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crazy little thing (moraleimer)

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crazy little thing.
16 février 2023
w/ @Gaspard H. Wertheimer

Non, je pars pas au Vermont, j’ai pas répondu assez vite à la proposition de voyage de la présidente. Que je souffle en haussant les épaules et répondant à la question de ma collègue, celle qui a été choisie pour remplacer le big boss pendant son absence. Je ne sais pas encore ce qui va advenir de nos rôles mais j’espère garder le mien, je ne peux pas le nier. J’ai pris plaisir à m’arracher les cheveux pour le bien de Chanel et de la collection et même si la Fashion Week est finie et que le travail est moins prenant, j’aime toujours autant cette nouvelle expérience. Mais j’ai bien sympathisé avec un mannequin sur New York, je vais lui demander s’il a envie de passer le week-end à Boston et on verra. J’hausse les épaules et quand ma collègue me demande de lui trouver des photos du jeune homme, je me lève rapidement, courrant jusqu’à son bureau sur lequel je m’assois très rapidement. Ma jupe remonte légèrement sur mes cuisses et mes cuissardes en velours glissent doucement dans le chemin inverse. Il avait des yeux… Mamma Mia. Un bleu azur à en faire jalouser les personnes autour de lui. Je lui ai même demandé s’il s’agissait de lentilles, c’est pour dire. Je lui tends mon téléphone et lui montre les quelques photos que j’ai prises lors de l’after party mais aussi d’autres trouvées sur internet. Je soupire doucement et fais battre mes jambes doucement. Ce n’est pas l’homme de ma vie mais pour une nuit… Ou deux. Voire même trois, il y a toujours moyen de s’arranger. J’ai vraiment un souci avec les blonds aux yeux clairs. Que je lâche en riant. Plus ils sont différents de moi et plus… Ça m’excite, pour la faire courte. Et bien entendu, je dis ça dans la confidentialité du bureau, n’ayant pas entendu le big boss arriver, trop captivée par le mannequin rencontré en début de semaine à la Fashion Week de New York.
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Mais nan Maman ce n'est pas à cause de toi que j'suis parti... tu me connais, tu savais très bien que je repartirai pour Boston du jour au lendemain. Oui j'vais bien. Promis. Embrasse Papa et prends soin de toi. Je t'aime. C'est ainsi que s'achève l'appel alors que ma cigarette semble tout aussi terminée. Je range l'appareil dans ma poche arrière de pantalon et je veille à bien écraser le vice avant de le jeter dans la première poubelle à disponibilité. Je le sentais que cette conversation téléphone allait être terrible, que ma maman culpabiliserait d'être malade et de nous faire vivre ça. J'y étais préparé et si j'avais décidé de le passer en allant au travail c'est parce que je sais qu'une fois sur place, tout ira mieux. Les portes passées, j'avance souriant dans les allées en saluant chaque personne sur mon passage. Mais il n'y a qu'un lieu qui m’intéresse, l'atelier où je vais retrouver les tissus, mon bureau, mon espace... et aussi la personne qui était là pour assurer pendant mon absence. Si j'avais dans l'idée de faire une entrée digne de moi, je me retiens quand je surprend une conversation des plus intéressantes. Je me fais silencieux, amenant de l'extrême discrétion jusqu'à dans ma manière de poser ma veste. Ca ne me ressemble pas, je suis plus habituellement une tornade, mais il faut croire que je suis capable de prendre sur moi. L'histoire de deux minutes, il ne faut pas trop m'en demander, c'est déjà entrain de me démanger. On ne vous a jamais dit de ne pas parler de votre patron comme ça? Demandé sur un ton de plaisanterie alors que mon corps s'installe sur l'un des fauteuils. La jambe qui va se croiser avec l'autre, je regarde vos visages l'un après l'autre avant de m'arrêter sur celui de la brune aux yeux noirs Mais j'crois que la phrase n'était pas achevée... alors faites et ensuite on parlera de New-York. Les lèvres étirées, je te donne la réplique Plus ils sont différents de vous et plus... La main retournée en suspens, dans l'attente de cette suite mais surtout dans l'attente de voir si tu vas oser. Je ne suis pas allée à la fashion week de cette semaine, c'est pour ça que je veux les retours et d'un coté, ça évite aussi de trop réfléchir à l'avenir des petites mains qui se sont occupées de gérer pendant que les miennes n'étaient pas là.
