falling for you (maxiver)

falling for you boston

@River Lockhart ; @Maximoff Cardale-H.

dimanche 12 mars, vers 14h

il atteins le hall de l'hôtel avec de l'avance, une quinzaine de minutes d'avance. il a été manger avec des amis mais il n'a pas ingéré grand chose au final, une boule s'étant logée dans son estomac, lui coupant nettement l'appétit. passer un moment avec river ne devrait pas l'angoisser. ça n'a jamais été le cas jusqu'ici, ou si. peut-être un peu lorsqu'après leur mariage éclair à vegas il a finit par la confronter, la poussant à lui parler et se confronter à la réalité les concernant. il avait une boule au ventre également ce jour-là, une boule qui a grossit, grossit, avant de s'éclipser presque instantanément à la seconde où ils sont tombés dans les bras l'un de l'autre. est-ce qu'il va en être de même aujourd'hui ? est-ce qu'ils vont parler, tomber dans les bras l'un de l'autre. une pensée qui le remplit d'un mélange d'appréhension et d'excitation. les signaux semblent au vert après la brève conversation qu'ils ont eut quelques semaines plus tôt sur boston, mais maximoff n'en est pas moins un peu tendu, son corps long et fin tout en lignes un peu trop rigides alors qu'il se pose dans un fauteuil où il attend, où il l'attend. il sort son portable de la poche de son short, déverrouille l'écran, va d'applis en applis, ses yeux scannant distraitement l'écran. il veut juste qu'elle arrive et elle ne devrait plus tarder. un regard empreins de nervosité vers le haut de l'écran de son smartphone lui indique 14h. ce n'est plus qu'une questions de secondes maintenant, du moins il l'espère.

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@Maximoff Cardale-H. ; @River Lockhart

dimanche 12 mars, vers 14h

Un peu plus tôt dans la matinée tu avais pu profiter des premières vagues pour quelques figures de surf. Bien évidemment, tu avais agis avec prudence suivant les recommandations de Elias au niveau de la rééducation mais surtout pour ne pas inquiéter davantage tes proches. Il devait être aux alentours de dix heures du matin lorsque tu as proposé à Maximoff de passer un peu de temps ensemble. Tu pourrais essuyer un refus, tu l'aurais compris après tout vous ne vous êtes pas reparler depuis la dernière fois. Pour autant vous avez quelque peu échangé sur la toile mais tu sais que le jeune homme est franc. S'il ne voulait pas te voir, il te l'aurait dit ou du moins te l'aurait fait comprendre. Loyd t'avait proposé d'aller magner dans un petit restaurant local et pas cher et bien entendu tu as répondu par la positive. L'angoisse t'a quelque peu  tenu l'estomac durant le repas et tu n'as su apprécier ce dernier à sa juste valeur. Passé 13h30, ton meilleur ami t'informe qu'il doit retrouvé des amis à lui. Il te propose de te joindre à lui mais tu déclines en lui disant que tu as d'autres projets pour la fin de la journée. Tu remontes l'artère principale menant à l’hôtel prenant plaisir de voir les habitants aussi rayonnant et joyeux. Le trajet fait un petit bout à pied mais c'est agréable et c'est sur une note apaisée que tu rejoins le hall d'entrée de l’hôtel.  Une fois à l'intérieur, tu aperçois Maximoff assis sur l'un des fauteuils, le regard plongé sur son téléphone. Tu souris car son visage exprime une vulnérabilité qui t'a toujours charmé.  « Coucou ! Je t'ai pas trop fait attendre j'espère ? ».

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@River Lockhart ; @Maximoff Cardale-H.

dimanche 12 mars, vers 14h

il s'occupe les mains comme il peut, commence à scroller sur meetsa, à aller d'applis en applis sans que son attention ne parvienne a être vraiment contenue. toutes ses pensées filent plus que jamais vers river. une minute qui s'égrène, puis deux. il lève la tête, balaie des yeux le hall et la trouve devant lui. voilà, l'attente est finie. machinalement un sourire éclos sur ses lèvres, matchant celui arboré par son ex. il ôte ses fesses du fauteuil, se met debout. « coucou ! je t'ai pas trop fait attendre j'espère ? » il secoue la tête. « non, t'inquiètes, c'est moi qui suis arrivé en avance. » il réduit d'un pas l'espace entre eux, l'embrasse sur la joue. son coeur s'emballe un peu c'est plus fort que lui et il se sent un peu gauche quand il se recule, mal à l'aise, divisé entre ce qu'il pense qu'il conviens de faire et ce qu'il veut faire. il voudrait que ce soit plus simple, plus évident, mais si ses sentiments pour river se sont vite révélés suffisamment clairs à ses yeux, la simplicité en elle-même, elle, n'a jamais caractérisé leur relation. si cela avait été le cas, s'il n'y avait pas eut cet amas persistant de complications entre eux, il aime à penser qu'ils n'auraient jamais rompu pour commencer.  « comment tu vas ? »

