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Te défiler pour ne plus ressentir aucune honte face à Ji-Hun ; t’y as pensé durant un court instant mais de quoi aurais -tu l’air ? Tu n’as pas envie de terminer la conversation sur une mauvaise note, bien que tu craignes que tu ne puisses pas la rattraper. Ton genoux est endolori, mais certainement moins que la trahison que tu viens de faire subir à ton partenaire préféré. Sans lui, tu aurais déjà abandonné ou du moins tu aurais accumulé les mauvais résultats. « C’est pas nécessaire de te casser le dos pour moi, ton bras suffira. » Et puis, est-ce que tu mérites qu’il se donne autant de mal pour toi ? Tu attrapes son bras et tu pinces la lèvre inférieure en sentant la douleur pulser dans ton genou.
Véritable canard boiteux lorsque tu emboîtes au côté de Ji-Hun à travers les rues de Cambridge. Tu es restée silencieuse durant tout le trajet, perdue dans tes pensées, te demandant s’il t’en voudra éternellement ou au contraire, si tu trouveras un moyen de te faire pardonner. Cette situation te préoccupe tellement que tu en oublies la douleur dans ton genou. Quelques minutes de trajet et vous arrivez sur le campus. Tu entres dans la Pforzheimer House, c’est la première fois que tu mets les pieds ici alors tes yeux se baladent et découvrent l’entrée puis la salle de séjour. Tu ne fais partie d’aucune fratrie, tu t’obstines à dire que tu es un loup solitaire. Il faut croire qu’une colocataire te suffit amplement. « Ouais, avec plaisir. » Tu hoches la tête, en espérant que son invitation à visiter est sincère. Ouais, parce que tu as peur que tout ça ait un impact sur votre relation.
Tu montes les escaliers, parcours un grand couloir, c’est plutôt calme, il n’y a personne et ça te surprend un peu. Tu entres dans la chambre de Ji-Hun, il te désigne son lit et tu t’en approches. « Toi aussi t’as des oreillers originaux… » Que tu lances, à demi amusée, en regardant les dossiers étalés sur son lit, pour toi, c’est plutôt les bouquins. Tu entasses les dossiers puis tu les poses un peu plus loin sur le lit avant de t’y asseoir. Alors que ton partenaire ramasse les vêtements féminins, ce qui te laisse à penser qu’une nana vit aussi dans cette chambre, tu te reperds dans tes pensées, fixant le vide.. Ji-Hun se tient devant toi avec la trousse de secours et sa voix te sort de tes pensées : « Ah, oui… » Tu te penches afin de retrousser ton jeans au-dessus du genou, une chance que tu détestes les slims. « N’appuie pas trop fort hein, fais attention. » Tu te sens obligée de le préciser parce que derrière ta grosse carapace, t'es une nana assez douillette. Alors qu'il entame les soins, tu ne peux t'empêcher demander, soucieuse ; «Est-ce que ... les choses vont changer entre nous ? J'veux dire... Est-ce que tu m'en veux à ce point - là ? »
@Ji-hun Hwang
Véritable canard boiteux lorsque tu emboîtes au côté de Ji-Hun à travers les rues de Cambridge. Tu es restée silencieuse durant tout le trajet, perdue dans tes pensées, te demandant s’il t’en voudra éternellement ou au contraire, si tu trouveras un moyen de te faire pardonner. Cette situation te préoccupe tellement que tu en oublies la douleur dans ton genou. Quelques minutes de trajet et vous arrivez sur le campus. Tu entres dans la Pforzheimer House, c’est la première fois que tu mets les pieds ici alors tes yeux se baladent et découvrent l’entrée puis la salle de séjour. Tu ne fais partie d’aucune fratrie, tu t’obstines à dire que tu es un loup solitaire. Il faut croire qu’une colocataire te suffit amplement. « Ouais, avec plaisir. » Tu hoches la tête, en espérant que son invitation à visiter est sincère. Ouais, parce que tu as peur que tout ça ait un impact sur votre relation.
Tu montes les escaliers, parcours un grand couloir, c’est plutôt calme, il n’y a personne et ça te surprend un peu. Tu entres dans la chambre de Ji-Hun, il te désigne son lit et tu t’en approches. « Toi aussi t’as des oreillers originaux… » Que tu lances, à demi amusée, en regardant les dossiers étalés sur son lit, pour toi, c’est plutôt les bouquins. Tu entasses les dossiers puis tu les poses un peu plus loin sur le lit avant de t’y asseoir. Alors que ton partenaire ramasse les vêtements féminins, ce qui te laisse à penser qu’une nana vit aussi dans cette chambre, tu te reperds dans tes pensées, fixant le vide.. Ji-Hun se tient devant toi avec la trousse de secours et sa voix te sort de tes pensées : « Ah, oui… » Tu te penches afin de retrousser ton jeans au-dessus du genou, une chance que tu détestes les slims. « N’appuie pas trop fort hein, fais attention. » Tu te sens obligée de le préciser parce que derrière ta grosse carapace, t'es une nana assez douillette. Alors qu'il entame les soins, tu ne peux t'empêcher demander, soucieuse ; «Est-ce que ... les choses vont changer entre nous ? J'veux dire... Est-ce que tu m'en veux à ce point - là ? »
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