Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitydeep down in your ground. (-Lexie)
Le Deal du moment : -11%
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
Voir le deal
641 €


deep down in your ground. (-Lexie)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
tw ; drogue - vente de stupéfiants.
    Harvard Science and Engineering School

   @Lexie Frye ; @Erika Cesarini
Ton bus arrive enfin à destination. Tu quittes la rambarde à laquelle tu te tiens pour descendre du véhicule. Tu as décidé de venir chercher tes cours toi-même aujourd’hui parce que tu sais que si ça ne tenait qu’à toi, tu resterais toute la journée au lit alors, tu trouves une raison pour sortir et respirer l’air frais. Rien ne se passe comme prévu, cependant tu ne dois pas laisser tes émotions prendre le dessus pour éviter un maximum de stress ; difficile à faire lorsque tu ne peux pas consommer de weed de la journée. Tu soupires en enfonçant tes mains dans les poches de ta veste. Tu te roulerais bien un joint maintenant mais tu te dois de rester raisonnable alors tu secoues la tête en abandonnant lâchement cette mauvaise idée.  Vaut mieux pas jouer la carte du danger quand tu sais que ton frère sera derrière ton dos pour te rappeler à l’ordre. Pas d’alcool, pas de fumette ; ouais tu vis actuellement l’enfer sur terre. Arrivant au secrétariat après quelques minutes de marche, tu récupères tes cours déposés  à ton nom par l’un de tes camarades comme prévu.  Encore un point stressant pour toi, devoir rattraper tes cours.  Tous les jours, tu te rends compte un peu plus à quel point tu as merdé.

Rangeant les dossiers dans ton sac, tu finis par quitter le secrétariat. Alors que tu te remets en marche, l’une de tes amies t’interpelles. Surprise de te voir ici, elle te questionne et prend de tes nouvelles :  « (...) Au fait, Lexie te cherche, c’est la blonde là -bas.  » Elle la désigne de son index que tu suis du regard.  « A mon avis, c’est pour sa conso.   » Qu’elle te murmure grossièrement. Tu souris légèrement puis tu mets fin à la conversation afin de pouvoir t’en aller. T’en aller, c’est ce que tu devrais faire mais au lieu de cela, tu te diriges vers la blondinette. Une fois à sa hauteur, tu lances : « Salut, paraît que tu me  cherches ?  »  lui demandes -tu curieusement en la détaillant. Tu ne l'as jamais croisé auparavant, du moins tu n’en as pas le souvenir.  Tu te mords la lèvre inférieure. Tu as décidé de ne plus dealer et pourtant, sur le moment t'as du mal à le lui annoncer. Qui dit nouvelle cliente, dit nouvelle rentrée d'argent et puis, c'est tellement plus simple, dangereux certes mais simple pour toi. « J'suppose que c'est pour la meth ? J'en ai pas là sur moi mais dis moi combien d'grammes il t'faut et je verrai ce que j'peux faire.   » Tu as essayé, mais tu as visiblement échoué.


   
formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ Deep down in your ground
w/ @Erika Cesarini

Fureur qui éclate en son sein, elle marche d’un pas décidé dans les couloirs.

Tout a commencé, il y a de cela quelques semaines, à une soirée de l’équipe de basket. Durant ces dernières, les joueuses s’alcoolisent peu, ce n’est pas interdit, mais disons que c’est l’usage d’éviter de boire avant les matchs.

En revanche, ce qui est prohibé, ce sont les substances. La weed,  l’EPO, la blanche, le crack, la mdma et bien sûr la meth. Enfin tous les trucs qui, soit sont dangereux, soit décuplent trop les capacités pour ne pas être considérés comme de la tricherie.  Ça, les joueuses en sont conscientes et le savent. C’est le renvoi de l’équipe si ça se découvre, et bien sûr l’expulsion d’Harvard, à moins que papa riche n’arrive à glisser quelques billets pour corrompre celui qui a fait les tests antidopage, mais, ça la fout quand même mal. Les tests sont effectués régulièrement et les joueuses se tiennent plutôt à carreaux.  

Aussi, lorsque Lexie a été entraînée par l’ailière de l’équipe à l’écart des autres durant la soirée, et qu’elle a vu l’état de panique dans laquelle son amie semblait se plonger, elle a vite compris que c’était sérieux.  

« Mais qu’est-ce-qui t’a pris de prendre de la meth putain ? Tu veux faire foirer ton avenir dans le basket ou quoi ? Et le sort de l’équipe t’y as pensé ?! »

Bien sûr qu’elle y a pensé, c’est d’ailleurs pour ça qu’elle est venue en parler à Lexie, parce qu’elle sait que la jeune femme ne la dénoncera pas. C’est pas son genre hein ? Mais elle n’arrive pas à s’en passer, ça va devenir problématique et elle a besoin d’aide.
Lexie a fixé le problème sous tous les angles : elle ne voit qu’une seule solution et c’est ce qui l’amène là, dans le pôle science. Endroit inconnu au bataillon qui lui semble totalement étranger et c’est peut-être une mauvaise idée de mener un combat sur un terrain inexploré.

