est comme ça que tu gères tes émotions, c'est comme ça aussi que tu te vides le mental. ta thérapie, elle passe par l'effort physique, elle passe pas par la parole. il arrive qu'on te décroche des mots, des réflexions, c'est pas rare mais c'est pas tout le monde qui peut se targuer d'avoir accès à des zones plus douces de ton corps intérieur. (ZÉLATEUR) t'as un combat pour lequel t'es impliqué, pour lequel tu vibres et qui est le filtre de toute cette colère originelle, c'est la guerre contre les lobby. t'es peut-être plus ciblé sur des types particuliers, avec en visée première celle dans laquelle trempe tes parents, mais t'as ce truc qui t'empêche d'être calme et modéré.
Les anecdotes
(UN) t'es né dans un bordel monstre. le géniteur était absent, la génitrice était bien trop jeune pour avoir un enfant. de là, tes parents adoptifs ont saisi l'opportunité pour t'adopter, toi, le second enfant de la fratrie. t'avais une bouge d'ange, le sourire facile soit l'inverse de ce que tu as développé par la suite - ce fut tout le contraire.(DEUX) l'argent n'a jamais été un soucis, t'as manqué de rien niveau matériel. tes parents sont dans l'agroalimentaire et brassent un fric monstre. petit, tu posais pas de questions mais tu sentais déjà la pression. c'était les règles de base en premier lieu, les coutumes de civilité obligatoires puis, ça s'est transformé en un besoin de contrôle où les angoisses des pères se répercutaient sur les enfants. l'amour, tu l'as pas connu avec eux même si tu l'as compris avec ta soeur et ton frère. plus les années ont passé, plus tu te sentais étouffé, contrôlé comme une marionnette et non comme un vrai fils.(TROIS) quand t'étais plus grand, t'as commencé à lever les yeux au ciel. après c'était les silences glaciales, les sorties de table non autorisées, les décisions impulsives et les manquements au règlement. tu es devenu agaçant dans ta maison, le vilain petit canard qui ne voulait plus qu'on lui dise quoi faire. t'étais toujours à la limite, juste ce qu'il faut pour créer le sentiment de perte de contrôle sans pour autant inquiéter dans la démesure. est venue la violence, les bagarres dans les cours de récréations qui se sont tus bien rapidement. c'était en dehors que tu finissais par régler tes comptes. les bleus ont plu pour que les reproches suivent et c'est à ce moment là que tu as été foutu en thérapie pour gérer ta colère. t'as apprécié ça dans un sens car la parole était de mise et ça, ça a fini par foutre les jetons à tes parents.(QUATRE) l'approche des études supérieures avait de quoi terrifier les caskey et c'est là qu'il y eut un deal : tu bossais sans créer le bordel et sans te faire choper pour insolence et en échange, tu faisais les études que tu voulais mais à harvard. t'as vu en ça l'opportunité de te créer, de devenir quelqu'un dont tu saurais fier tout en tirant sur la fortune sale que gère tes adoptifs. t'as accepté car ça t'arrangeait, car ça mettait tout le monde d'accord mais ça t'a pas empêché de leur donner des cheveux blancs lors de tes absences nocturnes.(CINQ) tu t'es pas cherché longtemps côté attirance mais côté sentiments, ce fut toujours une galère. aimer quelqu'un plus qu'on aime sa famille ? le premier stade avant ça était déjà plus que flou, autant te propulser dans une ville méconnue au sein d'un pays dont tu ne maitrises pas la langue du jour au lendemain. ce travail de compréhension et d'adaptation t'était trop complexe, trop fastidieux. fallait t'ouvrir émotionnellement, te rendre vulnérable et ça a toujours été un point de friction te concernant. t'avais pas envie d'aimer, pas envie de laisser l'opportunité à quelqu'un de te la foutre à l'envers. l'amour, pour toi, est trop proche de la haine. alors t'as laissé le corps s'exprimer et avec toutes les personnes qui te plaisaient. tu continues encore, t'as la vibe ou tu l'as pas, peu importe ton sexe, peu importe ton genre. le jeu est pas le même selon qui t'as en face mais tu prends toujours un plaisir malsain à posséder l'autre ne serait-ce que l'espace de quelques longues minutes.(SIX) ta passion du sport t'a poussé dans des études de médecine du sport. c'est pas qu'une question que t'aimes te mater dans la glace et te dire que t'es beau gosse, c'est surtout que t'as étudié pour en arriver là, t'as cherché à comprendre comment bosser tel et tel muscle, ton régime alimentaire, les liens entre alimentation, sommeil, rythme de vie et activité physique. c'est tout ça, toutes ces années d'apprentissage qui t'ont permis d'être à l'aise dans tes études. en vrai, tu te donnes à fond, tu kiffes ça comme personne. tu sais être studieux quand il faut et tu plaisantes pas en classe. t'es pas juste une gueule ou une grande gueule pour sur.(SEPT) il y a trois ans, t'as trouvé l'adrénaline dans des lieux cachés, là où les cris se font pas entendre et où tu peux cogner. des jeux d'argent, des rencontres avec une population sous-estimée, des paris dangereux. t'as continué la boxe de ta petite salle et tu l'as transformé sur des rings où t'es devenue une coqueluche. t'as pris ton second prénom, t'as trouvé ton surnom : bashie. dans la foule, t'as créé tes fans qu'ont ton slogan à la bouche, "bash bashie". quand tu cognes, tu les excites, quand tu gagnes, ils te félicitent. c'est pas pour gagner de l'argent que tu fais ça, tu le fais pour la gloire des opprimés qui niquent le système là où il les atteint pas. c'est ta seconde identité, celle de l'anti-héros et t'en es foutûment fier.(HUIT) tes combats t'ont mené loin. t'as commis le quasi irréparable et mine de rien, ça, t'en es pas fier. pour une fois, ça t'a secoué et tu t'es demandé si c'était vraiment la personne que tu voulais être. t'as commencé la méditation en parallèle de tes activités barbares. ta conscience bouillonne, t'essaies de distinguer le vrai du faux, le bien du mal. t'es pas prêt pour être une bonne personne, tu te considères comme une mauvaise mais la graine est plantée, prête à germant. doucement, elle se fraye un chemin dans tes neurones juste avant l'éclosion en ton coeur.
- Code:
<div class="card-user-bottin-students"><students class="text-s-bebas text-upper">KADEN HAMMOND</students><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Julian Caskey"</span></div>
(Invité)
et qu'on doit parler toi et moi, j'ai des pistes de liens 
tu sais où me trouver ! 