Accueil
Invité
est en ligne
Invité
Les originesBritanniques
feat. Freddy Carter
Né à Arundel le 9 Février 1998
Anglais
Hétéro et désespérément célibataire, il a toujours été assez mauvais dans ce domaine-là.
7e année en Psychologie
Duc de Norfolk et héritier du titre de comte d'Arundel il est relativement riche, même s'il préfère dépenser le moins possible.
Résumé de l'histoire
( 01 )Il est né au sein de la famille Howard, noble famille de la Grande Bretagne, l'une des familles les plus importantes après la royauté, si ce n'est la plus importante. Étant le premier fils, Abel n'eut guère de liberté au cours de sa jeunesse, devant suivre le protocole, une éducation poussée et rigoureuse qui l'empêcha d'avoir une enfance classique et joyeuse. Bien entendu, il était conscient que nombreux pouvaient rêver de tels privilèges mais, lui, de son côté, ne rêva jamais que de simplicité et de vivre une vie normale.
( 02 )De part son statut, il n'a jamais vraiment su comment appréhender les gens. Beaucoup l'approchaient ouvertement avec son nom ancestral en bouche, tandis que d'autres le faisaient de manière un peu plus discrètes, voire sournoise. Grandir dans un tel entourage sans savoir si les gens l'appréciaient ou désiraient simplement attirer un peu de son influence eut un certain impact sur sa psychologie et sa manière de voir le monde, qui le rendit maladroit avec les gens.
( 03 )Ce soucis semblait prendre d'horribles proportions lorsqu'il s'agissait de la gent féminine. Bien que, dans sa prime jeunesse il fut abordé par bien des filles de son âge, certainement poussées par leur parents, avec le temps, celles-ci semblaient venir d'elles-mêmes, conscientes qu'un mariage avec quelqu'un de son statut pouvait promettre de nombreux avantages, mais surtout, une vie sans le moindre soucis d'argent. La chose finit par le terroriser, finissant par se demander si la moindre femme pourrait un jour avoir le moindre intérêt pour lui. Je dis bien pour lui, pour ce qu'il était, son caractère, sa manière de voir le monde, ses passions, ses espoirs, tout ce qui n'avait pas trait à ses titres. Malheureusement, toutes les anglaises qu'il put côtoyer ne se révélèrent qu'être des opportunistes, ce qui ne fit que baisser sa confiance en soi au fil des années.
( 04 )Malgré son gabarit et son tempérament, Abel est un passionné de boxe anglaise et en a toujours plus ou moins pratiqué, même si son père semblait quelques peu réticent, au début. Malgré tout, l'argument de savoir se servir de ses mains puisse être utile un jour ou l'autre finit par lisser un peu son avis. Dans ce domaine-là, notre ami ne fut jamais exceptionnel mais sut toujours faire bonne figure. En revanche, il y a un sport qui fut son premier amour et, certainement la seule chose qu'il appréciait durant ses cours à la maison, ce fut l'escrime, une pratique qui l’enivra dès son plus jeune âge et dans laquelle il excella tout au cours de sa vie, suffisamment pour s'inscrire aux JO de Rio, en cachette, où il obtint le bronze puis, quatre ans plus tard, à ceux de Tokyo où cette fois-ci, l'argent lui fut accessible. L'idée de participer à ceux de Paris lui plaît sincèrement mais, avec ses études, notre ami sait pertinemment qu'il ne serait pas à la hauteur, par manque de temps pour s'entraîner sérieusement à la chose et, il ne souhaite en aucun cas faire honneur et à sa famille et à son royaume.
( 05 )Même s'il est de la haute société, Abel a toujours apprécié des plaisirs simples que l'on aurait du mal à associer à la noblesse anglaises. Aller dans des pubs, boire des pintes jusqu'à finir à l'envers ou encore profiter de matches de foot à la télé, c'est quelque chose que l'héritier apprécie sincèrement. De part la ville où il a passé le plus clair de son temps, Norwich, cette équipe a toujours eu une certaine importance dans son cœur, malgré des résultats mitigés. Il a d'ailleurs réussi à obtenir un maillot dédicacé de Grant Hanley, capitaine actuel du club. Un bien précieux que notre ami a encadré et affiche fièrement dans sa chambre.
( 06 )Un peu aidé avec ses excursions secrètes dans les pubs, mais aussi par cette situation qui lui déplaît fortement, Abel a, depuis un moment, un soucis avec la bière. Il n'a pas une dépendance mais sent régulièrement le besoin d'en prendre quelques unes pour apaiser le chaos ambiant qui tourne de son esprit. Malheureusement, il a toujours un peu de mal à s'arrêter et, il devient encore plus mauvais avec les dames après avoir descendu quelques pintes, lui coupant tout espoir d'un jour pouvoir rencontrer la femme parfaite.