Combat, c’est le mot, et Lexie grimace en pensant à la bataille qui l’attend. Elle se doute que la dealeuse ne se laissera pas convaincre aussi facilement.
La colère fait bouillir son sang à cette pensée, comment peut-on se foutre à ce point des gens en leur vendant un truc qui peut les tuer sur le long terme ? Elle sait bien que les lobbies pharmaceutiques le font déjà légalement, mais c’est pas une raison… la drogue elle connaît de loin, Lexie ne consomme pas, n’a jamais même fumé de sa vie, bon sauf cette fois où elle a tiré sur une chicha pour essayer et qu’elle a craché tous ses poumons ensuite. Mais si elle exècre la drogue, c’est parce que celui qui a tué ses parents dans cet accident était sous l’emprise d’un cocktail magique de weed, de C et d’alcool. Une bombe. Elle peut pas en vouloir aux camés de se détruire, chacun sa vie, ses problèmes et sa dépendance, le cerveau là-dessus a trop de contrôle sur la volonté, c'est chimique. Les dealers en revanche, c’est autre chose, or elle sait qu’elle ne doit pas laisser son aversion parler pour elle, cela desservira l'effet escompté.

« Salut, paraît que tu me cherches. »

Lexie fronce les sourcils. Est-ce vraiment elle qui a vendu sa merde à son équipière ? La Adams ne s’attendait pas à ça, mais bon  peu importe, ça ne changera rien à ce qu’elle doit lui dire. Elle hoche la tête et lance :

« Les nouvelles vont vite... »

Et ça l’arrange parce qu’elle se voyait mal arpenter l’université pendant des jours ou des semaines pour trouver celle qui risque d’être responsable, en partie, du renvoi d’une des meilleures joueuses de l’équipe.

« J'suppose que c'est pour la meth ? J'en ai pas là sur moi mais dis moi combien d'grammes il t'faut et je verrai ce que j'peux faire.   »

Lexie lève la main pour arrêter le deal.

« J’irai droit au but, je ne suis pas là pour t’acheter quoi que ce soit.»

Ok Lexie, tu restes aimable, c’est plutôt bien parti.

« J'viens surtout pour te dire d’arrêter de vendre ta merde à l’équipe de basket. Tu peux pas continuer de leur donner ça, c’est… ça va foutre leur vie en l’air. »
Son ton n'est pas agressif, ni même moralisateur. Pour l'instant, elle reste plutôt factuelle, énonce des trucs, qui lui paraissent d'une évidence limpide. C’est une étudiante comme elle, elle va comprendre ce qu’elle demande et accepter, c’est sûr, d’ailleurs elle a bien d’autres arguments à proposer, mais Lexie est persuadée que tout ça coule de source et qu’elle n’a pas besoin de les dégainer.



credits img/gif: pinterest
code by lumos s.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
tw ; drogue - vente de stupéfiants - mort - overdose.
    Harvard Science and Engineering School

   @Lexie Frye ; @Erika Cesarini
Est-ce que tu as accepté de lui fournir de la meth, parce que t’es sur la paille et que tu as oublié à quelle point c’était facile d’avoir des billets en dealant, ou alors parce que tu as besoin d’un exutoire et que tu l’as trouvé  en vendant ce qui a tué ta mère ? Le mélange des deux sans doute. Ana a peut-être raison, peut-être que tu n’es pas prête à laisser partir ta mère et encore moins depuis le mal qu’elle a fait à Noélie.  Un pas en avant, dix en arrière ; T’es retournée chez ton père et tu es condamnée à rester dans cette ville alors à quoi bon faire des efforts aujourd’hui ? Tu n’as pas le choix, ou tu ne veux pas l’avoir. Peu importe, ta colère intérieure parle pour toi et tu n’es pas encore prête à l’ignorer.  La blondinette en face de toi te stoppe dans ton deal d’un geste de la main et tu fronces les sourcils. Si tu savais qu’elle comptait t’emmerder, tu l’aurais redirigé vers ton abruti de concurrent. Tu l’écoutes attentivement, même si tu devrais faire autrement parce qu’elle ne compte rien t’acheter.

