Accueil
Invité
est en ligne
Invité
Les originesaméricaines/inconnues.
feat. CHRISTOPHER BRINEY
03/02/97 à boston.
américain.
hétéro, célibataire quoiqu'indisponible.
étudiant en huitième année de chimie et de physique. il a un job étudiant (employé à l'aquarium) et suit plusieurs collégiens/lycéens à qui il donne des cours de maths et physique. une façon de renflouer un peu les caisses, sa bourse ne faisant pas tout.
modeste (élève boursier).
Résumé de l'histoire
il est né et a passé toute sa vie à boston. - élevé au sein d'un foyer homoparentale, il a été élevé par ses deux pères. en ce qui concerne sa mère biologique elle l'a abandonné au bout de quelques semaines, le déposant sur le pas de la porte de son père. elle a sonné puis s'est enfuie. il ne sait rien d'elle et même si la curiosité est là, il se retiens de s'y abandonner de peur d'en récolter plus de négatif que de positif. - il est proche de ses pères, proviens d'une famille très soudée. c'est central pour lui, il ne s'imagine pas coupé de sa famille. - il a été élevé par des gens profondément bienveillants et tolérants et ça a déteins sur lui. ses papas ont bien travaillé, ils ont mis beaucoup de plomb dans la tête de leur fils. - il prend les choses à coeur, répugne à exposer ses problèmes, préfère essayer de régler ceux des autres. - engagé, doté d'un sens poussé de la justice, il est franc quant à ce qu'il pense et au sujet des idées qu'il défend. pas franchement tourné vers le conflit, il n'a pas peur pour autant de monter au créneau quant ça en vaut la peine. - très sportif, il aime l'aventure, aspire au lâcher-prise. c'est un bon vivant, un bon gars, un bon camarade de soirée mais ce n'est pas le genre à faire n'importe quoi, à s'autoriser trop d'imprudence. sa famille n'a pas les moyens de lui sauver les fesses s'il se fourre dans les ennuis alors il fait de son mieux pour passer au travers des gouttes.
Les anecdotes
- ( 01 ) Nommé d'après les célèbres jumeaux de l'écurie Marvel par ses papas (deux grands fans), ces derniers ne l'appellent ironiquement jamais par son prénom entier. Même quand ils sont en colère après lui, rien n'y fait. C'est toujours le surnom Moffy qui franchit machinalement leurs lèvres. Une habitude prise à sa naissance et qui a la vie dure. Maximoff préfère se faire appeler par son prénom entier ou par son nom (Cardale, surnom plus largement répandu dans son cercle d'amis). S'il ne peut décemment pas lutter contre les habitudes de ses papas, il apprécie franchement de se soustraire à "Moffy" qu'il trouve maintenant trop gamin.
- ( 02 ) Il a été élevé dans une famille monoparentale. Il ne connaît pas sa mère biologique qui l'a abandonné à son père quelques jours après sa naissance. Maximoff ne fait pas de différences entre Jonathan Cardale, son père biologique, et Bradley Haymes son père adoptif. Techniquement, c'est même Bradley qui l'a pris en premier dans ses bras, alors qu'il n'était qu'un minuscule nourrisson tristement laissé sur un paillasson. Ce fut Bradley, alors en couple avec Jonathan depuis quelques mois, qui a découvert le petit garçon en premier et qui l'a entouré de ses bras pour l'emmener dans le seul foyer qu'il a jamais connu. Maximoff a donc toujours eut ses deux papas dans sa vie et il ne fait aucune distinction, le sang n'ayant finalement que peu de valeur (même s'il n'en a pas aucune pour autant).
- ( 03 ) De sa mère, il ne sait vraiment pas grand chose. Elle était âgée d'une vingtaine d'années quand elle était enceinte de lui et son père l'a côtoyait depuis quelques semaines, sans que ce soit sérieux. Jonathan Cardale, avec l'aval de son mari, n'a jamais tenu à faire d'un mystère l'identité de la mère biologique de leur fils. Cela n'a jamais constitué un sujet tabou même si ça l'est un peu quand même, du moins aux yeux de Maximoff. S'il est curieux concernant la femme qui lui a donné la vie (il aimerait bien savoir où elle est, qui elle est, et la raison du pourquoi elle a choisit de s'évincer de sa vie), il n'a jamais franchement interrogé son père à ce sujet. Un peu pour ne pas offenser son autre papa, mais aussi pour se protéger d'une vérité qui pourrait le blesser. S'il ne le leur en a jamais parlé en ces termes, Maximoff est persuadé que cette absence de questions venant de lui constitue un soulagement pour ses papas et honnêtement il a le sentiment de bien le leur devoir. Sa mère n'est après tout qu'une totale inconnue. Elle n'a aucun poids dans sa vie, dans ce qu'il est et dans ce qu'il deviendra. C'est à ses pères qu'il doit tout.
- ( 04 ) Maximoff proviens d'un milieu modeste. Elevé à Boston par deux pères travailleurs, bienveillants et affectueux, il n'a honnêtement jamais manqué de rien. Si l'argent contribue au bonheur, ce dernier restera toujours hors d'achat et Maximoff n'a jamais eut l'impression de passer à côté de quelque chose. Il faut dire que si ses papas ne roulent pas sur l'or, ils se sont toutefois toujours débrouillés pour faire le bonheur de leur petit garçon. La richesse de la vie de Maximoff, il la puise dans toutes les valeurs qui lui ont été inculquées par les deux hommes les plus importants de son existence. c'est à eux qu'il doit son ouverture d'esprit et sa nature réfléchie, son aplomb et sa curiosité, sa soif de justice et son besoin quasi viscéral de défendre les causes qui comptent pour lui.
