(mayimoff) addiction égale manque

TW : addiction au sexe, manque

@Maximoff Cardale-H. | J’en peux plus ça fait des heures que j’essaie de trouver un plan cul disponible. Je suis en train de devenir complètement folle. Il me faut du sexe. Je suis sur les nerfs. Ils sont tous parti au wk inter-maisons. Je me retrouve ici à être en manque. Je suis prête à prendre n’importe qui du moment que ça me soulage la. Je fini dans le Lord Hobo. Mon regard qui scanne chaque personnes en espérant trouver quelqu’un pas casé ou prise de tête. Je veux juste du sexe, qu’on me soulage de cette douleur dans mon bas ventre. Je m’avance parmi la foule et je me dis que le premier ou la première qui m’aborde ou autre ce sera cette personne. Ouais la j’ai pas le choix, même un psychopathe je prends tellement j’en peux plus. La veille j’avais déjà dû me soulager toute seule, là je ne peux plus rien faire. C’est trop obsessionnel, ça tourne en boucle dans ma tête. Je ne pense à rien d’autre. Je bouscule des gens sans prendre la peine de m’excuser. J’ai l’air d’une putain de toxicomane la. Je veux ma dose et je suis prête à tout pour ça.

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addiction égale manque
boston
@Maya Wolford ; @Maximoff Cardale-H.

samedi 18 février, peu avant minuit

il est quasi minuit quand maximoff finit par passer les portes du lord hobo. il a essayé d'appeler maya sur la route mais il est tombé non-stop sur messagerie. peut-être qu'elle a trouvé quelqu'un avec qui s'amuser. c'est tout ce qu'il peut lui souhaiter après lui avoir fait faux bond. non pas qu'il ait eut le choix. pas vraiment du moins. après avoir nagé durant des heures, il est rentré chez ses pères, décidé à en profiter juste pour se changer avant de s'esquiver. ça ne s'est pas passé comme ça finalement. en rentrant, il a trouvé la maison de son enfance plongée dans une atmosphère tendue et quand ses pères lui ont demandé s'il voulait se faire une soirée films avec eux, il n'a pas eut le coeur de refuser, pas alors quand cette proposition sonnait plus comme une requête, une demande de ses pères désirant avoir leur fils entre eux pour faire tampon. maximoff a donc pris sur lui, ravalant son envie de sortir et se posant dans le canapé avec ses pères pour mater plusieurs films marvel en commençant par le commencement. c'est à peine s'il a réussi à avaler quelques uns des trucs à grignoter prévus par ses pères tant il était mal, un noeud au ventre, brulant de sortir de là tant cette situation le rend triste. il a tenu bon durant un film et demi avant de s'échapper, prétextant devoir aller voir quelqu'un. ses pères ont bien essayé de le retenir, mais il a réussi à décoller rapidement, ne leur laissant pas beaucoup de temps pour contrarier son plan. maintenant, il se trouve au lord hobo, qui grouille de monde, espérant trouver maya tout en sachant qu'il y a des chances qu'elle ne l'est pas attendu. il ne peut pas la blâmer pour ça. il ne le fera pas bien sûr. mais ça ne l'empêche pas d'espérer. ça lui ferait vraiment du bien de se poser avec elle. le lord hobo grouille de monde quand il entre dedans et maximoff commence à progresser à l'intérieur, son regard embrassant les lieux, en quête d'un visage familier. il s'écoule quelques minutes avant qu'il ne la repère. enfin non, il ne la repère pas. elle le percute carrément dans la foule. elle manque de se déséquilibrer mais il la retiens, noue un bras autour de sa taille pour la stabiliser. « eh, attention. » qu'il lui lance affectueusement, la retenant encore contre lui. il a pas encore réalisé ce qui se passe. que la soirée n'a pas été plus clémente avec elle qu'avec lui jusqu'ici. qu'elle va vraiment avoir besoin de lui et qu'il va devoir être à la hauteur.

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@Maximoff Cardale-H. | Crise de manque déclencher par les derniers événements. Perte de contrôle, toute cette colère et cette frustration qui me consument. L’impression d’être insignifiante, d’être une pauvre fille. Gamine qui se retrouve à nouveau à avoir dix piges et à pleurer pour un garçon. Je déteste Valentin et ce qu’il me fait ressentir. Un seul autre homme a réussi à me faire du mal comme lui. Alors ouais je suis en mode automatique ce soir. J’ai bu déjà quelques verres. Je veux juste tout oublier. Trouver des bras qui voudront de moi. Quelqu’un qui me désire, pour qui ça sera la priorité ce soir. J’ai besoin de ma dose de sexe, comme un orgasme allait pouvoir réparer les failles et faire taire la douleur. Je passe près des gens sans les voir vraiment, je voudrais que ce soit plus facile. Mes pensées se bouscule, j’ai mal au crâne. Des images obscènes qui glissent dans tout ce bordel. Entre mes cuisses, le brasier me rappelle à l’ordre. Je dois trouver une victime, l’embarquer dans mon sillage. Âme pure attraper par la méchante de l’histoire. C’est ce que je suis non ? Bras qui glisse autours de moi, contact physique qui me fait presque gémir. Son de ta voix qui résonne, je lève la tête et je souris grandement. Voilà mon super héros. Toi tu vas m’aider, j’ai tant besoin de toi ce soir. « Maxiiiiii. » Corps qui bascule contre le tien, bras qui s’enroulent autours de ton cou. Serpentine qui capture sa proie. Lèvres qui s’écrasent contre les tiennes avec force, une douloureuse pression. Mes mains qui partent déjà explorer ton corps. Donne moi ce que je veux, j’en ai besoin, Maximoff Tu me repousses doucement et je grogne, te relâche brusquement avant de soupirer. « C’est si dure de trouver quelqu’un qui a envie de moi ? »

