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Gabriel & Andrea - back in time

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«Aïïïïe ! » S'exclama la jeune femme après s'être bêtement brûlée avec son fer à friser. Aussitôt la blondinette porta son pouce à sa bouche, tentant tant bien que mal de soulager sa douleur. Andrea était de nature maladroite, d'où ses multiples petits bobos. Cependant, cela avait toujours été son truc de se pomponner dans sa salle de bain. Bien qu'elle soit naturellement belle, Andrea aimait comme la plus part des filles, se coiffer et se maquiller afin d'être parfaite. Après tout elle ne faisait pas partie des Cabot pour rien. Fouillant dans sa trousse à maquillage, la jeune femme sort son eye-liner afin de se dessiner un trait fin au dessus de la paupière mobile. Féminine, mais naturelle. Loin d'elle l'idée de ressembler à une voiture volée. Andrea n'avait jamais compris pourquoi certaines filles se maquillait autant. Car plus on en met et plus cela se remarque. Et pas toujours dans le bons sens. Une fois prête, la blondinette retourne dans la pièce principale qu'est sa magnifique chambre étudiante. Calliope sa colocataire était déjà partie depuis moment déjà. Andrea était surement l'une des dernières personne présente dans sa confrérie. Elle qui pourtant détestait être en retard, était bien partie pour l'être. Andrea saisit donc la jolie robe noire du style années vingt qui était posée sur son lit. La jeune femme avait craquer sur cette dernière en faisant les boutiques la veille. Après avoir examiné le bout de tissus dans tous les sens, la blondinette se décida enfin à l'enfiler. Elle lui allait comme un gant. Bien qu'un petit détail la chagrine en regardant son reflet dans le miroir. Andrea pose ses mains sur sa poitrine en grimaçant. Elle aurait peut-être du mettre une paire de chaussettes dans son soutiens gorge histoire de le rendre un peu plus attrayant. Tant pis, Gabriel devra se contenter de cela. De toute façon, ce n'est pas comme si il n'avait pas l'habitude. A vrai dire la jeune femme n'eut pas le temps d'y réfléchir d'avantage que l'on toquait à sa porte. « Mais où est donc passé le Gabriel que je connais ?! » S'exclama t-elle en le regardant de haut en bas. Il était vraiment très beau dans son costume. « On y va ? » Demanda t-elle après avoir passé sous bras sous celui du jeune homme.

[…] La fête battait son plein lorsqu'Andrea décida de quitter l'immense salle. Il faisait vraiment trop chaud là dedans et la blondinette avait grand besoin de prendre l'air. D'autant plus que sa tête commençait légèrement à tourner après avoir consommé quelques verres. « Je vais dehors, je ne me sens pas très bien. » Susurra t-elle à l'oreille de Gabriel. La jeune femme fit alors demi tour et quitta le salle des fêtes. Une fois dehors, Andrea pris place sur les marches à l'extérieur. La demoiselle inspira une grande bouffée d'air, quelle fraicheur tout d'un coup. Puis Andrea sortit une cigarette de sa petite pochette pailletée qui lui servait de sac à main pour la soirée, avant de la porter à ses lèvres.
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« ▬ Putain la gueule ! » me balança Nick au détours du couloir de la maison avant de pouffer comme un connard. Je secouais la tête et sourit avant de lui décocher une droite dans l'épaule. J'étais déjà pas franchement enthousiaste à l'idée de me trimbalé dans ce costard cravate trois pièce ridicule que m'avait filé mon cousin Cameron dont je n'arrivais pas franchement à saisir la sexualité, je me serais donc bien passé du putain de jugement de mes frangins. Je passais à côté de lui en remettant ma cravate en place un sourire aux lèvres et dévalais les escalier qui menait au grand hall. Mon reflet s'imposa à moi à travers les vitre de la porte d'entrée et je me matais un instant. Avec cette allure de bourge narcissique j'aurais pus me fondre chez ces pourris d'Elliot en deux, deux. Je souris et attrapais mon casque sur le buffet avant de sortir sur l'avenue ou ma guzzi m'attendais. Ni une, ni deux je chevauchais l'engin, démarrais et partit en trombe chez les Cabots.

