Tu ne croyais pas avoir autant de plaisir lors de ces journées à la recherche du grand amour. Toi qui étais persuadée de passer à la trappe, tu as su être charmé par cette mystérieuse personne que tu t’apprêtes à rencontrer. À est-elle, à quoi ressemble-t-elle ? Vous avez tellement passé un bon moment à vous faire rire, à flirter et de ton côté à être maladroite comme on te connaît, que ce rendez-vous ne pouvait qu’être intéressant, voire surprenant. Désireuse d’en connaître davantage sur ce mystérieux Dieu du Stade, mais à la fois stressée de t’y rendre, tu prends place sur une chaise mise à votre disposition. La jambe qui tremble légèrement, le coeur qui bat plus vite qu’à l’accoutumé, tu passes rapidement les mains sur ton visage pour te donner du courage. C’est tout à fait différent que d’être cachée derrière un mur lumineux, mais après tout, tu es toujours la même, n’est-ce pas ? Celle qui l’a fait rire aux éclats et avec un peu de chance, sourire ? Celle avec qui il a échangé des histoires cocasses comme cette histoire de douche. Une fois qu’il ton inconnu fait finalement son entrée, tu ne peux t’empêcher de l’examiner avec attention. Il t’a dit que tu allais être surprise, voire admirative devant lui lorsque tu allais le voir, il n’a pas menti. Tu te lèves donc de ta chaise pour aller à sa rencontre et le saluer. « Alors, c’est toi mon Dieu du Stade. » Alors là, il faudra qu’il te raconte cette histoire de carrière, t’es curieuse d’en apprendre plus à son sujet. « Enchantée, je m’appelle Graziella. » Le voir en chair et en os, mettre enfin un visage sur sa voix est un pur délice.@Horus Shipley
colossinge & argus rusard ; impossible de déterminer si j’étais plutôt stressé ou excité par ce fameux date, que j’avais réussi à décrocher. enfin que tu avais décroché pour nous. je n’ai pas réussi à te faire sortir de ma tête, tu y es entré ce jour-là, lors de notre rencontre dans les capsules, pour ne plus jamais y sortir ensuite. mémorable est le mot pour compter les fous rires que nous avons eus, les plaisanteries lancées, nous avons tout de suite accroché. légèrement en retard, je n’attends pas pour aller te rejoindre et je te vois l'air un peu surprise quand tu me remarques, m’examinant avec attention. ton attitude provoque ce rire que tu as entendu tant de fois derrière un mur, impossible pour moi de me contrôler. tu n’es pas du tout comme je l’imaginais, tu es même mieux de ce que j’imaginais, et je laisse mon sourire te communiquer cette joie de mettre enfin un visage sur ta voix. tu sembles te rappeler de tout, même du surnom que je t'ai donné pour me nommer. — tu l’attendais de pied ferme, ton dieu du stade ? décidément je m’amuse dès les premières secondes, sortant déjà une pique. — c’est moi en effet, enchanté graziella. pas un nom commun, j’en connais une d’ailleurs de nom mais je n’y repense plus, hésitant un moment sur la manière de te saluer maintenant qu’il n’y a plus de mur qui nous sépare. — tu es celle qui sentirait cette belle fleur, la nymphéa stellata. je m’assieds finalement sur la chaise vide près de moi, tout sourire. — moi c’est horus au fait. alors que j’avais plein de questions à ton sujet en tête, je réalise après que je ne te décroche pas des yeux. — pour une fille maladroite comme toi, t’as fait une super prise en m’invitant. je finis par ricaner, l’air taquin.
