Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility- Planent dans le passé, les fantômes. + Eren
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- Planent dans le passé, les fantômes. + Eren

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tw: injure.
Trop chaud. Il fait trop chaud. Le pulsant qui s’emballe. Et la chaleur devenue reine. S’accroche à chaque centimètre de sa peau. Elle la fait suffoquer Casey. Amplifié par la présence de passager à ses côtés. Ça l’insupporte. Au point de se lever. Sur ses lippes, se dessine un faux sourire d’excuse. Hypocrite. Elle enjambe les pieds. Se libère de sa prison. Sur la moquette, le bruit de ses pas se fait sourd. Accompagne le balancement de sa chevelure. Flirte avec sa chute de reins. Met en valeur sa tenue destroy. Vers les toilettes, elle se dirige la brune. Espère se rafraîchir le visage avec de l’eau fraiche. Secousse. Se fait intruse. La propulse vers la porte. Porte qu’elle voit déverrouillé. Inoccupée. Sur la poignée, elle tire. Et puis, la surprise. L’inconnu la percute. La propulse légèrement en arrière. « Putain ! » Elle jure la gamine. Serre les dents, avant d’affronter fièrement le coupable. Surprise. Elle teinte ses traits. Quelques secondes pour finir par se tarir. Sous ses opales, se découvre le passé. Emballe son myocarde. Ses azurs qu’elle a tant provoquer.

@Eren Wittgenstein
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@Casey Duchannes - Incapable de tenir en place, de rencontrer le sommeil, l’inconfort tapant dans tes côtes par le gracieux voisin de siège qui t’était attribué. Soupire, las. Et loin d’être ceux qui causait du trouble, tu te retranches, dans un silence incommodant. Les paupières closes, tu te forces, à apaiser tes tempes criardes, saccagées par le bruit environnant qui ne cessait de s’accumuler. En vain. La mâchoire se crispe, les poings se serrent. Avant que tu n’abdiques, poussé par le coup de pied de trop dans ton échine. Tu sautes presque de ton siège, à la recherche d’un lieu où ta patience n’était pas testée en continu. Les toilettes se dessinaient dans ton champ de vision, cabine éloignée de ton terrible voisin et t’y prends refuge. Deux, trois, cinq, sept minutes. Sans verrou, sans te préoccuper du monde extérieur. Avant que la poignée ne se mette à danser sous ton regard intrigué et que, bêtement, tu la saisisses, te faisant emporter par la porte qui se dérobe en même temps. L’choc ne tarda pas à se faire ressentir, tu percutes un torse. « Oh merde, pard- » Le juron en face résonne avant. Une voix que tu reconnais, fraîchement ressortie de tes songes les plus profonds. Tes billes se posent sur sa mine aussi miroitante qu’le passé. Et tes sourcils se froncent, la gorge se serre, la poitrine s’enflamme. « Tu m’suis maintenant ? » Sceptique, presque figé par cette coïncidence beaucoup trop grande entre les messages du jour et le face à face actuel.
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La parole entre coupée. Et enfin, ses aigues-marines qui s’apposent sur elle. Réalise. Elle les voit s’étrécirent. De là, elle peut presque deviner son corps qui se tend. Et comme une preuve, s’extirpe de sa bouche assassine, la question. Met en doute sa présence. A croire qu’elle n’avait que ça à faire. Suivre un mec qui ne voulait même plus entendre parler d’elle. Chose qu’elle ne pouvait lui reprocher. La langue déliée, il lui avait avoué à demi-mot, une pensée fugace. Presque irréaliste. En réponse, elle l’avait bloquée Casey, avant de finir par l’envoyer dans les oubliettes de son esprit. Jusqu’à maintenant. « Bah oui bien sûr ! J’adore m’la jouer harceleuse. Une véritable passion. » L’ironie teinte sa voix. Fait éclater une lueur sarcastique dans ses opalines. De ses pulpeuses, un ricanement sans saveur prend vie pour finalement s’éteindre. Nouvelle secousse. Elle se rattrape in extremis la brune. Evitant ainsi, de tomber sur lui. D’empirer le pathétique de la situation.

