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NATASHA ■ We fight like siblings and fuck like champions.

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J'avais bu. Beaucoup trop. À la limite même de l'indécence et je n'arrivai même pas à marcher correctement, les premiers boutons de ma chemise étaient ouverts et ma main droite était toujours refermée sur une bouteille... de whisky je crois. Bref, que dire, c'est bientôt la fin de l'année scolaire, la période des derniers examens, du stress pour l'année prochaine, les soirées étudiantes et le début de l'été. En général, je disparaissais pendant un mois durant cette période, je rentrais chez moi, en Russie et mes soeurs aussi, on retrouvait nos parents et pendant ces quatre semaines, nous redevenions une famille russe typique, normale quoi. Pas d'anglais parlé alors, rien que du Russe, pas question d'évoquer les cours ou même les États-Unis. Mais, évidemment, rien n'était aussi simple, cette année, je n'avais pas envie de rentrer. Pourquoi? J'aimais mon pays natal comme certains étaient capables d'aimer une femme, pareil pour Moscou et bien entendu, j'avais hâte de revoir ma mère et mes soeurs. Une seule ombre au tableau: mon père. Notre dernier conversation téléphonique s'était terminée sur une dispute. Mon père a pour habitude qu'on lui obéisse sans poser la moindre question vous voyez et évidemment, il attend la même chose de son fils aîné. Il s'est tout simplement mis en tête qu'une fois mon diplôme obtenu, je devais rentrer à la maison pour qu'il m'apprenne les rouages du métier. Le métier de... Eh bien des Poliakov, soutenir le parti politique, être influent, tout en sachant rester dans l'ombre. Je n'avais jamais voulu devenir ce genre d'homme et à présent que je faisais des études et dans une filière qui me plaisait en plus... Hors de question de revenir en arrière. Ce que je voulais faire, c'était dessiner, imposer ma vision au reste du monde et donner vie à des quartiers tout entier. Mais non... Pour lui ce n'était un passe temps, je ne faisais que m'amuser aux États-Unis et je devais impérativement rentrer. La dispute avait alors éclaté et j'avais raccroché le téléphone violemment avant de sortir. Mes pas avaient trouvé le chemin de la cuisine de la résidence et tout y était passé: vodka, tequila, bière... Tout. Je buvais pour oublier les paroles de mon père et pour devenir ce que tout le monde voulait: Sasha Poliakov, le connard attitré. J'étais sorti avec une bouteille à la main, j'avais trop chaud. J'avais continué d'avancer, je ne pouvais pas rester tout seul, je voulais voir un visage familier et donc le plus naturellement du monde, je m'étais dirigé vers la résidence des Lowells. Personne ne fit véritablement attention à moi et je grimpai les marches, le monde autour de moi tanguant. Je finis par coller mon front contre une porte, puis je frappai, une fois, deux fois. "Nathanaël for the love of fuck... Open that door. I know you're here." lançai-je en tapant encore sur la porte. Peu importe si j'attirai l'attention des autres, je voulais voir mon cousin, voilà tout.
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J'avais essayé de me coucher tôt. J'ai bien dit : essayer. Je n'ai pas tendance à être insomniaque ou quoi que ce soit. Non, je pense simplement que je suis jeune et que je n'ai pas besoin de dormir dix heures par nuit pour être en pleine forme et aussi frais que d'habitude. Mais ces derniers temps j'avais plutôt tendance à me laisser aller. Tantôt assis à mon bureau pour réviser jusqu'à pas d'heure ou simplement occupé à fixer mon cher plafond, cette étendue blanche immuable qui me passionne et qui me rappelle les nombreuses toiles que je recouvre avec passion, j'avais passé les dernières nuits à veiller et mes pauvres yeux commençaient à fatiguer. J'avais franchement besoin de repos. Inutile de dire que je m'étais donc empressé de me glisser dans mes draps juste après l'heure du dîner, en prenant soin de fourrer mes écouteurs dans mes oreilles pour être bercer par mes morceaux préférés. Il parait que la musique que j'écoute n'est pas du tout reposante, qu'elle donne même mal au crâne. Ce n'est pas bien grave. Je n'inflige mes goûts à personne, à part à mes oreilles. Tant pis si elles le vivent mal. Je déteste tout ce qui contient des paroles. J'abhorre les textes, quels qu'ils soient. J'ai en horreur tous ces groupes qui cherchent à écrire les choses les plus belles. Je ne veux pas qu'on me parle, je pense déjà beaucoup trop. Je veux entendre de la musique. Simplement ça. Quelques notes et du rythme. Beaucoup de rythme. Que ça bouge, aussi rapidement qu'un pinceau sur une toile, aussi frénétiquement qu'un crayon sur une feuille. Je veux que ce soit aussi saisissant qu'une peinture, qu'un dessin, qu'un vulgaire croquis, que la représentation de la vie sur une nature morte. Récemment, j'étais tombé amoureux d'un morceau que je me repassais en boucle alors que je fermais les yeux. Et comme à chaque fois, je me laissais emporter complètement, mes bras se mettant à naviguer tous seuls dans les airs sans que je puisse les arrêter, m'asseyant dans mon lit aussi brusquement que si je surgissais d'un cauchemar. Il n'était pas encore très tard. Si je m'endormais maintenant... Non, il fallait que j'écoute encore ce morceau.

