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(zaimée) histoire éternelle, qu’on ne croit jamais.

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@Zaim Berisha | minuit quinze quand enfin je passe la porte. la musique qui s’entend de l’ascenseur a l’extérieur de l’appartement. soirée de fin de vacances, retrouvailles entre colocataires. je sais que tu seras la. porte qui s’ouvre et que je referme derrière moi avant d’afficher un sourire. saluer tout le monde. les câlins et le plaisir d’être ensemble. soirée parfaite. Emma qui fini avec Wade, Casey qui plane et à moitié saoule je l’emmène dans sa chambre. Oscar et Noah sont endormis sur le canapé. Je récupère des cadavres de bouteilles pour les emmener à la cuisine et je te vois la. silencieusement je t’observe et je souris en te voyant grignoté en douce. tu l’as toujours fait. — « il y a des choses qui ne changent pas. » que je lance amusée et un brin nostalgique. je jette les bouteilles et je prends appuie contre l’évier en te regardant. je suis contente que tu sois là. que tu sois rentré près de moi. seulement je te le dis pas. je me contente de venir et de plonger dans tes bras. effluve de ton parfum mêlé à l’odeur de l’alcool et de la beuh. — « tu m’as manqué. » merci les quatre verres d’alcool qui enlève les barrières et laissent planer les mots.
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@esmée bourgeois | aujourd’hui marque officiellement le retour de tout le monde au sein d’la coloc à boston depuis le spring break. et pour l’occasion, quoi de mieux que d’organiser une soirée à l’appart rien qu’entre vous? vingt-deux heures trente-quatre, semble indiquer la montre à ton poignet lorsque tu débarques enfin à l’appart plusieurs semaines après l’avoir quitté. franchissant le seuil de la porte, tu constates que tout le monde est au rendez-vous… sauf une. et pas n’importe laquelle. esmée. et cela ne te surprend pas plus que ça au fond; car après tout, ce n’est pas comme si elle ne t’avait pas prévenu qu’elle de son retard à cause de son boulot, même si une partie d’toi espérait la trouver à cet instant précis. néanmoins, ces sourires complices que tu partages avec chacun d’entre eux te font oublier pendant l’espace d’un instant le dégoût de son absence. il aura fallu que les cloches de minuit sonnent à votre porte pour finalement l’apercevoir pour ton plus grand bonheur. maintenant que tout le monde est présent, la fête peut enfin battre son plein. et après plusieurs heures, la fête se fini comme elle aurait dû se terminer ; emma aux côtés de wade, oscar et noah assoupis sur le canapé, et toi comme à ton habitude à la cuisine posé sur l’plan de travail à grignoter les restes d’la soirée à écouter à l’autre bout d’la pièce casey et esmée.  il n’aura fallu que quelques minutes pour que cette dernière finisse par te rejoindre et vous lancer mutuellement un sourire complice. — « et c’est bien mieux comme ça. » que tu rétorques à ton tour d’un petit air amusé. le fait de passer tes vacances dans ton coin et cette soirée t’ont fait réaliser à quel point tu ne peux pas t’imaginer ta vie sans eux, et esmée était la première sur la liste qui par sa simple présence à ce moment précis, pouvait te ravir. tu ne dis rien et te contente simplement d’la contempler au point d’la dévorer du regard avant de la voir se rapprocher et jeter vers toi. le simple fait de pouvoir le sentir près d’toi te faisais un bien fou. bien là l’genre de déclaration qui t’réchauffe le cœur, des mots pourtant simple mais si dur à prononcer. et seul l’alcool et la fumette avait le secret pour assommer jusqu’à l’aube cette fierté et raison qui empêche le cœur de s’exprimer. — « toi aussi.. » chuchotant près de l’oreille de la brune, l’attirant un peu plus fort vers toi à l’aide de tes bras profitant par la même occasion de lui déposer un baiser furtif sur près des lèvres. — « j’pourrais rester comme ça avec toi pendant des heures et des heures. »
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@Zaim Berisha | soirée bien arrosé, les rires, les jeux, les moments de complicité qui reviennent. ça fait du bien d’être tous ensemble. ces êtres autours de moi, ils sont ma famille. j’en ai jamais eu et enfin avec eux j’apprends à être une meilleure personne.   c’est avec toi que j’ai découvert l’amour, ce sentiment qui m’a consumé. aimer à en perdre la raison. je ne le croyais pas avant de le vivre. t’es devenu mon univers, je pensais à toi tout le temps et plus le temps a passé et pire ça a été. jusqu’à ce que je finisse par comprendre que je ne serais pas capable de survivre sans toi. imaginer la douleur de ton absence, de ta perte. je me suis brisé le cœur seule avant que tu ne le fasses par manque de courage. quand je te retrouve dans la cuisine, j’ai une fois de plus ce pincement au cœur. j’aurais voulu que tu sois à moi encore. je t’observe silencieusement et tu le fais toi aussi. je me mords la lèvre avant de plonger dans tes bras. j’en ai besoin. confidence qui fini par glisser entre mes lèvres. tu me serres contre toi et je finis par venir glisser mes bras au tours de ton cou. tes lèvres glissent au coin des miennes et je suis hyper frustrée. tes mots accentuent les battements de mon cœur. — « moi aussi.. j’aime sentir tes mains sur ma peau, ton souffle sur ma joue. j’aime ton odeur qui m’en ivre. j’ai que ton corps soit si près du miens. » je relève la tête pour te regarder dans les yeux. ma main caresse ta joue avec tendresse. c’est plus fort que moi, j’ai besoin de te toucher. j’approche mon visage du tien, lentement en ne quittant pas tes yeux. — « je peux pas être loin de toi, je n’y arrive pas. » je murmure ces mots comme une confession. deux semaines c’est juste interminable j’ai trop besoin de ton contact, de te voire.
