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(( wittham )) let me happen to you

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 @Dusty Burnham  let me happen to you
nouveau rythme à adopter, ces balades quotidiennes aux côtés de stan, ce petit husky qui t'avait fait les yeux doux au séjour de ski. et l'cœur de chamallow que t'étais n'avait pas su résister. sans aucun regret. c'était sans aucun doute l'addition qui manquait pour apaiser tes négativités de ce début d'année. comment ne pas s'émerveiller de l'innocence de cette petite chose ? même restreint par sa laisse, stan accourait vers chaque passant, les renifle joyeusement avant d'exiger des caresses de quelques coups d'aboiements. malgré tes excuses, les passants s'exécutaient bêtement heureux. c'était foutu, le chiot allait déjà régner ton monde, tu le savais. et pour bien confirmer et accentuer ta pensée, stan s'excita d'un coup, tirant brusquement sur sa laisse, te prenant par surprise. la dite laisse s'échappe de ta main et l'animal à quatre minuscules pattes te distança dans une course d'une vingtaine de mètres. tes cris pour le rattraper résonnèrent dans le parc, avant qu'ils ne s'arrêtent - rattrapant le chien, bien occupé sous les caresses et flatteries d'une jeune femme. brune. - bordel, stan ! mini gueulante contre le canidé avant de te tourner vers, visiblement, sa nouvelle meilleure amie. - je suis vraiment désolé, il m'a échappé des mains- et il est assez.. rapide ! comme le témoigne ton souffle saccadé par ta petite course improvisée. - j'espère qu'il ne vous a pas fait trop peur.
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 @Eren Wittgenstein  let me happen to you
passerelle entre ta vie chargée d'étudiante, et celle de barmaid dans le bar de ton père. deux tabliers qu'il ne t'a jamais dérangé de porter toutes ces années, ça te paraissait normal d'aider ton père dans son boulot. sans se mentir, travailler derrière le comptoir t'as aussi permis de rencontrer du monde à boston. cette double casquette avait toujours été très saine, pas de débordements, ton père était un gars cool et réglo. pas de trucs sombres et bizarres à déclarer. sauf que ces derniers temps, la casquette "nuit" était de plus en plus difficile à porter. l'inquiétude qui monte en flèche quand il ne répond pas dans les dix minutes après ton message. comme maintenant. tu prends le temps de t'aérer l'esprit avant de te terrer derrière les tireuses à bière, mais tu peux pas t'empêcher d'être sur de ne pas le trouver dans un état minable en arrivant sur place. les doigts dans la bouche pour te ronger les ongles face au stress, le coeur qui s'emballe, tu la sens arriver. ta vieille amie, l'angoisse. mais elle devra attendre. un autre ami se décide à la chasser celle-là, à coup de secousses dans les jambes et quelques aboiements. ce petit être réussit à t'arracher un sourire, alors que tu t'accroupis pour le caresser. un grand brun débarque essoufflé, et tu souris en entendant le prénom du chien. ça te rappelle quelqu'un. qui a fui loin d'ici tiens. – j'vois ça.. y a pas de soucis ! t'efforce-tu à peine d'un rire. – il faut pas semer ton maître comme ça stan... ça le fait pas trop après pour se la raconter au parc.. tu souris, te relevant en attrapant soigneusement la laisse de stan. – non du tout. j'ai connu plus effrayant qu'un petit monstre court sur pattes, ris-tu, tendant la laisse au maître du chien que tu prends le temps de scruter légèrement.  