- ( 05 ) Maximoff a manqué de perdre la vie quand il avait quatre ans. attiré par une piscine alors qu'il mangeait avec ses papas chez un couple d'amis, il s'est soustrait à la vigilance des adultes et a manqué de se noyer. il s'en est fallu de peu que plusieurs vies soient gâchées ce jour-là. heureusement, il y a plus de peur (beaucoup de peur) que de mal. après ça, les pères de Maximoff d'ores et déjà très protecteurs le sont devenus encore plus. ils ont couvé leur petit garçon, se débrouillant pour le quitter le moins possible des yeux. heureusement, ils ont lâché progressivement la bride au fil des années, laissant leur fils grandir sans trop l'étouffer même s'ils sont toujours très impliqués dans la vie de Maximoff (ce que le principal interéssé ne leur reproche pas, il en est même plutôt reconnaissant, même si ça l'irrite parfois). le clan cardale-haymes est très soudé et la famille occupera toujours une place centrale dans la vie de maximoff, quoiqu'il arrive.
- ( 06 )maximoff a toujours été très sportif. c'est de famille, ses pères n'étant vraiment pas du genre à passer leurs week end le derrière vissé dans le canapé. maximoff a grandit en plein air, encouragé à essayer plein d'activités. deux sports en particulier ont retenus son attention : le football américain et la natation. deux choix qui ne sont pas hasardeux, ces disciplines comptant parmi celles de prédilection de ses pères. bradley haymes est celui qui a transmis à maximoff son amour du foot. ce sport a toujours eut sa préférence, faut dire que c'est celui dans lequel il est le plus performant (forcément, ça aide à prendre du bon temps sur le terrain). il a rejoins son premier club de foot à sept ans, mettant dès le début beaucoup d'application et d'énergie dans la pratique de ce sport. galvanisé par la compétition et l'envie de se transcender, il s'y est pris, progressant très vite.
- ( 07 ) maximoff a toujours été très encadré. ça n'a pas été drôle tous les jours, mais à l'heure actuelle il peut en remercier ses parents. ils lui ont appris à s'investir dans ce qu'il entreprend et dans ses études, quitte à le pousser parfois et à occasionner des disputes quand maximoff n'était pas d'humeur à se faire un peu forcer la main. aujourd'hui, alors qu'à vingt-six ans il a déjà fait un joli bout de chemin, maximoff aime à penser que si ses succès lui appartiennent, ses parents peuvent aussi s'en féliciter. c'est très important pour lui. il ne fait pas cas de plaire à tout le monde, mais l'avis de ses proches lui importe et celui de ses pères tout particulièrement. il veut les rendre fier et il ne fait pas trop du mauvais travail pour l'instant.
- ( 08 ) intégrer harvard sans bourse ? maximoff n'en avait pas les moyens. qu'importe qu'il ait de bonnes notes et que ses professeurs n'aient rien à redire sur son assiduité et son sérieux en classe. ses pères n'avaient pas l'argent et quand bien même ils auraient tout donné pour lui ouvrir toutes les portes du monde, celles d'harvard étaient tout simplement hors d'atteinte. du moins, hors d'atteinte, elles l'auraient été sans le foootball. ce sont ses aptitudes dans ce sport qui fait partie intégrante de son quotidien qui ont permis à maximoff d'obtenir sa bourse, son ticket d'entrée pour les hautes sphères. il n'avait jamais vu ses pères aussi comblés que le jour où ils ont pris connaissance de la bonne nouvelle.
- ( 09 ) s'il s'abandonne parfois à des actes impulsifs et n'est pas aussi calme et modéré que ce qu'il laisse entendre parfois, maximoff est un garçon intelligent et appliqué, conscient de ce qu'il peut/doit faire et de ce qu'il ne peut en revanche pas se permettre. il prend parfois des risques, se veut audacieux et aventureux, mais non sans réfléchir au préalable afin d'évaluer les dégâts. commettre des erreurs ? oui. tout le monde en commets. mais faire n'importe quoi ? non. ses papas ne peuvent pas faire chauffer la carte bleue pour sauver ses fesses. ce n'est pas aussi facile que ça, ça ne l'a jamais été. une situation moins confortable que certains de ses amis, mais qui a le mérite de lui avoir donné le sens des responsabilités et l'apprentissage de l'indépendance. il vit pour lui, ancré dans le présent mais le regard quand même tourné vers l'avenir.
- ( 10 ) maximoff a toujours été doué pour se lier aux autres. depuis qu'il est tout petit il se fond bien dans un groupe. d'aussi loin qu'il s'en souvienne il a toujours été apprécié, s'entourant facilement d'amis, n'ayant aucune difficulté à s'intégrer ou à animer une conversation . il a quand même toujours connu son lot d'ennemis, ou plutôt de connaissances indésirables. chambré plus jeune par des gamins mal élevés au sujet de ses papas, ça l'a souvent beaucoup contrarié, pas tant pour lui (maximoff n'a jamais eut honte d'être élevé par deux hommes), mais pour ses pères. une haine déplacée, un rejet qu'il n'a jamais pu comprendre, n'y voyant rien de moins que de la pure cruauté. profondément emphatique, il a toujours vécu plus mal de voir son entourage être négativement impacté que d'être pris lui-même pour cible. il faut dire que, bien que sociable et doté d'une énergie communicative, maximoff n'est pas très expansif sur ses propres sentiments. il se confie parfois, mais il garde des barrières en place. une façon de se protéger et de protéger son entourage aussi du même coup. à quoi bon partager son chagrin lorsqu'il lui monte à la gorge ? il ne veut pas que ses propres états d'âme pèsent sur les épaules de quelqu'un d'autre.