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@esmée bourgeois | tout était là pour qu’vous puissiez passer une soirée des plus mémorables comme vous avez souvent l’habitude d’faire. et pour ça, tu pouvais compter sur le côté bon vivant ainsi que l’imagination sans fin d’tes coloc pour rendre cela plus festif et cordial. mais toi tu n’retiens qu’une seule chose de ce soir ; celui d’retrouver enfin esmée après deux longues semaines loin d’elle soulageant ce manque d’elle depuis tout c’temps. et le fait de la voir aussitôt dans tes bras te conforte à l’idée d’savoir que ce sentiment est réciproque. ça t’fais un bien fou.  — « j’veux plus jamais être aussi loin d’toi esmée. » une pluie d’confidences. l’genre de dialogue où vous finirez très probablement aussitôt par regretter le lendemain une fois qu’l’alcool sera redescendu. mais c’est pas grave, parce qu’au fond vous en avez régulièrement l’habitude d’ce genre de choses; d’vous ouvrir et vous attirer tel des aimants lorsqu’le besoin d’l’un pour l’autre s’fait ressentir pour ainsi faire comme si rien d’tout n’s’était réellement passé. vos visages qui ne cessent de s’rapprocher jusqu’à s’entrechoquer délicatement. on devrait pas faire ça.. te dirais ta conscience face à ce moment intense, et c’désir ardent de sentir tes lèvres toucher les siennes n’arrangent clairement pas les choses. — « comment est-c’qu’on pourrait bien remédier à tout c’temps qu’on a perdu? » c’qui est sûr, c’est qu’t’as clairement pas envie d’finir la soirée seul dans ton coin. et t’as pas aussi profité d’elle ce soir, ou du moins pas assez.  
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@Zaim Berisha | manque de toi indescriptible. passer ma soirée de boulot à penser à toi ici, m’attendant. j’aurais voulu pouvoir être là quand tu rentrerais, mais ce n’était pas possible. alors quand je suis arrivée, on est juste resté neutre tout les deux. simplement des regards échangés presque timide quand tout le monde est autours de nous. maintenant dans la cuisine, je savoure le contact de ton corps contre le miens. je ne triche plus. les mots me viennent naturellement. je ne fais plus semblant d’arriver à gérer la situation. de prétendre que je ne suis plus affectée par ton absence et notre rupture. ce soir, je veux simplement te retrouver. être à toi encore une fois. que tu puisses m’aimer encore, si t’as encore un peu d’amour pour moi. mains qui parcours ta peau, tu m’as tellement manqué. — « alors ne me laisse plus partir loin de toi. » je te regarde dans les yeux, ne me laisse plus disparaître. retiens moi. je te le demande ce soir, parce que demain on fera comme ci ça n’était jamais arrivé. on essaiera d’être des amis et on finira par avoir une énième dispute parce qu’on est tout les deux rongés par la jalousie. on arrivera à tenir une semaine peut être deux et on finira inlassablement par se retrouver. t’es comme une addiction, j’ai besoin de ma dose de toi, j’ai besoin de te garder auprès de moi. mon front qui se colle contre le tien, mon souffle qui caresse le tien. j’ai du mal à te résister et tes mots me font sourire. — « on pourrait passer la nuit l’un contre l’autre, nos corps humide dans tes draps froissés. » je frôle tes lèvres des miennes, ma respiration est lourde. mes mains qui te pressent un peu plus contre moi.