Elle te demande de cesser de vendre - ta merde - à l’équipe de basketteuses. Ses paroles t’arrachent un fin sourire. C’est demandé presque gentiment, sans animosité dans sa voix alors tu la trouves mignonne d’essayer de sauver ses camarades. « Lexie, c’est ça ? T’es vraiment mignonne de vouloir sauver la peau de ton équipe mais, mais j’ai le regret de t’annoncer que t’as perdu avant même d’avoir joué.   » Tu hausses les épaules en secouant la tête. Tu soupires puis tu plantes tes émeraudes dans les siens : « Est-ce que tu m’as bien regardé ? Est-ce que j’ai l’air de faire du porte à porte ? Est-ce que j’ai l’air de forcer la main de qui que ce soit ici ? Elles sont assez grandes pour prendre des décisions toutes seules et si elles décident qu’elles en ont besoin alors je ne peux rien faire pour elles, ni pour toi … » Tout comme tu n’as rien pu faire pour ta mère.  « Écoute, j’pense que tu prends le problème à l’envers. Si elles ne se fournissent pas chez moi, elles iront ailleurs et t’as de la chance, ma meth est pure. Je la casse pas avec des substances inconnues qui peuvent rendre fou contrairement à d'autres.. » Tu restes calme dans tes explications, cherchant un peu à lui retourner le cerveau. Tu ne penses pas être la source du problème, c'est ça ton problème.

   
formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ Deep down in your ground
w/ @Erika Cesarini

Lexie est le genre de fille qui aime rendre service. Elle apprécie se rendre utile, surtout lorsqu'il s'agit de protéger ceux qui lui sont proches. Parfois ça lui demande de se mêler, de ce qui ne devrait pas la regarder. Et aujourd'hui est une parfaite illustration de ce genre de situation. Elle en a pourtant conscience, ceci peut lui attirer des ennuis, ce ne serait pas la première fois d'ailleurs. Mais voilà, c'est plus fort qu'elle. Lexie ne peut pas laisser sa coéquipière dans ce bourbier, et ce, même si ça implique de traiter avec des gens qui flirtent avec le danger et de l'illégalité. Après tout, elle a promis.

C'est pour ça là, qu'elle se trouve à traiter avec cette Erika. Elle n'a pas eu trop de mal à la trouver d'ailleurs, les nouvelles vont vite parmi les étudiants, quand on sait à qui demander les infos. Et c'est aussi ce qui la préoccupe. Si on la voit en train de parler à la dealeuse, c'est sur elle que risque de retomber toute cette affaire. Aussi, Lexie espère et veut à tout prix, que cela se passe vite. Seulement voilà, lorsqu'elle perçoit le froncement de sourcils de la dealeuse, elle sait déjà que la lutte commence. Et le sourire quelque peu condescendant que lui lance son interlocutrice est limpide : elle trouve sa demande complétement stupide.

Mignonne ?! Mignonne ?! Mais attends, elle se prend pour qui elle ?!

Intérieurement elle bouillonne d'entendre ces mots, parce qu'elle n'est pas en train de risquer sa propre place dans l'équipe, et que ce qu'elle est en train de faire, n'a rien d'anodin ! Adjectif insultant qui résonne comme un écho dans son esprit en colère. Mais à l'extérieur, elle ne montre rien. Elle sait faire Lexie. Garder un visage impassible et froid. Les repas de famille avec son oncle l'ont bien formée et rodée là-dessus. Heureusement, parce que si elle perd son sang-froid, elle perd la lutte et même si Erika semble affirmer le contraire, le combat ne sera perdu que lorsque Lexie aura décidé d'abandonner et elle est plutôt tenace, ça tombe bien.

Ce que la dealeuse lui sort est complètement hypocrite et esquisse bien l'égoïsme des gens de sa trempe, en général d'ailleurs. Bien sûr que si elle a sa part de responsabilité dans la consommation de son amie ! Elle lui vend de quoi se défoncer ! Le marchant d'armes est aussi coupable que celui qui l'utilise ! Mais Lexie l'a bien compris, elles n'ont apparemment pas le même point de vue. Dommage, elle aurait aimé ne pas rentrer dans cette conversation, ne pas se montrer agressive, mais il semble qu'elle risque de ne pas lui laisser le choix. Peut-être vont-elles, en effet, se fournir ailleurs, mais au moins elles n'iront plus ici. Et franchement Lexie s'en tape que sa meth soit "pure.". La ciguë aussi c'est pure et pourtant Socrate l'a bien démontré, c'est un poison mortel.

