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Alberto Ulysse Feliciano | C'est le 17 mars 1990 en Italie, que les membres de la famille Feliciano m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Alberto Ulysse. Je suis statut célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de de droit depuis quatre ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Winthrop(obligatoire pour les étudiants). |
# Violent | # Nerveux | # Impulsif | # Paumé | # Mal |
APRÈS LA BOMBE J’ai flippé, j’vais pas mentir j’ai bien flippé. J’étais dans la bibliothèque au moment où la bombe a explosé, mais, grâce à Dieu je n’ai rien eu à part quelques égratignures. J’ai fait comme si de rien était, comme si je me moquais bien de cette bombe, mais c’était faux. J’ai cru que j’allais y passer, que ma vie allait s’arrêter maintenant, alors, c’est pourquoi depuis ce jours-là, je profite encore plus de la vie qu’auparavant, pourtant il y en faut. Eliot Pourquoi les Eliot ? Peut-être parce que je suis riche, peut-être parce que je suis un vrai connard aussi. J’ai toujours vécu dans le luxe avant que mes parents ne partent. Disons que je me vois bien dans cette maison, que ça soit à cause de ces valeurs, de la façon d’être des membres, mais aussi car c’est la confrérie qui me correspondrais le mieux, du moins, je pense. Après, j’ai déjà touché à la drogue, comme presque 80% des étudiants d’Harvard, mais suite à ce qui est arrivé à ma mère, j’en ai horreur et j’ai juste envie d’exploser la tête des personnes qui y touchent. Winthrop Les Winthrop, ce qui m’attire dans cette maison c’est le côté grand mâle musclé qui enchaine les aventures, les coups d’un soir et j’en passe. Je ne suis pas un gars sérieux, loin de là, ma plus longue relation a du durer… Une semaine ? Je me lasse vite, vraiment vite. J’suis le genre de gars qui n’a pas envie de se prendre la tête en rentrant dans un cercle vicieux appelé « relation amoureuse ». Certaines diront que je suis un enfoiré, d’autre que j’ai rien du gendre parfait, mais, au fond, j’en ai totalement rien à faire de ce que les gens peuvent penser de moi. | Marlon Teixeira |
# Froid | # Distant | # Pas sérieux | # Riche | # Désespéré |
Surprise | Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle new-connection et j'ai 21 ans. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à moi-même. C'est la guerre alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Marlon Teixeira comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 50 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé Mot de la fin ? ▲ Les pirates domineront !! |
This is my story
« Bim » Un bruit de fracas se fait entendre dans toute la maison. Je ne comprends pas vraiment ce que ça peut-être sur le coup. Alors j’enfile un jean et je descends voir. J’pige pas, y’a de la fumée partout, comme si une guerre avait éclaté chez moi, j’entends des cris, j’entends des insultes, des « à terre ». J’ose pas descendre, j’suis pas fait pour comprendre quelque chose que je ne vois pas, j’suis pas assez fort pour ça, et, quand la fumée se dissipe, je vois une dizaine de flics autour de mon père, il lâche son arme, il ne se défend plus. Plaqué au sol violement, il est relevé pour être emmené par ces individus. Je ne sais pas ce qu’ils veulent, ils ne se préoccupent pas de moi, ils ne sont pas là pour moi, ils s’en branlent de ma gueule, ils voulaient mon père, c’est tout. C’était tout ce qui me restait de famille, ma mère est morte d’une overdose deux ans plus tôt, une vraie junkie, paye le couple que mes parents formaient. J’suis seul, totalement seul, abandonné dans cette villa de je ne sais combien de mètre carré. Ma voix résonne lorsque je parle, mon corps ère dans ces pièces vides de vie. Livré à moi-même, je pars totalement en couille, je me moque bien de tout ce qui peut m’entourer. J’avance à reculons, je suis des études de droit pour devenir un putain d’avocat véreux, et j’assume ma vie, j’assume totalement le passé de mes parents, mais aussi leur présent.
« Mon fils, tu sais très bien tout ce que j’ai fait dans ma vie, mais je ne considère pas ça comme des erreurs, c’est le chemin que j’ai choisi, et je savais très bien qu’un jour tout ça prendrait fin, que tout ça se terminerait. Sauf qu’aujourd’hui, il faut que tu saches que tout l’argent que j’ai pu gagner est sur un compte à ton nom, il a été blanchi, et personne ne viendra t’emmerder avec ça. Tu es à la tête d’un empire, alors à toi de voir ce que tu vas en faire, continuer mon travail, ou vivre une vie différente de celle que tu as connu… Mon carnet d’adresse est dans le premier tiroir de mon bureau, tu n’as qu’un coup de fil à passer, tu le sais… » M’avait-il dit lors de ma première visite au pénitencier. Je savais très bien qu’il n’en sortirait pas maintenant. Trente ans de prison il a pris, imaginez un peu le bordel qu’il a foutu pour manger autant. Tiraillé entre la fierté de mon père et mon mal être, j’avais aucune idée de ce que j’allais faire, de comment ma vie allait se dérouler. Reprendre ce qui était un héritage familial ou bien faire ma vie, laisser tout ça derrière moi, suivre des études de droit et être un jeune homme respectueux. Je ne savais pas vraiment comment j’allais pouvoir avancer, après tout, je n’avais que dix-neuf ans.