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le temps paraît si long loin d’elle et plus agréable lorsqu’elle est dans les parages, et plus particulièrement lorsqu’elle est près d’toi. encore une autre soirée à faire semblant, faire mine que tout va bien et qu’il n’y a plus rien entre vous deux. que cet amour qu’il y a entre toi et elle a été enterré depuis le moment où vous avez prit la décision de tout arrêter. pourtant, le désir fini constamment par prendre l’dessus pour finalement vous perdre lors d’un instant charnel. tu savoures cette accolade entre vous jusqu’à te perdre et te noyer dans ses yeux, te faisant ressentir ce drôle d’sentiment qu’il n’y a que toi et elle et personne d’autres. le regard dévoilant au grand jour ta vulnérabilité ; la vérité c’est que t’as jamais voulu la laisser partir et que si ça n’tenait qu’à toi, t’aurais très sûrement fais les choses autrement avec elle. mais toi comme esmée avez trop évolué, trop grandi, rendant cette nouvelle chance quasi impossible. un léger sourire s’esquisse sur le coin des lèvres à l’idée d’la jeune femme te faisant comprendre que vous êtes sur la même longueur d’onde pour terminer cette soirée de la plus belle des manières. — « on pourrait faire ça, oui. » vos souffles qui se mélangent pour une danse ardente ne faisant qu’accroître davantage ce désir de ton côté. — « j’te veux esmée.. » dans tes bras. dans tes draps. pour la nuit. pour la vie. tu finis par descendre du plan d’travail profitant par la même occasion pour briser le peu d’espaces restant qui vous sépare pour rapprocher un peu plus ton visage et plus particulièrement de tes lèvres pour les coller aux siennes pour un baiser passionné et langoureux, laissant tes mains se balader sur le corps d’la belle et de l’attirer vers la sortie d’la piece pour ta chambre.
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@Zaim Berisha | jouer avec les apparences tout le temps, prétendre que tout va bien entre nous. secrètement je crève de jalousie chaque fois que je te vois parler à une autre. Chaque nuits où tu ne rentres pas. J’attends toujours que tu viennes à moi en espérant que ce qui me dévore, te consume toi aussi. Ce soir, maintenant qu’ils sont tous endormis il n’y a plus que toi et moi. Il n’y a rien d’autre qui compte. Je me laisse entraîner dans tes bras, je profite de nos corps qui se percutent, cœurs aussi car le mien tambourine dans ma poitrine. Est-ce que tu peux le sentir Zaim ? Au fond de moi je le sais, nous deux ça n’aurait pas dû se terminer. Rien n’est oublié et ces sentiments que j’avais pensé voir disparaître avec le temps sont toujours là. Ils me hantent, se jouent de moi. Nos regards ancrés l’un dans l’autre, je me sens lâcher prise. Je fais tomber les barrières. Ce soir, je suis prête à tout te donner, j’arrête de tricher. Je veux que tu m’appartiennes à nouveau, que tu sois contre moi quand j’ouvre les yeux le matin. Que tu me dises encore ces mots qui me laissaient croire que l’on avait une chance d’être heureux. Seulement, je le sais, demain nos fiertés auront repris le dessus. Aucun de nous n’avoueras combien il a besoin de l’autre. Est-ce que la vrai vie c’est comme dans les films ? Qu’on finira par se retrouver si notre amour est assez fort ? Est-ce que nous en sommes à la moitié de l’histoire ou tout semble perdu, incertain et qu’il n’y a que ce manque insupportable. Respiration lourde qui vient caresser la tienne, je me mords la lèvre inférieur jusqu’à ce que tu finisses par descendre à mon niveau. Décharge éclectique dans mon bas ventre à tes mots. Je te regarde dans les yeux, la plus sérieuse du monde. — « prouve le moi Zaim, récupère moi.. » Je laisse ton visage s’approcher et je capture tes lèvres. Je relâche tout, la frustration de ton absence, l’amour que j’ai pour toi et ce désir qui ne fait qu’accroître. Je te laisse m’entraîner vers la chambre. Langue joueuse, malicieuse, mes mains qui se baladent sur ta peau. Porte passée et je te retire ton haut et je le jette dans la pièce. Bouche glisse sur ta mâchoire et dans ton cou sensuellement. Corps incapable de quitter le tien.
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