- ( 11 ) la vie s'assortie obligatoirement de limites. des limites bien définies que ce soit par quelqu'un d'autre, ou par soit-même. maximoff a toujours composé avec des règles, qu'elles aient été fixées par ses parents ou qu'elles n'appartiennent qu'à lui. la règle "ne jamais toucher à la soeur d'un ami" fait partie de la seconde catégorie. une règle implicite, une limite que maximoff a le sentiment de ne pas avoir eut d'autres choix que de franchir. tout discipliné et raisonnable qu'il peut être, après tout, il n'a pas la moindre prise sur ce qu'il ressent. il n'a pas choisit de tomber amoureux de river. si ça n'avait tenu qu'à lui, si son coeur n'avait pas joué contre lui, il ne se serait jamais approché la petite soeur d'iwan comme ça, ne l'aurait pas touchée même avec un bâton. les amis avant les filles, le code d'honneur de base, tout ça. sauf que river n'est pas n'importe quelle fille et maximoff n'a pas pu lutter contre leur attraction réciproque quand la gamine gracile et mystérieuse s'est transformée en une adolescente très désirable. il ne peut pas mettre le doigt sur le moment précis où ses sentiments ont évolué. ça s'est juste produit. et maximoff a voulu être honnête. être honnête envers lui-même, mais surtout honnête envers iwan, envers son meilleur ami. bien faire les choses. il n'en a pas été vraiment récompensé. une amitié affaiblie, fragilisée, des sentiments ravalés vaille que vaille sans que ça ne les empêchent de grandir. de la frustration à museler ses désirs, une envie de se retirer, d'imposer une distance tout en se sentant tout bonnement incapable de chasser river de sa vie et encore moins de son esprit.
- ( 12 ) début mai 2021. bref séjour à vegas avec des amis, maximoff entre dans la ville du vice et du jeu célibataire mais en ressors marié. l'identité de sa moitié, du moins sur le papier ? river, rien que ça. en dépit de l'alcool ingurgité, les souvenirs de maximoff sont clairs, peut-être parce que secrètement c'est ce qu'il veut. être lié à elle, qu'ils vivent ensemble quelque chose à deux. il veut lui en parler, qu'ils mettent les choses à plat. il est demandeur de faire le point, prêt à discuter franchement, mais elle ne l'est pas. elle deviens carrément fuyante et c'est plus fort que lui, il le prend comme une insulte. ça le blesse et durant des mois il ronge son frein. et puis il n'y tiens juste plus. la patience qui s'étire, mais pas indéfiniment. le coeur qui bourdonne. même si y a bien la petite voix dans sa tête qui lui souffle que le temps peut faire son oeuvre, que rester à l'écart et la fermer n'est peut-être pas une mauvaise idée. il finit par parler. décembre 2021 et il la confronte. fini de la voir fuir, fini d'avoir le sentiment de la courser sans jamais pouvoir la rattraper. ils parlent, ils parlent vraiment, s'avouent leurs sentiments et ils se mettent ensemble. ils s'accordent une chance. ils en font un secret pour iwan. maximoff préférerait qu'il en soit autrement, il suspecte qu'elle aimerait aussi. qu'ils puissent en parler s'en faire de blessé, mais ce n'est pas le cas alors ils se taisent. au final, maximoff prend ce qu'il peut prendre. quelques mois avec elle, même si ça ne peut pas durer indéfiniment comme ça, même si avec elle y aura toujours un parfum de trop peu, un goût persistant de pas assez. un peu de laisser aller. il s'autorise à tomber tête la première dans ses sentiments pour elle. pas la première fois qu'il fréquente quelqu'un mais il n'a jamais éprouvé quoi que ce soit d'aussi fort pour personne auparavant.
- ( 12 ) il n'aime pas que river soit son secret. il veut parler, mais le choix lui reviens à elle. maximoff l'accepte et le lui offre sans broncher. quand elle envisage de révéler le pot aux roses à son frère durant l'été 2022, il est soulagé, mais ça ne se produit pas. iwan a un accident, il tombe dans le coma. il n'est pas croyant maximoff, mais ça sonne presque comme un signe divin, un appel peu subtile de l'univers, les prévenant de se taire. au final, le secret en reste un. c'est fatiguant, ça leur fait de la peine à tous les deux et au bout d'un moment maximoff tranche. la mort dans l'âme et alors que l'été touche à sa fin, il suggère à river qu'ils se séparent, que c'est trop compliqué, que ça ne devrait pas l'être. il espère tout du long de cette conversation qu'elle rétorque le contraire, qu'elle se raccroche à lui, mais elle ne le fait pas alors c'est la fin. ils se quittent bons amis. maximoff flanque un sourire sur ses lèvres, s'efforce de se montrer mature et fort vis-à-vis de la situation et ce même s'il a envie de hurler tant il trouve tout ça injuste. il tiens bon. sourire aux lèvres, coeur en travers de la gorge, il la laisse partir.
