Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitydead alive (antoinou)
-11%
Le deal à ne pas rater :
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
641 € 719 €
Voir le deal


dead alive (antoinou)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
- #rplibre
dead alive ...

La plage de Macao est l’une des plus belles plages du monde, il fallait que tu voies ça de très propres yeux. Tu t’es levée dans le lit d’un homme et tu es partie sans un bruit, le laissant nu, ses jambes emmêlées dans la couverture, les fesses à l’air. T’as refermé la porte en serrant les dents et puis tu t’es rhabillée dans le couloir avant de rejoindre ta chambre. Glissant sous la douche, tu as éliminé l’odeur de ce mâle de ton corps et puis tu as enfilé un maillot avant de te recouvrir d’une robe estivale. Lunettes de soleil sur le nez, petit sac à dos sur l’épaule, tu as pris la direction de l’arrêt de bus. Tu as pu reconnaître certains étudiants, mais tu es restée seule tout le long du trajet. Là-bas, tu t’es dirigée vers un cours de surf. Tu n’as écouté que la moitié, encore un symptôme de ton trouble de l’attention et puis tu as décidé de te jeter à l’eau. À plat ventre sur la planche, t’as pagayé avec tes mains jusqu’à te retrouver au large. Un mec s’est élancé en direction d’un rouleau se créant devant toi. Incapable de réagir et de te lever sur tes jambes, tu es resté devant la vague jusqu’à ce qu’elle te dévore et te rejette. C’était tellement puissant. T’as carrément perdu connaissance et tu as fini par te faire recracher sur le rivage. L’eau piégée dans les poumons, tu ne respirais plus et n’était plus qu’un déchet que la mer avait rejeté de ses entrailles. Allais-tu mourir ici ? Qui était cette silhouette au bout du tunnel ? Fallait-il que tu avances vers la lumière ?

code by astrophillia.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est décidemment un spring break plein de surprises qui s'apprête à toucher à sa fin. Encore quelque jour et on devrait quitter la chaleur de l'île pour retrouver le froid de Boston, qui ne me manque pas tellement pour le moment. Il faut dire que j'étais bien ici, en vacances avec mon petit-ami et bien d'autres de nos amis. De belles rencontres avaient été faites, de beau moment avait vu le jour, et de plaisantes nouvelles avaient été annoncées. De quoi profiter pleinement, sans trop penser au boulot ou aux cours qui m'attendraient une fois de retour en ville, ni à cette liste de chose à faire qui continuait inlassablement de se remplir et qui commençait à devenir une petite source d'anxiété. Oui, je suis une pile électrique et j'avais horreur de m'ennuyer, mais comme tout le monde, j'étais soumis au temps qui refusait de se stopper pour mon bon vouloir. Mais avant de réellement me laisser bouffer par une gestion de planning serrée, je devais profiter de ces derniers jours de vacances qui m'attendaient encore. Journée passée en compagnie de quelques amis et loin d'Arlo - pas trop quand même, fallait pas déconner - on avait décidé de profiter des leçons de surf qui devaient avoir lieu aujourd'hui. Loin d'être complètement néophyte et mauvais, j'étais surtout là pour faire le malin face à mes potes et les charrier un peu. Je n'ai pas de problèmes à tenir sur une planche, et je pouvais regarder les autres tomber en rigolant encore et encore pendant de longues longues looooongues minutes. Un rire qui s'éteint en voyant une jeune femme se faire renverser par une vague, et rester inerte à la surface de l'eau. Les vagues la rapproche du rivage, et sans réfléchir, je cours vers elle pour la sortir de l'eau, paniqué. Mais la panique que j'éprouve à cet instant n'est rien face à celle que j'éprouve en l'identifiant. Margault. Je la traine sur le sable pour l'éloigner des vagues qui pourraient la saisir à nouveau, et tente de prendre son poult. « Margault ? Margault tu m'entends ? » Aucune réaction de sa part, j'appelle à l'aide autour de moi, essaye de me rappeler des gestes de premiers secours. 4 pressions sur la poitrine et on injecte de l'air dans ses poumons c'est ça ?


Hj : C'était trop tentant, j'espère que ça ne te dérange pas dead alive (antoinou) 4046487928
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
- @Antoine St-Laurent
dead alive ...