"Je vais éclaircir un point." répond-t-elle en faisant tout pour garder son calme. "Je ne joue pas. Ce n'est pas un jeu. Il s'agit là de l'avenir et de la vie de mes amies." et de l'équipe, mais c'est secondaire. "Je me fiche totalement que la drogue que tu vends soit pure, ça change rien au problème !" elle ajoute -t-elle sèchement, l'agacement l'envahit peu à peu. Et s'efforçant de reprendre un peu le contrôle, elle poursuit avec un ton, un peu plus modéré : "Je ne te demande pas la lune non plus ! Juste qu'elles ne puissent plus se fournir chez toi, c'est pas comme si tu n'avais qu'elles comme clientes si ?" Si c'est le cas, cette Erika prend beaucoup trop de risques pour pas grand chose... "Pour la suite, ça me regarde, si elles vont se fournir ailleurs, je m'en chargerai, 'j'irai leur demander la même chose qu'à toi, ou je verrai  bien, le souci ne se pose pas là. Pour l'instant, c'est chez toi qu'elles achètent. Je prends peut-être le problème à l'envers, comme tu dis, mais tu es dans l'immédiat ma seule solution. Et leur seule solution."
Puis elle peut bien se passer de quelques acheteuses non ? C'est pas la mer à boire non plus sérieusement ! Lexie ne comprend pas ce refus. Toutefois, cette incompréhension ne lui fera pas lâcher la dealeuse, avant que celle-ci n'accepte de laisser tomber. Si cette conversation doit durer, elle est prête. Lexie retient les autres remarques acerbes qui lui brûlent les lèvres, on ne gagne pas un combat en laissant sa colère prendre le dessus. Pourtant, ce n'est pas l'envie qui manque.




credits img/gif: pinterest
code by lumos s.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
tw ; drogue - vente de stupéfiants - mort - overdose.
    Harvard Science and Engineering School

   @Lexie Frye ; @Erika Cesarini
Tu es un peu déçue ; toi qui pensais te faire quelques billets aujourd’hui, malheureusement ce ne sera pas le cas. De toute façon, tu dois te faire de l’argent rapidement, tu ne comptes pas rester chez ton père éternellement même si pour le moment tu n’as pas le choix. Tu as promis d’arrêter de dealer à ton retour du spring break, mais on t’a piqué ton argent là bas et tu es obligée de tout recommencer de zéro. T’as pas su gérer ton argent et t’as rien mis de côté alors au lieu de trouver un boulot comme toute personne raisonnable, tu es retournée à tes mauvaises habitudes. T’es dedans depuis trop longtemps, t’as besoin de bien plus qu’une promesse pour t’en défaire. T’arrêteras avant que Ji-Hun le sache et après avoir récolté assez de fric pour pouvoir retomber sur tes pattes.  Cette blondinette, tu la trouves admirable, c’est vrai, elle a le culot de venir te demander d’arrêter de vendre ta came à ses potes. Tu as juste un peu de mal à comprendre que ce soit toi qui prenne à la place des autres … Pour être la fille d’une camée, tu sais très bien qu’il ne tient qu’à eux d’arrêter et que personne ne les stoppera dans leur consommation, si eux - même n’ont pas la volonté de le faire.

Quel culot - que tu penses en secouant la tête. L’avenir et la vie de ses amies ?  Tu grimaces, de plus en plus agacée.  Elle commence à te donner mal à la tête et t’as pas fumé un seul joint depuis ton opération alors t’es facilement irritable.   «  Attends, quoi ?!   » Tu arques un sourcil quand précise qu’elle ira demander la même chose aux autres dealers.  Tu éclates de rire, la main sur tes côtes. Tu abuses un peu mais sa naïveté te fait marrer. Tu tentes de reprendre ton calme en te redressant :   « Mais t’es tarée ou quoi ? En faisant ça, t'as plus de chance de réciter l’alphabet avec un gun dans la bouche que de sevrer  tes potes.  » Parce que toi, tu as l’air plutôt sage à côté des grands dealers. Tu utilises la batte de baseball en cas d’impayés ou d’extrêmes urgence et les poings de ton frère parfois.  « M’enfin, bref, je suis pas assistante sociale alors c’est pas mon problème ton histoire avec tes potes là. Ma solution à moi c’est de maintenir mon business en vie et il te viendrait pas à l’idée de demander à un pharmacien d’arrêter de vendre un médicament parce que t’as eu des effets secondaires ? Bah, là c’est pareil. J'arrêterai pas même si le ciel me tombe sur la tête et puis, j'aime pas trop ta manière de faire...  » Tu pouffes en haussant les épaules :  « C'est vrai quoi, t'es qui pour me dire c'que je dois faire hein ?  » Demandes -tu en la dévisageant. Elle commence déjà à te courir sur le haricot.


   
formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ Deep down in your ground
w/ @Erika Cesarini

Le milieu de la drogue est plutôt une terre inexplorée pour Lexie. Un continent vierge sur lequel elle n’a pas envie de poser les pieds. Un genre de no man’s land qui doit le rester. Mais pour ses potes, la jeune femme est prête à se mouiller, à jeter l’ancre le temps de briser les cordes qui retiennent les navires de ses comparses. Du courage ? Plutôt de l’inconscience, mais ça Lexie n’en a que faire. La loyauté est au-dessus tout, régit sa façon d’être et de se comporter en souverraine de son âme et de son coeur.