- ( 12 ) le mois de septembre 2022 marque un nouveau coup dur (déjà que c'était pas la fête, entre la rupture et la procédure de divorce qui suit son cours). alors qu'il passe du temps en ville avec des amis, maximoff croise la route de l'un de ses pères, jonathan, en train de flirter avec un inconnu. une vision mortifiante qui brise quelque chose en lui. car si maximoff a grandit avec une certitude, c'est bien que ses pères s'aiment plus que tout, qu'ils forment un couple parfait, qu'ils ont toujours été là l'un pour l'autre. et puis il s'agit de ses parents. ils sont sensés rester ensemble et être heureux pour toujours. furieux, bouleversé, désemparé, maximoff se rue direct chez lui, suivi par jonathan. il a la surprise de constater quand il relate les faits à son autre papa que ce dernier n'est pas surpris. triste, oui, mais pas étonné. c'est de cette façon que maximoff apprend que le couple de ses parents bat de l'aile depuis quelques semaines et qu'ils ont décidé de s'accorder un peu d'espace sans en parler à leur fils. maximoff ne parviens pas à le comprendre. il se montre vindicatif envers jonathan, accord passé ou non, et tout deviens très compliqué. après plusieurs semaines, il est décidé que bradley va partir un peu en californie chez sa soeur. maximoff décide de le suivre. une façon de le soutenir et de punir son autre papa contre lequel il est toujours en colère. après s'être arrangé avec harvard pour poursuivre son année en étudiant à distance l'affaire de quelques mois et sans que ça mette en danger sa bourse, maximoff s'envole pour los angeles. il y voit une chance de bouger un peu, de laisser boston derrière. trop de choses à digérer, trop de gens desquels il est préférable de s'éloigner.
- ( 13 ) durant des mois, maximoff vit avec son père et sa tante dans une maison à los angeles en californie. il sort un peu, nage beaucoup, joue au foot avec son père, étudie... il passe surtout beaucoup de temps avec son père. il a souvent jonathan son autre papa resté à boston au téléphone. maximoff est toujours contrarié mais il met un peu d'eau dans son vin et accepte de lui parler d'abord avant de consentir à le revoir à plusieurs occasions. conscient qu'il va devoir rentrer à boston, il laisse quand même traîner les semaines, puis les mois. tenir compagnie à son père est (du moins en partie) une excuse. la vérité c'est que l'année a été éprouvante et même si boston lui manque, maximoff appréhende d'y retourner. il reviens brièvement en ville pour les fêtes de fin d'années, célébrant noël avec ses deux papas, le tout dans une ambiance un peu gênante. maximoff n'a plus de contact avec river depuis des mois à ce stade. maintes fois il a dut se retenir de l'appeler et c'est tout particulièrement le cas lorsqu'il est de retour en ville. il se retiens toutefois et début 2023 il retourne en californie sans avoir échangé avec elle.
- ( 14 ) le break californien s'étire et touche à sa fin. bradley exprime l'envie de rentrer chez lui, craignant que cette distance ne finisse par faire plus de mal à son mariage que de bien. maximoff est également conscient qu'il ne peut pas se réfugier en californie encore bien longtemps mais il traîne un peu des pieds. finalement, c'est un évènement impliquant river qui le pousse à rentrer à la maison. en apprenant que son ex a fait une chute de plusieurs mètres le vingt janvier, son coeur s'emballe et quelques jours s'écoulent tout au plus avant qu'il ne rentre à boston. retour au bercail et à sa vie normale.
facts
Il n’aime pas revoir des films/séries. Ça le dérange moins de relire des livres et il fait toujours une exception pour les marathons Marvel avec ses papas (c’est une tradition chez les Cardale-Haymes, après tout). - il est très actif, souvent en vadrouille. Il a besoin d’activité et vit mal de passer toute une journée sans rien faire (exception faite du dimanche où il y va plus tranquille, mais même là c’est rare qu’il ne fasse pas au moins une virée dans la journée). - il conduit une vieille voiture qui a connu des jours meilleurs et qui l’a maintes fois laissé en panne sur le bord de la route. - la proximité de l’océan ne manque jamais de l’apaiser. - il est sujet aux insomnies lorsqu’il est contrarié. - il est très respectueux des goûts et des choix des autres. Il ne ferme pas les portes, se montre toujours (ou presque) ouvert à la discussion. - il boit et fume mais n’a jamais touché à la drogue. Il ne juge pas ceux qui ne font pas le même choix, mais en ce qui le concerne c’est niet. - il répugne particulièrement à pleurer en public. Il répugne à pleurer tout court en fait (ça l’énerve, des larmes n’ont jamais rien arranger). c’est rare que les digues cèdent en lui, que la carapace se fende entièrement. - il est romantique, toujours heureux lorsqu’il est en couple, mais il n’est pas opposé aux coups d’un soir tant que les choses sont claires et que tout le monde y trouve son compte. - il déteste les tomates. - il a besoin de son café le matin. - plus sensible qu’il ne s’autorise à le montrer, il prend les choses à coeur et aspire vraiment à bien agir dans la vie, à représenter une influence positive. - il n’est pas violent ou sanguin, mais il ne crains pas de se battre pour défendre ce/ceux qui doit/doivent être défendu/s. - tantôt tendre et adorable, tantôt plus dur et tranchant. dans une impulsion, il lui arrive de parler avant de réfléchir et de le regretter. Dans ces cas là, la culpabilité l’enserre dans la seconde et il ne manque pas de s’excuser une fois revenu de sa colère. - assoiffé d’aventures et d’expériences, il est curieux de plein de choses. Il s’intéresse aux autres ce qui explique grandement qu’il ait toujours été très bien entouré. - il est de ces gens qui donnent l’impression d’être bons dans tout, que tout leur est facile. Habile en sport, doué en cours… il est vrai qu’il a des facilités pour certaines choses, mais maximoff est surtout bosseur et obstiné. Le verbe abandonner ne fait pas partie de son vocabulaire. - il a de super souvenir de vacances en camping et il a toujours plaisir à monter la tente. - il est bon cuisinier même s’il se lance rarement dans la préparation de repas élaborés. - il a l'esprit logique, il raisonne bien et vite, sait être très réactif. - il est un peu jaloux des grosses fratries. il aurait adoré avoir un frère ou une soeur.