( 07 )Pouvoir étudier à Harvard est une bénédiction pour lui. Outre le fait d'être dans une école si prestigieuse, pouvoir être si loin de chez lui où personne, ou presque, ne le connaît le rend sincèrement serein. Ne pas avoir à réfléchir si les gens savent qui il est, ne pas avoir à déceler les idées derrières la tête de tous ceux avec qui il parle, cela ne rend particulièrement heureux et, le retour au pays qui arrive petit à petit a tendance à le terrifier.
( 08 )Pourquoi la psychologie ? Et bien, ce qu'il a dit à son père, c'est qu'il s'agissait d'une discipline importante et utile pour ses futurs devoirs, être capable de comprendre comment l'autre réfléchit pouvait être une arme efficace, que cela soit pour négocier, marchander ou imposer ce que l'on voulait. Aux curieux, Abel a tendance à dire qu'il veut aider les gens et, s'il peut comprendre comment ils réfléchissent et voir ce qui les ronge de l'intérieur, cela ne serait que bénéfique. Chose qui n'est pas tout à fait faux. La vérité c'est qu'il espère que cela puisse l'aider à lire à travers les sourires et les jolis mots des gens, de ne plus se faire avoir sur leurs intentions mais aussi de savoir à qui l'on pouvait faire confiance ou non.
( 09 )Appréciant le rock anglais en cachette depuis son adolescence, notre ami aimerait sincèrement pouvoir apprendre à jouer d'un instrument un jour, de la guitare, de la basse ou même de la batterie. Il sait un peu chanter mais, ses talents et sa voix semblent loin, très loin de pouvoir servir pour un rôle de chanteur dans un groupe.
( 10 )Le fait de ne jamais savoir à qui il pouvait se confier, s'ouvrir ou même espérer que ses échanges puissent être sincères, l'enferma un bon moment dans une profonde solitude. Ne sachant quoi faire avec les gens, Abel préféra s'isoler, espérant que cela puisse l'aider mais, malheureusement, cela ne fit que le faire dépérir plus encore, nourissant toujours un peu plus cette dépression qu'il traînait depuis des années. Par chance, son arrivée dans le Nouveau Monde l'aida à aller mieux de ce côté même si, de temps en temps, des pensées peu joyeuses viennent toquer à la porte, lui promettant une vie solitaire entourée de vautours.
( 02 )De part son statut, il n'a jamais vraiment su comment appréhender les gens. Beaucoup l'approchaient ouvertement avec son nom ancestral en bouche, tandis que d'autres le faisaient de manière un peu plus discrètes, voire sournoise. Grandir dans un tel entourage sans savoir si les gens l'appréciaient ou désiraient simplement attirer un peu de son influence eut un certain impact sur sa psychologie et sa manière de voir le monde, qui le rendit maladroit avec les gens.
( 03 )Ce soucis semblait prendre d'horribles proportions lorsqu'il s'agissait de la gent féminine. Bien que, dans sa prime jeunesse il fut abordé par bien des filles de son âge, certainement poussées par leur parents, avec le temps, celles-ci semblaient venir d'elles-mêmes, conscientes qu'un mariage avec quelqu'un de son statut pouvait promettre de nombreux avantages, mais surtout, une vie sans le moindre soucis d'argent. La chose finit par le terroriser, finissant par se demander si la moindre femme pourrait un jour avoir le moindre intérêt pour lui. Je dis bien pour lui, pour ce qu'il était, son caractère, sa manière de voir le monde, ses passions, ses espoirs, tout ce qui n'avait pas trait à ses titres. Malheureusement, toutes les anglaises qu'il put côtoyer ne se révélèrent qu'être des opportunistes, ce qui ne fit que baisser sa confiance en soi au fil des années.
( 04 )Malgré son gabarit et son tempérament, Abel est un passionné de boxe anglaise et en a toujours plus ou moins pratiqué, même si son père semblait quelques peu réticent, au début. Malgré tout, l'argument de savoir se servir de ses mains puisse être utile un jour ou l'autre finit par lisser un peu son avis. Dans ce domaine-là, notre ami ne fut jamais exceptionnel mais sut toujours faire bonne figure. En revanche, il y a un sport qui fut son premier amour et, certainement la seule chose qu'il appréciait durant ses cours à la maison, ce fut l'escrime, une pratique qui l’enivra dès son plus jeune âge et dans laquelle il excella tout au cours de sa vie, suffisamment pour s'inscrire aux JO de Rio, en cachette, où il obtint le bronze puis, quatre ans plus tard, à ceux de Tokyo où cette fois-ci, l'argent lui fut accessible. L'idée de participer à ceux de Paris lui plaît sincèrement mais, avec ses études, notre ami sait pertinemment qu'il ne serait pas à la hauteur, par manque de temps pour s'entraîner sérieusement à la chose et, il ne souhaite en aucun cas faire honneur et à sa famille et à son royaume.