[…] Posté devant la porte de la chambre d'Andréa je me passais une main dans la nuque en patientant, nerveusement. Quelque Cabots m'avaient dévisager à l'entrée et je ne me sentais pas vraiment à mon aise. Pourquoi est-ce que j'avais accepté d'aller à ce foutu bal ? Je m'appuyais contre le cadran lorsqu'Andréa surgit derrière la porte qui venait de s'ouvrir.
«▬ Mais où est donc passé le Gabriel que je connais ?! » dit-elle en me lorgnant entièrement. Je m'armais de mon sourire et lui fis face remettant mes manchette correctement d'un geste expert.
«▬ Il s'montrera un peu plus tard dans la soirée sweetie, t'inquiète pas pour ça. » je lui lançais un regard lourd de sens en souriant et ne pus n’empêcher de laisser mes yeux se balader sur sa silhouette. Merde, la soirée allait être plus longue que prévu. Je déglutit m’empêchant des pensée déplacé et lui tendis mon bras tel un parfait gentleman.

[…] On arriva à la dite soirée de l'année en tant et en heure, mais déjà toute la populace d'Harvard était présente. J'abandonnais Andréa quelque secondes pour aller taper des mains ici et là pendant que déjà les filles avaient inondés la piste sur le tube de Robin Thick en se dandinant sur des Louboutins de 18 centimètres. Je ne me privais pas du spectacle et revins vers Andréa après quelques minutes en remuant la tête, cette chanson avait le don de me mettre de bonne humeur. Je ne pus m’empêcher une fois encore de reluqué sans scrupule le corps parfait de la jeune fille qui se tenait devant moi et nous attrapais rapidement des verre au bar.
Après plusieurs Whisky et quelque moqueries sur ce pauvre Rodney – un binoclard à lunette qui n'avait rien demandé à personne – Andréa se pencha vers moi et je plaçais instinctivement une main dans le creu de son dos.
«▬ Je vais dehors, je ne me sens pas très bien. »
Je la regardais en fronçant les sourcils, préoccupé.
«▬ T'es sur, ça va aller ? Je me penchais vers elle et relevais son menton Tu veux que je t'acompagne ? » Elle me jeta un coup d'oeil et s'éloigna vers la terrasse.
Je ne dis rien et bus une gorgé de mon whisky en la regardant s'éloigner, pensif, pendant que Jim blablatait à côté de moi sur une de ses conquête du Spring Break.
Quelque minutes passèrent et j'en avais plus rien à foutre du récit de lover de Jim, mes yeux étaient fixé sur l'immense bai-vitrée qui donnait sur la terrasse. Merde, est-ce que c'était moi ? Je bus une énième gorgé et me décidais à la retrouver dehors. Je traversais la salle, plantant le pauvre garçon seul avec lui-même et me faufilais dehors.
C'est à ce moment là que je la vis plus loin assise, recroquevillé sur les marches. Je retirais immediatement ma veste et m'avançais vers elle avant de la posé sur ses épaules dénudé.
« ▬ Hey... Qu'est ce qui t'arrive babe... ?» dis-je passant mon bras autours de ses épaules frigorifiées.
Je l'observais un instant et caressais son bras.
« J'ai fais le con ? » Je m'essayais un bref sourire, j'étais une merde fini dans ce genre de situation.