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@Maximoff Cardale-H. ; @River Lockhart

dimanche 12 mars, vers 14h

L'anxiété et le plaisir de le revoir s'entremêlent en un concentré que tu n'as connu qu'avec lui. Étrange à dire mais pourtant une véracité pour toi. Lorsque tu arrives dans le hall de l'entrée, tu l'aperçois assis sur un des fauteuils, ses yeux plongés sur l'écran de son portable. D'une voix enjouée et douce à la fois, tu attires son attention, sourire aux lèvres. « non, t'inquiètes, c'est moi qui suis arrivé en avance. ». Tu hoches positivement, au moins tu ne l'as pas fait trop attendre. Tu n'as pas le temps de réaliser le moment où il se lève pour venir vers toi et déposer un baiser sur la joue que ton myocarde s’anime avec force à nouveau. Tu remarques combien lui aussi est troublé tant par votre proximité que par la situation qui le rend certainement indécis. Les émotions que tu nourris à son égard, tu les as partagé avec lui lorsque vous vous êtes vu l'autre jour mais tu sais qu'il a aussi ses soucis et tu ne veux pas en rajouter. Tu veux que la fluidité règne entre vous à l'image de cette simplicité qui aurait toujours dû être. « comment tu vas ? ». Physiquement ton corps reprend doucement et la tonicité semble gagner en appui selon Elias donc dans l'ensemble pas trop mal. L'état moral est plus nuancé mais tu y vois le bon coté, c'est le plus important. « Bien, et puis difficile de dire le contraire en étant ici et toi ça va ? ». Après tout, tu imagines aussi que ce petit voyage est pour lui un moyen de souffler un peu. Tu espères seulement, ne pas être une entrave à son bien être … « En tout cas, c'est gentil de vouloir … enfin de passer un peu temps avec moi. ». Le sourire qui se dessine sur ton visage est sincère et emplit de remerciement. « C'est parti ? ». Une interrogation que tu mêles à la gestuelle puisque que tu prends sa main droite dans la tienne pour sortir de l’hôtel. Un geste naturel qu'il peut réfuter, tu ne lui en voudrais pas de toute manière.

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@River Lockhart ; @Maximoff Cardale-H.

dimanche 12 mars, vers 14h

son regard glisse sur son bras avant de s'aimanter à nouveau au sien. il s'inquiétera toujours de comment elle va. ce n'est pas une formalité son « ça va? ». ce n'est pas ce quasi tic de langage, utiliser pour meubler une conversation. elle compte pour elle, elle a toujours compté, même quand il aurait tellement plus simple de n'éprouver pour elle qu'une affection toute fraternelle ou encore une sorte de désintérêt. mais il n'a pas prise sur son coeur, pas plus qu'elle n'a de prise sur le sien. certaines choses ne peuvent tout simplement pas être contrôlées et ce qu'il y a entre eux rentre dans cette catégorie. « bien, et puis difficile de dire le contraire en étant ici et toi ça va ? » il acquiesce. c'est clair qu'en plein sb, à punta cana, il n'y a vraiment pas de quoi se plaindre. « ça va bien, oui » toujours cette gêne entre eux, ce chaos de non-dit et comme il voudrait trancher dans le vif, faire voleter d'un grand mouvement toutes les barrières qui se dressent encore. pourquoi il ne le fait pas ? il ne saurait trop le dire. sans doute que la peur le retiens. la peur de causer des dégâts, de trouver le moyen d'empirer la situation. la peur de se brûler les ailes, de porter un nouveau coup décisif à son coeur et à celui de river. la peur aussi d'être repoussé, d'avoir tout faux, de mal interpréter... c'est le chaos dans sa tête. « en tout cas, c'est gentil de vouloir … enfin de passer un peu temps avec moi. » il lui sourit en retour mais y a quelque chose dans la formulation qui le dérange. c'est gentil. ça laisse presque entendre qu'elle s'imagine que ça exige de lui un effort de se tenir ici, qu'il s'agit d'un acte de pur générosité. est-ce qu'il dégage de la froideur, est-ce qu'il cherche implicitement à la faire mariner, est-ce que c'est ce qu'elle s'imagine, qu'il la teste d'une façon ou d'une autre ? il réfléchit trop. il sur-analyse tout. « c'est parti ? » il acquiesce. « go! » il s'est connu plus loquace. elle lui prend la main et il la laisse faire, avançant de concert avec elle vers les portes vitrées de l'hôtel. « t'as envie de faire quoi ? » qu'il lance rapidement en passant la porte, soucieux d'animer de son mieux la conversation.

