▬ maybe you should eat make up, so you can be pretty on the insible bitch ! ▬ Skylar.

Voguant dans les couloir la bretelle de mon sac à dos nonchalamment posé sur mon épaule je cherchais la salle 245. Traînant des pieds je regardais ici et là les numéros sans grande convictions. Cette connasse de Mme. Cribs avait eu la merveilleuse idée de nous foutre en binôme pour le dossier de fin d'année, rien d'alarmant jusque là, sauf que mon binôme à moi n'était autre que Skylar cette pourri d'Elliot que je ne pouvais pas blairer. Nick passa devant moi et me décolla un clin d’œil en ma tapant sur l'épaule. Je lui avait parler plus tôt de l'impatiente que j'avais de faire ce dossier. Connerie. Je m'arrêtais un instant, cherchais ma route. Merde, c'qu'Harvard pouvait être gigantesque. Je me passais un main dans les cheveux, déjà blasé, puis remarquais qu'elle se trouvais juste à côté de moi. Je m'avançais alors et entrais dans la salle sans prendre soin de frapper.
Personne. Je m'avançais à l’intérieur en refermant derrière moi et balançais mon sac sur les tables vides. Je soufflais un instant. La motivation n'était réellement pas au rendez-vous. Je fourguais une main dans ma poche et sortit mon paquet de clopes avant de m'avancer vers la fenêtre. Je l'ouvris m'en allumais une et m'accoudais au cadran.
D'ici on avait vu sur tout le parking, je me laissais allé à observer en fumant paisiblement. Je manquais de m'éttoufer et toussais comme un connard quand je vis cette pimbêche d'Apple jonché sur ses Louboutins manquer de se ramasser contre le bitume. Quelle Conne.
J'entendis la porte s'ouvrir derrière moi.

On m'avait foutu avec Gabriel, se bouseux, se mather de mes deux. J'avais voulu protester, mais manquer de respect à une prof n'était pas mon genre, j'ai accepté et fermé ma gueule, j'allais bien me tenir. Mais pas moyen que je discute d'autre chose que de travail avec ce Gabriel, les choses allaient être très claires dès le début avec lui. J'entrais dans la salle ou nous allions travailler, et le voyais à la fenêtre en train de fumer une clope. Cool, j'allais mettre les choses au clair dès maintenant. Je m'approche de lui à grand pat avec mon air le plus glacial et lui prends sa clope avant de la balancer par la fenêtre espérant qu'elle ne tombe sur la tête de personne d'important. J'vais être clair avec toi : Quand je suis là, tu ne fume pas. Tu ne bois pas et tu te drogue encore moi. C'est moi le cerveau, toi t'es as plus d'un étage en dessous donc quand je parle tu acquiesce, et tu fermes ta gueule compris ?

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Putain la misère. Voilà que l'autre pimbêche débarquait en rogne. J'haussais les sourcils lorsqu'elle balança ma clope par la fenêtre. Pauvre fille. C'était pour ça même que je ne pouvais pas encadré ces connards. Je la laissais blablater dans le vent sans prêter grande attention et me passais la langue sur les lèvres en tentant de garder mon calme. C'était une fille. Je ne pouvais donc de ce fait pas lui flanquer de raclée. En plus de ça la pauvre était rousse, j'imaginais qu'elle avait dû être torturé de moqueries gamine, d'où son air constamment aigri sur le visage. J'étouffais un ricanement et me passais la main dans le cheveux. Je l'observais beugler comme une folle et me redressais face à elle.
« Tu devrais pas te mettre en colère comme ça sweetie, je pointais mon doigts entre ses deux yeux, ou son front de gamine capricieuse formait une plissure, Tu vas finir toute fripée, et crois moi, à ce moment là tu seras bonne le crématorium, parce que tu seras aussi laide à l'intérieur qu'a l'exterieur, c'est pas c'que tu veux pas vrai ? »

