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Les originesC'est un Anglais de pure souche. (tenir comptes de celle des membres la famille du personnage et des ethnies du faceclaim)
feat. Robert Pattinson
29/02/1988. Londres royaume-uni.
Anglaise.
Célibataire et Hétéro.
Médecin.
Aisé.
Le caractère
Amical. Attentif. Attentionné. Audacieux. Réservé. Bienveillant. Silencieux. Calme. Confiant. Cultivé. Discret. Généreux. Emotif. Futé. Gourmand. Honnête. Loyal. Mystérieux. Nerveux. Ponctuel. Rancunier. Soucieux. Têtu.
Les anecdotes
- ( 01 ) J’ai grandit dans une famille modeste. Ma mère était une nounou, elle adorais son métier, pour elle c’était une passion. Elle aurais aimais avoir pleins d’enfants dans la maison en train de crier partout en faisant des bêtises, mais malheureusement pour elle, je suis un enfant unique. Mon père quant à lui était policier. Il n’était jamais présent, d’ailleurs, le manque se faisait ressentir. J’avais besoin d’une présence masculine, j’avais l’impression qu’il était un inconnu pour moi. On ne savait rien de lui, il ne parlait pas beaucoup. De plus, on avait la
peur au ventre à chaque fois qu’il partait en vadrouille, on ne savait pas s’il allait rentrer vivant ou non à la maison. Ma mère, essayée de me rassurer comme elle, pouvait. J’adorais passer du temps avec elle, surtout en cuisine, c’était un véritable bonheur pour moi. - ( 02 )Je n’avais pas beaucoup d’amis, j’étais un enfant réservé, je n’aimais pas les gens, j’étais bien dans ma bulle, dans mon petit monde à moi. Ma mère aurait aimé que j’aie une vie sociale, mais je n’aimais pas me mélanger. D’ailleurs, mes camardes de classe me trouvaient étrange. Je ne parlais quasiment pas, à chaque fois que je traversais les couloirs de l’école, c’était la tête baissée. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne me sentais pas à l’aise, je n’étais pas bien dans ma peau, je n’aimais pas ce monde où on jugeait en permanence.
Tout le monde se moquait de moi, en disant que je n’avais pas de père, j’avais toujours ce genre de remarque et ça me rendait triste. - ( 03 )À l’école, j’étais un enfant maltraité. J’étais faible, donc forcément, j’étais la cible parfaite pour eux. On me faisait toute sorte de crasse, comme par exemple m’enfermais dans mon casier. Me kidnapper pour me laisser en pleins milieu de nulle part. Oui, le monde est méchant, je le sais depuis bien longtemps, je recevais des coups aux visages. Ma mère était inquiète pour moi, elle avait peur qu’il m’arrive quelque chose de grave. Elle voulait que j’arrête l’école, mais moi, je voulais continuer pour leur monter que j’étais plus fort qu’eux, en me pointant tous les jours malgré le mal qu’ils me faisaient. Une chose qu’on ne pouvait pas m’enlevait, c’est que je ne suis pas un lâche. Mon père pendant ce temps, s’en fichait totalement de ma vie, de notre vie. Il ne faisait rien pour arranger les choses, de plus, il était porter sur la bouteille, le peu que je le voyais à la maison, il était complètement ivre. Mon père s’en prenait à ma mère, pas physiquement, mais parfois les mots peuvent faire plus mal. Je n’osais pas bouger le petit doigt, j’avais peur d’en prendre une de la part de mon père. J’avais peur de lui, j’avais peur de ceux qui me faisaient du mal à l’école. Heureusement, j’avais le soutien sans faille de ma mère.
- ( 04 )Ce n’était pas normal pour un enfant de ne pas avoir de vie paisible, mon seul moment de bonheur que j’avais, c’était avec ma mère. Elle était triste, elle voulait une vie meilleure pour nous. Elle avait l’impression d’avoir échoué, j’étais ce qu’il y avait de plus précieux à ses yeux, j’étais son bonheur au quotidien. C’est la personne que j’aime le plus au monde, elle est unique à mes yeux. Il n’y a pas d’amour aussi fort que notre relation. C’est la seule femme que j’aime, la seule femme qui ne m’a jamais déçu. J’aimerais la rendre fier, c’est ce que je fais tous les jours, toutes les actions que je fais, c’est pour elle.
- ( 05 )Vers l’âge de dix-sept ans, un incendie, c’était déclencher dans le domicile familial. Avec ma mère, nous n’étions pas présents, car nous étions à une soirée. Mon père lui était à l’intérieur, malheureusement, il n’a pas survécu aux flammes, c’était terrible, affreux, c’était violent. Nous avons tout perdu, je n’avais plus de foyer, je n’avais plus rien. La chose la plus horrible, c’est de perdre son père, même si je n’étais pas proche de lui, ça m’avait fait mal au cœur, je n’avais pas les mots pour réconforter ma mère. J’étais perdu, anéanti. J’avais pleuré toutes les larmes de mon corps. Ma mère quant à elle, était paralysée, elle n’avait aucune réaction. Je n’avais jamais vu ma mère dans cet état, c’était vraiment effrayant. J’avais peur de la perdre également.