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@Maximoff Cardale-H. ; @River Lockhart

dimanche 12 mars, vers 14h

Les silences sont parfois éloquents tout comme peut l'être une gestuelle. Tu connais Maximoff depuis des années, tu as appris à le connaître en tant qu'ami puis petit-ami – pour ne pas dire mari. Seulement aujourd'hui, l'un comme l'autre vous ne savez plus réellement comment vous comporter. Il est aussi hésitante que tu peux l'être, un peu perdu tous les deux quand bien même la vérité, l'envie est présente pour toi. Alors tu es maladroite dans tes mots très certainement parce que tu as peur d'être peut être trop envahissante, d'avoir l'impression de trop lui demander. Tu sens que tes propos le font tiquer sans doute n'as-tu pas employé les bons mots. Alors tout naturellement tu prends sa main dans la tienne tandis que vous passez la porte principale de l'hotel.  « t'as envie de faire quoi ? ». une question à laquelle tu as songé une petite partie de la matinée. Nombreuses sont les activités à faire aux alentours de Punta Cana et c'est certain vous aurez l'occasion de faire tout plein de chose. « je me disais qu'on pourrait faire un petit tour pour aller observer les mammifères marins ? ». Lui demandes-tu un sourire malicieux et étincelant tout en attendant sa réponse. Votre rythme de marche est tranquille même si tu imagines qu'intérieurement nombre de question bouillonnent tant pour lui que pour toi. « Mh … au fait … je suis désolé pour tout à l'heure si je t'ai donné l'impression de ne pas avoir employé les bons mots. J'imagine que la situation n'est pas simple je le comprends bien et je suis maladroite comme tu le sais … surtout … surtout lorsqu'il s'agit de … ». Bien évidemment, tu rougis encore parce cela est toujours le cas lorsqu'il s'agit du jeune Cardale et encore plus lorsque vous avez mis les choses au clair il y a plusieurs mois, au tout début de votre relation. Tu songeais à l'époque que tu n'étais pas son type, pas à la hauteur car après tout tu étais la petite sœur de son ancien ami. Pourtant, tu t'es trompé sur toute la ligne, complètement. Il te voyait et t'a toujours vu telle que tu es vraiment, avec ses yeux. Des yeux dont tu apprécies l'authenticité et qui te charment à chaque fois. « … Mais on peut faire autre chose, ce n'était qu'une idée … mais peut être que tu as déjà été là bas ? ».

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@River Lockhart ; @Maximoff Cardale-H.

dimanche 12 mars, vers 14h

il essaie de se détendre, de venir à bout de la raideur qui caractérise son corps, de se rassurer du contact de la main de river dans la sienne. « e me disais qu'on pourrait faire un petit tour pour aller observer les mammifères marins ? » elle lui offre un sourire lumineux, absolument craquant et qu'il lui rend presque instinctivement. un sourire qui appelle à sourire. il est sur le point de lui répondre, d'acquiescer, mais elle lui coupe l'herbe sous le pied, rouvre la bouche avant qu'il n'ait le temps de le faire. « mh … au fait … je suis désolé pour tout à l'heure si je t'ai donné l'impression de ne pas avoir employé les bons mots. j'imagine que la situation n'est pas simple je le comprends bien et je suis maladroite comme tu le sais … surtout … surtout lorsqu'il s'agit de … » elle se met à rougir et il sent que ses joues rosissent aussi. il regrette de la mettre mal à l'aise. il regrette d'être mal à l'aise. ça bouillonne en lui et il sent que la réciproque est toute aussi vraie. il réfléchit trop, il a du mal à se lâcher car c'est important, elle est importante. et il a peut-être l'occasion d'enfin sauver les meubles. de réparer ce qui a été amoché, brisé, de retrouver la fille qu'il croyait placé à jamais hors de sa portée. ce n'est pas rien et ça incite à la réflexion forcément. « … mais on peut faire autre chose, ce n'était qu'une idée … mais peut être que tu as déjà été là bas ? » il secoue la tête, lui offre un sourire plus doux, dans lequel pointe une excuse. car il ne veut pas rendre les choses difficiles. il veut passer un bon moment avec elle, prendre ce qu'il y a à prendre. « j'y suis jamais allé non et ça me va très bien. ça me rappellera la maison » il referme la bouche et quelques secondes passent avant qu'il ne se rappelle que ça fait des mois qu'il n"a pas eut de conversation de plus de quelques minutes avec elle, qu'elle n'est pas au courant des derniers évènement de sa vie et qu'elle ne peut pas comprendre pourquoi se rendre dans un aquarium le rapprocherait de sa vie à boston. alors il reprend la parole pour fournir une explication. « j'ai pris un job à l'aquarium l'an dernier » qu'il a trouvé le moyen de pas perdre malgré les semaines passées en californie. faut dire que quand il est là-bas, il fait plutôt du bon boulot, sérieux et appliqué comme il sait l'être.