j'ai dans l'idée d'exploiter à l'avenir le fait que maximoff ne sait rien de sa mère. c'est une femme qui l'a eut quand elle était jeune et qui l'abandonné à son père au bout de quelques semaines, se sentant incapable de le garder. concernant sa mère, j'ai plutôt l'image d'une fille de bonne famille, avec des parents un peu vieux jeu/axé sur les apparences qui aurait menacé de lui couper les vivres si elle gardait ce gosse. elle aurait pas abandonné moffy pour ça, mais elle l'aurait envisagé et ça aurait été suffisant pour la convaincre qu'elle n'était pas assez mature pour élever son bébé.depuis vingt-six années se sont écoulées, la mère de maximoff s'est probablement marié, a des enfants etc. et j'aimerais bien trouver cette famille là sur le forum. (à)
Les originesOrigines allemandes, anglaises, françaises, irlandaises, îles anglo-normandes, écossaises et galloises.
feat. ELLE FANNING
mise au monde le 20/03/98 à londres.
britannique.
célibataire et hétéro.
étudiante en design de mode, histoire de l'art et architecture en mineur.
riche, héritière.
Elle a le coeur toujours lacéré, Betty. Ça ne guérit pas vraiment. La morsure de la trahison et cette voix persistante dans sa tête qui persiste à tonner qu’elle aurait pu faire mieux. Que si elle était différente, plus impulsive et divertissante, alors il n’aurait jamais eut ne serait-ce que l’idée de partir. Tout ça, elle n’aime pas en parler, Betty. En fait, elle ne parle pas des caisses, les lèvres closes. Ses expressions faciales la trahissent déjà trop. Elle est émotive et même si elle essaie de se renforcer, de transformer la soie en acier, rien n’y fait. Les joues qui rosissent pour rien et ses maudits yeux bleus qui deviennent immenses et humides, prévenant l’arrivée des grandes eaux. C’est peut-être ce qu’elle aime le moins chez elle. Cette faiblesse qu’elle est bien incapable de museler en elle. Tout est lisible, poupée trop expressive.
Elle se fait pas de cadeaux en somme, Betty. Elle se dégomme dans sa tête, formulant des reproches qui rebondissent et font des dégâts sur son estime. Y a pourtant tant à aimer chez elle, preuve en est : elle est toujours très bien entourée. Et ça n’a rien à voir avec l’argent ou la beauté. Les moyens, qu’ils soient physiques ou financiers, attirent, mais ils ne retiennent pas. Betty ne se réduit pas plus à un nom qu’à un physique. Plus brave qu’elle n’en a l’air, elle est même capable de se battre, la demoiselle, d’autant plus quand il est question de défendre les gens qu’elle aime. On trouve difficilement personne plus fidèle, une amie (et une petite amie) émérite. Bon, elle à ses défauts aussi, mais rien de bien méchant. Elle transpire l’argent déjà et c’est vrai qu’elle fait parfois sa princesse, mais ça tiens plus de l’habitude que d’une envie de souligner la puissance de sa famille. Vraiment, elle ne se sent pas supérieure à qui que ce soit. Flattée, gâtée par la vie, mais elle se désintéresse pas de ceux qui ne sont pas aussi vernis qu’elle par le destin. Au contraire, bien plus ouverte que son nom peut le laisser croire, elle a le coeur au bord des lèvres et une envie sincère de s’ouvrir au monde.
Résumé de l'histoire
Née à Londres, petite fille de milliardaire, elle n'a connu depuis sa naissance que le confort et l'opulence. Membre d'une grande famille, benjamine d'une fratrie de sept enfants, elle est la poupée gracile, le visage de la porcelaine, la bonté incarnée. C'est vrai qu'elle a le coeur gros. Lumineuse, bienveillante, elle ne ferait pas de mal à une mouche, si tant est que la mouche ne s'en prenne pas à elle. Et même là. Elle est pas faible, la belle, mais elle répugne à prendre part au combat. Elle ne s'épanouit pas dans le conflit, mais ce n'est pas une pleutre pour autant et elle montera au créneau, s'il le faut, si la situation l'exige ou tout simplement le mérite. Elle a pas vraiment confiance en elle, même si ça ne se voit pas. Délicate, menton élevé par le ciel. Princesse dépensière, étiquetée gosse de riche, mais on a tôt fait de découvrir en elle l'amie l'idéale. Le coeur piétiné, éclaté, les tromperies enchaînées qui l'ont mise à terre. Pourtant, elle se relève et elle croit encore en l'amour, assurément fleur bleue, inspirée par le conte de fée parentale.