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 @Dusty Burnham  let me happen to you
évidemment, l'éducation du chiot ne se fera pas en claquement de doigts. mais t'avais été on ne peut plus étonné de la fougue qu'il venait de démontrer pour rencontrer la jeune femme dont tu faisais face à présent. depuis que tu l'avais récupéré, il n'avait été que très docile et calme, sans compter l'excitation en continu d'un nouveau né mais rien d'alarmant. et l'premier écart - sûrement d'une longue lignée - devait se dérouler en public, évidemment. d'autant plus, sous le regard d'une brune loin d'être déplaisante à observer.   - encore désolé ! que tu te confonds encore une fois en excuses, retrouvant petit à petit ton souffle et la laisse de stan. une partie de toi relève le léger rire cristallin et les sourires contagieux de ta rencontre mais les jappements du chiot rattrapent tes pensées; tu tentes de le maîtriser à tes pieds.   - j'sais pas ce qui lui a pris au p'tit monstre court sur pattes, il est habituellement calme.. la grimace se tord sur tes traits comme un parent qui justifie le comportement inhabituel de son gamin. - il perd p't'être le contrôle au vue d'une jolie fille. un peu comme toi. qui te gifle intérieurement dès l'instant où le credo cliché et ringard sort de ta bouche. en plus, elle te regardait. si tu n'avais pas déjà les joues rosies par l'intensité de ta courte course qui avait forcé ta cheville fraîchement remise d'une entorse, l'regard en biais qu'elle te lançait t'aurait rendu écarlate.   - hm.. ça sonne comme si j'avais monté tout un plan bancal avec mon chien pour vous aborder alors que c'pas du- tu l'avais observé pendant ta tirade nerveuse, vraiment observé et outre le fait qu'elle était fichtrement belle, un détail fait hic et te fait stopper dans ton monologue. - on s'est pas déjà vu quelque part ? non, c'était vraiment pas une autre tactique de drague, son visage t'était réellement familier.
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 @Eren Wittgenstein  let me happen to you
le jeune homme se confond en excuse et toi ça te fait sourire. s'il se doutait que l'incartade de son chiot t'avait sauvé d'une embarrassante crise d'angoisse en public. celles qui te prennent au plus profond de toi et qui ne te lâchent plus. la catastrophe avait été évité et on pouvait remercier ce petit stan. beau comme tout. comme son maitre, d'ailleurs, qui semble laisser échapper un compliment que tu prends vite pour une maladresse. les sourcils légèrement froncés, la tête penchée sur le côté, t'essayes de percer le mystère. est-ce qu'il est sérieux ou non ? joue-t-il à fond le cliché du type qui se sert de sa boule de poil domestique pour amadouer des cibles dans un parc ? ou alors... au vu de ses pommettes qui rougissent à vue d’œil, ce n'était pas contrôlé. tu hausses les sourcils, esquissant un sourire mi moqueur mi amusé quand il essaye de se justifier. tu t'apprêtes à le couper pour l'empêcher de continuer à s'enfoncer, mais il se stoppe lui même, t'observant de façon plus insistante. tu n'es pas surprise par sa question. toi aussi, son visage t'était familier et tu essayais de te rappeler d'où son air familier te venait. – deux approches très originales à ce que je vois... lâches-tu pour le taquiner.  – je te taquine, désolé. tu n'avais pas pris la précaution de le vousoyer comme il le faisait avec toi, ça te donnait un air de grande dame et t'aimais absolument pas ça.  – je m'appelle dusty.. et je - ça te revient. tu revois sa tête fatiguée, affalé dans le canapé de la kirk avec ton pote sully. évidemment.  – oh ! t'es le coloc de sully à la kirk, non ? ou alors tu faisais complètement fausse route. mais non, ce mec te rappelait trop quelqu'un et c'était d'ailleurs réciproque.
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 @Dusty Burnham  let me happen to you
au fur et à mesure qu'elle te scrutait, ton teint devint plus en plus rouge. ses sourcils froncés face à tes explications sur cette approche involontaire accentuait ta gêne, le désarroi sur tes traits. puis elle acheva délicatement le supplice en te donnant envie de t'enterrer environ six pieds sous terre quand elle prit parole, accusant tes intentions sur votre altercation. - non non mais- réflexe, t'essaies tout de même de contester pour sauver ta peau avant qu'elle ne t'arrête derechef, visiblement dans la dérision. oh. la bouche figée en un 'o', t'hésites quelques secondes avant de t'autoriser à souffler de soulagement. du coin de l'œil, tu vis stan sagement assis, vous observant l'air curieux et heureux - un chien quoi et t'hésitais encore entre le gronder ou le féliciter une fois que vous serez rentrés à l'appart. pour l'instant, t'étais plutôt parti sur le second choix, toujours scruté par la brune - et réciproquement, tu ne la quittais pas du regard, recherchant véhément dans la base de données de ta mémoire un faciès qui lui ressemblait. avant que tu puisses trouver l'aiguille dans la botte de foin, elle t'arrache l'herbe de sous le pied, se présentant et annonçant simultanément le contact en commun que vous aviez. - oh, ohhhh ! je savais bien que tu m'étais familière ! abandon du vouvoiement à son image, maintenant que la conversation était un peu moins formelle. - une pote à sully donc.. dusty comme la dusty à la kirkland ? la dusty qui m'a déjà vu et croisé dans mes pyjamas les plus douteux dans la chambre ? cool cool cool cool cool, tu marquais déjà des points en moins. - aucune chance que j'te demande d'oublier tout ce que t'as vu pour préserver  un minimum d'ma dignité par hasard ? tu te passes une main dans les cheveux, hésitant entre grimace et rire nerveux.
