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Wake me up when september ends (Joshua)

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TW : guerre, attentat, armes.

Flashback : il y a dix ans

Le soleil décline à l’horizon privant de ses derniers rayons les derniers pionniers encore debout. Terre désolée, calcinée des affres de la guerre qui sévit dans ce Mali où le paysage devrait tout englober plutôt que les armes tout défrayer. Hostile envahisseur dans ce combat  mêlé entre armées. Le palpitant au rendez-vous dès l’annonce de cette mission. Elle n’a la prestance d’un soldat Tessa et ne défend la veuve et l’orphelin mais ses mots ont un poids pour l’humain qui, de l’autre côté de l’Atlantique, se nourrit des lignes qu’elle rapporte pour rapporter la réalité de ce monde déjà englouti par la voracité humaine.

Le vol aux secousses incessantes, l’arrivée en trombe avec l’accueil habituel. Traducteurs et militaires pour mieux sécuriser son chemin. Elle est certes donzelle mais pas en sucre. Néanmoins, au fur et à mesure de ses diverses expéditions, la journaliste a appris la résilience et préfère laisser le soin à d’autres de gérer sa sécurité plutôt que de risquer sa vie. Téméraire mais pas suicidaire. L’accalmie est donc seulement passagère mais ce soir-là, ils ont posé leur camp aux abords du désert malien. Arabesques serpentant à perte de vue lorsque la poudreuse dorée se dresse, naissance de bien des chimères prennent vie dans ces étendues sauvages. Contes déposées au creux d’oreilles attentives par la magie diffuse des royaumes dépeints. Pour l’heure, l’air s’est fait plus frais et les astres commencent à baigner autrui de leur lumière acidulée. Synonymes de protection pour certains, elles appellent les iris de la reporter à les contempler, assise à l’extérieur des tentes dressées, les bras croisées, son corps reposant sur une caisse rendue siège improvisée. Son calepin à la main, le stylo court sur le papier essayant d’organiser ses idées du mieux qu’elle le peut. Du bruit s’élève enfin, des pas peut-être qui parviennent à la tirer de sa contemplation. Bâillement las, elle déclame : « Je veux bien avoir des toutous tout le long de la journée collés à mes baskets mais là, on est en terrain neutre non ? Mon article va jamais s’écrire à ce rythme-là. »

@Joshua Olson Wake me up when september ends (Joshua) 2511619667

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Huit ans, Joshua était à la fois déjà expérimenté, mais avait conservé l'allant du jeune lieutenant. Après un rapide passage chez les Rangers et différents stages, il commandait son petit groupe de Green Berets. Ce désert sahélien était devenu son jardin. Ses hommes et lui retrouvaient cet esprit pionnier, aventurier à vagabonder dans la région des trois frontières, entre Mali, Burkina et Niger. Son groupe avait reçu une mission de formation et d'accompagnement au combat des forces armées nigériennes, qui très vite s'était transformée en mission beaucoup plus offensive à travers le Gourma. 2015, les combattants jihadistes avaient commencé à se relocaliser lentement dans cette zone. Ils profitaient des mouvements de populations pauvres entre ces frontières poreuses pour acheminer des combattants, des chefs, armes, munitions, argent pour acheter le silence des locaux. Pour combattre cette menace l'US Africom avait ordonné, en concertation avec les alliés de la région et les partenaires occidentaux, à ses hommes d'aider les nigériens à frapper ces flux. D'une décision d'État-major à Stuttgart, à une vie de nomade sur pick-up surarmé, il n'y avait qu'un pas que le jeune officier n'avait pas hésité à franchir. Régulièrement,  alors que le moteur vrombissait encore, il s'installait sur le capot de son véhicule et savourait cette liberté qui avait l'odeur du sable et de l'essence. Les moments de tension extrême lorsqu'un groupe de combattants ennemis se dévoilait lui procuraient sa dose quotidienne d'adrénaline. L'esprit originel des commandos du désert britanniques l'habitait. Comme eux, il y avait cet esprit enfant de bonne famille raffiné qui venait s'encanailler loin de tout. Les dunes, les cartes dessinées deux siècles plus tôt, les étoiles nues toutes les nuits, les tirs traçants fendant l'obscurité, vivre avec les dix mêmes hommes pendant des mois sans nouvelles du dehors, ça faisait un homme. Le « dehors », un grand paradoxe alors que personne n'aurait pu être moins enfermé qu'eux. Dans ce désert, aucun grain de sable ne pouvait enrayer la machine.