Les anecdotes
- ( 01 )Héritière, Betty est l'une des petites filles du milliardaire John Caudwell. Elle proviens d'une famille nombreuse (son père, lui-même élevé au sein d'une fratrie de cinq, a eut avec sa femme Serena sept enfants) et occupe le statut de la benjamine. Elle n'a jamais connu que l'opulence, a toujours jouit de nombreuses opportunités, les portes s'ouvrant sans peine pour elle. Source d'affection et d'attention, elle c'est celle qu'on couve qu'on protège. Les gens ont tendance à la traiter comme une petite chose fragile, comme une poupée de porcelaine vivante, vision favorisée par son apparence, ses grands yeux bleus et sa chevelure blond pale. Outre son physique, il émane également d'elle beaucoup de féminité, de bienveillance et de douceur. On tend à la sous-estimer, à voir en sa gentillesse une preuve de faiblesse.
- ( 02 )Elle a grandit à Londres. Une enfance heureuse, faut dire qu'elle a toujours été plus que bien entourée. Pouvant compter sur ses frères et soeurs, elle a aussi toujours bénéficié du soutien de ses parents, des gens très occupés et plein d'attentes envers leur progéniture, mais tout de même présents et bienveillants. Betty s'est vu ouvertes toutes les portes, accordées toutes les chances pour réussir dans la vie. Allant d'écoles privées en écoles privées, elle s'est illustrée comme une jeune fille sérieuse, un peu réservée plus jeune, puis plus assurée. Même lorsqu'elle était plus timide et silencieuse, elle n'a jamais eut de mal à se faire des amis, sa nature gentille et douce tendant à attirer les autres.
- ( 03 )Ses parents qui se sont rencontrés sur les bancs de l'université sont très amoureux et représentent aux yeux de Betty un couple parfait. Très amoureuse de l'idée même d'être amoureuse, Betty a toujours rêvé de trouver la personne faite pour elle. Croyant au principe des âmes-soeur, c'est ce qu'elle s'est rapidement mise à chercher. Sa moitié, la personne taillée sur mesure pour elle et vice-versa. Rêveuse, biberonnée aux contes de fées et aux grandes romances littéraires et cinématographiques, elle a choisi Hardin quand ils avaient douze ans. Un amour d'enfance, quasiment, encouragé par des parents s'entendant bien et étant plus que motivés pour solidifier cette amourette initiale en une véritable alliance. Le crush a vite pris de plus grandes proportions et Betty s'est abandonnée totalement à ça, s'éprenant complètement d'Hardin. Elle aimait tout chez lui. Surtout, là où il appréciait sa gentillesse et son tempérament d'apparence facile et malléable, elle aimait qu'il lui soit de bien des façon (pour ne pas dire de toutes les façons possibles et imaginables) opposé. Leurs parents s'emballaient, parlaient déjà pour eux de mariages et d'enfants alors même que les principaux concernés l'étaient pour ainsi dire encore, des enfants. Betty a eut la naïveté de s'enliser dans tout ça. De voir en Hardin plus que ce qu'il était, de lui prêter des traits qui n'étaient pas les siens. Elle l'a placé sur un piedestal, consciente de ses défauts et de ses failles, mais incapable de les voir comme des choses susceptibles de la blesser elle. Elle se croyait hors de portée, princesse bien gardée, romance acquise. Grand mal lui a pris. Tant d'espoir accumulé en elle seulement pour s'y voir opposé une encore plus grande déception.
- ( 04 )En 2015, les choses se compliquent. Le lycée qui se termine, le chapitre université qui se dessine. Si Betty ne s'angoisse pas particulièrement vis-à-vis de son admission à l'université en elle-même (son dossier scolaire est très solide), Hardin parle de quitter l'Angleterre, arrête son choix sur Harvard. Betty se retrouve devant un dilemme : le suivre ou non. Elle espère à moitié ne pas être admise à Harvard, nourrissant l'espoir dont elle n'imagine pas combien il est lunaire alors qu'Hardin pourrait renoncer à aller là-bas si elle se révélait incapable d'intégrer la même universitaire. Elle sait que c'est égoïste mais ne peut s'empêcher et de toute façon elle apprend vite qu'Harvard est aussi une option pour elle. Une fois encore, les portes sont ouvertes pour elle. Acceptée dans une poignée d'universités, dont Harvard et Oxford, les opportunités ne manquent pas. Inquiète, elle passe plusieurs blanches à retourner tout ça dans sa tête. Un pressentiment lui saisit le ventre, sa tête la pousse à orchestrer son départ pour les USA, à s'accrocher à Hardin même si son coeur la maintiens en Angleterre, auprès de toute sa famille. Finalement elle choisit Oxford, le familier, le confortable et donc de laisser Hardin partir loin d'elle. Angoissée par cette perspective, elle se réconforte dans ses certitudes. Qu'Hardin l'aime, qu'elle l'aime aussi, qu'ils sont ensemble depuis des années, qu'elle ira le voir, qu'il viendra la voir. Que ce n'est pas la fin, que ce n'est que le début et que si la distance complique tout, elle peut aussi solidifier les sentiments, non ? Elle essaie de se convaincre surtout, les membres de sa fratrie laissant entrevoir plus de doutes, entrevoyant le crash avant qu'il ne survienne.