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 @Eren Wittgenstein  let me happen to you
tu pouvais aisément deviner à son malaise que non, il ne s'agissait pas d'une piteuse technique de drague comme on en voyait dans les films. si tu faisais preuve d'honnêteté, ça ne t'aurait pas vraiment dérangé. un secret pour personne, t'aimes être courtisée, sentir qu'on s'intéresse à toi, que tu plais. t'as même tendance à t'accrocher trop fort à la simple idée de plaire à un homme. jusqu'à accepter tout et n'importe quoi, mais passons, ce n'était pas le cas ici. l'air concentré, il semblait chercher d'où tu lui étais familière et tu réussis finalement à mettre le doigt dessus en premier. sully. sully était le point de contact. – hum.. maintenant que tu le mentionnes, je me souviens bien de celui avec des petits dinosaures... sourcils froncés, tu sors même ton téléphone de ta poche. – laisse moi deux secondes, j'crois bien que j'ai une photo de ce jour-là en plus..., faisant mine de chercher, tu te retiens de ne pas rire devant son air inquiet. tu fais durer le suspens quelques secondes de plus rien que pour le plaisir avant de finalement hausser les épaules. – hé ! c'est ton jour de chance. introuvable. mais en tout cas, comme je m'en souviens pas, ça me donne envie de voir ça de mes propres yeux ! l'air plaisantin, tu ranges ton téléphone dans la poche de ta veste avant de baisser les yeux vers le mignon petit husky à vos pieds. – ton prénom.. du coup ? information importante, qui faciliterait très probablement le moment où tu raconterai cette amusante rencontre à sully. – il est tout petit ce stan, il est avec toi depuis pas longtemps ? sûrement que oui. t'avais toujours adoré les chiens, mais papa avait été clair, pas d'animal dans l'appartement.
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 @Dusty Burnham  let me happen to you
sully. ou du moins la pote à sully. voilà d'où son visage te paraissait familier. des rencontres assez brèves et succins mais mine de rien marquant si ses traits t'étaient restés en mémoire. et visiblement, la réciproque était vrai. le petit rire gêné se faufilait d'entre tes lèvres en l'écoutant te taquiner d'un de tes attirails à un de ses passages passés dans la chambre et tes yeux ronds sortaient même presque de tes globes quand elle mentionne une soit disant photo qu'elle s'apprêtait à dégainer de son téléphone. toi qui pensais à une bonne blague te retrouvait presque désemparé - parce que oui, t'avais bien un pyjama dinosaure mais ce genre de pyjama secret, voyez. - hein- quoi- non non no- léger coup de panique. l'idée de lui arracher brutalement le téléphone des mains te traversa l'esprit avant de te souvenir que t'étais un être humain censé savoir se tenir en société. merde la société. stan penchait sa petite tête, intrigué par tes expressions alarmées. oui, papa est un gros boulet stan, trop tard pour changer maintenant. puis elle finit par hausser les épaules, et tu saisis enfin sa mise en scène. soupir de soulagement, tu prétends ne pas avoir été berné. - ah ah ah, aucune chance que ça n'arrive parce que j'ai strictement aucun pyjama dino. aucun. none. nada. niente. c'est sûr, là, vu l'excédent de négations, elle allait y croire. bien joué mon pote. racle toi la gorge, pour mieux faire avaler la pilule, ne sait-on jamais et change de conversation, vite. - oh et oui, j'en oublie mes bonnes manières, je m'appelle eren. son attention était déjà emparé de nouveau par stan ceci dit, la star du jour, d'une vie. - il est irrésistible même, faut croire. t'en serais presque jaloux - presque. - ça dépend.. si tu considères 'trois jours' comme 'longtemps' ou non que tu sors, l'humour bancal - juste histoire d'attirer de nouveau son attention et peut-être lui soutirer un autre rire. - hm, proposition peut-être un peu directe au premier abord mais ça te dit de le promener avec moi ? si t'étais pas occupée ou attendue quelque part.. le rose aux joues, étonné toi-même de ton audace.