       


@Carmen Morales crazy little thing (moraleimer) 2511619667
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Assise sur le bureau, le buste penché en avant, je regarda ma collègue et souris largement Il faut dire ce qui est, il a plus que du charme. C’est ce que je pense du moins. Je n’arrive pas à me l’enlever de la tête depuis que je l’ai rencontré il y a quelques jours. Je ne devrais pas, ce n’est pas grand chose, qu’un homme parmi tant d’autres mais il m’a fait chavirer et c’est ce dont j’avais besoin à ce moment précis. La discussion est personnelle et quand j’entends une voix derrière moi, je m’apprête à soupirer fortement et demander à cet importun de faire demi-tour. Manque de bol, c’est le patron, le big boss et je saute vite en bas du bureau sur lequel j’étais perchée - le sien bien entendu. Jamais ! Que je souffle rapidement en me redressant, lissant les faux plis de ma jupe et attrapant rapidement mon téléphone entre les mains de ma collègue. Je glisse le cellulaire dans la ceinture de l’habit et souris largement à Gaspard. Peut-être que ça passera mieux. Il parait que j’ai un merveilleux sourire et un regard tout aussi ravageur. Il attend, assis dans le fauteuil et ma collègue me donne un coup dans les chevilles Tu disais Carmen ? Je lui lance un regard noir et lève légèrement les yeux au ciel. Il m’est impossible de finir cette phrase en le regardant droit dans les yeux. Ça m’excite. Je lâche les mots pas trop fort pour éviter que tout l’atelier entende la petite conversation que nous avons. Et quand j’arrête de fixer le bureau pour le regarder lui, je me rends compte qu’il est vraiment très blond et les yeux clairs. Merci. Je pince mes lèvres et lui adresse un léger sourire. Le défilé de Markarian était une pépite. Les drapées étaient magnifiques, le thème restait assez vintage mais les tissus apportaient tellement à l’histoire créée pour le défilé. Parler de tout sauf de ce que les blonds me font comme effet.
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De mon coté, où est la brune qui occupait toutes mes pensées? Dans la corbeille de mon esprit, toujours dans les efforts pour l'oublier. Mais je crains pour le futur, que cette expérience va laisser des traces. Combien de fois nos histoires passées empoissonnent l'amour que nous tentons de vivre aujourd'hui? Mon coeur à la stupidité de rendre celle que j'aime victime des erreurs de celles qui ne m'ont pas aimé. Le mal qu'on m'a fait semble déteindre sur celle qui cherche à panser mes vieilles blessures. Comme un venin patient qui se nourrit de l'innocence. Mais j'ose espérer que le bisounours que je suis, dominera sur l'homme blessé qui nait. Si tu fusilles ta collègue moi je lui adresse un clin d'oeil parce qu'elle devient ma complice, une alliée et j'apprécie. Etre le patron a ses avantages. Je te regarde, toi et tes yeux fuyants, mais ton mot il parvient bien à mes oreilles. J'crois que c'est inutile de demander dans quel sens. Le sourcil droit qui vient de se dresser, j'étire mes lèvres malicieusement quand tu commences à m'observer un peu plus sérieusement. On se comprend, tu viens de saisir que je suis exactement dans le descriptif que tu viens de donner. Rapidement tu rebondis pour esquiver et tu te débrouilles parfaitement bien, car la mode, il n'y a que ça pour me recentrer Alors je veux qu'on fasse mieux qu'eux pour la prochaine semaine de Fashion week Parisienne. Le corps qui se redresse du fauteuil pour aller vers mon tableau qui me sert parfois, comme pour cet instant On sera le premier défilé de la dernière journée. Je note la date, le 7 mars 2023 comme pour bien le marquer L'année dernière, nous avons rendu hommage à Gabrielle Chanel et son amour pour le tweed. Là, je veux toujours garder l'emprunte Chanel mais faire quelque chose de....d'extraordinaire, de splendide, de brillant. Le feutre posé sur la tempe, je me souviens qu'avant ça il y avait un autre sujet à traiter. Je crois que j'ai été un peu perturbé par ta révélation Mais mais mais.... que je chuchote presque Il faut qu'on discute de mon retour et de ce qu'il provoque ici. c'est vraiment la partie la moins amusante du boulot. Le regard qui quitte le sol pour vous regarder tour à tour, attendant une réaction.