Même cette jeune journaliste du Washington Post. Barreto était un nom familier qu'il avait déjà eu l'occasion de lire lorsqu'il était au pays. Étrangement, le soldat n'était pas un anti-intellectuel, au contraire. Il savourait le travail de la presse de qualité, apprendre des choses parfois douloureuses ou dérangeantes, au même titre qu'il se délectait de livres. Mais, la venue de la reporter avait été imposée par son commandement était tombée en plein milieu de ses opérations entre le Niger et le Mali alors il n'avait pas eu énormément le temps de discuter. Si le travail de presse était important à ses yeux, il ne justifiait pas de délaisser le commandement de ses hommes. Aucun manquement n'était possible à leur égard alors qu'il était responsable d'eux. La journée avait été calme, de simples visites de villages pour prendre du renseignement d'ambiance, parfaire sa maîtrise du français appris lors de son échange international à l'École Spéciale Militaire quelques années plus tôt. Mais ici, la tempête couvait toujours sous un soleil de plomb, et plus tard la situation changerait sûrement. À la tombée de la nuit, les quatres pick-up s'établirent dans la brousse sahélienne, sèche et clairsemée, où les mêmes qu'ils traquaient se réfugiaient souvent. Les bagnoles étaient disposées en carré, chaque mitrailleuse pointait un azimut différent pour être autant de postes de combat en cas d'attaque. Des tendeurs avec des bâches reliaient les véhicules pour offrir des tentes de fortune. Le lieutenant Olson lui, préférait installer un lit de toile militaire ou un tapis de sol, s'enfourner dans un sac bien chaud – car la température descendait vite dans le désert – dormir en regardant les étoiles, ou lire à la lueur de sa frontale rouge. Aucune journaliste ne le forcerait à déroger à la règle. Ses hommes étaient exténués, aussi, ils tombèrent très vite dans le sommeil, sous une bâche ou sur une banquette de pick-up. Le lieutenant s'était proposé pour les premières heures de garde. On estimait souvent que ce n'était pas aux officiers de faire ça car ils devaient être lucides et reposés pour diriger. Néanmoins Josh avait déjà en tempérament de mettre la main à la pâte, et dans un groupe si restreint chacun se donnait. Dans la pénombre, Joshua patrouilla autour du carré, avec son M4 Block II en bandoulière, il vérifia les armements collectifs, qu'ils soient en disposition de combat. Lorsque ce fut fait, l'officier réintégra l'enceinte de fortune pour regagner son lit de toile supporté par des pieds mécaniques sur lequel trônait Moby Dick de Melville par-dessus le sac de couchage. La journaliste était là, assise sur une caisse, visiblement à pester. Le militaire était en short de sport et t-shirt avec son gilet de combat Warrior Assault par-dessus, il s'était fait un malin plaisir à retirer le treillis pour des effets plus détendus. Ça faisait partie de ces signes qui aidaient à passer d'une phase de tension à une de relâche. « Ils ne sont peut-être pas toujours intelligents, ne sentent pas forcément bons, mais évitez de les traiter de chiens madame. Hélas, ils ne sont pas tous sensibilisés à l'importance du métier de journaliste... Et pourtant, aucun d'entre eux ne laissera quelque chose vous arriver tant qu'il vivra,, fit le militaire en posant son arme sur son lit avant de s'asseoir sur ce-dernier. « On est pas dans une zone neutre, madame, sur les derniers villages qu'on a fait et où tout s'est bien passé je pourrais vous faire une liste des informateurs d'AQMI. C'est pas parce qu'on a pas eu de soucis qu'on est pas sur leur territoire. Mais bon... De quoi avez-vous besoin pour cet article, que recherchez-vous ? Si tant est que vous ayez le droit de me le dire. »
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Flashback : il y a huit ans

Evidemment, sempiternel destin qui met sur sa route le désabusé, celui qu’elle a fui pour contempler l’horizon d’or façonné. Nuées récalcitrantes au milieu des bourrasques se levant au loin, jetées de sable dans toute la zone. Esquisse imparfaite de ces dunes souvent décriées mais royaume de la terre, dressées depuis peut-être avant les hommes. Avant ces combats qui revendiquent le sol comme leur. Le pouvoir, les hommes seraient prêts à se damner pour cette illusion car il n’existe de réel supérieur sachant que tous retombent, un jour, en poussière. Le regard foncé tourné vers l’éclat brillant de ces astres qui ne se reflètent sur la terre, hasard de la nuit ou pleine sérénité pour laisser court aux aléas de leurs propres destins mêlés car déjà la voix s’élève. Carrure qu’elle préférerait ne pas observer. Ne pas toiser mais la musculature saillante et le port altier de ses épaules tracées au rythme des entraînements et missions ne la laisse amère. Dame de raison, ce sont ses iris qui décrivent la distance qui la séparent sans qu’elle pense à autre chose que l’agacement ressenti en sa présence. Prétentieux sont ces hommes qui s’engagent, décriant l’affaire journalistique car bien qu’engagée, souvent cantonnée à une bande de gratte-papiers. Il en existe assurément mais Tessa a la prétention de valoir plus. De documenter ses papiers avec le plus de vérités qu’il soit pour que le lecteur se sente concerné par les causes défendues par les soldats. Car oui, même si leur attitude l’insupporte, elle comprend mieux désormais leur rôle et salue leur engagement. Néanmoins l’énigme Joshua est-elle entière ? Car ces regards qu’ils se jettent parfois sont-ils la naissance d’hostilité entre eux ou simplement autre ? Une chose sur laquelle elle ne désire pas mettre de réels mots car jamais ce genre de jeu n’a été sien. Surtout pas ici, dans ces terres reculées là où la raison et l’accomplissement de sa propre mission est primordiale. La frivolité n’a lieu d’être ni d’être ressentie et pourtant…