Ce qui devait arriver arriva. Je m'étais saisi de quelques pots de peinture, et la musique retentissant toujours au creux de mes oreilles, je peignais de la manière la plus naturelle qui soit : avec mon corps. Avec mon coeur, plutôt. Les bras recouverts de diverses nuances de l'ar-en-ciel, j'étais étendu sur le sol de ma chambre, observant encore ce plafond que je rêvais de pouvoir atteindre et la peinture qui n'avait pas encore séché sur mes doigts laissa quelques traces sur mon torse nu. C'est alors qu'on toqua à la porte et que la voix de mon cher cousin ce fit entendre. "Nathanaël for the love of fuck... Open that door. I know you're here." Je levai les yeux au ciel avant de me relever pour le laisser entre. "For the love of... Oh Christ..." Sasha Poliakov, tu ne changeras jamais. "Keep your voice down and come on in, you idiot", dis-je en le trainant à l'intérieur en le tirant par un pan de sa chemise.
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Être ici, là, devant la porte de la chambre de mon cousin était une mauvaise idée. J'avais trop bu, j'avais le coeur qui battait la chamade et j'étais encore en colère. Oui en colère, en colère contre mon père qui ne me lâchait pas et en colère contre ce nom de famille que parfois je portais avec fierté et que parfois je haïssais. Je n'étais pas cependant le seul dans cette aventure-là et pourtant, si j'avais eu les idées claires, j'aurais réalisé que Nathanaël ne pouvait pas m'aider, car Nath ne se déplaçait pas parmi les vivants non. Nathanaël avait son propre monde, son propre univers, fait de peinture acrylique et cette musique dont il raffolait tant et qui en énervait plus d'un. Nathanaël. C'était avec lui que j'avais perdu ma virginité il y a bien des années et d'une certaine façon, cela nous avait rapproché un peu plus que n'importe quel cousin ou même n'importe quel frère. Nathanaël me comprend, ou alors il fait très bien semblant, peu importe tout me va. "For the love of... Oh Christ..." La porte finit par s'ouvrir et je m'écartai, avec un léger sourire aux lèvres. "Keep your voice down and come on in, you idiot" ."I'm not an idiot, you are." Pas une de mes meilleures répliques je le sais, mais il était très difficile de penser alors qu'il m'attirait à l'intérieur de sa chambre, certes, ses mains couvertes de peinture allaient ruiner ma chemise mais tant pis... Je m'en foutais là tout de suite, surtout quand je pouvais l'observer comme je voulais, toute cette peau là, pour mon propre plaisir, je pouvais regarder, toucher... Je fermai la porte avec mon pied en me laissant faire, une chose qui arrivait rarement. Une fois que j'étais certain que nous étions seuls, complètement seuls, mes mains se posèrent sur ses hanches, mes yeux voyageant déjà sur sa peau. "No you're not an idiot, you're beautiful, that's what you are." Qui parlait? L'alcool ou moi? Les deux? Oui, les deux, il fallait être aveugle pour ne pas voir que Nathanaël était magnifique, il ressemblait à un ange même, enfin si un ange possédait le même air blasé et rêveur qu'il pouvait avoir parfois, ou même cet air de débauche lorsque sa bouche était posée à des endroits de mon corps qui devraient probablement être interdit pour lui. Je l'attirai contre moi, mes mains dérivant lentement vers ses fesses. "Or maybe you did all of that on purpose? Hmm... Knowing it was me at the other side of the door? That would be lovely. I really hope you don't welcome everyone like that." Ma voix était à peine plus élevée qu'un murmure et mon accent était plus qu'audible. Lorsqu'il fut enfin pressé contre moi, mon sourire s'agrandit. "So... What should we do about that?"