       
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La discussion se voulait privée mais il faut croire que nous avons merdé sur toute la ligne. Je n’arrive pas à croire que je me retrouve à expliquer ce que les blonds aux yeux clairs me font devant… un blond aux yeux clairs. C’est humiliant et je me sens mal à l’aise. Cependant, je ne veux pas mentir. Je dois accepter les choses comme elles sont. J’aime les hommes et plus leurs cheveux - et yeux - sont clairs et plus je perds facilement ma contenance. C’est probablement parce que j’ai grandi entouré de bruns ténébreux que ce sont les blonds qui me font autant d’effets. Je n’en sais rien et ce n’est définitivement pas le sujet de la conversation. Non, clairement pas. Que je réponds rapidement. Pas la peine de demander dans quel sens parce que l’excitation - en parlant du sexe opposé - est rarement chaste et psychologique. En plus, ce n’est pas la couleur des cheveux qui déterminent l’intelligence alors comme ça… Je sens mes joues rosir et tente de redresser le visage pour soutenir son regard et tenter de retrouver la force qui me caractérise. Ce n’est pas bien grave, il ne m’a pas trouvé en train de faire mes besoins dans les toilettes non plus. Il y a plus grave dans la vie et je le sais. Et puis, parce que je ne veux pas que ce silence s’installe davantage, je prends les devants et commence à raconter mon expérience lors des défilés que j’ai eu la chance de faire. Il y a quelques shows à Milan dans les jours qui arrivent, Londres aussi mais surtout Paris - ville qui nous intéresse plus que tout et Gaspard est très vif sur le sujet. Nous devons faire mieux, nous serons le premier défilé de la dernière journée. Il faut marquer les esprits et je suis prête à travailler corps et âme là-dessus. J’attrape mon calepin sur le bureau voisin et commence à griffonner les premiers mots qui sortent de la bouche du designer. Extraordinaire. Brillant. Splendide. Et alors que je m’apprête à rajouter d’autres choses, mon stylo reste en l’air. Shit. Je m’attends déjà au discours de “dernière arrivée, première partie” mais je ne compte pas me laisser faire aussi facilement. Que provoque-t-il ? Que je demande rapidement. Peut-être qu’il sait où il va tous pouvoir nous mettre. Je l’espère vraiment. Parce que je ne veux pas quitter mon poste. Je suis celle qui a le plus petit salaire et qui aide pour toutes les missions, une assistante personnelle en quelque sorte, je ne peux pas être mise dehors et… Nous pouvons vous soutenir dans toutes vos missions. Personnelles et professionnelles. Peut-être qu’il va avoir besoin de quitter la ville pour la capitale française à nouveau. Ce serait bête de devoir recommencer tout le procès pour ça. Non ? Le calepin contre ma poitrine, le stylo en mains, je le regarde et essaye de lire en lui mais c’est différent. Cet homme est un personnage à lui tout seul et au delà de son physique agréable, je veux en savoir plus sur ce qu’il se passe dans ce crâne.