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@Maximoff Cardale-H. ; @River Lockhart

dimanche 12 mars, vers 14h

Retrouver le contact, rien que sa main dans la tienne c'est comme recouvrer l'ancre qui t'apaise. Jusqu'alors, tu n'en as jamais eu besoin jusqu'à ce que tu prennes conscience de la réalité où tu avais des sentiments pour Maximoff. Ce dernier est important pour toi, il est le seul – pour ne pas dire le premier – pour lequel ton myocarde bourdonnement ta poitrine. Alors tu t'excuses d'être si maladroite, de ne pas avoir forcément les bons mots … tu sais qu'il s'en veut aussi mais ce n'est pas ce que tu veux. Ce que tu souhaites, c'est qu'il soit heureux et que vous soyez à l'aise l'un envers l'autre. Ce n'est pas facile pour lui comme pour toi mais tu acceptes avec joie et plaisir ce qu'il t'offre. Le sourire qu'il te rend est sincère, lumineux, charmant. À songer ainsi, tu imagines que tes amis diraient que tu es ridicule mais tu t'en fiches bien. C'est que tu ressens et tu ne t'en caches pas même si tes joues s’empourprent et que tu es maladroite, à l'opposé de l'assurance que tu peux avoir lorsqu'il de danser, de flirter avec les vagues sur ta planche de surf ou encore de te mouvoir sur le piste de roller derby. Tu lui proposes alors d'aller observer les mammifères marins en espérant qu'il ne s'y soit déjà pas rendu – au pire vous ferez autre chose, ce n'est pas ce qui manque à Punta Cana. « j'y suis jamais allé non et ça me va très bien. ça me rappellera la maison ». Tu fronces un brin les sourcils avant de saisir que peut être il y a eu des nouvelles dans son existence. Et oui, le temps a filé depuis votre rupture et son départ … tu souris néanmoins, attentive à l'écoute de tout ce qui le concerne.  « j'ai pris un job à l'aquarium l'an dernier ». Tu comprends mieux alors pourquoi cela lui rappellerait « la maison ». Tu hoches lentement la tête avec de t'exclamer fort intéresser. « Ah je comprends mieux ce que tu voulais dire, ça devait être super intéressant, non ? ». Tu sais que Max est une personne impliqué et dévoué à tout ce qu'il entreprend et surtout ceux en quoi il croit. « Du coup, tu connais déjà un peu le sujet … ». Ton sourire ne disparaît aucunement de ton visage, au contraire il est constant et apaisé à la fois, comme à chaque fois lorsque tu es en sa compagnie. Après quelques minutes de marche vous arrivez enfin devant le grand observatoire de la ville. Ton regard se perd sur vos mains jointes et serres tout doucement et tout naturellement sa main. « Je suis contente d'être ici avec toi. ». Lui dis-tu d'une voix véridique et profonde à la fois.

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@River Lockhart ; @Maximoff Cardale-H.