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Les soirées à thème, Andrea adorait ça. Comparé à certaines personnes, la jeune femme était tout sauf coincée. Andrea était toujours la première à vouloir se déguiser afin de rendre la soirée beaucoup plus drôle. Alors le bal de fin d'année sur le thème des années vingt, elle était plus que ravie. Ceci dit, l'idée de s'habiller de la sorte n'avait pas l'air de plaire à tout le monde. En trainant dans les couloirs de l'université, la blondinette avait entendu certaines personnes râler sur le choix du thème. Après l'attentat à la bombe qu'il y avait eu, Andrea ne comprenait vraiment pas pourquoi les gens pouvaient être aigris à ce sujet là. C'était tellement ridicule. Il y avait tout de même bien plus grave que de faire la gueule pour un simple costume. En tout cas, Andrea était surprise de voir Gabriel vêtu de la sorte. Agréablement surprise même. Ce genre de tenue lui allait vraiment bien. Certes elle le voyait mal s'habiller ainsi tous les jours mais pour le coup, Gabriel était vraiment très beau. En le voyant, le coeur de la demoiselle loupa un battement. En sa présence, Andrea avait l'impression de n'être qu'une vulgaire gamine. Une sorte collégienne amoureuse avec les yeux en coeurs. Gabriel avait une influence incroyable sur elle, et elle ne saurait vraiment expliquer pourquoi. Peut-être parce qu'il était son premier amour ? Hum. C'était fort probable. C'est pourquoi de le voir reluquer toutes les nanas présentes dans la salle commençait sérieusement à l'agacer. Andrea avait toujours été de nature jalouse et possessive, c'était plus fort qu'elle, elle n'arrivait tout simplement pas à se contrôler. Du coin de l'oeil et tout en buvant son verre, elle fixait Gabriel. Il fallait qu'elle arrête de se monter la tête toute seule et de se gâcher la soirée, c'était ridicule. Peut-être était-ce aussi du l'alcool qu'elle avait ingurgité en plus de la chaleur ambiante. Rapidement la tête d'Andrea commença à lui tourner. Prise de vertiges la jeune femme avertit son cavalier – une fois qu'il avait reporté son attention sur elle et non sur les autres nanas – qu'elle préférait aller faire un tour dehors. « T'es sur, ça va aller ? Tu veux que je t'acompagne ? » Andrea lui offrit un sourire qui se voulait rassurant. «  Oui ca va aller, je crois que j'ai un peu trop bu c'est tout. » Répondit-elle calmement. «  Non t'en fais pas, reste ici, profite de la soirée. » Conclu la demoiselle avant de quitter la salle. Une fois dehors, la jeune femme eut l'impression de respirer comme pour la première fois. Elle avait l'impression d'étouffer à l'intérieur, il y avait beaucoup trop de monde. Une fois assise, elle s'alluma une cigarette et tira longuement dessus. Il y a bien des années que la jeune femme se bousillait les poumons à petit feu. Sa première cigarette ? Elle s'en souvient encore, c'était au lycée, avec sa copine de l'époque, Sandy. Elle avait cru mourir en inspirant pour la première fois de la fumée. Et puis au fil des jours elle y avait pris goût avant d'en devenir complètement accroc. Qui n'a jamais voulu fumer pour faire comme les copains de toute façon ? Celui qui dit qu'il ne l'a jamais fait est un menteur. Soudain une présence derrière elle se fit sentir. Il s'agissait de Gabriel qui était venu la rejoindre. Le contact du tissus sur sa peau dénudée la fit légèrement frissonner. «  Merci c'est gentil. » Dit-elle en souriant. «  Mais tu vas attraper froid ! » S'exclama t-elle aussitôt. «  Hey... Qu'est ce qui t'arrive babe... ?» Andrea apprécia le contact du jeune homme lorsqu'il passa un bras autour de ses épaules. C'est étrange, bien qu'il soit un mauvais garçon dans toute sa splendeur, la blondinette ne se sentait vraiment en sécurité qu'en sa présence. «  Rien t'en fais pas. J'avais besoin de prendre un peu l'air, il y a trop de monde là-dedans. » Répondit-elle avant de tirer une nouvelle fois sur sa clope. « J'ai fais le con ? » Andrea afficha un air surpris. «  Quoi ?! » S'exclama t-elle. «  Non tu n'as rien fait je t'assure. » S'empressa t-elle de répondre. «  Allez destresse, tout va bien je te dis. » Dit-elle en lui donnant un petit coup d'épaule. « En tout cas, t'es vachement class ce soir ! »
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Crush a bit, little bit, Roll it up, take a hit.