- ( 05 )2017. Et ça lui pendait au nez. Mais le monde s'écroule. Hardin qui rompt, qui la laisse, qui lui brise le coeur. Tout qui s'effrite, tout qui s'effondre. Elle aurait dut le voir venir. Elle aurait dut s'y être préparée, mais elle voulait y croire et c'est ce qu'elle a fait. 2017 et elle a le coeur en miettes. Une période sombre où elle se rabat sur ses études, mais elle a le coeur à rien si ce n'est lui. Idiot comme il lui manque, comme elle le voudrait près de lui soudain alors qu'il est plus là, déjà, depuis longtemps. Elle se sent bête de l'aimer autant alors qu'elle devrait le détester. Elle se sent bête de pleurer pour lui, mais ça se résume pas à ça et, larmoyante, enfin, elle le reconnaît. Qu'elle aimait pas juste Hardin pour ce qu'il était, même si elle l'aimait vraiment. Elle aimait l'image qu'elle s'était faite d'eux en tant que le couple, l'image qu'elle s'était bâtie de lui. Un garçon en chair et en os, réinventé en prince rebelle, en grand méchant loup qu'elle saurait mater d'un baiser. Absurde, stupide. Elle se sent tellement gamine. On la console. Les membres de sa fratrie qui sont toujours dans le coin la trimballe à droite à gauche, tente de lui refiler le sourire. Il ne te méritait pas. Tu vaux tellement mieux que lui, Betty. Et à chaque fois elle acquiesce, d'un léger mouvement de tête. Elle ouvre pas la bouche, elle en est pas capable. Elle ne peut pas dire les mots, mettre entièrement sur lui le blâme. Même si elle devrait. Il l'a trahie. Mais elle s'interroge, Betty et elle rejoue les scènes. Les moments rien qu'à eux, à elle et à lui. Les moments où il a pu se lasser d'elle, la trouver trop tarte peu, trop faible, trop gamine; Et ça lui fait un mal de chien de se dire qu'il puisse penser ça. Qu'il ait cessé de l'aimer juste comme ça. Elle comprend même pas que ça puisse être possible. Cela ne fait pas sens pour elle.
- ( 06 )Betty, elle ne se résume pas à l'amour et elle ne se résume sûrement pas à Hardin. Elle a d'autres trésors en elle, d'autres combats à mener et c'est ce qui la fait tenir. Le soutien qui surgit de toute part, de par sa famille, de par ses amis, et l'envie de transcender son chagrin qui la pousse avant. Alors soit, elle en mène pas franchement large le soir quand elle gagne son lit et qu'elle se retrouve toute seule avec pour toute compagnie son manque de lui. Mais quand le soleil grimpe dans le ciel, la douceur de la soie revêt la force de l'acier et elle va de l'avant. Les talons hauts qui cliquettent, ses longs cheveux blonds impeccablement tirés en une queue de chevale haute, elle rassemble toute l'assurance qu'elle est encore capable de rassembler et elle la brandit en étendard à la face du monde. Un bout de sa vie qui s'est effondré, mais c'est jamais qu'un bout. Elle est toujours brillante, et pleine de projets. C'est un pré-requis dans sa famille, après tout. Elle a ça dans le sang, du moins il paraît. Les parents de Betty ne sont pas particulièrement sur le dos de leurs gosses, mais ils attendent beaucoup de lui. Ils n'exigent pas de les voir prendre une voie en particulier, mais ils attendent d'eux qu'ils bossent, qu'ils se distinguent, qu'ils bâtissent quelque chose de leurs mains et avec l'appui et le soutien des leurs. La famille est une ressource non négligeable et inépuisable, mais elle ne suffit pas d'elle même et tout un chacun doit déployer les efforts nécessaires pour s'élever. Certains y arrivent plus aisément que d'autres, certaines routes sont moins praticables que celles que d'autres empruntent ou ont emprunté, mais au final tout le monde doit s'en tirer. Betty fait pas exception. Elle a ses propres plans et c'est ce qui maintiens sa tête blonde hors de l'autre. Son conte de fées initial ruiné, il lui en faut en bâtir un autre et de préférence un qu'un homme n'aura pas le pouvoir de ruiner.
- ( 07 )Son truc à elle c'est la mode. C'est un univers qui la fascine, faut dire qu'elle a de quoi de tenir, sa mère étant une créatrice de mode qui a sut se faire un nom au fil du temps. Elle a baigné là-dedans, a fait un peu de mannequinat aussi, mais elle rêve pas de podiums, ou du moins pas d'être dessus. Elle veut créer des collections démentes, voir les univers qui pullulent dans sa tête prendre vie. Ce sera plus simple pour elle de réaliser ce rêve, pouvant jouir de l'appui de sa mère et de sa notoriété, mais Betty ne se repose pas sur ses lauriers pour autant. Studieuse, appliquée, elle s'investit beaucoup dans ses études, comme dans tout ce qu'elle fait.