dimanche 12 mars, vers 14h

« ah je comprends mieux ce que tu voulais dire, ça devait être super intéressant, non ? » disons surtout que ça change des petits boulots qu'il a déjà eut à son actif et c'est toujours rafraichissant de voir autres chose. et puis il a toujours aimé les animaux, même s'il passe parfois des jours sans en approcher un. « c'est sympa oui » qu'il lui confirme en continuant à marcher.  « du coup, tu connais déjà un peu le sujet … » elle continue de lui sourire et il en va de même pour lui, en dépit de la tension pas tout à fait délogée de ses épaules. même s'il est un peu raide, anxieux, mal à l'aise, ne sachant pas tout à fait se conforter, la présence de river à ses côtés est franchement familière. il se sent en sécurité auprès d'elle. à sa place, comme si un morceau délogé depuis des mois avait retrouvé sa place à l'intérieur de lui. c'est agréable, bien sûr, mais là aussi c'est encore un peu effrayant. il n'a pas envie de repasser par ce qu'il a déjà traversé. une partie de lui répugne à s'exposer à la peur de la perdre à nouveau, là où l'autre ne brule à l'inverse que de se jeter à l'eau. de prendre ce qu'il veut prendre, de faire ce qu'il veut faire. « je suis encore loin de pouvoir prétendre au rôle d'encyclopédie marine, mais je te ferais profiter de mon savoir avec plaisir » qu'il lâche gentiment, l'affection qu'il lui porte lisible dans sa voix. ils finissent par arriver sur place et marquent un temps d'arrêt. le regard de maximoff balaie les lieux avant de descendre sur sa main toujours logée dans celle de river, quand cette dernière applique une légère pression de ses doigts.  « je suis contente d'être ici avec toi » son regard s'enracine dans le sien et une montée d'émotion lui arrache un soupire de soulagement. il est content aussi. vraiment content. même si une lutte interne s'opère encore en lui, même s'ils ne seront peut-être pas capables de retrouver exactement la relation qu'ils ont eut avant que tout s'écroule... il est content malgré tout. car elle est là, à côté de lui, sa main dans la sienne, et c'est déjà beaucoup. « je suis content aussi » il lâche sa main à seule fin de l'attirer contre lui. une rapide étreinte, chaste et amicale, du moins en théorie. car chastes et amicales, ses pensées la concernant ont cessées de l'être voilà bien des années.

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@Maximoff Cardale-H. ; @River Lockhart

dimanche 12 mars, vers 14h

Tout en marchant jusqu'à l’observatoire des mammifères marins, tu comprends que beaucoup choses ce sont passés du coté de Maximoff. Une partie de toi est heureuse de savoir qu'il a continué à avancer mais tu sais aussi pourquoi il l'a fait. C'est dans sa nature d'aller de l'avant, il l'a toujours fait. Tu te souviens encore les nombreuses fois où il était dans le coin lorsque tu rentrais tard des entraînements alors que tu étais encore adolescente. Il te disait qu'il était dans le coin par hasard, vous marchiez alors ensemble jusque chez toi en passant prendre une boisson sur le chemin. Ce souvenir est toujours présent à ton esprit alors qu'il te confirme que c'était sympa de bosser à l'aquarium. « c'est sympa oui ». Tu hoches la tête, toujours se sourire sincère et lumineux inscrit sur ton visage alors que tu constates qu'il doit en savoir un peu plus sur le sujet. « je suis encore loin de pouvoir prétendre au rôle d'encyclopédie marine, mais je te ferais profiter de mon savoir avec plaisir ». L'expression solaire avec laquelle il te considères fait battre un peu plus fortement ton myocarde et heureusement que ce dernier résonne en fond de poitrine, sinon il y aurait de quoi gêné. Devant l'observatoire, tu t'arrêtes un instant, pressant doucement la main du jeune Cardale dans la tienne avant de lui dire combien tu es heureuse qu'il soit avec toi. Ses iris captent les tiennes et tu ne manques rien de ce spectacle qu'offre son regard bien au contraire. Tu sais que l'on ne peut pas revenir en arrière, mais tu te dis que c'est déjà énorme tout ce que vous vivez en ce moment tous les deux et pour toi c'est le plus important.  « je suis content aussi ». Les sont les mêmes, l'émotion monte d'un cran lorsque le tambourinement de ton cœur se manifeste à nouveau. Sa main lâche la tienne pour t'attirer contre son corps en une étreinte que tu sens rapide certes mais avec une signification particulière. Le sentiment intérieur est un duel sans doute. Tu es surprise sur le coup car jusqu'à présent c'est toi qui initié le contact. La sensation de cette proximité est perturbante mais surtout apaisante comme si le cœur était complet à nouveau. Tu le serres dans tes bras quelques secondes trop courtes à ton goût avant de reculer d'un pas, ta main droite sur sa joue. Les rougeurs de la timidité mais le sourire d'une force profonde t'anime à la fois et tu le considères avec un regard qui signifie beaucoup  - même s'il demeure silencieux. « J'ai les tickets d'entrée, je les ai pris avant de te proposer l'idée … on évite la file d'attente pour le coup ! ». Lui dis-tu en souriant tout en glissant à nouveau ta main dans la sienne, marchant vers l'entrée des lieux.

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