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 @Eren Wittgenstein  let me happen to you
taquine. c'était tout toi. plus fort que toi, même. ça t'amuse, encore plus lorsque la personne en face de toi saute pieds joints poings liés dans le piège. non, t'avais pas ne serait-ce qu'un seul souvenir d'un quelconque pyjama dinosaure en mémoire si cette anecdote de sa part était même vraie. ses bafouillements accusateur te font à nouveau rire.  – ça va.. je demanderai quand même confirmation à sully... encore faudrait-il que tu connaisses son prénom pour lui en parler. quoi que, il n'a pas cinquante colocataire à la kirk, il comprendrait rapidement de qui tu parles. quoi qu'il en soit, t'étais quand même curieuse de connaître le prénom de celui qui t'avait sans le savoir sauvé d'une crise d'angoisse en pleine journée. ou bien le sauveur était stan, qui sait ? plus compliqué de remercier un chiot. quoi que. enchantée, eren. non tu pouvais définitivement décider que c'était stan que tu remerciais. c'était lui ton sauveteur, et lui qui avait guidé le jeune homme jusqu'à toi. et tu n'en étais pas mécontente, au contraire. – trois jours ?! oulaa, il doit t'en faire voir de toutes les couleurs j'imagine, que tu lâches dans un petit rire. élever un chiot devait révéler de l'exploit, surtout en jonglant avec les cours et la vie en général. tu jettes automatique un regard à ton téléphone suite à sa proposition, toujours aucune réponse. tu hésites quelque instants, semblant te déconnecter un temps de la discussion avec eren. habituellement, tu aurais juste tout lâché pour dégager cette peur et le retrouver chez vous. mais les mots de bowie résonnaient souvent dans ta tête. "t'as une vie en dehors de ce bar?". t'en avais une, avant, ouais. avant que le monde de ton père s'effondre et avec lui, un peu du tien. stan aboie comme pour te dire qu'eren attend une réponse, te ramenant brutalement à la réalité. – excuse-moi, j'dois rentrer, on m'attend, déclines-tu poliment avant de te raviser. – oh, et tu sais quoi ? tu n'as qu'à m'accompagner ? il y a beaucoup de monde ici, stan va encore te faire courir après toutes les filles qui trainent ici... petit argumentaire sourire aux lèvres, l'accompagner dans cette promenade t'empêcherait de courir morte d'inquiétude jusqu'à ton père. change toi les idées.