Vingt-trois ans, la belle vie, le soleil, les soirées, les filles, oh oui putain les filles… Depuis maintenant quatre ans, je vie ma vie comme il se doit. Au fond, j’suis mal dans ma peau, au fond, je n’aurais pas aimé avoir cette vie-là, mais, on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas sa vie. J’ai eu le choix entre reprendre le business familial ou tout arrêter et vivre la vie d’un jeune homme de mon âge. J’ai pas pu faire de choix, alors j’ai pris la solution de facilité. Je mélange les deux. Comme mon père me l’avait dit, je n’avais qu’un numéro à faire pour reprendre son travail, et dans un moment de faiblesse, j’ai contacté cette personne… Je suis tombé sur un oncle, il m’a tout expliqué de A à Z, ce que faisait mon père, et sans mâcher ces mots. Sauf que lui m’a conseillé de continuer mes études, de ne pas tout arrêter, de vivre ma vie de jeune homme et de revenir quand j’aurais finit mes études, quand j’aurais mon diplômes d’avocat, car à ce moment-là, pour lui, je serais prêt pour rentrer dans la vie active. En attendant, je tape sur des gars quand leur gueule ne me revient pas, je m’énerve quand je n’ai pas ce que je veux, mais j’essaye d’être sérieux en cours. Car un jour, je sais que je devrais reprendre ce flambeau, sauf que je ne ferais pas les mêmes erreurs que mon père. Mon père, ce mafieux…
« Mon fils, tu sais très bien tout ce que j’ai fait dans ma vie, mais je ne considère pas ça comme des erreurs, c’est le chemin que j’ai choisi, et je savais très bien qu’un jour tout ça prendrait fin, que tout ça se terminerait. Sauf qu’aujourd’hui, il faut que tu saches que tout l’argent que j’ai pu gagner est sur un compte à ton nom, il a été blanchi, et personne ne viendra t’emmerder avec ça. Tu es à la tête d’un empire, alors à toi de voir ce que tu vas en faire, continuer mon travail, ou vivre une vie différente de celle que tu as connu… Mon carnet d’adresse est dans le premier tiroir de mon bureau, tu n’as qu’un coup de fil à passer, tu le sais… » M’avait-il dit lors de ma première visite au pénitencier. Je savais très bien qu’il n’en sortirait pas maintenant. Trente ans de prison il a pris, imaginez un peu le bordel qu’il a foutu pour manger autant. Tiraillé entre la fierté de mon père et mon mal être, j’avais aucune idée de ce que j’allais faire, de comment ma vie allait se dérouler. Reprendre ce qui était un héritage familial ou bien faire ma vie, laisser tout ça derrière moi, suivre des études de droit et être un jeune homme respectueux. Je ne savais pas vraiment comment j’allais pouvoir avancer, après tout, je n’avais que dix-neuf ans.
Vingt-trois ans, la belle vie, le soleil, les soirées, les filles, oh oui putain les filles… Depuis maintenant quatre ans, je vie ma vie comme il se doit. Au fond, j’suis mal dans ma peau, au fond, je n’aurais pas aimé avoir cette vie-là, mais, on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas sa vie. J’ai eu le choix entre reprendre le business familial ou tout arrêter et vivre la vie d’un jeune homme de mon âge. J’ai pas pu faire de choix, alors j’ai pris la solution de facilité. Je mélange les deux. Comme mon père me l’avait dit, je n’avais qu’un numéro à faire pour reprendre son travail, et dans un moment de faiblesse, j’ai contacté cette personne… Je suis tombé sur un oncle, il m’a tout expliqué de A à Z, ce que faisait mon père, et sans mâcher ces mots. Sauf que lui m’a conseillé de continuer mes études, de ne pas tout arrêter, de vivre ma vie de jeune homme et de revenir quand j’aurais finit mes études, quand j’aurais mon diplômes d’avocat, car à ce moment-là, pour lui, je serais prêt pour rentrer dans la vie active. En attendant, je tape sur des gars quand leur gueule ne me revient pas, je m’énerve quand je n’ai pas ce que je veux, mais j’essaye d’être sérieux en cours. Car un jour, je sais que je devrais reprendre ce flambeau, sauf que je ne ferais pas les mêmes erreurs que mon père. Mon père, ce mafieux…
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