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"I'm not an idiot, you are." Pour toute réponse, je souris simplement. Très franchement, je me demandais même si Sasha n'avait pas raison. Je devais être sacrément idiot pour lui ouvrir à une heure pareille en sachant pertinemment dans quel état il se trouverait et ce qu'il espérer obtenir en frappant à ma porte. Les choses étaient déjà bien assez compliquées en raison de notre lien de parenté et je me demandais si ce genre de visites ne finirait pas par rendre cette histoire encore plus complexe... Si toutefois c'était possible. Le problème, c'est que je n'avais rien à reprocher à Sasha. Et puis au moins, avec lui, je savais à quoi m'en tenir. Est-ce que j'avais envie d'être simplement utilisé quand Sasha décidait de se manifester de la sorte ? Oui. Clairement, je ne pouvais tout de même pas lui refuser ça. Ni me le refuser à moi non plus, d'ailleurs. Qui aurait pu être assez fou pour le repousser ?! Ce n'était tout simplement pas humain. Alors comme d'habitude, je préférais ne pas me poser de questions, appréciant l'instant présent. Je me retournai vers Sasha, l'observant fermer la porte à l'aide de son pied avant que celui-ci ne pose ses mains sur mes hanches. Mon dieu, il savait exactement comment me rendre dingue... "No you're not an idiot, you're beautiful, that's what you are." À ces propos, j'eus beaucoup de mal à garder mon faux air sérieux et blasé, et je me laissais complètement aller face à ce compliment. Arborant un léger sourire, je remarquais que les premiers boutons de sa chemise était déboutonné et discrètement, je profitais un peu de la vue que cette infime ouverture voulait bien m'offrir. Il continuait de parler, me demandant si j'accueillais tout le monde de la même manière, dans cette tenue aussi rudimentaire et le corps presque recouvert de peinture. Je ne savais même pas dans quel état j'étais réellement, n'ayant pas pris la peine d'aller faire un rapide tour à la salle de bains avant de lui ouvrir... Mais après tout, je n'en avais que faire. J'avais toujours eu beaucoup d'intérêt pour la mode et le stylisme, mais mon allure ne m'avait jamais posée de problème. J'étais à l'aise dans toutes les tenues, surtout devant Sasha. " What if I do ??", répondis-je enfin sur un ton quelque peu provocateur. Je ne savais pas vraiment ce que j'espérais... Peut-être l'énerver un peu pour pimenter ce qui allait suivre et le rendre incontrôlable ? Certainement. Il n'y avait rien de plus excitant que de l'imaginer en train de passer sa colère sur moi. "So... What should we do about that?" , demanda-t-il alors que j'étais à présent serré contre lui. Je me décidai enfin à défaire les boutons de sa chemise avec lenteur, observant toujours sa réaction. "Ever done it on a desk before ?", lui murmurai-je au creux de son oreille avant de laisser glisser mes mains sur son torse nu jusque vers sa ceinture.
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Je regardai Nathanaël défaire les boutons de ma chemise d'un air absent. Cela n'aurait pas dû être aussi bon de sentir ses doigts courir sur ma peau, non, et non, je n'aurais pas dû boire autant ce soir. Mon jugement n'est pas meilleur quand je suis sobre, loin de là, cependant quand je suis sobre, j'arrive à voir que ce que Nathanaël et moi faisons eh bien... Selon certains, c'est mal. Mais bon, règle numéro un des Poliakov : ne jamais suivre les règles. Donc tout ce que je peux faire pour l'instant c'est sourire en regardant Nathanaël faire. Parfois dans ces moments, dans nos moments, je me rappelle de notre première fois à tous les deux. C'était maladroit, rapide et ça manquait clairement de romance mais tant pis, j'avais seize ans, je ne réfléchissais pas vraiment et c'était arrivé, simplement et rapidement. Est-ce qu'il regrettait, est-ce qu'il le ferait si c'était à refaire? Peut être pas non. Il me sortit de mes pensées en prononçant une phrase qui aurait fait frémir plus d'un homme mais qui ne provoqua qu'un léger sourire chez moi. "Ever done it on a desk before ?" Voilà comment ça se passait entre nous, d'une quelconque manière, il finissait toujours par s'offrir à moi, je pouvais déjà l'imaginer sur le bureau, complètement nu en train de gémir mon prénom. Une vision plus qu'alléchante et si j'étais un peu plus émêché, je l'aurais sans doute déjà poussé jusqu'à la table en question et nous serions déjà en train de nous embrasser. Au lieu de quoi, mes mains dérivèrent de ses hanches à ses fesses et j'haussai les épaules. "What do you think? I mean knowing me I probably did it in every possible way, even way that would make you cheeks go red if you knew. You're not the only one who wants me Nathanaël." murmurai-je en retour avant de lui voler un baiser. Il n'était pas le seul dans ma vie, cependant, Nathanaël était le seul vers lequel je revenais en permanence, il était mon point d'ancrage en quelque sorte. Mais bon, même moi là tout de suite, je ne suis pas bourré au point de tout lui avouer. Il n'a pas besoin de savoir ça, on fait parti de la même famille c'est suffisant.
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