Aussi, quand cette Erika éclate de rire, lorsqu’elle lui annonce qu’elle est prête à aller dire aux autres dealers d’arrêter de vendre à ses potes, elle comprend que ça paraît fou et dangereux, et pourtant elle est prête à le faire. Parce que Lexie a toujours été comme ça.

« Peut-être. Mais c’est la seule solution que j’ai et je la tenterais si j’ai pas le choix. Parce que moi j’ai une conscience. Ce que t’as pas visiblement. » répond t-elle sèchement.

Esprit chevaleresque prend possession du corps de la blondinette, qui sans son esprit de loyauté, ne se serait jamais permise de dire un truc pareil à une parfaite inconnue. Mais elle refuse de laisser tomber, et tant pis si ça fait marrer son interlocutrice sans scrupules. Puis sa comparaison avec le pharmacien c’est du bullshit. Parce qu’un pharmacien soigne, la meth, Lexie en est certaine, ça tue. La ligne est fine dans les doses, entre la létale et le remède, mais voilà, il s’agit de ne pas la franchir sciemment. Et c’est exactement ce qu’elle reproche à cette fille. De vendre en pleine conscience des choses ce poison qui, non seulement tue, mais en plus détruit des vies, contrairement au pharmacien donc.
C’est cette fois-ci à son tour de rire sarcastiquement.

« Ah ouais, carrément, tu te compares à un pharmacien maintenant, non mais la blague. Et puis ca n’a rien à voir. Pour les médocs vendus à la pharmacie tu ne les achètes pas pour les effets secondaires. Ils sont là pour soigner. Ton truc, jsuis pas sûre que ça soigne grand-chose, à part un mal-être de l’esprit, enfin ça pose un pansement sur une fracture ouverte quoi, de la poudre aux yeux, enfin dans le nez du coup, mais c’est complètement hors de propos. »


Lexie en est persuadée au fond la dealeuse dit ça sans vraiment le penser. On ne peut pas en avoir rien à foutre comme ça, c’est pas possible. Pour la adams, c’est inconcevable.

A moins que ce soit un putain de robot.

Voilà donc impossible. Elle ne peut pas rester dans le déni indéfiniment. Lexie sait bien qu’elle n’arrêtera pas son petit commerce et c’est pas ce qu’elle lui demande, même si c’est pas l’envie qui la démange de le faire. Elle veut juste qu’elle dise à ses potes : désolée j’en ai pas pour l’instant. Rien de plus que ça et elle n’arrive pas à saisir le problème là-dedans. Mais Lexie est patiente, elle se dit qu’en jouant la carte de la franchise ça peut fonctionner. Elle calme ainsi sa colère, ferme les yeux quelques secondes avant de soupirer de les rouvrir et d’ajouter, pleine de franchise.

« Je me prends pour une amie qui essaie de faire quelque chose ! Parce qu’elles m’ont demandé de l’aide d’accord ? Alors, moi à mon tour, je t’en demande, parce que je vois pas qui voir d’autre. Si les responsables de l’équipe de basket en viennent à être au courant elles seront virées, au mieux. Donc je ne peux pas faire appel à des personnes légalement compétentes, ça va leur retomber dessus. Je ne te demande pas d’arrêter ton business,j’ai bien compris qu’il en était hors de question, juste de ne pas fournir l’équipe de basket… s’il te plaît. »

Le dernier mot de politesse est ajouté avec réticence. Parce qu’elle exècre l'attitude de la dealeuse, mais sait que si elle s’énerve et se montre agressive, ça n’aboutira à rien.




credits img/gif: pinterest
code by lumos s.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
tw ; drogue - vente de stupéfiants - mort - overdose - mention angoisse.
    Harvard Science and Engineering School