Pour ne pas laisser seule ma mère, j’avais demandé de l’aide à sa sœur. Je savais qu’elles ne s’entendaient pas trop toutes les deux, mais on ne pouvait pas rester comme ça, il n’y avait pas d’autre choix. Je ne regrette pas mon geste, nous avons eu un toit de la nourriture, une nouvelle famille, car elle avait plein d’enfants, j’étais content d’être entouré, ça faisait chaud au cœur, ma mère de son côté, elle avait réussi a avancé, même si elle était encore impactée par le décès de mon père, elle avait su se relever. Elle l’avait fait pour moi, pour ne pas le laisser tomber. J’avais trouvé cela très courageux. Pour moi, ma mère est la femme la plus forte au monde. J’aimerais être comme elle avoir un tel exemple sous ses yeux ça fait du bien. - ( 06 )J’étais devenu un adolescent plus sociable, je n’avais plus peur des autres, je n’étais plus maltraité. J’étais plus heureux, j’étais bien dans ma peau. J’avais fait un gros travail sur moi-même, je devais montrer l’exemple être un homme. Ma mère était fière du changement que j’avais réussi à faire, ce n’était pas facile, mais j’ai su prendre sur moi, pour être quelqu’un d’autre quelqu’un de meilleur.
- ( 07 )Avec ma mère, on a su se reconstruire, elle avait un nouveau boulot, elle travaillait dans la restauration, de mon côté, je faisais tous les petits boulots, pour lui venir en aide. Nous avons un nouveau foyer, je ne remercierais jamais assez ma tante tout ce qu’elle a fait pour nous. On ne s'en serait pas sortis sans elle, c’est indéniable. Son mari, lui manque, même s’il était violent avec elle, elle n’oublie pas l’homme qu’elle avais aimais, son boulot de policier l’avais changé et dans le mauvais sens, il était tombé dans un côté sombre, un côté obscur. Il était charismatique, mais j’aurais aimé un père plus aimant plus proche de sa famille.
- ( 08 )Suite au décès. Ma mère était en dépression, c’était très dur de la voir ainsi, elle était tout le temps dans son lit, elle pleurait tous les soirs, elle ne dormait plus. De mon côté, j’étais impuissant, j’avais comme l’impression de ne plus être à la hauteur, je n’étais pas l’homme de la situation. Elle avait été suivie par de nombreux médecins, mais elle refusait d’être traitée, elle ne voulait pas être sous médicaments. J’étais au plus mal, plus d’une fois, je voulais craquer, mais je restais solide pour elle. Avec beaucoup d’insistance, elle avait accepté d’être suivie par un docteur. C’était quelqu’un de confiance, c’était un proche de ma tante. Encore une fois, elle avait tendu la main pour sa sœur, malgré leur différent.
- ( 09 )La mort frappe encore à ma porte. À la veille de mon anniversaire. Je venais d’apprendre que ma mère avait un cancer, j’étais sous le choc, je ne m'étais dit pas elle, pas cette femme. Pas ma mère. J’étais en colère, j’en voulais à la terre entière, normalement mes vingt-deux ans sa devais être une fête, mais je ne pouvais pas m’amuser, c’était trop pour moi. Pourtant, ma mère voulait qu’on continue d’avoir une vie normale, mais moi, c’était au-dessus de mes forces. J’avais mes études de médecine, une petite amie à cette époque.
Je n’avais plus le cœur à rien, j’avais comme une sensation de vide en moi. Tous mes proches essayées de me soutenir en m’apportant du réconfort : ne t’en fais pas, elle va s’en sortir, elle est forte. Je savais qu’au fond de moi, elle était condamnée, personne ne survit a cette maladie, quoi qu’il arrive, elle gagne toujours. Ma mère était de nouveau faible, cela me rappelait de mauvais souvenir avec sa dépression suite à la mort de mon père. C’était brutal, c’était rapide, j’ai profité au maximum d’elle. Elle est partie au bout de quelques mois.
Dire adieu à ma mère était la chose la plus dure à vivre, je ne souhaite à personne de vivre ça. Même pas a mon pire ennemi. - ( 10 )Aujourd’hui, je vais mieux, j’ai fait mon deuil. Ma mère me manque toujours autant, je pense à elle chaque jour. Je suis devenu médecin à l’hôpital de Boston. Sauvées, des vies, c'est la chose la plus palpitante, c’est vraiment une sensation incroyable. J’aime mon métier, j’ai toujours voulu devenir un docteur être quelqu’un d’important. Il ne faut jamais laisser tomber ses rêves, rester solide pour rester vivant. Je suis né en Angleterre, mais avec ma famille, on s’est installé à Boston quand j’étais petit, j’avais environ trois ans. Je suis célibataire, je ne cours pas après l’amour, je reste concentré sur mon travail, mais qui sais peut-être un jour, je tomberais amoureux pour la toute première fois.
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<div class="card-user-bottin-love"><love class="text-s-bebas text-upper">ROBERT PATTINSON</love><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Harrisson Robinson"</span></div>
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