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boston
@Maya Wolford ; @Maximoff Cardale-H.

tw: consommation d'alcool, addictions

elle se laisse aller, s'abandonne à moitié contre lui. un gémissement lui échappe et alors qu'un mauvais pressentiment enserre maximoff, les poils de ses bras se hérissent sous les manches de son sweat. avant même d'avoir une bonne vue sur le visage dde maya, il a capté que quelque chose ne va pas. elle lève la tête vers lui, leurs regards se verrouillent et elle lui adresse un grand sourire. un grand sourire sincère, mais bourré aussi. merde. « Maxiiiiii. » il ose pas la lâcher, ou ne serait-ce que relâcher son étreinte. au contraire, il la raffermit. autour d'eux les corps sont massés et il crains de la lâcher, de peur qu'elle s'écroule. elle lui fait pas l'effet d'être stable là tout de suite, tant dans sa tête que sur ses jambes. heureusement qu'il est venu. heureusement. il essaie d'avancer, se faisant marcher sur le pied au passage mais y prenant à peine garde. maya l'aide pas à progresser parmi les gens. elle se tortille dans l'étreinte de son bras, se laisse aller plus nettement contre lui au point où elle lui ferait presque perdre l'équilibre. heureusement, il tiens bon alors qu'elle capture son cou en y nouant ses bras, leur épargnant une chute vers le sol. il a pas le temps de se féliciter d'avoir sauvé les meubles qu'elle plaque d'autorité ses lèvres sur les siennes. un baiser pressant, presque douloureux, qui le prend de court. les mains de maya se baladent sur lui. il la laisse faire quelques instants, sonné, puis il la repousse aussi gentiment qu'il peut mais avec assez de fermeté pour la décourager d'aller plus loin. pour autant il ne la libère pas de son bras. il a encore moins envie de la perdre dans la foule maintenant. il y a quelque chose de flippant dans cet instant. ça tiens au regard de maya, au désespoir qui se fraye un chemin dans ses yeux et dans sa voix lorsqu'elle rouvre la bouche. « C’est si dure de trouver quelqu’un qui a envie de moi ? » ça lui porte un coup au coeur. l'expression du visage de maximoff, déjà soucieuse et inquiète, se décompose. « maya, qu'est-ce que... » il porte sa main libre à son visage pour la poser contre sa joue, mais son geste se suspend quand quelqu'un lui rentre dedans par derrière, le percutant. faut qu'ils bougent de là. « viens, on va prendre l'air, ça va te faire du bien.. » il fait mine de la faire pivoter vers la sortie, espérant qu'elle ne va pas se montrer difficile et se laisser sagement guider.

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Silhouette qui air dans la foule. Je frôle les corps animés autours de moi, avance sans savoir ce que je cherche vraiment. J’ai juste cette douleur dans la poitrine qui m’empêche de respirer. Le sexe. Réponse qui va me faire revenir à la vie, bouffée d’oxygène pour quelques heures. Oublier les derniers événements. Le cœur brisé et piétiner. Je veux juste que ça s’arrête, je veux qu’on me touche et qu’on me désire. La confiance en moi qui est proche de zéro. Je vais mal, très mal à présent. Je sens la douleur qui s’étend dans mes veines. Mon corps qui se retrouve contre toi, tu me presses si fort que je m’abandonne. Les jambes qui se relâchent et j’ai du mal à suivre ton rythme. L’alcool qui a aidé quelques minutes jusqu’à ce que le manque soit plus fort encore. Maintenant que j’ai ton corps à disposition j’en veux plus. Je te veux toi, toi pour me guérir et me ramener. Toi pour me faire jouir parce que tu sais le faire si divinement. Je veux plus te suivre, je veux ta bouche, tes mains et que tu me donnes du plaisir. Lèvres capturés, danse sensuelle qui commence enfin à me faire vibrer. Bas ventre qui s’enflamme jusqu’à cette douche froide. Le rejet encore et venant de toi c’est encore pire. J’ai envie de disparaître, je veux plus qu’on me fasse sentir que je suis pas désirable. Je recule et tu me tiens encore contre toi. Le son de ta voix qui résonne et je suis là limite à te supplier du regard de m’embrasser. Ta main qui glisse sur mon visage et je ferme les yeux avant que tu ne me percutes. Tu commences à m’attirer vers la sortie et je m’arrête en tirant sur ton bras. « Viens c’est pas dehors que je te veux.. » Tu me suis parce que je sais que tu n’as pas l’intention de te séparer de moi. Je le vois dans tes yeux. Je pousse la porte des toilettes et je te pousse contre le mur. Corps qui se presse contre le tiens comme pour te bloquer. Je reviens t’embrasser avec envie, possessive parce que tu es à moi. A moi ce soir et les jours qui suivent. Toi t’es toujours là tu peux pas me repousser, pas maintenant. Main qui glisse sur ton torse et se perd entre tes cuisses. Je te veux maintenant. « J’ai envie de toi. »

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