Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Azela & Dixie) What's up, girl?
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(Azela & Dixie) What's up, girl?

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Je revenais d'une journée épuisante. Le domaine de la criminologie pouvait paraitre simple en premier abord, mais ce ne l'était pas du tout. Dernièrement, j'avais eu un stage avec le meilleur criminologue des États-unis, qui s'était déplacé à Cambridge exprès pour moi, avec tous ses équipements. Je dois avouer que j'avais carrément adoré, mais que c'était...épuisant. Enfin, j'arrivai à la Mather House après cette dure et longue journée. J'avais besoin de me reposer. Oui! Ou de tout raconter. Je verrais bien, mais pour l'instant, mon lit douillet me manquait terriblement. Je saluai quelques camarades verts en entrant, mais je crois qu'ils remarquèrent immédiatement que je ne voulais pas vraiment être importunée. J'avais tout l'air, ou presque, d'avoir la gueule de bois. Cette pensée m'arracha un sourire. J'arrivai finalement devant ma chambre, et y entrai. La porte n'était pas verrouillée : ma colocataire devait être à l'intérieur. En entrant, je jetai mon sac rempli de bouquins de criminologie par terre, créant un bruit sourd lorsqu'il percuta le sol, et parcourai la chambre du regard : personne. J'haussai les épaules. Azela devait être à la douche. Je l'aimais bien, cette fille. C'était ma coloc depuis peu, mais on s'entendait bien. On réussissait à se raconter tout et rien sans s'engueuler, quand on en avait envie. Je lançai un fort : "C'est moi!" Sans plus attendre, je me lançai à plat ventre sur mon lit, enfouissant ma tête dans l'oreiller. Enfin! Qu'est-ce que j'étais bien!
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A peine sortie des cours t’avais filé à la Mather House sans prendre le temps de t’arrêter au bureau de tabac chose que tu aurais dû faire d’ailleurs puisque ton paquet de clope était presque vide et qu’il ne te suffirait pas jusqu’à demain à ton grand regret. Tu étais pire qu’un pompier et même si mamie Jackie t’avais mise en garde un bon nombre de fois tu n’avais pas pris la peine de prêter attention à ses propos, fumer te détendais et c’était la seule et unique chose à retenir. Tu étais donc rentrer à la Mather une clope au bec, posais le temps de la fumer sur ton lit puis tu avais sauté dans la douche afin de te sentir propre après une dure journée de cours. Il faut dire qu’à Harvard les cours était tout de même très épuisant et puis même si tu n’avais pas, comme certains, de bourses à garder en te mettant à fond dans tes cours, tu n’avais pas envie de rater ton année, de toute façon tu savais également que les redoublements à Harvard étaient rare, seulement en cas de problèmes très grave. Harvard était l’une des meilleures universités du pays, il ne fallait pas l’oublier. Tu sautais sous la douche, l’eau ruisselait sur ton corps et tu profitais que Dixie ne soit pas là pour monopoliser la salle de bain comme tu l’entendais sans prendre le risque qu’elle tape à la porte pour aller pisser où je ne sais quoi, tu profitais de cette tranquillité qui t’étais offerte sans te faire prier.

Tu vivais avec Dixie depuis peu de temps, pourtant une complicité c’était tout de suite installée entre vous deux, il fallait dire aussi que ce n’était pas la personne la plus difficile à vivre et bien même tout le contraire et tu t’en réjouissais, que serait-il advenu si une troisième guerre mondiale avait était déclaré dans la chambre ? Mais il n’en était rien, les journées se passait aussi bien les unes que les autres et le plaisir de vous raconter vos journées ne diminuait pas. Vous étiez désormais plus que des simples colocataires, vous étiez des amies. Tu sortais de la douche t’enroulant dans une grande serviette quand tu entendis la porte s’ouvrir accompagné d’un « c’est moi ! » c’était elle, Dixie était là. Elle t’avait parlé de son stage de criminologie et tu te réjouissais pour elle, c’était tout de même quelque chose d’assez fou. « Je suis dans la salle de bain ! » hurlais-tu à travers la cloison qui séparait la chambre de la salle de bain. Tu enfilais un shorty et un grand t-shirt puis sortais de la salle de bain une serviette sur la tête « Quel timing, tu arrives juste quand je sors de la douche » tu ne pouvais t'empêcher de rire.

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Parfois, il m'arrivait de perdre tout l'énergie que j'avais dans une simple journée, ce qui donnait comme résultat un air de morte-vivante. Quelques fois, c'était le matin que ça arrivait, et une touche de maquillage ou du simple cache-cernes aidait à faire disparaître les preuves de ma fatigue et de mon épuisement. Eh oui, être étudiante à Harvard demandait de l'effort. Et l'effort demandait de se coucher à des heures très tardives, voire même matinales, pour nous permettre de bien réussir. Enfin, là, ce n'était pas à cause d'une mauvaise et courte nuit, mais à cause d'un dure, épuisante et éreintante journée qui m'avait volé toute mon énergie. J'étais affamée, je me sentais vide, et j'avais besoin, plus que besoin même, d'être installée confortablement dans un lit ou un canapé.

Bref, quand j'entrai dans la chambre #2 de la Mather House, où je résidais et où ma toute première coloc vivait également depuis peu, je la saluai au travers de la porte même si je ne pouvais être sûre si elle était là ou non - peut-être avais-je simplement oublié de rouvrir la porte de la salle de bain avant de partir -. Me lançant dans mon lit, qu'est-ce que j'étais bien d'ailleurs, je n'entendis ni Azela crier au travers de la porte, ni immédiatement la porte de la salle de bain s'ouvrir, dévoilant mon amie en peignoir. Ce n'est que quand elle me répondit dans mon dos que je réalisai qu'elle était bien là. Je me tournai afin de me trouver sur le dos, toujours bien calée dans mon lit douillet, et la regardai en souriant, soupirant de découragement tout de même : « Super timing, oui! J'en pouvais plus de ma journée! T'as terminé plus tôt aujourd'hui? S'pèce de chanceuse, va! » Je fis mine de bouder, puis fermai les yeux pour profiter un peu de ce moment de repos, avant de me rasseoir sur mon lit, adossée contre le mur. « C'est bien cool les stages, mais j'ai envie de chialer juste à penser y retourner... Et toi, ta journée? » On se racontait toujours tout! Comme deux vraies soeurs, en fait! Jamais je n'aurais pensé apprécié une colocataire, moi qui était si indépendante naturellement.
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