@Valentin Rothschild | (05.03.23) Dimanche, journée où je passe mon temps à dormir et regarder des films pour me remettre. Entre mes heures de nuit au Nirvana, mon job du moment comme femme de chambre et la fac je suis épuisée. Boulot terminée à dix heures, j’ai pas bouger de chez moi. L’appartement est vide, ils ont tous filé et en même temps ça me dérange pas. Prise dans ma nouvelle série, j’enchaîne les épisodes, je veux que le temps avance vite. Je sais que tu dois passer me voir et ça fait deux jours que j’attends. Tu m’as retourné la tête l’autre soir. Sensations que mon corps n’a pas oublié. Quand je lève les yeux vers l’horloge, il est dix huit heures trente. Je me redresse en panique. Bordel, je sais même pas à quel heure tu es censée arriver. Je me dépêche de ranger un minimum mon bazar et je file sous la douche. La douche me fait un bien fou, bien qu’elle ne m’aide pas à zapper les images de l’autre soir. Je vais opter pour une douche un peu plus froide. Je sors enfin au bout d’une vingtaine de minutes et quand je vais dans ma chambre j’entends qu’on frappe à la porte. Bordel de merde je suis en serviette. Je me mords la lèvre et je décide d’y aller au culot. Je vais ouvrir et je te regarde. — « Avoue que tu l’as senti que j’étais nue. » dis je avec malice alors que je me pousse pour te laisser entrer, tenant ma serviette contre moi. Regard qui glisse sur toi et ton regard. Plus beau en vrai que je me mets à penser. — « Bon retour chez toi. » je souris en faisant allusion à ton retour des Bahamas.
@Esmée Bourgeois | (05.03.23) dimanche soir. je viens à peine de rentrer des Bahamas, validé balancé sur le le lit, douche prise en vitesses, que je suis déjà sur la route. j'ai sauté dans la spider pour me diriger vers chez toi. une fois garé je monte les marches deux part deux jusqu'à ton appartement. je frappe à la porte et je n'ai besoin d'attendre que quelques secondes avant que tu viennes m'ouvrir... en serviette, les épaules encore un peu mouillés. si j'avais su je t'aurais surtout proposé de prendre une douche avec moi. vu que je viens aussi de prendre la mienne. petit clin d'oeil avant d'entrer chez toi. merci j'me débarrasse de mon bombers de mon équipe de football américain que je pose sur le dossier d'un chaise. je me retourne et m'approche de toi avant de chasser du bout de mon doigt, les gouttes d'eau qui trônaient sur ton épaule. tu sais que tu vas pas la garder longtemps que j'ajoute en fixant la serviette.
@Valentin Rothschild | (05.03.23) je ne tarde pas à venir t’ouvrir alors que je ne suis même pas habillé. je recule pour que tu entres et je souris en ne te quittant pas des yeux. — « je pense que j’aurais volontiers accepté ta compagnie. » je ferme la porte alors que tu passes près de moi. je sens déjà la tension entre toi et moi. évidemment je me remémore notre appel et je me dis qu’il ne faudra pas beaucoup de temps avant que je ne craque. d’ailleurs, tu me fais face tes doigts qui glisse sur mon épaule. je te regarde fixement, corps qui réagit instantanément. — « il ne tient qu’à toi de la retirer. » je me mords la lèvre en te regardant droit dans les yeux. je comble le vide entre nous et mon corps se colle au tient. les gouttes d’eau de mes cheveux qui tombent contre ton haut. mes doigts qui glisse sur ton torse et descendent vers ton pantalon déjà prête à te le retirer quand tu donneras le départ des hostilités.
@Esmée Bourgeois | (05.03.23) merde tu vas me faire regretter de ne pas avoir proposé que je lâche en souriant. c'est pas grave, on va se rattraper et la prendre plus tard cette douche. quand on aura bien transpiré l'un contre l'autre. et quand je pense à notre appel, je me dis que clairement, on va passer un excellent moment, j'en suis persuadé. je me plante devant toi après avoir retiré mon blouson, parcours ton corps de mon regard émeraude, m'attarde sur les zones que je voudrais deviner sous ta serviette. mes doigts glissent sur ton épaule pour chasser les dernière gouttes d'eau qui s'y trouve. ton corps vient se coller contre le mien, l'eau de tes cheveux qui perlent sur mon t-shirt.
@Valentin Rothschild | (05.03.23) sourire au coin de mes lèvres quand j’imagine la douche que l’on aurait pu prendre. ce n’est que partie remise. c’est fou l’effet que tu me fais. je comprends pas pourquoi c’est si facile de perdre tout mes principes quand tu es près de moi. aucun autre homme ne m’avait fait autant d’effet. il suffit que tu me regardes de cette façon, que tes doigts me touchent pour que je sente cette flamme dans mon bas ventre. corps qui se colle contre le tien, déjà l’envie de sentir ta peau contre la mienne.
Accueil