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Hey Blondy Girl ! [PV Charlie]

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Hey Blondy Girl !

La fin des cours... Daphné avait beau aimer ce qu'elle faisait dans ses études, il fallait bien avouer qu'elle adorait quitter la dernière salle de classe de la journée. Cette sensation de liberté était toujours plus ou moins la même. Mais elle déchantait bien vite quand elle se rappelait qu'une fois retournée chez les Dunster, elle devrait passer une partie de sa soirée à travailler. Grâce à un planning bien tenu et organisé au cordon, elle n'avait que rarement fait de nuit blanche pour un devoirs à rendre. Enfin si... Une ou deux fois peut être, mais pas plus. Et elle en était fière ! Les études tenaient une place importante pour elle et elle s'y jetait corps et âme. Quand elle commençait une dissertation, elle avait toujours pour objectif de la terminer en deux jours maximum. C'était ainsi... Daphné ne perdait pas de vu son but ultime. Et comme pour contredire l'autorité paternelle, elle n'avait pas choisi de faire médecine. Ne pleure donc pas papa... Ta fille ne sera jamais docteur, mais c'est pas grave ! A la place, Daphné voulait devenir une historienne et conférencière douée. Elle voulait que les gens se précipitent pour remplir la salle où elle devait parler, donner son avis sur telle ou telle chose. Elle rêvait de se faire entendre et qu'on écoute enfin ce qu'elle avait à dire, sans qu'on la juge sur sa plastique. Cette pensée la fit sourire et elle en profita pour amasser toutes ses feuilles de cours et de les mettre soigneusement dans son sac. Elle sortit de la salle calmement mais sûrement; juchée sur des talons haut, comme à son habitude (Daphné ne sortait jamais sans des talons... Sauf si elle savait qu'elle allait s'apprêter à de la randonnée ou quelque chose dans le genre... Enfin si elle allait faire du sport quoi !), elle traversa le couloir, emprunta des escaliers, encore et encore et elle finit par se retrouver dans le grand hall. Elle chercha à tâtons son téléphone dans le but de voir l'heure. Il était 17H15; parfait, elle avait largement le temps de terminer un livre sur les croyances médiévales.
Sauf que... Elle releva la tête car elle était certaine de venir voir passé une personne qu'elle connaissait bien. Elle aperçut une silhouette blonde qui se dirigeait vers la sortie du bâtiment. Oui, Daphné était presque certaine qu'il s'agissait de Charlie, une autre Dunster qu'elle aimait vraiment beaucoup. Ni une ni deux, Daphné fourgua son téléphone à la hâte dans son sac à main et fonça au travers le hall, et cela même si elle portait des talons (question d'habitude !). Et puis si ce n'était pas Charlie, elle pourrait toujours s'excuser, après tout, le ridicule ne tue pas, la preuve elle était encore largement en vie et pourtant, elle en avait connu des situations étranges ! Alors qu'elle n'était plus qu'à quelques centimètres de la personne, elle posa sa main sur l'épaule de la demoiselle tout en lui disant: « Charlie !! » Et Daphné put enfin constater que s'était bien elle. « Excuse moi si je t'ai fait peur... Je t'ai vu passer et j'ai pas pu résister... » Comme pour se faire pardonner, elle lui accorda un grand sourire.



CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Il fait salement froid aujourd'hui, je ne peux pas le nier. C'est assez horrible, assez insupportable aussi, quand on y réfléchit deux secondes, c'est insupportable. Et j'aimerais qu'on ne se prenne pas la tête, pas la tête une seule seconde, quoi que l'on puisse bien en dire, de toute façon. Enfin bon, pour le reste, je n'irais jamais dire que les choses sont aussi évidentes que l'on voudrait bien le croire hein. Enfin bon, pour le reste, ça ne veut pas dire que les choses sont différentes, quoi que l'on puisse bien vouloir en dire, c'est une évidence. Enfin bon, pour le reste, c'est réellement en train de me taper sur les nerfs. Ca me saoule, tout ça, et je refuse d'avoir à me prendre la tête, quoi que l'on puisse en dire. Je traînais dehors, un livre dans les mains, comme d'habitude. Puisque je ne passe pas d'examens, les cours sont un peu obsolète, disons que c'est surtout la vie de l'école qui m'intéresse et qui me perturbe, d'une certaine manière quoi. Mais je fais de mon mieux, et je suppose que c'est ce qu'il y a de plus important, d'une certaine manière, du moins. Je fais ce que je peux, mais ça ne veut pas dire que c'est évident. Ca ne l'est jamais, de toute façon. Enfin bref, le vent frais, douloureux et horrible m'a clairement motivé à rentrer. Hors de question pour moi de rester à l'intérieur, ce serait la pire des choses à faire, de toute façon. Et on aura beau en dire tout ce que l'on voudra, je m'en fiche un peu. D'une certaine manière quoi. Enfin.. Bon, je refuse de me casser la tête à ce sujet. Je fais ce que je peux quoi, ça ne veut pas dire que c'est évident, en fin de compte. Et je trouve que faire ce que je peux, c'est un assez bon début.

Un frisson me parcourt le corps, alors que je viens de franchir la porte du hall. Là, tout de suite, ça va un peu mieux, c'est un fait. Enfin bon, pour le reste, je refuse juste d'avoir à me prendre la tête, oui, et les choses seraient clairement mieux, de toute façon. Bordel, je me mets réellement à dire n'importe quoi, ce n'est pas non plus comme si on allait se prendre la tête, c'est clair que les choses sont un peu bizarres, et un peu prise de tête aussi, c'est une évidence. Et je crois que je préfère ne pas avoir à se tracasser sur le sujet. Cela n'a rien d'évident. Oui, c'est une évidence. Je préfère ne pas avoir à songer à tout ça, j'imagine que les choses pourraient aisément devenir assez catastrophique, quoi que l'on puisse bien en dire. Je décide donc de filer mettre mon livre dans mon casier. Un sourire sur les lèvres, je fais le code et je suis en train d'ouvrir quand une main se pose alors doucement sur mon épaule. Alors, là, celle-là, je ne m'y attendais carrément pas hein.  »Oh salut. Ouais, y a aucun soucis. Pas pu résister à quoi ? T'as vu comment ça caille dehors ? Abominable ». Entre nous deux, ça n'a pas été simple au début. Bordel, elle ne me lâchait pas deux secondes, c'était assez bizarre. Je ne peux pas le nier ça, c'est un rtuc de dingue quoi. Je ne vais pas me mettre à faire toute une histoire, à propos de tout ça, oui voilà. Elle me questionnait constamment, elle n'arrêtait pas deux secondes ; Mais maintenant, les choses sont carrément différentes quoi. Depuis que l'on a parlé, le courant passe beaucoup mieux, heureusement, d'ailleurs, sinon, ça aurait été un peu trop compliquée, c'est clair.
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