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 @Dusty Burnham  let me happen to you
- mais non, pas besoin de déranger sully pour ça.. que tu balaies sa provocation d'une main, les traits toujours tirés par un sourire forcé, gêné, presque coupable de ce sous-entendu que ton coloc serait plus dérangé que toi par la situation. note à toi-même : brûler tout pyjama enfantin dès que tu retrouveras ta chambre. par précaution. non pas que tu prévoyais de la voir - ou du moins, l'idée était loin d'être déplaisante mais elle ne dépendait pas que de toi. loin de là. et t'avais une vague impression que stan faisait plus d'effets que toi à cet instant, vole la vedette de la conversation. - disons que j'ai la sensation d'être un nouveau parent. autant éreintant, les joies des premiers jours. mais son minois rattrapait les déboires et aussi cliché que ça l'était, il t'aidait à aborder les jolies filles dans le parc. pour cette raison, tu n'pouvais pas décemment lui reprocher d'accaparer son attention. mais tu te tentes tout de même, à retourner la situation, proposant à dusty de prolonger la promenade à ses côtés, ose laisser ton aplomb se libérer, le souffle retenu en attendant sa réponse. réponse laissée en suspens, l'hésitation se lisant sur son visage tout en jetant un regard sur son téléphone. la déception commence à creuser son nid dans ton estomac. tu sentais le rejet se profiler. mais observateur que t'étais, ce n'était pas le sentiment de rejet qui te préoccupait davantage durant un instant. son regard triste te fit froncer machinalement les sourcils. puis stan aboya, comme impatient face à ce silence et tu sursautas légèrement, abandonnant les traits d'inquiétude sur le faciès. j'dois rentrer, on m'attend. prévisible. c'qui l'était moins était la continuité de sa réponse. - t'es sûre ? ça va ? tu pouvais pas t'en empêcher malgré tout, son sourire léger ne pouvait pas effacer totalement sa mine déconfite. - désolé, ce ne sont pas clairement mes affaires.. j'veux pas te déranger, si tu veux que je te laisse rentrer chez toi tranquille.. quand bien même tu désirais te lancer dans le mystère de la mélancolie de ses iris, tu ne pouvais pas forcer ta présence à ses côtés. - si tu préfères, je peux te passer mon numéro et je te laisse le choix de me contacter ou non pour une autre promenade.. quand tu le veux.. si tu le veux. dégaines à ton tour ton téléphone de ta poche pour démontrer la sincérité du compromis.
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 @Eren Wittgenstein  let me happen to you
compatissante, tu acceptes finalement de lâcher la grappe au jeune homme après sa blague du pyjama. ohé évidemment que tu étais capable d'aller questionner sully sur les goûts vestimentaires d'eren, mais les meilleures blagues étaient aussi les plus courtes, non ? mieux valait lâcher du leste sur ce sujet. d'autant plus qu'il semblait déjà assez gêné du comportement de son chiot. tu souris à sa remarque. t'avais toujours entendu dire qu'un chien prenait la même place qu'un enfant, que c'était un sacré job d'en adopter un et de l'élever alors, tu comprenais sa réaction. – je te souhaite alors bien du courage dans cette nouvelle aventure qu'on appelle la parentalité ! comme si toi, dusty, du haut de ta vingtaine, tu connaissais quelque chose à ce sujet. peut être autant que lui, finalement. en parlant de parentalité, il y en avait bien un qui ces derniers temps avait oublié le concept. l'écran de téléphone était toujours vide, pas de sms, pas d'appels, rien qui ne te laissait penser que ton père avait vu tes messages. tu aimerais prendre ce temps, d'apprécier une simple promenade auprès d'un gars aussi mignon que sympathique au premier abord. mais ton toi au fond ne t'envoie que des signaux d'alertes pour que tu cours jusqu'à chez toi. tu avais été conciliante ces derniers mois, peut être trop, mais à cet instant, tu lui en voulais un peu. de t'empêcher de vivre comme tu l'avais toujours fait jusque là. tu te sentais privée, punie, triste. eren semblait s'en être aperçu. – non non, ça va, c'est juste que.., que tu allais passer pour une dingue si tu lui disais réellement ce qui te passe par la tête à cet instant. même si ta proposition de marcher jusqu'à chez toi ensemble tenait, tu ne pouvais t'empêcher d'avoir envie d'en finir pour faire disparaitre ton inquiétude. tu ne voulais pas lui imposer une promenade avec un dusty absente et dans la lune, surtout lorsqu'on sait combien tu peux être joyeuse, solaire, et de bonne compagnie. une vague de raison prend le dessus sur toi lorsqu'il sort son téléphone, te proposant de prendre son numéro. – excuse-moi, il vaudrait mieux que je rentre vite mais je prend l'offre, ton téléphone dans tes mains que tu lui tends rapidement pour qu'il puisse noter son numéro. une fois vos numéros échangés, tu lui souris à nouveau, baissant les yeux vers stan pour venir le caresser doucement. – à plus stan, sois bien sage jusqu'à la prochaine fois ! te relevant vite, tu ranges ton téléphone et t'éloignes de quelques pas en arrière. – à la prochaine, eren qui porte des pyjamas dinosaures... petit rictus rieur qui t'échappe, tu tournes les talons, pour foncer d'un pas impatient jusqu'à chez toi.
fin du rp
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