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@Juliet Wright ça marche, merci beaucoup 
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1, 2XAVI & KOBE & ACHILLE & SAYER ✧ fiche de liens
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Les originesdes origines brésilienne du coté de sa figure maternelle ainsi que des racines américaines du coté de la branche paternelle.
feat. bruna marquezine
le 31 octobre 1994, à los angeles (californie).
américano-brésilienne.
mère célibataire, hétérosexuelle.
ncienne diplomée de harvard, restauratrice d'oeuvre d'art.
aisée.
Résumé de l'histoire( 01 ) de son patronyme s'inspire les plus belles paroles que l'on peut retrouver dans la sphère musicale. Fille d'une grande parolière et compositrice de musique dont la célébrité s'est exportée du Brésil à l'Amérique du Nord, la gamine grandit dans un univers où l'art musical s'exprime avant de marcher – y compris pendant et après. Si la notoriété de sa mère s'est crescendo au fur et à mesure des années, son père quand à lui est un inspecteur ayant gravit les échelons avec une facilité qui font de lui un élément fort impression au sein de la CIA. Par son choix de carrière, son père se montre souvent absent et amenée à voyager énormément. Bien que ses parents ne se soient jamais mariés, ils décident de se séparer l'année de ses quatre ans. ( 02 ) la séparation de ses parents ne l'affecte pas tout de suite mais l'absence de son paternel elle l'exprime dans les nombreux dessins qu'elle fait à l'époque. C'est à ce période que se décline sa passion pour l'art mais plus encore que l'on détecte son talent pour la sculpture et la peinture. Sa figure maternelle œuvre alors en ce sens afin de permettre à sa fille de mettre en pratique ce qui la passionne. ( 03 ) l'originalité de son prénom de baptême peut surprendre notamment parce qu'il s'agit du nom de famille de son paternel. Un choix qu'a voulu ses parents à l'époque afin que jouer la carte de la singularité mais aussi une manière pour qu'elle puisse porter le patronyme de son père. La plupart des membres de son entourage la surnomment « say », un diminutif court certes mais qui a aussi sa petite anecdote mais qu'elle préfère conserver pour elle. ( 04 ) la môme grandit donc entre une famille recomposée puisque sa mère à refait sa vie auprès de son compagnon et de son fils et son père qu'elle ne voit que toutes les deux semaines. En dépit de son absence, père et fille échangent énormément et ne manquent jamais leur rituel – à savoir : une grande discussion sur le résumé de la journée. Elle s'entend particulièrement bien avec son demi frère, qui n'a que quelques années de moins qu'elle. Les liens du sang n'ont pour eux aucune importance, seul lien actuel demeure l'essentiel. ( 05 ) bien qu'elle passe une grande partie de son enfance dans le berceau de la ville de los angeles, c'est surtout sur les côtes de san diego qu'elle passe la plupart de son temps – pour ne pas dire chaque été. Elle aime l'inspiration que lui procure les vagues, l'objectivité du soleil, la liberté de la brise estivale. À l'image de chacun de ses éléments on peut y décliner certaines de ses qualités. Doté d'un tempérament optimiste et solaire, elle est de ceux qui vont de l'avant, qui voit en chacun le meilleur. Une brève naïveté qui lui jouera bien des tours dans sa jeunesse et bien plus tard malheureusement. Cependant, elle apprend toujours de ses erreurs. ( 06 ) elle a la manie de toujours travailler en musique, lorsqu'elle peint, lorsqu'elle sculpte, lorsqu'elle photographie et toujours lorsqu'elle visite un musée. Univers musical classique ou plus moderne, tout lui convient car en chaque composition se cache de l'inspiration. Elle adore l'odeur que dégage le vernis et les peintures à l'huile. Son entourage sait lorsqu'elle peint à l'huile car les effluves de térébenthine subsiste malgré tout. ( 07 ) dès son plus jeune âge, le corpus des enseignants ne cessent de souligner son assiduité, sa dévotion et l'excellence de ses notes tout en menant des activités qui remplissent – un peu trop – son emploi du temps. Au collège, elle s'implique pleinement dans des cours de tutorat pour