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« Tu devrais pas te mettre en colère comme ça sweetie. Tu vas finir toute fripée, et crois moi, à ce moment là tu seras bonne le crématorium, parce que tu seras aussi laide à l'intérieur qu'a l'exterieur, c'est pas c'que tu veux pas vrai ? » Je soupire, boulet un jour boulet toujours. Je le regarde, d'haut en bas avant de lever les yeux au ciel et de m'asseoir sur une chaise, sortant mes affaires de mon sac. « Assis ! » J'allais pas être polie, ni agréable. Je me répétais que c'était un boulet, un boulet énorme et que je devais juste.. Passer outre. L'ignorer et faire comme si il n'avait jamais exister. J'sais faire. « T'as apporter tes affaires ou tu les a laisser à la mather house avec ton cerveau ? » Ok, je l'admet, c'était la vanne la plus pourrite que j'aurai put sortir. Mais avec lui... Je perdais bizarrement mes myoens et j'arrivais tout simplement pas à mettre mes idées en ordre.

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....

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Nous nous étions installez à une table. J'essaie de l'ignorer, mais il est comme omniprésent, c'est difficile de faire l'impasse. Je sors mes affaires, et glisse une petite remarque aussi rien de très méchant. « Est-ce que je suis aussi obliger de répondre à tes question stupides ou on ferme juste notre gueule comme tu l'as dis t'aleur ? » Je lui lance un regarde, feignant d'être surprise. « Gosh, tu m'as écouté ? » Je lève les yeux aux ciels et fait semblant d'avoir le nez dans mon bouquin, le mauvais bouquin, ce que je remarque aussitôt. « Alors on commence par quoi ? » Je fourre le nez dans mon sac pour y chercher mes affaires adéquates, mais j'l'ai avais pas-.« Tu vas commencer par te taire, et travailler tout seul pour l'instant. » Je fouille dans mon sac et prends mon portable. J'envoie quelques textos à Siloé, pour savoir si je n'avais pas laissé mes affaires chez elle, mais nan. J'sais juste pas où je les avais mise. Je regarde Gabriel pendant quelques secondes avant de lui dire : « Bon, ça te dirais de partager ton bouquin ? »

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___« Tu vas commencer par te taire, et travailler tout seul pour l'instant. »
La situation commençait sérieusement à prendre la tournure d'un de ces films de cul que j'avais vu dans mon adolescence et je trouvais ça plutôt sympathique. Je m’exécutais en arquant un sourcil et me dirigeais vers le sac que j'avais laissé trois tables plus loin. Je sortit mon bordel et commençais à vouloir me penché sur le cahier quand elle reprit la parole, je relevais la tête désintéresse.
__ « Bon, ça te dirais de partager ton bouquin ? »
J'esquissais un sourire victorieux en sachant la force que cela avait dû lui coûter. Je laissais planer quelques secondes en me mordillant la lèvres puis pris mon bouquin à la hâte en m'avançant d'un pas lent vers elle. Je me plaçais derrière son petit cul rebondi et installais le bouquin sur la table en ne laissant qu'un espace infime entre nous.
__ « Hum... C'est quel page déjà ? » soufflais-je à son oreille.

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Je n'aimais pas le voir sourire, surtout que c'était moi la miss qui était en mauvaise posture. ça me faisais chien tiens. Mais au moins, il partage son bouquin, on peut dire que c'est déjà ça. [b]Hum... C'est quel page déjà ?[/color] Argh, rien que sentir son souffle derrière moi me donnait des frissons... Mais je ne préférais pas y penser, ce n'était pas le moment. Je ne devais même pas y penser en fait, jamais... On va à la page 106 pour commencer. lui répondis.je presque automatiquement, comme si le savoir aussi proche de moi ne me perturbait pas. Je prenais brutalement le livre qu'il avait poser devant moi et tournais les page machinalement. J'étais un peu gênée, mais je ne devais vraiment pas. C'était un mather à côté de moi, je l'avais oublié ? Je devais pensé à autre chose, me trouver une occupation, autre que se devoir... T'aurais pas de la musique potable à mettre ?

(Invité)

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