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Les originesArjen est néerlandais. Mais étant né dans une famille noble européenne, du fait des croisements et des alliances historiques, il a des origines multiples, notamment anglaises.
feat. Josh Beech
7 juillet 1992 (30 ans), Amsterdam
Neerlandais
Célibataire nocif. Pansexuel radical.
Chargé d'affaires consulaires
Aristocrate aisé
Hautain
Arrogant
Solitaire
Joueur
Hypersensible
Loyal
Résumé de l'histoire
Arjen est issu d’une famille noble néerlandaise. Aristocrate à l’ancienne, il en aborde tous les codes – plus encore, puisque son statut social mêlé à une forme de perversité juvénile le pousse à jouer les diables en toute circonstance. Il est comme un jeune Méphistophélès, solitaire et cynique, trouvant son plaisir dans l’anéantissement total et radical de toute règle morale. Asservis à son héritage et au joug sévère de son père, il crée son espace de liberté dans l’affranchissement émotionnel qu’il peut avoir vis-à-vis du commun des mortels. Arjen est inaccessible, mystérieux et peut prendre un malin plaisir à vous torturer en même temps qu’il se torture, puisque ce qui compte, c’est d’enfin être cap de ressentir quelque chose.
Au-delà, et pour celleux qui auront tenu la rencontre jusque-là, Arjen est un enfant triste ; hypersensible, profondément mélancolique, il s’est réfugié dans la haine, le mépris et la colère depuis petit pour ne pas avoir à supporter la douleur et la peine que lui provoquait la vision d’un monde aussi cruel. Son espace de tendresse total est sa famille : sa défunte mère à qui il aurait aimé ressembler. Son petit frère et sa petite sœur, trop doux et parfait pour ce monde de brutes. Paradoxalement, son espace de déshumanisation profonde est cette même famille : son père, violent et humiliant qui n’a eu de cesse de dresser Arjen comme un chien de garde depuis son enfance. Son grand-frère, traitre et menteur, qui l’a abandonné à son propre sort après s’être servi de sa naïveté et de sa loyauté indéfectible.
Arjen a étudié à Harvard il y a quelques années. Il était à la Eliot House, comme son père avant lui, et comme nombre de personnes de son entourage. En 2016, il vit successivement deux drames. D’abord, pendant le mariage d’Oksana, une prise d’otage qui tourne mal. Arjen se prend une balle dans le torse, reste alité plusieurs semaines. Finit par s’en sortir, bien qu’une question continue de l’obséder, « est-ce que j’aurais préféré mourir ce jour-là ? ». Ensuite, quelques jours après la prise d’otage, sa mère décède de manière fulgurante anéantissant le dernier coin de soleil qui résistait dans le cœur de Noah.
Il est parti d’Harvard d’un coup après ça. Se trainant à travers sa vie et ses obligations sans âme, sans désir. Dans la tête, un fantôme en sommeil, peut-être le seul capable de le réveiller : Lara. L’amour de sa vie ?
Au-delà, et pour celleux qui auront tenu la rencontre jusque-là, Arjen est un enfant triste ; hypersensible, profondément mélancolique, il s’est réfugié dans la haine, le mépris et la colère depuis petit pour ne pas avoir à supporter la douleur et la peine que lui provoquait la vision d’un monde aussi cruel. Son espace de tendresse total est sa famille : sa défunte mère à qui il aurait aimé ressembler. Son petit frère et sa petite sœur, trop doux et parfait pour ce monde de brutes. Paradoxalement, son espace de déshumanisation profonde est cette même famille : son père, violent et humiliant qui n’a eu de cesse de dresser Arjen comme un chien de garde depuis son enfance. Son grand-frère, traitre et menteur, qui l’a abandonné à son propre sort après s’être servi de sa naïveté et de sa loyauté indéfectible.
Arjen a étudié à Harvard il y a quelques années. Il était à la Eliot House, comme son père avant lui, et comme nombre de personnes de son entourage. En 2016, il vit successivement deux drames. D’abord, pendant le mariage d’Oksana, une prise d’otage qui tourne mal. Arjen se prend une balle dans le torse, reste alité plusieurs semaines. Finit par s’en sortir, bien qu’une question continue de l’obséder, « est-ce que j’aurais préféré mourir ce jour-là ? ». Ensuite, quelques jours après la prise d’otage, sa mère décède de manière fulgurante anéantissant le dernier coin de soleil qui résistait dans le cœur de Noah.
Il est parti d’Harvard d’un coup après ça. Se trainant à travers sa vie et ses obligations sans âme, sans désir. Dans la tête, un fantôme en sommeil, peut-être le seul capable de le réveiller : Lara. L’amour de sa vie ?
Les anecdotes
- ( 01 )Il porte à l'annulaire gauche sa chevalière, ornée du blason familial.
- ( 02 )Il est entièrement tatoué. Au départ, c'était pour cacher les ecchymoses laissaient par les maltraitances de son père. Aujourd'hui, c'est peut-être pour disparaître sous une oeuvre d'art de chaire.
- ( 03 )Il garde de lourdes séquelles de la prise d'otage qu'il y a eu à Harvard il y a quelques années. Une cicatrice de balle sur le torse; une peur panique des bruits soudains.
- ( 04 )Il n'a jamais réussi à oublier Lara.
- ( 05 )Sa mère, l'amour de sa vie, est décédée lorsqu'il était encore à Harvard. C'est ce qui avait signé son départ. Il a disparu du jour au lendemain, sans rien dire à personne.
- ( 06 )Il revient à Harvard en travaillant à mi-temps comme chargé consulaire au consulat des Pays-Bas. En voulant absolument fuir les traces de son père, il s'est retrouvé à marcher dans, exactement, les mêmes chaussures.
(Invité)