   @Lexie Frye ; @Erika Cesarini
Lexie te fait doucement rire, parce que toi tu sais très bien ce qu’elle risque à déranger d’autres dealers dans le but de les empêcher de vendre leur came à ses amies. Si seulement les affaires étaient aussi simples.  Toi, t’as pas envie de négocier et tu pouffes lorsqu’elle déclare que tu n’as pas de conscience, dans un constat que tu trouves pitoyable. «  Hm, ouais t’as une conscience pour tes camés d’potes qui n’en ont pas, ironique.. »  Elle a très mal choisi ses amies. « Et j’me fiche que ce soit pas comme des médocs, de toute façon. J’suis pas là pour soigner mais pour gagner mon fric.  » Et même si c’est en vendant de la merde en boîte, que ça t’provoque des crises d’angoisses la plupart du temps mais c’est comme ça, tu te sens coincée et t’as pas l’impression de pouvoir échapper à cette vie : «  Ah ? Parce qu’elles t’ont demandé de l’aide en plus ? Je te l’ai dit et je te le redis, c’est pas en arrêtant de leur  vendre ma came qu’elles arrêteront et si elles veulent arrêter qu’elles ne viennent pas en acheter c’est tout ? C’est de ma faute tes potes sont d’putains égoïstes qui ne pensent qu’à s’en mettre plein l’nez ? Elles ont une conscience, un cerveau, elles sont adultes nan ?  »  Demandes -tu en serrant les dents,  si un regard pouvait tuer, Lexie serait déjà à terre. Les paroles de la blondinette font écho à ton histoire personnelle alors tu ne peux t’empêcher de le prendre pour toi, de le prendre mal. Elle est à deux doigts de te faire péter les plombs à force d’autant d’insistance.  Toi aussi, tu as déjà essayé de faire en sorte que ta mère arrête en cachant mais c’était encore pire. C’est pas facile et ça ne le sera jamais. « J’vais te dire ce qui va se passer si j’arrête de les fournir. Tu tenteras de les faire arrêter en allant voir les autres dealers, avec un peu de chance personne te butera. Les premiers jours, tu penseras qu’elles ont arrêté mais elles replongeront et elles finiront sûrement par clamser parce que tu as cherché à les priver d’leur dose.  Quoi que tu fasses, tu finiras par le regretter. Si j’étais toi, je m’en mêlerai même pas mais j’suis pas toi, heureusement d’ailleurs. »  Sur ces derniers mots piquants, tu secoues la tête et tu tends la main : « Je veux bien arrêter de leur donner mais va falloir que tu me rembourses c'que je perds. Je trouve ça équitable perso. » Parce que tu ne comptes accepter aussi facilement. T'es sur la paille et tu ne peux pas te permettre de perdre un ou deux clients.


   
formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ Deep down in your ground
w/ @Erika Cesarini

Aveuglement ou foi inébranlable, Lexie  n’en a que faire de ce qui la pousse à apporter son aide à ses amies. Mais elle sait, qu’elle doit le faire. Elle est aussi persuadée, qu’elles ne sont pas comme décrites par Erika, des camées sans scrupules, ni reconnaissance. Et même si c’était le cas, elle n’en a cure, puisque sa loyauté, son esprit d’équipe la pousse à les protéger coûte que coûte. C’est ce qui semble être un gros point sur lequel, Erika et elle, diffèrent complètement. Et ce que la jeune femme lui dit vient confirmer cette impression. Finalement cela ne surprend pas Lexie. Comment a-t-elle pu espérer  pouvoir trouver autre chose que de la vénalité chez la dealeuse. Evidemment qu’ils font tous ça pour le fric. Et peut-être qu’elle a une excellente raison de vouloir de l’argent. Mais putain, se faire du blé sur le malheur des autres, c’est quelque chose que Lexie ne peut concevoir, ni admettre ! Elle éclate d’un rire sans joie et répond ensuite froidement.

« Du coup j'pense que t’es un peu mal placée pour critiquer le comportement de mes potes, hein. »

Mais au fond, Lexie n’arrive pas à y croire, elle se doute, ou espère, que ce comportement insensible n’est qu’une façade. Mais elle n’a pas le temps de creuser davantage et n’en a pas l’envie. Elle ressent trop d’animosité envers la dealeuse pour accepter de la connaître un peu plus. Puis ce n’est pas le but de la manœuvre.
Bien sûr qu’elle sait qu’elles iront se fournir ailleurs, mais si elles peuvent galérer pour trouver leur dose déjà ça rendra les choses plus simple à gérer pour Lexie.

« Je n’ai jamais dit que c’était de ta faute ! » Même si tu l’as pensé. Lexie fait taire sa conscience avant que celle-ci vienne tout faire foirer, ici elle ne doit pas être trop chevaleresque ou justicière, sinon elle risque de tout faire capoter. « Et je pense que t’es bien placée pour savoir que leur cerveau là est embrumé par ce qu’elles prennent et donc elles ne peuvent s’en sortir qu’avec une aide extérieure. »

Cela paraît tellement logique à Lexie qu’elle ne voit pas comment Erika peut ne pas comprendre que ça coule de source.
Mais elle sait aussi que la dealeuse s’y connaît bien mieux qu’elle en camé. Cependant elle refuse de laisser tomber avant même d’avoir essayé. Tant pis si ça ne fonctionne pas, au moins elle aura tenté.