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Je me retrouve curieusement amusé par cette demoiselle que je connais principalement pour son travail. Nous nous sommes déjà croisés il me semble, j'en suis presque persuadé. Elle a des yeux noirs difficile à oublier et pour lesquels je pourrais tout aussi bien faire une révélation mais mon statut me dit que je ne peux pas me le permettre. Je risquerai bien des soucis que j'aimerai m'éviter pour un retour, pour toujours aussi. Et si je m'emballe sur notre passionne commune, je réalise rapidement que je suis chargé d'une mission que j'ai bien failli effacer de ma mémoire. J'annonce à tâtons pour y aller doucement mais tu imposes ton propre rythme d'une question, suivie d'une affirmation qui me dresse un sourcil Vous êtes comme une sorte de package? Parce que ça risque de poser un léger problème. Mes doigts triturent le pauvre feutre pendant que mon regard continu de jongler sur vos visages avant de s'arrêter sur celui qui m'a remplacé avec brio J'ai une proposition à vous faire, mais si ça ne vous convient pas je suis ouvert à la discussion d'accord? Je ne veux pas d'un oui pour faire plaisir en pensant que si vous refusez il y aura des lourdes conséquences. Un petit sourire On est pas en Corée du Nord ici. et un peu de plaisanterie pour éviter à tout le monde d'être tendu comme un string, le tanga est nettement plus joli. Mon postérieur vient se poser sur le meuble qui est à ma portée et je m'explique Vous avez fait du très bon travail pendant mon absence et je tien tout d'abord à vous remercier.... Carla, à New-york nous avons la plus grande boutique Chanel ainsi qu'un atelier pour lequel tu as ta place. Et en attendant d'y prendre fonction, si tu acceptes, tu iras à chacune des prochaines Fashion Week en mon nom mais aussi en ton nom pour faire défilé tes créations. Bien que la plupart soit juste des modèles bâtis sous patrons des stylistes, ça n'en reste pas moins labeur. Carmen C'est ton visage que je viens fixer, toujours dans ce sérieux qui n'est clairement pas l'attitude pour laquelle je suis le plus connu Soit vous suivez Carla soit vous restez ici, avec moi. Comme bras droit, bras gauche, les deux Ou alors vous me dites non aux deux choix et on programmera un entretien pour discuter de la suite. Un petit soupir extériorisé, je suis cependant fier de ce que je viens de réaliser. Mais vos compétences sont prometteuses, comme ce que vous avez accomplis jusqu'ici. Un peu anxieux du verdict Si vous avez besoin d'en discuter là, j'peux sortir un instant...
       
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Je pensais avoir plus le temps avant cette conversation et je dois dire que je suis presque décontenancée quand il lance le sujet de nos postes et notre avenir dans la compagnie mais aussi - voire surtout - ici. Je le regarde et essaye de rester droite, forte et surtout de garder la tête haute. Je risque de me faire renvoyer dans quelques minutes et l’idée me tord l’estomac. J’adore ce que je fais ici, j’adore la dynamique de l’entreprise et tout ce que cela m’apprend pour mon projet, pour mon futur. J’ai besoin de cette expérience plus que n’importe qui d’autre. Ou autant que n’importe qui d’autres mais moi, j’ai réussi à pousser les portes et à m’installer. Elle est là la différence entre moi et ma concurrence. Pas vraiment. Que je souffle rapidement alors que Carla dit que non. Je la regarde, fronce les sourcils et fait un pas dans le sens opposé où elle se trouve, comme pour marquer de la distance et qu’il ne nous offre pas le même sort. J’acquiesce ses dires et écoute ce qu’il dit. Si c’était le Messi qui me donnait ma mission de vie, j’aurais la même attention, c’est pour dire. Je ne veux rien louper, tout comprendre et surtout voir le supérieur qu’il est. Sexy, drôle, impliqué et humain, ça je le sais mais le reste ? La proposition faite à Carla me fait envie, tellement. C’est un pas énorme pour n’importe quelle personne qui tente de se s’implanter. Mais je ne peux pas me battre pour cela. Et quand c’est mon prénom qu’il propose, je le regarde, lui adressant un léger sourire, cherchant à savoir ce qu’il veut me dire, me faire entendre mais surtout me proposer. Mon rôle restera le même. À New-York ou ici. J’ai le choix, une option que Carla n’a pas vraiment. Il n’y a aucun mots qui sortent de ma bouche pendant un long moment et je souffle Je veux rester ici. Je veux travailler avec vous. Que je lance avant que qui que ce soit ait le temps de parler. J’ai mes études à finir et je pense que j’ai encore beaucoup à apprendre. Et puis si l’ouverture s’est faite sous une autre tête pensante, je sais que Gaspard a beaucoup à m’apprendre. Pour moi, le choix est sans appel, éclairée et sans regrets. Il ne faut juste pas que Gaspard le regrette plus tard mais ça, au pire, ce n’est pas mon problème. Je me tourne vers ma supérieure actuelle et amie et souffle Meuf, tu peux pas refuser New York. Simple avis mais je sais que j’ai raison, elle le sait aussi.