Hier, tu parlais à ton fils à travers ton téléphone. Aujourd’hui, tu n’avais qu’une seule envie, profiter de la nature et de tes vacances avant le retour à la normale. Rien ne prédisait que tu te ferais avaler par un rouleau et que l’océan te recracherait comme une vulgaire chaussette. La lumière s’est éteinte. Tu as crié et puis tout s’est déconnecté. La vague t’a impressionné. Elle s’est élevée devant toi, fière et monstrueuse. T’as rien pu faire. Ton buste s’est redressé et puis le choc a coupé la connexion de ton cerveau. Inconsciente, gisant sur le sable fin, tu perçois qu’une silhouette dans la lumière au bout d’un tunnel. Plus tu te rapproches, plus ta peau se réchauffe. La voix t’appelle. Elle connaît ton prénom. T’es déjà séduite par ce pays qu’elle veut te faire visiter, mais alors que ton épiderme brûle et que tes yeux sont éblouis par la clarté, tu t’étouffes. De l’eau sort de ta bouche. Tu tousses. Ton corps fait des soubresauts. Et puis tu te réveilles. Tes mains plongent dans le sable ardent. Tes yeux s’ouvrent sur le monde réel. Le soleil brille au dessus de .. d’Antoine. La surprise est totale. De l’eau s’écoule encore de tes lèvres. Tes poumons se vident et se remplissent d’air. « Antoine, putain, je suis où ? » Ton coeur est affolé. Il palpite lourdement. Autour de toi, des gens poussent des soupirs de soulagement. Peu à peu, tu reconnais la plage où tu t’es rendu. Le puzzle se reconstruit. « J’ai été imprudente, je croyais que je pouvais glisser sur l’eau, mon oeil » Te redressant sur tes fesses, ton haut de maillot se fait la malle. Un sein apparaît. La honte s’empare de toi. Le petit-ami du père de ton fils vient de distinguer ta poitrine. Le geste rapide, tu renoues le maillot et te caches derrière tes mains. « Purée je suis vraiment maudite. C’est la seconde fois que je passe près de la mort » Il y avait eu le fou dans la salle d’attente, maintenant c’est la nature qui veut récupérer ta vie. Ta face toujours masquée, tu rougis à l'intérieur de tes barricades.


code by astrophillia.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
TW : Culpabilisation , noyade

@Margault Archambault | C'est fou comme un instant peut suffire à faire tomber la balance. Une seconde, mon rire résonne dans les airs, celui d'après, il s'éteint, et ce pour la même raison, ou presque. Le cerveau ne réfléchit plus vraiment, et ce sont les muscles qui se mettent en action pour obliger mon corps à bouger, avant qu'il ne soit trop tard. Dans ces moments-là, tout n'est question que de secondes. Le corps s'oppose aux vagues pour rejoindre celui qui se maintient à la surface de l'eau, ce qui n'est pas vraiment bon signe. Un mauvais signe qui prend une autre ampleur quand je suis suffisamment près pour reconnaître le visage de celle que j'essaie de sauver. Une identification qui me glace le sang à l’idée de tout ce qui pourrait découler de cet incident. Margault n'est pas vraiment ce que j'appellerai une amie, mais on est lié elle et moi, que je le veuille ou non, et si elle devait ne pas se relever dans les prochaines minutes, c'est toute ma vie qui en serait bouleversée. Et pas seulement la mienne. Arlo, Raphaël, que pourrais-je bien leur dire ?

Le moment pour y penser n'est pas très bien choisi. Pour le moment, je devais la sortir de l'eau. Je passe mes bras sous les siens, la tire pour la ramener le plus loin possible sur la plage avant de m'agenouiller à ses côtés. Elle ne bouge pas, ne réagit pas, quand bien même je l'appelle, encore et encore. Rapidement, un attroupement se fait autour de nous, chacun tentant d'apporter de l'aide à sa façon, bien que nous soyons tous dépassés par la situation ou presque. Dans de lointains souvenirs, je tente de me remémorer les gestes de premiers secours. Je me souviens qu'il y a un rythme à suivre, stayin' alive, mais je ne sais plus par quoi je dois commencer. Plus les secondes passent, moins j'arrive à réfléchir, en proie total à la panique. Je ne veux pas qu’elle meurt. Alors que je perds l’entièreté de mes moyens, sa poitrine se soulève, signe que son cœur bat encore, qu’elle cherche à respirer. Elle recrache l’eau qu’elle a avalé provoquant un léger mouvement de recul de la foule, à l’exception de moi-même dont les neurones n’ont pas encore refait toutes les connexions. Elle parle, et sa voix me ramène peu à peu à la réalité. Je me confronte à mes sentiments, laisse s’échapper quelques larmes. De peur, de soulagement, de colère, d’un peu de tout. J’ai eu si peur. « Mais ça va pas ? Qu’est ce qui t’a pris ? Tu imagines si les vagues t'avaient éloignée au lieu de te ramener vers la plage. Si t’avais pas repris conscience tout de suite. On aurait dit quoi à Raphaël ? A Arlo ? Tu peux pas être inconsciente comme ça ! » En réalité, elle pouvait, car après tout, c’était sa vie, mais pour avoir vécu la perte d’une mère, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qu’aurait pû ressentir Raphaël. « T’es vraiment blonde ma parole ! » Compassion et soutien : 0.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
- @Antoine St-Laurent
dead alive ...

