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Les originesAnglaises, danoises, suisses
feat. Kevin Lutolf
02.04.1995 ; Copenhague
Anglo-danois
En couple ; Bisexuel et Biromantique
7ème année de génie mécanique
Aisé
Le caractère
Je fais parti de ces gens qui ont un caractère affirmé, je l'ai toujours été. Enfant, j'étais colérique, impulsif et irréfléchi, des comportements que j'ai appris à maîtriser avec le temps, mais qui sont toujours là. Incapable de tenir en place et accro au sensations fortes, mes parents se sont demandé si je ne souffrais pas d'hyperactivité. Ce n'est pas le cas, mais j'ai horreur de m'ennuyer. Malgré mon caractère un peu brute, je sais vivre en communauté, et d'ailleurs, je préfère ça. Vivre seul, sans voir ou sans parler à personne ne me plait pas. J'ai besoin de contact humain, même dans les moments durs, même si je refuse de l'avouer aux autres. Il est difficile pour moi de faire confiance, de m'attacher et de dévoiler les failles sur ma personne, mais je ne refuse quasiment jamais d'offrir mon aide à ceux qui en ont besoin. Une loyauté sans faille envers ceux qui possèdent ma confiance, je fais parti de ceux prêt à donner ma vie pour ceux que j'aime. Un peu misogyne, j'ai encore plus de mal à faire confiance aux femmes qu'aux hommes. Généralement, ma relation avec ces dernières ne sont que professionnelles ou sexuelles.
Une fois que l'on fait partie de mon entourage, je peux me montrer beaucoup plus doux et amical. Souriant, je suis loin d'être timide et n'ai pas peur d'aller vers les autres. Parfois, il m'arrive encore de me comporter en gamin, pour tenter de rattraper cette jeunesse un peu perdue dans le chaos de la guerre. Bon vivant, je ne suis pas le dernier pour faire la fête, même si je ne touche à aucune matière stupéfiante. Je m'autorise un peu d'alcool, mais tente de garder l'esprit clair en toute circonstance. Minutieux dans mon travail et mes études, je suis bordélique pour tout le reste. Il m'arrive parfois d'avoir des crises d'angoisses, pendant lesquelles j'essaie de m'isoler. Montrer mes faiblesses me donne l'impression d'être un échec et une honte. L'image que les autres ont de moi me tient à cœur plus que ce que je veux bien avouer.
Une fois que l'on fait partie de mon entourage, je peux me montrer beaucoup plus doux et amical. Souriant, je suis loin d'être timide et n'ai pas peur d'aller vers les autres. Parfois, il m'arrive encore de me comporter en gamin, pour tenter de rattraper cette jeunesse un peu perdue dans le chaos de la guerre. Bon vivant, je ne suis pas le dernier pour faire la fête, même si je ne touche à aucune matière stupéfiante. Je m'autorise un peu d'alcool, mais tente de garder l'esprit clair en toute circonstance. Minutieux dans mon travail et mes études, je suis bordélique pour tout le reste. Il m'arrive parfois d'avoir des crises d'angoisses, pendant lesquelles j'essaie de m'isoler. Montrer mes faiblesses me donne l'impression d'être un échec et une honte. L'image que les autres ont de moi me tient à cœur plus que ce que je veux bien avouer.
Les anecdotes
- ( 01 )Kidnappé à l’âge de 3 ans, il aura fallu cinq ans à ma famille biologique pour me retrouver.
- ( 02 )Ma relation avec les femmes, d’une manière générale, est compliquée. La plus compliquée de toutes étant celles avec ma mère.
- ( 03 ) La politique est une vraie histoire de famille. Ma mère a été Première Ministre du Danemark, mon père fait partie du parlement anglais. Mes grands-parents sont pairs à la chambre des Lords, des fois, je me demande si je fais vraiment partie de cette famille.
- ( 04 ) J’ai deux petites sœurs avec qui je ne m'entends pas trop mal, même si ça pourrait être mieux.
- ( 05 )J’ai vécu de longues années à Londres avec mon père pour ne pas rester à Copenhague avec ma mère et mes sœurs. On rentrait cependant tous les week-end.
- ( 06 )Mon père a été longuement malade à une époque. Pour s’assurer qu’il se repose convenablement, nous sommes retournés vivre à Copenhague. Ma mère, à l’époque Première Ministre, fréquentait alors beaucoup la famille royale, ce qui m’a permis de me rapprocher de certains membres de la famille royale.
- ( 07 )A dix huit ans, je suis retourné vivre quelques mois à Londres avant de m’engager dans l’armée. J’ai été envoyé en Afghanistan après quelques années de service. Lors d’une opération dont les risques ont été mal calculés, mon escouade a été décimée. Lorsque j’ai su pourquoi mon groupe avait été pris pour cible, je me suis battu avec mon commandant en menaçant de tout révéler, l’affaire ayant été étouffée. Jugé inapte et instable, on m’a forcé à prendre ma “retraite” en me rappelant les risques que je prenais si je trahissais le secret professionnel. On m’a diagnostiqué une dépression et un léger PTSD à mon retour en Angleterre, où je ne suis resté que quelques semaines avant de rentrer à Copenhague.
- ( 08 ) A mon retour, je suis resté des semaines enfermé à bricoler des choses, comme j’avais toujours aimé le faire. Après des semaines de batailles verbales, mes parents ont réussi à me pousser à suivre des études.
- ( 09 )Pendant plusieurs années, j'ai été embauché par la famille royale danoise pour veille sur un des princes qui étudiait aussi à Harvard. Aujourd'hui, il arrive qu'on fasse encore appelle à mes services à titre exceptionnel.
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<div class="card-user-bottin-adams"><adams class="text-s-bebas text-upper">Kevin Lutolf</adams><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Anders H. Wellington"</span></div>
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