@Eren Wittgenstein
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@Casey Duchannes - Fantôme du passé remodelé en grandeur nature, qui nargue tes opales dubitatives avant d’être mises sur le fait accompli. Par son ton et rire jaune teintés d’ironie, qui fusent face ton accusation spéculative. Tu lèves les yeux au ciel, tout aussi réactif. « Non, c’est vrai. ‘Fuyarde’ te sied mieux au teint. » Comme un spectateur de fond qui acquiesce l’amertume transperçant ton timbre de voix, l’avion s’éprend d’une secousse. Déséquilibre Casey. Réflexe, ta main vient à se saisir de son avant-bras, la rattrape, la stabilise. L’épiderme s’électrise, tes billes ne cessent de la foudroyer pourtant l’impulsion te fait reculer dans la cabine, la traînant par la force des choses avec toi. Connerie que tu regretteras sûrement plus tard. Sur le moment, sa proximité écrasante ne te laisse pas une chance d’réfléchir. « Dis-moi c’que tu me voulais tout à l’heure. » Faussement nonchalant quand vos échanges s’étaient joués en boucle dans tes méninges. Que ses billes fixées dans les tiennes te renvoient de force à un souvenir affligeant d’aveux mièvres, bravement jetés à la mer. Aveux récoltés, puis noyés dans son maelström. T’aurais dû te barrer, la laisser dans l’oubli Eren mais l’honnêteté et toi se dissociaient difficilement et tu l’pensais plus que de raison ton foutu ‘tu m’as manqué’.
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Fuyarde. Elle pourrait presque s’en offusquer. A la condition qu’elle se considère comme telle. Etait-ce comme ça qu’il avait vécu son départ ? Comme une fuite ? Pas elle. Mais l’opportunité c’était présenté à temps. Part de vérité. Elle avait été presque soulagé. Lasse de la tempête qu’elle avait délaissée dans son sillage. Elle qui l’avait presque atteint. Alors, peut-être que finalement, il n’avait pas tort. Il ne sait pas Eren. Ce qu’il avait déclenché. Elle-même n’en avait pas eu conscience jusqu’à son départ. Et puis, finalement, elle avait laissé le quotidien enfoncer les traces. Les siennes. A lui. Secoue l’avion. La secousse de trop. Celle qui la propulse en avant. Retenu par le brun, elle peut sentir un courant parcourir ses veines. Se rencontrent les opales. Si similaire. Elle se noie dans leur cyclone. Laisse le piège se refermer, alors qu’il l’attire à lui. Les enferme dans la cabine. Couper du monde. A plusieurs mètres au-dessus du ciel. Parcourt son corps, l’adrénaline. A elle, lui parvient les mots de l’homme. Eveil un peu plus l’électricité statique. « J’te l’ai dit. » De ses pulpeuses, s’échappe sa réponse. Murmure. Difficilement, elle se met en mouvement. Tire l’avant-bras prisonnier pour apposer sa main sur son torse. Sous sa paume, elle peut ressentir le mouvement de son pulsant. Lui qui bat. L’imprègne. Plus petite, elle relève ses opalines pour se fondre à nouveau dans son âme.

@Eren Wittgenstein
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@Casey Duchannes - Rancoeur qui t’habite, te surprend presque tant elle s’avérait être intense en sa présence, te fait prendre conscience de l’impact de son départ. De son retour. Cette plaie entrouverte qu’elle avait infligé dans ta poitrine. Toi qui pensais que seule Toni aurait pu te plonger dans un cet état de vacuité. Toi qui pensais que Toni était la seule à provoquer ces battements de pulse irréguliers, ces émotions dansantes dans le creux de ton estomac. Naïveté quand tu nous tiens. Faiblesse quand elle te tient. De son regard, de sa proximité réduite à néant, intoxicante dans cette cabine. Proximité que t’avais provoqué dans un élan d’impulsivité, le passé te hantant dès l’instant où tes doigts avaient rencontré sa peau au milieu de ces secousses. L’esprit embué, l’odorat envahi de son parfum, tu te battais avec ta propre rancoeur pour tenter de te tenir éveillé. Loin de son emprise. C’qui fut un triomphe bref, succinct quand sa paume ose se poser sur ton torse. Déclenche ton palpitant, incontrôlable. « Redis-le moi. Tu voulais m’voir, non ? Je suis là. » Gorge serrée. Tes billes quittent sa main lourde, brûlante à travers ton haut pour s’accaparer de ses opales. Faiblesse inouïe, la rancune qui t’habitait cinq minutes plutôt se dissipait sans bataille. Le goût du passé s’imprègne de tes lippes, ta main se défait avec difficulté également de tes côtés pour d’emparer de sa joue. Baisses la tête. Pathétique. Un simple mouvement, une simple confirmation de sa part et t’étais prêt à replonger dans la gueule du loup, à perdre toute crédibilité dans ton amertume.
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Tourne le monde. Capturé dans son regard, les mots se font absents. Une première. Avait-il toujours eu cet effet sur elle ? Elle essaie de s’en rappeler, mais en vain. Tout devient flou. L’oxygène lui manque comme si le temps autour d’elle s’était figé. Pathétique. C’est du moins l’impression qu’elle se faisait d’elle. De réagir comme ça. De ne pas avoir le contrôle qui la caractérisait tant. Brûlant. Le contact de sa paume sur sa joue. Enflamme ses sens. Attise un brasier qui la surprend presque. Trop proche. D’elle. Elle est tentée de ne rien répondre. De prendre ce dont elle a subitement besoin. Pourtant, elle essaie de reprendre contenance. De donner quelques mots pour sortir de cette torpeur. « Tu m’as manqué. » Murmure qui s’attarde sur ses lippes. Est-ce que c’était vrai ? Elle qui lui avait fait du mal. A lui. A eux. Est-ce qu’il avait fallu qu’elle se retrouve face à lui pour prendre conscience du manque ? Ou le savait-elle bien avant qu’elle envoie se message ? Lui a qui elle avait parfois pensé. Perdu sur un océan. Une mer.

@Eren Wittgenstein
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