Le coeur repart. L’eau est expulsée des bronches. Ta voix est rauque. Tu tousses et reviens à la vie. Tu paniques quelques instants, mais il y a un visage familier devant le tien. Il est auréolé des rayons du soleil. Tes sourcils se froncent. Du monde est autour de toi. Les souvenirs s’accumulent. Tu te rappelles maintenant. Une vague t’a emporté. Y a plus ta planche. Tu te redresses sur tes coudes et renoues ton maillot qui s’est détaché de ta nuque. Les curieux commencent à se disperser sur la plage et à reprendre leur activité. Antoine a quelques larmes qui roulent sur ses joues. Tu ne mesures pas la gravité de la situation. T’es totalement inconsciente. Antoine te hurle dessus. Il te rappelle à l’ordre comme le ferait ton père. Tes doigts se séparent de ton visage. Le corps endolori, tu ramènes tes jambes vers ta poitrine. Il est pas content, mais alors vraiment pas. Il utilise Raphaël dans la conversation pour te culpabiliser. C’est pas facile de se prendre cette tornade en pleine poire, surtout après avoir frôlé la mort. « JE SAIS ! JE SAIS BIEN QUE JE SUIS FOLLE ! » À ton tour, des gouttes d’eau salée dévalent tes joues. Tu sanglotes, les fesses sur le sable chaud. T’es pas responsable. Loin de là. T’as voulu en faire qu’à ta tête, regarde le résultat. Tout a failli s’arrêter. Antoine n’a pas d’enfant, mais il est plus raisonnable que toi. « Tout va bien. Tu m’as ranimé et je suis là. Je vais continuer de m’occuper de Raphaël. Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça. Je … Je suis désolée de t’avoir fait peur » Les doigts qui essuient les larmes, tu reprends doucement ta respiration pendant que l’émotion retombe « J’savais pas que tu m’aimais autant » que tu rajoutes pour faire un peu d’humour.

code by astrophillia.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
TW : Culpabilisation , noyade, deuil

@Margault Archambault | Je n’ai jamais caché mon ressentiment face à Margault. Je n’ai jamais caché la jalousie et l’appréhension qu’elle pouvait faire naître en moi. Elle a connu Arlo avant moi, elle a eu une relation avec lui, et surtout un enfant. On avait beau tenter de me rassurer dans tous les sens, c’est elle qui était la mère du fils de mon petit-ami, et elle qui le resterait. Moi je n’étais au mieux qu'une pièce rapportée dans tout cela. Alors oui, plus d’une fois j’ai souhaité que ce ne soit pas vrai, qu’elle se soit planté et qu’un autre puisse être le père de l’enfant, mais jamais je ne lui ai voulu du mal. La voir allongée sur le sable, inerte, me fait comme un électrochoc. J’en perds mes moyens, imagine le pire : annoncer à un petit bout de chou qu’il ne reverra jamais sa maman. L’idée est brutale, me renvoie au décès de ma propre mère l’été dernier et à tout ce que Margault représente dans nos vies maintenant. Qu’il s’agisse de celle de Raphaël, d’Arlo ou de la mienne, elles sont toutes liées à celle de Margault. Et pour cette raison, elle ne peut pas mourir. Je tente, en vain, de me rappeler des gestes de premier secours, de me souvenir quoi faire pour la ranimer. Du bouche-à-bouche et un massage cardiaque qui n’arriveront jamais, trop lent pour agir. Trop tard. Mais heureusement, son coeur reprend, sa poitrine se soulève et elle respire de nouveau. Le soulagement est évident, même si je ne le montre pas. J’ai eu bien trop peur pour me contenter d’être avenant et réconfortante. A son tour, elle me crie dessus, se met à pleurer. J’ai envie de crier plus fort, comme si nous étions bêtement en train de faire un concours. Un concours qui n’a pas de sens. « J’ai rien fait… » Que je confesse, boudeur et en colère contre moi-même de ne pas avoir su réagir comme il le faudrait. « J’ai paniqué… » Que je continue de confesser pour qu’elle ne se fasse pas de fausse idée. Je relève la tête pour croiser son regard, roule d’exaspération mes yeux rouges de larmes. « J’ai pas le choix, il parait que je dois quand même être sympa avec toi. » C’est ce que tout mes proches m’ont dit après m’avoir rassuré sur le fait  qu’elle n’essayait pas de me voler mon copain. « Comment tu te sens ? T’as besoin d’être examinée tu penses ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
- @Antoine St-Laurent
dead alive ...