( 05 )Même s'il est de la haute société, Abel a toujours apprécié des plaisirs simples que l'on aurait du mal à associer à la noblesse anglaises. Aller dans des pubs, boire des pintes jusqu'à finir à l'envers ou encore profiter de matches de foot à la télé, c'est quelque chose que l'héritier apprécie sincèrement. De part la ville où il a passé le plus clair de son temps, Norwich, cette équipe a toujours eu une certaine importance dans son cœur, malgré des résultats mitigés. Il a d'ailleurs réussi à obtenir un maillot dédicacé de Grant Hanley, capitaine actuel du club. Un bien précieux que notre ami a encadré et affiche fièrement dans sa chambre.
( 06 )Un peu aidé avec ses excursions secrètes dans les pubs, mais aussi par cette situation qui lui déplaît fortement, Abel a, depuis un moment, un soucis avec la bière. Il n'a pas une dépendance mais sent régulièrement le besoin d'en prendre quelques unes pour apaiser le chaos ambiant qui tourne de son esprit. Malheureusement, il a toujours un peu de mal à s'arrêter et, il devient encore plus mauvais avec les dames après avoir descendu quelques pintes, lui coupant tout espoir d'un jour pouvoir rencontrer la femme parfaite.
( 07 )Pouvoir étudier à Harvard est une bénédiction pour lui. Outre le fait d'être dans une école si prestigieuse, pouvoir être si loin de chez lui où personne, ou presque, ne le connaît le rend sincèrement serein. Ne pas avoir à réfléchir si les gens savent qui il est, ne pas avoir à déceler les idées derrières la tête de tous ceux avec qui il parle, cela ne rend particulièrement heureux et, le retour au pays qui arrive petit à petit a tendance à le terrifier.
( 08 )Pourquoi la psychologie ? Et bien, ce qu'il a dit à son père, c'est qu'il s'agissait d'une discipline importante et utile pour ses futurs devoirs, être capable de comprendre comment l'autre réfléchit pouvait être une arme efficace, que cela soit pour négocier, marchander ou imposer ce que l'on voulait. Aux curieux, Abel a tendance à dire qu'il veut aider les gens et, s'il peut comprendre comment ils réfléchissent et voir ce qui les ronge de l'intérieur, cela ne serait que bénéfique. Chose qui n'est pas tout à fait faux. La vérité c'est qu'il espère que cela puisse l'aider à lire à travers les sourires et les jolis mots des gens, de ne plus se faire avoir sur leurs intentions mais aussi de savoir à qui l'on pouvait faire confiance ou non.
( 09 )Appréciant le rock anglais en cachette depuis son adolescence, notre ami aimerait sincèrement pouvoir apprendre à jouer d'un instrument un jour, de la guitare, de la basse ou même de la batterie. Il sait un peu chanter mais, ses talents et sa voix semblent loin, très loin de pouvoir servir pour un rôle de chanteur dans un groupe.
( 10 )Le fait de ne jamais savoir à qui il pouvait se confier, s'ouvrir ou même espérer que ses échanges puissent être sincères, l'enferma un bon moment dans une profonde solitude. Ne sachant quoi faire avec les gens, Abel préféra s'isoler, espérant que cela puisse l'aider mais, malheureusement, cela ne fit que le faire dépérir plus encore, nourissant toujours un peu plus cette dépression qu'il traînait depuis des années. Par chance, son arrivée dans le Nouveau Monde l'aida à aller mieux de ce côté même si, de temps en temps, des pensées peu joyeuses viennent toquer à la porte, lui promettant une vie solitaire entourée de vautours.
Les anecdotes
- ( 01 )ANECDOTE_ICI
- ( 02 )ANECDOTE_ICI
- ( 03 )ANECDOTE_ICI
- ( 04 )ANECDOTE_ICI
- ( 05 )ANECDOTE_ICI
- ( 06 )ANECDOTE_ICI
(Invité)
maintenant, j'ai qu'une envie c'est voir la suite. 
qui ne tente rien n'a rien. 
on se fait un petit rp du coup ?