aider les élèves qui ont besoin de soutien mais aussi dans le journal du collège pour la rubrique culturelle. Pluridisciplinaire, elle s'intéresse à tout ce qui l'entoure bien que l'art – sous toutes ses formes – se veut prédominante. Au milieu de l'hiver de sa deuxième année de lycée, Sayer est victime d'une agression qui remettra tout en cause notamment sa crainte de l'extérieur. Des séquelles contre lesquelles elle lutte pendant le restant de l'année scolaire où elle suivra des cours à la maison. Si son anxiété s'est atténué avec le temps, il lui arrive parfois d'avoir d'anciens réflexes du à ce traumatisme. ( 08 ) le choix des universités lui était ouvert mais c'est au sein de la faculté de Harvard elle pose sa décision de manière définitive et sans regret. C'est d'ailleurs quelques semaines après sa première rentrée en étude supérieures qu'elle fait la connaissance de Isaak. Si la première rencontre est loin d'être positive, au fil du temps l'espérance de Sayer donnera raison à leur amitié qui n'a cessé de se renforcer depuis. La distance qui s'en suivra suite au départ du jeune Windsor pour la Nouvelle- Zélande ne changera rie. Bien au contraire, les deux meilleurs amis se font pleinement confiance te peuvent compter l'un sur l'autre même de loin. ( 09 ) décembre 2019. soirée d'un nouvel an à laquelle elle participe sur demande sa mère même si le but est surtout de servir de chaperon sur son demi-frère. Au cours des festivités, elle fait la rencontre de Vince, un musicien prometteur en stage pour l'entreprise de sa figure maternelle. Entre eux l'alchimie est immédiate, l'attirance irréfutable … cependant chaque musique à une fin mais c'est pour mieux en apprécier l'histoire. Le couple qu'il forme c'est la jeune Andrade qui le porte à bout de bras. Infidélité sur infidélité, elle se veut patiente mais rien ne chance. Les effusions de colère pleuvent en pluie qui finit par mettre fin à leur histoire. Il se séparent en juillet 2020 et dans la même période, elle apprend qu'elle est enceinte de deux mois. En décembre 2020 (le 31 décembre plus précisément), elle donne naissance à une petite fille prénommée Nina. Les semaines qui défilent sont difficiles pour la jeune maman qui se doit de faire face à la dure réalité, celle qu'elle est plonge doucement mais certainement dans une sombre dépression – quand bien même elle fait au mieux pour le bien être de son enfant. L'équilibre à trouver mais aussi à recouvrer est dur. Courant 2021, elle tonne alors le dernier rempart sur lequel elle peut se reposer : son pilier de toujours, Isaak. Ce dernier lui a été d'une aide précieuse et d'un soutien de tous les instants – preuve étant qu'il n'a pas hésité à revenir sur Boston pour venir l'aider. ( 10 ) actuellement, tout va bien mieux dans l'existence de la brunette. Vivre en colocation avec son meilleur ami et sa petite amie – avec laquelle elle s'entend bien – est une chance et lui a permis de remonter pleinement la pente. Elle pourrait reprendre son indépendance mais elle aime bien être en leur compagnie et la colocation se déroule sans une ombre au tableau. Plus en profondeur, les émotions elle est dissimule sous des couleurs qu'elle sait à mieux apprivoiser pour ne pas tout gâcher, mais là encore elle reste énigmatique pour ne pas éveiller le moindre soupçon. Elle est de nouveau cette Sayer qui rayonne dans sa vie de maman mais aussi cette jeune passionnée par son boulot, cette sœur qui répond présent pour sa famille mais aussi cette amie sur qui le soutien sera toujours de mise.
Les anecdotes
en vrac – elle mange toujours des amandes lorsqu'elle se met à réfléchir. - porte des lunettes de vue lorsqu'elle peint, toujours. - son parfum préféré est la pomme d'amour. - pratique davantage de sport depuis la naissance de sa fille. - parle plusieurs langues dont l'espagnol, le français. - elle ne boit jamais hormis lors de cette soirée. - gourmande. - ne fume pas, même si elle apprécie l'odeur des cigare à la vanille de son père. - mythologie grecque et romaine. - bonne lectrice. - sweat à capuche. - adore regarder les matches de football. - famille (...)
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