Le coeur se rebelle. Les palpitations reviennent. Le galop de la vie reprend. La poitrine se soulève. Un souffle est pris, un autre et encore un autre. Le sable colle à la peau. La luminosité agresse tes rétines. Tu clignotes des paupières et distingues le français avec qui ça n’a pas toujours été évident depuis que son petit-ami est officiellement devenu le père de ton fils. Les cris s’élèvent sur la plage. Il te reproche ton inconscience et tu ne peux qu’être d’accord avec lui. Tu t’es crue immortelle, mais la nature t’a rappelé à l’ordre. Les larmes jaillissent. Elles roulent sur ton visage déjà humide. Elles créent des sillons dans ton maquillage. Le corps se redresse. Tu fusilles du regard les curieux et puis tu te détournes d’eux pour te focaliser sur le ravissant St-Laurent. T’avais encore jamais eu d’instant qu’avec lui. Et pour le coup, tu ne sais pas comment agir en sa présence. Tu utilises l’humour, véritable arme contre la gêne. « Tout va bien Antoine et si tu as envie de me détester, je ne pourrais t’en empêcher. Je .. J’ai débarqué dans ta vie pour tout bouleverser, si j’étais toi, j’aurais la haine » Tu ne peux t’empêcher de sourire, parce que tu sais que tu es extrêmement jalouse et possessive. Le truc, c’est qu’Antoine n’a rien à craindre, mais alors vraiment pas. « Je peux te répéter ce que je pense. Il n’arrivera jamais rien entre Arlo et moi. Je veux dire, je ne m’imagine rien avec lui. Votre bonheur est trop beau à voir, je ne voudrais pas le détruire » Les orteils qui s’enfoncent sous le sable, tes prunelles embuées se déportent vers l’horizon. « Tu m’aides à me relever ? J'ai l'impression d'être passée dans une machine à laver » que tu lui adresses en lui tendant ta main.

code by astrophillia.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
TW : Culpabilisation , noyade, deuil

@Margault Archambault | En réalité, je n’ai pas envie de la détester tout comme je n’ai pas envie de me battre avec elle pour le reste de nos vies. Elle en fait partie désormais, que ça me plaise ou non, et pour cette raison, je tentais de mettre de l’eau dans mon vin. Ce qui jusqu'à maintenant fonctionnait moyennement bien selon les situations. Ce qui était le plus difficile à supporter, c’était surtout de l’imaginer seule avec Arlo. Le reste du temps, je commençais à m'acclimater à sa présence, à me dérider un peu en sa compagnie. Aujourd’hui en est l’exemple le plus probant. Je l’engueule, comme j’aurais engueulé n’importe qui d’autre qui m’est cher. Parce que l’idée même qu’il puisse lui arriver quelque chose de grave provoque en moi l’effroi, même si je me garde de lui dire. Alors j’ironise, tente de paraître un peu plus détaché que je ne le suis vraiment. D’autant plus qu’elle semble me comprendre. Difficile à croire, parce que j’aurais pensé qu’elle serait la première à s’en plaindre, mais jusqu’à maintenant, elle n’avait fait aucune remarque sur mon attitude. Mes lèvres s’étirent légèrement en un fin sourire que je tente de dissimuler le plus possible en baissant la tête vers le sable. « Mouais. Il séduit trop facilement les français, va falloir que je remédie à ça. » Même si j’ai confiance en lui et que je sais qu’il ne me tromperait pas, ni avec elle, ni avec qui que ce soit d’autre, j’avais du mal à faire face à ma jalousie. Et ça, je pense que la blonde l’avait saisi sans difficulté. Je me relève le premier et attrape sa main pour l’aider à la remettre sur pied.. « Tu veux qu’on aille te prendre un truc à manger ? A boire ? Ou tu veux rentrer à l’hôtel ? » Je ne sais pas trop ce qui était recommandé dans une telle situation, et je ne voulais pas qu’elle fasse un malaise d’ici quelques minutes. Ou quelques heures. « Je t’ai jamais demandé, ni à Arlo… Mais pourquoi avoir attendu si longtemps pour le retrouver ? Et pourquoi avoir gardé le bébé ? » La question est délicate mais je m'interrogeais sur certains de ses choix. Sans jugement, mais simplement pour savoir ce qui l’avait mené dans cette direction.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)