Pursuit Of Happiness se mit à cracher sourdement à travers les enceintes et je me mordis la lèvre pour ne pas mimer les paroles. Merde, c'que ces chansons me rappelais les soirées à la maison. Je serrais fort la jeune fille dans mon étreinte et souris, je commençais à être chaud et je rêvais secrètement que ça se termine en Beer Pong chez les Mathers.
Je regardais Andréa et lui piquais sa clope gentiment.
Elle et moi c'était une histoire de toujours. On s'étaient perdu trop longtemps. Je l'embrassais rapidement sur la joue avant de glissé la Lucky entre mes lèvres – que diable avait les filles à fumer des menthol - ?.
« ▬ Mais tu vas attraper froid ! » me dit-elle alors que je n'étais plus qu'en chemise. J'arquais un sourcil et rit à sa remarque. Froid ? J'avais le remède à ça. J'hotais mon bras de ses fines épaules en pompant sur le mégot et desserrais la cravate qui m'arrachais la gorge.
« ▬ C'est pour cette raison que j'ai apporter … Je relevais le tissu de la veste qu'elle portais sur le dos et fouillais dans la poche intérieur avant d'en sortir une fiole que je brandit devant elle... De quoi nous tenir chaud toute la soirée » fis-je arborant un sourire victorieux.
Je dévissais le flacon sans plus attendre et prit une goulée aussi sec en tendant la clope à ma voisine. Les événements BCBG du genre n'était déjà pas vraiment mon passe-temps favori alors un peu d'aide n'était pas de refus. Je grimaçais un fois le liquide pur ingurgité et secouais la tête. Putain c'que c'était mauvais. Je tendis la fiole à Andréa avant de sortir à mon tour mon paquet écrasé de ma poche. Je m'en allumais une calmement.
« ▬ En tout cas, t'es vachement class ce soir ! » je me tournais vers elle avec un sourire moqueur.
« ▬ C'est une blague ? J'ai l'air d'un baltringue à la carmes du village ! Vivement que je retire tout ça. »
Je crachais ma fumé au vent et mon regard remonta sur ses cuisses pour enfin croisé son regard. Andréa avait toujours était une fille magnifique. Tout le monde le savait.
« ▬ Toi par contre... Je m'arrêtais un instant et ne pus m'empercher d'admiré son visage angélique … T'es sublime, comme toujours. » je tournais rapidement le regard au loin, j'étais pas vraiment le genre de type à « exprimer » quoi que ce soit. J'étais mauvais pour ça, je préférais donc me cantonner à la fermer.
Je repris une taff en silence lorsqu'un mec plutôt douteux s'approcha de nous en titubant et manqua de se planté sur ma cavalière. Je me redressais aussitôt en plaquant ma main sur son torse.
« ▬ Oh, oh on se calme mon grand ! Qu'est-ce qui t'arrive ? » . Je regardais ses yeux livide, le pauvre type devait avoir trois gramme. Il tenta de balbutier quelque chose et je comprit qu'il cherchait du feu. Je me marrais quand je me rendit compte que je devais être aussi peu crédible que lui. Je cherchais maladroitement dans ma poche et lui tendit le briquer en lui faisant signe de le garder avant de me rassoire comme une grosse merde sur les marches. Je bombais le torse.
« ▬ T'as vu le warrior que je suis ? » banlançais-je en bombant le torse. Je repris la fiole de whisky et reprit une gorgé. Il était hors de question qu'on passe la soirée sobre.
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