- ( 08 )Elle s'est fait transféré à Harvard mi-2022. Une décision décriée par certains membres de son entourage, qui voit en cette décision un retour en arrière et ouais, y a sans doute un peu de ça. Elle n'a jamais essayé de reconquérir Hardin, étonnamment lucide sur leur relation soudain, et sur son incapacité à regagner le coeur d'un garçon, coeur qu'elle n'a peut-être jamais possédé pour commencer. Il n'empêche qu'il aura toujours une place particulière dans son coeur et qu'une partie d'elle l'aimera toujours. Et elle avait envie de le revoir, ou de l'entrevoir. Tout du moins de découvrir ce pour quoi il l'a laissée derrière. Son choix de se faire transférer ne repose pas intégralement sur Hardin toutefois, ce serait trop pathétique. Au cours des dernières années, plusieurs membres de la fratrie Caudwell ont échoué aux USA et la décision de Betty de déménager tiens aussi dans son envie de retrouver sa fratrie, cette armée de sept si chère à son coeur.
- ( 09 )Betty n'a jamais vécu sur le campus. Comment aurait-elle pu faire entrer ne serait-ce qu'un dixième de sa garde robe dans un des petits placards des chambres des résidences. A la place, elle a fait des recherches en amont de son arrivée à Boston avec deux de ses frères et ils se sont tous les trois trouvés un grand appart remplissant chacun de leurs critères. C'est rassurant pour Betty, de vivre avec ses frères. Elle s'est beaucoup investie dans le choix des meubles et de la déco de l'appart, en faisant son gros projet avec l'aval de ses frères qui se sont effacés tout en gardant un droit de vote, quand même.
- ( 10 )Changer de pays ça n'a pas été simple pour elle, habituée à évoluer dans un monde familier. Les premières semaines ont été compliquées, mais les mois se sont écoulé sans encombres particuliers et le noeud permanent logé dans les entrailles de Betty s'est peu à peu atténué. Plus à son aise désormais, elle a retrouvé des habitudes et réussis à tisser de nouveaux liens. Ballotée entre soif de nouveauté et attrait envers le passé (inévitable maintenant qu'elle vit de nouveau dans la même ville qu'Hardin), elle poursuit vaille que vaille sa route, essayant de faire les bons choix.
- ( FACTS AUTRES ) B, Beth, Liz, Lizzie, Lizbeth... Autant de diminutifs possibles découlants de son prénom mais qui sont largement délaissés au profit d'un autre : Betty. Rare sont les gens de son entourage utilisant son prénom entier, au point où ça lui fait presque bizarre d'être ainsi appelée. Ca ne sonne pas juste, comme si ce n'était pas vraiment elle. - La famille occupe une place centrale dans sa vie. Elle s’entend bien avec ses parents, mais elle est surtout très liée à ses frères et à sa soeur. Dernière née d’une fratrie de sept, elle est très bien entourée, très protégée. Les écarts d’âge jouent un peu dans la proximité avec les uns et les autres (elle a plus de dix ans d’écart avec le plus âgé de ses frères) et tout le monde vit sa vie, mais les Caudwell sont très soudés et constituent un front uni face aux autres. Betty est très reconnaissante pour sa famille nombreuse. Particulièrement complice des deux frères nés moins de deux ans avant elle, ils sont un soutien permanent pour elle, de même que l’est entre autre sa soeur qui reste à ce jour l’une de ses meilleures amies au monde. Profondément dévouée à cette grande famille, Betty se sent capable de tous les sacrifices pour chacun de ces membres. - Elle a l'âme d'une collectionneuse et possède de nombreuses choses en quantité. L'une de ses plus grandes collections est sa collection de chaussures et de vêtements. Véritable accro du shopping, sa garde robe est immense et, dans l'appart qu'elle partage sur Boston avec deux de ses frères, elle a dut empiéter sur les placards de ces derniers. - Elle a une préférence pour les couleurs pastel et porte très souvent très du blanc et/ou du rose. - Elle adore les fruits rouges et tout ce qui rentre dans la catégorie gâteaux à la fraise fait partie de ses péchés mignons. - Elle aime revoir encore et encore les films/séries qu'elle aime. Idem pour les livres. C'est un peu fatiguant pour les autres, mais elle ne s'en lasse pas. - Elle s'entretiens, prends soin de son corps et de ce qu'elle ingère. Elle boit un peu malgré tout, mais pas de façon excessive et elle n'a jamais touché à une seule cigarette. - Elle aime dormir avec quelqu'un à côté d'elle. - Même si on l'a blessé et trahie dans le passé, elle aspire à la confiance, à se fier aux autres. Elle est d'une nature positive et ne laisse pas les mauvaises expériences empiéter sur les bonnes choses qui pourraient se produire dans le présent et dans l'avenir. - Elle lit beaucoup, essentiellement des romans d'amour et fantastique. - Les déceptions qu'elle a encaissé n'auront pas eut pour effet de venir à bout de l'incurable romantique qui sommeille de longue date en elle. Elle veut encore croire au grand amour, même si sa première expérience dans de domaine s'est soldée par un retentissant échec et que son coeur cicatrise encore, même bien longtemps après les faits. - Elle adore qu'on lui brosse les cheveux, elle trouve que c'est l'une des meilleures sensations au monde. - C'est une bonne joueuse d'échecs qui se débrouille aussi plutôt bien en sport, avec un penchant pour la danse (elle a fait du ballet durant des années) et le tennis. Elle est globalement pleine de surprises et de talents et n'a pas peur de travailler dur pour s'améliorer. - Elle est très humaine dans ses sentiments et dans sa réaction et elle a horreur d'incarner une source de peine pour qui que ce soit, qu'ils aient mérité de ressentir la peine en question, ou non.
la douce est en ville depuis septembre 2022, donc elle aura commencé à bâtir son entourage. 
(Invité)
)
).
je t’attends 