Tu n’as jamais vu un rire aussi contagieux que le sien ou peut-être es-tu simplement heureuse ? L’histoire ne le dit pas concrètement, mais plaisir, il y a, c'est indéniable. Tu n’oses imaginer ce qu’il peut penser de toi, alors que tu n’arrives pas à arrêter de le regarder et qu’il rigole. Il doit être fier de l’effet qu’il peut te faire. « Oh ça je ne te le fais pas dire. Je n’ai pas dormi de la nuit, j’pensais qu’à cette douche… » Ricanant de bon coeur, mais également très soulagée qu’en fait, qu’il n’ait pas menti sur son identité, qu’il ne soit pas un papi de 60 piges. « Pour l’odeur, tu pourras y vérifier par toi-même. » Lui présentes-tu ton cou avant de rire. Sourire qui ne te quitte plus, vous finissez par vous installer à la table, inclinant ta tête en signe de salutation lorsqu’il te dit son prénom. Original, mais jamais, tu n’aurais deviné qu’il s’agissait du prénom d’un Dieu, tu aurais attendu longtemps avant de le découvrir, même. « Tu m’as fait l’effet d’une bombe, t'a tout pulvérisé sur ton passage. Je n’ai pas eu le choix de lancer mon hameçon à l’eau et bien heureuse que tu l’aies attrapé. J’espère que tu n’es pas trop déçue. » Tu attrapes une fraise présente sur la table que tu croques à pleines dents, regardant Horus droit dans les yeux, priant pour que rien de désagréable ne se produise. « Je ne suis pas encore tombée, heureusement pour moi, mais on en reparlera dans deux ou trois verres. » Un autre petit rire sort de ta gorge. En parlant de ça, tu attrapes les deux coupes posées près de vous et les poses toutes les deux devant vous. « On commence par laquelle, le blanc ou le rouge ? »
colossinge & argus rusard ; je te rencontre enfin, ce n’est pas rien car on n’a pas cessé de discuter ni de flirter dans cette capsule. j’admets que mon intérêt pour toi, même face à toi n’a pas faibli. est-ce bon signe pour la suite ? sûrement car j’ai l’intention de profiter de ce moment avec toi, sans mur lumineux qui nous sépare. conscient que tu ne me quittes pas des yeux, je prends l’air faussement surpris, toujours aussi amusé que tu penses toujours à cette douche évoquée ensemble. — tu tiens vraiment à cette douche, à ce que nos peaux s’enlacent ou à cette dégustation plutôt ? tu peux voir à mon grand sourire que je suis tenté par sentir ton cou, ton odeur mais je n’ai pas le temps de réagir que nous finissons par nous installer à cette table. continuant à rire, tu relèves tes yeux vers elle, charmé par la créature que tu es. — pourquoi je serais déçu ? tu as réussi à me vendre un moment inoubliable à vivre sous la douche avec toi et maintenant que je sais à quoi tu ressembles, je n’ai pas changé d’avis. à mon tour de te fixer longuement du regard, suivant des yeux cette fraise que tu croques à pleines dents. je me surprends alors d’imaginer ta langue parcourir ma peau et tes belles dents me marquer l'épiderme. je me reprends de plus belle, t’écoutant à moitié. — c’est l’heure de trinquer à cette rencontre avec un verre en effet, à toi l’honneur. rire qui s’échappe à nouveau de mes lippes, curieux de savoir si t’es aussi maladroite que tu le dis pendant que tu nous sers, c'est évident que je suis content d'être ici, tu me donnes envie de te découvrir encore plus. — profite du verre car tu peux compter sur moi s’il faut te rattraper si tu tombes ou pour te ramener chez toi saine et sauve. j’avance mon verre pour trinquer avant de sourire de plus belle. — alors tu penses encore que je t'ai fait l'effet d'une bombe ?
Tu ne comprendras jamais rien à tes agissements. Tu es tellement loin de ce style de filles qui ouvrent les cuisses pour le premier beau spécimen. Tu n’es pas comme ça, même que tu trouves dégradant le fait qu’une fille, voire même un mec regarde quelqu’un comme si c’était un morceau de viande. Pourtant, c’est exactement ce que tu es en train de faire avec Horus, évoquant cette promesse de douche. « Et si je te dis que je suis gourmande ? J’prendrais bien les deux. » Ta langue passe lentement sur ta lèvre inférieure, au même moment où vous vous assoyez. Et dès lors, ton pilote automatique s’installe. Tu dois faire tout en ton possible pour ne pas devenir ridicule, avec ta maladresse. Pourtant, cette douche revient rapidement sur le tapis. Tu ne peux que rire face à tout ça. Cette information a retenue votre attention à tous les deux, c’est indéniable. En versant vos coupes, tu fais tout ton possible pour ne pas le regarder, si tu le fais, il est clair que tu commences à rire ou sourire, ce qui risque d’être délicat pour ne pas faire de dégâts. Il a beaucoup trop le rire contagieux, tu t’en es aperçu lors de votre rencontre. Et l’attention qu’il te porte, cette bienveillance ne te laisse pas de marbre. « À notre rencontre. » Les yeux dans les yeux, tu ne peux t’empêcher de sourire, à sa question. « Tu me poses vraiment la question ? Tu doutes vraiment de l’effet que tu me fais ? » dis-tu toujours en souriant. Il ne les voies pas les étoiles dans tes yeux ? Au risque de te répéter, tu ne te comprends même pas toi-même pourquoi il te fait tant d’effet. « J’ai d’ailleurs une question de vie et de mort pour plus tard. » commences-tu, avant de marquer une légère pause et de poursuivre. « T’es plus salé ou sucré et aussi, Tequila, whisky, ou gin ? » Quoi ? Il ne pensait tout de même pas que tu allais te contenter que de cette soirée dégustation de vin. Tu as bien autre chose en tête, qui s’est amplifié lorsque tu as su à quoi il ressemble.
@Horus Shipley
Pas de souci
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