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Le silence pesant commence à me rendre anxieux, une émotion que je ne ressens pas souvent. Je ne sais pas si je suis doué dans le rôle du patron, je fais de mon mieux pour y aller doucement et me mettre à la place de l'employé à qui je m'adresse. Par exemple, pour Carla, je peux entièrement comprendre et entendre sa peur de devoir partir dans une ville inconnue mais surtout dans la plus grande boutique de notre marque. C'est un gros challenge, quelque chose qui ne peut pas être loupé mais qu'elle ne doit pas raté non plus si elle se lance. Sur le point d'avancer vers la porte pour vous laissez réfléchir, ta voix me stoppe dans l'action. Et j'avoue fort volontiers que ta réponse est celle que j'espérai entendre. Mon visage pivote, comme le corps qui suit, pour que mes yeux puissent aller dans les tiens. Aucun mot mais un simple sourire, sincère, qui je l'espère te transmet tout le plaisir que tu viens de me donner. Tu t'adresses à celle qui a su me remplacer ces derniers temps et naturellement, nous formons une équipe, atypique oui, mais une équipe. J'approche mon être d'elle pour poser ma main sur mon épaule Vous pouvez refuser, ne l'écoutez pas... Une taquinerie lancée Mais ce qu'elle tente de dire c'est que c'est une immense occasion qui mérite réflexion. Et qu'à votre place, elle foncerait. Moi aussi, si vous voulez mon avis. Nous parvenons à remettre des sourires sur nos visages et bien que quasiment convaincue, notre compagnie indique son besoin d'en parler a son entourage avant de ce prononcer. Je l'encourage et lui ordonne de prendre sa journée pour s'y atteler. C'est comme ça qu'elle quitte l'endroit, nous laissant à deux. C'était trop violent? Comme manière de faire, d'annoncer. Mes doigts qui dans mes cheveux, se chargent de replacer la mèche en arrière J'suis vraiment heureux que vous restiez à mes cotés. J'sens qu'on va faire des grandes choses. Une intuition qui prend aux tripes Vous allez être mon nouveau vent, ma bouffée d'air frais. J'avais peur de revenir et d'être en apnée mais maintenant je sais que je n'ai rien à craindre. Tu me prendras peut-être pour un fou, un illuminé et ce ne serait pas la première fois qu'on me traite de taré. Ou alors, tu vas concevoir ce que je tente d'expliquer, parce que tu partageras le même ressenti que moi.
       
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Même si l’opportunité est folle, je ne peux définitivement pas tout abandonner pour New York. J’ai encore un peu à apprendre ici et je sais qu’assister Gaspard sera la meilleure formation que la vie aura à m’apporter. Je ne peux pas partir, je ne veux pas partir. Mais je sais aussi qu’à la place de Carla - si j’avais finis mes études et avais été embauchée par le boss - je n’hésiterais pas à faire mes valises. Boston-New York, ce n’est pas si loin que ça au final, on pourra se revoir dès que l’on en aura envie et toutes les choses intéressantes se passent là-bas et non ici. Je ne peux m'empêcher de rire aux mots de Gaspard et de rouler doucement des yeux. Ne l’écoutes pas, tu peux pas réfléchir trop longtemps parce que c’est pas la raison qui te fera changer d’avis mais de mauvaises excuses. Que je souffle rapidement. C’est toujours comme ça. On a envie de faire quelque chose et puis on se convainc que c’est une mauvaise idée et les opportunités sont manquées. Bordel. Gérer Chanel à New York, ça ne se réfléchit pas. Et, à mes yeux, si elle réfléchit ou hésite, c’est qu’elle ne veut pas cela autant qu’elle l’a dit. Le reste de la journée lui est accordée et après un clin d’oeil échangé, elle quitte le bureau. Violent ? Que je souffle en tournant le corps vers le blond. C’était tout l’inverse. Il est d’une douceur indescriptible et je suis même surprise qu’il pense le contraire. Il s’intéresse réellement à ses employés, il ne veut pas que son retour change des tas de choses chez nous et pour nous. Pourtant, il ne nous doit pas grand-chose et, en plus de cela, on savait toutes les deux que tout cela pourrait être temporaire. Je suis ravie de voir que ce n’est pas mon cas. Vous n’avez pas besoin de me flatte de la sorte, vous savez. Que je lance en riant légèrement, passant une mèche derrière mon oreille, touchée de ce qu’il vient de dire alors qu’au final, on ne se connait pas et nous n’avons pas vraiment échangé tous les deux. C’est notre première entrevue officielle… Je peux être tout ce que vous voulez. Une bouffée d’air frais, un petit tyran… Vos désirs sont des ordres. Que je rajoute rapidement avant d’attraper un calepin, un stylo et de souffler On commence par quoi ?

rp terminé.
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