(quinaya) let the game begins

Message envoyé depuis quelques minutes déjà et je sais que tu vas arriver. Chaque fois que c’est toi, j’ai envie de jouer. Soirée à la bibliothèque encore gravé dans ma mémoire. Prise d’un coup de folie j’ai envie de voir jusqu’où on peut aller ce soir. Jouer une partie en extérieur, la ville comme terrain de jeu et la seule règle : dire oui à tout. Je suis comme une enfant un matin de Noël tout excitée. Je te vois qui arrive alors que je t’attends devant la station de métro. Je peux pas réfréner le sourire sur mes lèvres j’en fois que tu es tout prêt. Résister à cette envie de venir à nouveau contre toi. « J’espère que tu es prêt et que rien ne t’arrête. » Regard qui accroche le tien et je glisse ma main dans ta nuque pour glisser mes lèvres tout près de ton oreille. « deux destinations s’offrent à toi. La voix numéro une t’emmènerais dans une soirée où rien ne sera interdit. L’autre te conduira vers le danger de l’illégalité. Que choisis-tu ? » Lèvres qui se pose dans ton cou avant de te relâcher.

@Quincy Adler

tes pas se firent de plus en plus pressants à mesure que la destination se rapproche, la hâte et la curiosité guidant ton rythme. souvenirs encore frais d’une soirée pleine d’extase qui te tapent dans le cortex cérébral. elle voulait remettre le jeu sur le tapis, et tu n’avais qu’un mot d’ordre : acquiescer à toute folie. c’était dans tes cordes, c’était le credo même de ton existence. alors ta frénésie ne se démonte pas quand tu la vois; et elle t’avait préparé un accueil digne de ce nom, le sourire plaqué sur ses lippes, les pupilles brillant de malice quand les tiens reflétaient le désir. « Tu me promets monts et merveilles, comment ne pas être prêt ? » tu l’étais, plus que de raison. et dû résister à répondre ta soif de tentation quand son souffle te chatouille la nuque. les idées qu’elles te proposaient étaient loin d’être claires à cet instant mais tu te forces à formuler une réponse. quelconque. « Si rien n’est interdit, l’illégalité peut faire parti de la première voie, non ? Parce que j’choisis cette voie là. » parce que ton imbecile de cerveau avait de toute façon décidé de prendre les jambes à son cou dès l’moment où elle était venu s’accrocher à ton cou. l’idée de l’aucun interdit te plaisait plus que bien. quand elle te relâche, te fais face, tu ne résistes pas et t’empares de ses lèvres. furtivement. « J’vous suis Milady. Faites-moi vivre la meilleure nuit d’ma vie. »

Impatiente de savoir où tes choix vont nous mener. Je veux encore te faire vibrer, te faire profiter de cet once de folie qui me guide constamment. Je veux m’amuser, te faire vivre des sensations forte. De l’adrénaline à l’état pure puisque rien ne m’arrête. Maintenant que tu es tout près de moi, je ressens cette envie de tout laisser tomber simplement pour sentir à nouveau ce corps a corps intense et profond entre nous. Lèvre que je maltraite entre mes dents pour ne pas succomber et tes mots qui me font sourire.  Baiser qui se pose sur ta peau, odeur de ton parfum qui m’envahit et me captive un instant jusqu’à ce que tu fasses un choix. Choix que je ne peux qu’approuver en constatant que tu es le joueur que j’avais imaginé. « Excellent choix. » Regard qui accroche le tiens à nouveau et ce sont tes lèvres qui s’écrasent sur les miennes. Baiser rapide, mais qui suffit à attiser un peu plus la flamme. Main qui saisit la tienne et un sourire malicieux s’y glisse. « Je sais exactement où on va aller. » Je te conduis jusqu’au métro pour que l’on puisse se diriger vers le sud de Boston, plan en tête en une fraction de seconde. Assis dans le métro, ton corps si près du mien. Mes doigts se glisse sur ta cuisse et s’immisce tout doucement vers l’interdît. Caresse pressante, puis furtive de quoi commencer à te rendre fous sous le regard de ces gens qui ne nous prête aucune attention.