« Ouais t’es pas moi,j’avais bien noté la différence t’inquiète. Peut-être que t’as raison, peut-être que ça va servir à rien, mais au bout du compte, j’aurai essayé quelque chose. Et de toute façon ça me regarde ! ». Elle croise les bras sur sa poitrine, posture fermée, se refusant d’écouter ces arguments dérisoires et qu’elle juge immoraux… Mais la justicière ne reste pas longtemps figée dans cette pose. La proposition de la dealeuse résonne dans son esprit. Ce dernier la considère sérieusement, il la jeauge, la pèse dans sa balance de justice, en Juge des actions menées et à effectuer. Cela pourrait fonctionner. Mais que dira son oncle s’il s’aperçoit qu’elle paye une dealeuse ? Il serait capable de lui couper les vivres, de ne plus lui payer ses études.  C’est pas comme si elle consommait à remarque, elle ne fait que lui donner du fric. C’est pas illégal, c’est comme donner à une association… une association illégale dont la marchandise bute des gens quoi…
Mais est-ce qu’elle a vraiment le choix ? Quelle autre solution a-t-elle ? La dénoncer ? L'exécution de la sentence concernant ses amies serait sans appel. En parler à un prof ? Elle pourrait se confier à Madame Campbell, elle, elle l'écouterait sans doute, comprendrait, aurait peut-être une brillante idée, mais... non elle ne peut pas la mêler à ça, et elle a promis à ses amies de ne rien révéler.
Elle regarde la main tendue d’Erika. Lexie a l'impression que le temps s'est figé et  elle s’aperçoit, à présent, qu’elle a décroisé les bras à mesure que sa réflexion s’est faite. Son incertaine décision est prise. Elle fouille dans son sac de cours : « Combien ? » demande-t-elle d'un sur un ton assuré, en dégageant son portefeuille coincé entre son ordi et un bouquin sur la poésie française du XXe siècle emprunté à la BU. Une chance qu’elle ait retiré un peu d’argent, juste avant. « Combien te payent-elles par semaine ? Mois peut-être ? J’accepte si tu ne me la fais pas à l’envers, je peux vérifier auprès d’elles la somme exacte... »

Bon sang dans quelle merde t’es en train de te fourrer Lexie.

Elle ne sait pas, mais trop tard, son choix est fait, sa loyauté l’emportera toujours, elle ne peut plus faire machine arrière de toute façon.





credits img/gif: pinterest
code by lumos s.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
tw ; drogue - vente de stupéfiants - mort - overdose - mention angoisse.
    Harvard Science and Engineering School

   @Lexie Frye ; @Erika Cesarini
Tu roules des yeux, sourire agacé sur le visage lorsque la blondinette te dit que tu es mal placée pour critiquer ses amies.  Tu les critiques comme tu l’aurais fait pour ta mère, parce que c’est elle que tu vois à travers eux.  Tu les bousilles avec ta meth, comme si tu avais besoin que ta mère puisse voir d’où elle est, à quelle point tu lui en veux. Parfois la réalité te frappe et ta conscience s’éveille, cette fille ne sait pas que tu as pris la décision d’arrêter de dealer quelques jours avant, qu’aujourd’hui tu as lâchement échoué parce que tout part en fumée. Ce business, c’est ton défouloir, contre toi, contre ta mère et toute la merde qui t’es tombée dessus dernièrement. Tu n’es pas désolée pour Lexie, ni pour ses potes en tout cas , pas aujourd'hui puisque ton humeur de chien ne te le permet pas.  « Tu n’as jamais dit que c’était de ma faute mais tu le sous -entends. » Facile de mettre la faute sur les autres. C’est si dur que ça que de blâmer ses potes ? Que tu penses. Elle t’irrite Lexie parce que tu as l’impression qu’elle est capable de blâmer le monde entier sauf ses potes. C’est pourtant eux qui consomment, pas les autres. Elle se voile la face, elle a encore de l’espoir de les voir s’en sortir mais toi, tu préfères lui rire au nez parce que tu n ‘y crois pas une seule seconde.  Il n’y a pas de raison que ça se termine bien pour elle, si ça s’est mal terminé pour toi.  Tu secoues la tête en l’écoutant : «  Oh pitié ! Arrête !  Elles n’arrêteront pas tant qu’elles ne l’auront pas décidé. Arrête donc de les victimiser. Le cerveau embrumé, c’est elles qui le veulent.  » Ou de les materner. Tu n’as rien à dire, elle a raison, cette histoire ne te regarde pas, cependant t’as quand même essayé de l’aider toi aussi ; de la faire redescendre sur terre. Sourire satisfait sur les lèvres, elle semble accepter ton marché. Heureusement, parce que de toute façon tu n’aurais pas accepté de perdre de l’argent juste pour lui venir en aide.  « Ce sont de bonnes clientes. Alors, hm, si je calcule bien, me semble que c’est 200 par semaine.   » Dis -tu, les yeux plissés en tapotant ton index sur ta lèvre inférieure : « Tu peux tout aussi bien me payer 800 dollars par mois. Enfin … 800 par mois jusqu'à la fin de l’année ou  200 par semaine c’est toi qui vois Blondie…. » Tu la détailles de haut en bas, au vu de ses fringues, t’es presque certaine qu’elle doit être blindée de frics.  Te rapprochant de Lexie, tu poses une main sur son bras, ton regard menaçant captant le sien :  « Au fait, j’oubliais mon collègue est du genre très nerveux alors si tu veux continuer de pouvoir tenir sur tes deux jolies jambes, , tu ferais mieux de pas m’la faire à l’envers, Lexie.   » Ta main se retire de son bras. La moindre des choses, c'est de la prévenir des conséquences si jamais ... Ton frère se fera un plaisir de s'occuper de son cas sinon.


   
formulaire créé par lumos solem & ilh, uniquement pour i love harvard
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
★ ─ Deep down in your ground
w/ @Erika Cesarini

Sous-entend t-elle vraiment que c’est de la faute d’Erika ? Sans doute, parce que après tout elle le pense très fort et cela doit se ressentir dans son ton, son regard même. Mais elle reste trop polie pour pouvoir le lui dire réellement. Et l’étudiante a besoin d’elle et lui donne ainsi, l’occasion de racheter cette erreur justement. Evidemment elle n’est pas la seule fautive, mais elle est responsable. Parce qu’elle vend la mort. Le trafiquant d’armes est tout aussi coupable que celui qui va l’utiliser…

« Excuse-moi mais t'as ta part de responsabilité : tu leur vends un truc qui peut les tuer. Pardon mais t’es loin d’être une enfant de choeur ! » Rétorque-t-elle en levant les yeux au ciel.

Non mais c’est vrai quoi, c’est clairement du foutage de gueule que de nier qu’elle y est pour quelque chose. Mais bon, Lexie n’est pas là pour faire le procès de la dealeuse, d’autant plus qu’il lui serait contreproductif de se la mettre à dos, parce qu’elle lui demande un service, un service qu’Erika n’est absolument pas obligée de lui accorder. Et le problème est là.

Et certes, ses amies ont plongé dans ce trou noir, qu’est la drogue, de leur plein gré. Elles ne sont pas sans reproches. Mais aujourd’hui, les voilà prises à leur propre piège. Alors, Lexie n’est pas d’accord avec le fait qu’elles veulent de tout ceci.

« Et alors, ça t’arrive jamais de faire des erreurs et de les regretter p’t-être ? »

Peut-être pas après tout. Parce que pour faire une telle activité, il faut forcément faire abstraction de sa conscience et des éventuels regrets. Son attitude le lui prouve bien, il lui est inutile de faire appel à la compassion de la dealeuse elle n'en a pas. Aussi ne s’étonne-t-elle finalement pas lorsque la carte de l’argent devient celle qui fait plier son adversaire. Si elle n’était pas en train de contrôler ses gestes et émotions, Lexie soupirerait de dépit face à ce constat si "inattendu". Mais elle se contente d’écouter attentivement Erika. Porte monnaie ouvert, elle attend que la dealeuse fasse ses comptes. Et Lexie manque de s’étouffer. La somme qu’elle doit payer est dantesque !

Putain mais comment elles arrivent à débourser autant d’argent ?!

Elle lance un regard noir à la jeune femme qui lui fait face, appréciant moyennement le surnom. Elle renifle dédaigneusement.

« Tu te doutes bien que j’ai pas 800 dollards, là sur moi. Heureusement je me suis doutée que j’allais avoir besoin de vendre un rein, j’ai retiré 300 avant de venir. » Et il ne lui reste plus grande chose d’ailleurs. Son oncle est riche, mais en lui donne pas non plus des mille et de cent, assez pour le loyer, la bouffe et de quoi faire quelques soirées, sa situation est correcte et l’étudiante n’a pas à se plaindre, mais elle ne vit pas dans l’opulence.  Et  il la tuera s’il apprend ce qu’elle s’apprête à faire. Mais Lexie ferait n’importe quoi pour ses amies, et ça tout le monde le sait...  "Alors va pour 200 par semaine, si ça te convient. »

Elle fouille dans sa sacoche alors que la dealeuse pose une main sur son bras. Lexie interrompt alors son geste. Et son souffle reste dans sa gorge. La menace est bien là, présente et durant quelques secondes elle se fige.

Lexie ne fait pas ça…

Mais elle ne peut pas écouter sa conscience. Parce que si elle le fait, les filles seront condamnées. Alors elle déglutit, parce qu'au fond, la jeune femme sait que c'est dangereux, qu'elle ne pourra pas faire machine arrière, mais fixe la dealeuse en plein dans les yeux, reprenant contenance.

« T’en fais pas pour moi. Jsuis pas du genre à me défiler et je tiens toujours parole. » Et elle tend les 200 dollards à la dealeuse. « A toi de tenir la tienne et tout le monde sera content. »

Bordel dans quoi tu t’embarques Lex’ ?! Et si un jour t’arrives plus à payer !?

Elle se débrouillera et ce jour n’est pas encore arrivé...



credits img/gif: pinterest
code by lumos s.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)