Les soldats demeurent silencieux mais la brune peut sentir leurs souffles disparates un peu plus loin. Sommeil salvateur gagné au prix de multiples efforts en cette journée. Le repos du guerrier mérité. Pourtant, « il » ne dort pas. Ses remarques trouvent écho et c’est sa voix qui lui répond. Cette voix qu’elle a trop entendue et qui pourtant lui tire un sourire. Lippes finement étirées, imperceptible sentiment exposé simplement à la vue du firmament. « Vous n’étiez pas censé entendre. Et cessez de m’appeler madame. Je ne suis pas une dame ici, une simple voix pour faire entendre le chaos qui règne ici. » Tessa se redresse, étire ses bras vers l’azur assombri. Bâillement qui résonne avant qu’elle s’avance vers le blond. Mains jointes vers l’arrière, visage qui frôle sa chevelure. « Ce n’est pas la rose que vous sentez mais les embruns du désert seraient presque hypnotisant, comme le dernier parfum Chanel. » Le rire s’éveille entre ses lèvres, baume peut-être apaisant au milieu de cette atmosphère étouffante. « Je ne veux pas de traitement de faveur Lieutenant, je veux la vérité. Votre réalité faite mienne. Et si je ne sais prendre les armes, j’ose croire que rapporter les vôtres aux autres est aussi important. »

Et la journaliste se laisse tomber aux côtés du bellâtre sans lui demander son aide, s’asseyant à ses côtés, son calepin dans une main, son crayon dans l’autre, tapotant de la pointe son front, presque ridé sous l’intensité de sa réflexion. « Parlez-moi de vos convictions. Je veux savoir pourquoi vous vous êtes engagés. Et ensuite, j’aimerais faire un point sur les conditions de vie des locaux depuis que le conflit a éclaté ? En quoi l’armée américaine apporte-t-elle leur aide ? J’ai envie de redorer votre blason. J’ai revu mes jugements à la hausse et mes lecteurs doivent en faire de même. Et… » pause dans sa voix, raclement de gorge pour envisager la suite. « Suis-je autorisée à vous photographier ? Je pense que cela pourrait attirer une autre forme de lectorat et sensibiliser les jeunes à votre combat. »

@Joshua Olson Wake me up when september ends (Joshua) 2511619667

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L'arme passée entre ses jambes, deux coups de doigts pour sortir les goupilles, Joshua démonta l'arme mécaniquement pour lui offrir un nettoyage sommaire bienvenu avec tout ce sable. Tirant le levier d'armement, il retira l'ensemble mobile et la culasse, sortit le percuteur  et frotta le tout avec des coton-tige et un vieux tissu. Le militaire savait où aller chercher la crasse et la poussière, son arme n'avait plus de recoin secret pour lui. Un jour ce désert à perte de vue, où il valait mieux se repérer aux étoiles qu'aux cahutes n'en auraient plus non plus. Il connaîtrait toutes les migrations pendulaires, tous les visages de n'importe quel village, qui est gentil, qui ne l'est pas, qui est tout à la fois. En l'état, il était avec cette journaliste curieuse. Curieuse car c'était son métier de poser des questions, curieuse car le personnage était intriguant. Un air interrogateur innocent se dessina sur ses traits jusque là marqués par l'usure du terrain et la fatigue. Il ne savait plus ce qu'était Chanel, la machine pédala dans la semoule durant de longues secondes avant que cela ne lui revienne.« Vous dites ça maintenant, Madame. Une semaine avec cette odeur dans les narines et vous voudrez mettre fin à l'hypnose.»

Le visage tourné vers le bas et son arme démontée en cours d'entretien, on devinait tout de même un sourire amusé que sa face tirée. Sourire dont il ne se départit pas lorsque la journaliste lança les hostilités, avec ses armes à elle, des questions et un calepin. Ses mains enveloppaient une pièce chromée que son pousse recouvert de tissu grattait avec une minutie qui le détendait naturellement. Alors le militaire tourna la visage, toujours chaleureux, vers son interlocutrice : « Ma réalité faite votre ? Je doute que vous arrachiez un Pullitzer ou un Albert Londres avec ça ! »Répondit-il dans un rire gai. « Pour être honnête je n'ai aucune vérité à vous proposer car je ne l'ai pas moi-même. La seule chose que j'ai, relève de la lecture personnelle donc inutile de me prendre pour parole d'évangile. Je dirais juste qu'ici on assiste à un conflit entre populations périphériques et gouvernement central illégitime aux yeux de ces populations. Les préfets, les hommes envoyés par Bamako n'arrivent jamais, ils préfèrent souvent rester à la capitale. Le problème c'est que depuis 2001 on a calqué sur tous nos ennemis le même schéma de pensée. Alors qu'ici on assiste à une périphérie qui est en révolte contre le centre à un intervalle de dix ans et sur laquelle s'est greffée al-Qaida et des sécheresses à répétition. Et, je peux aller chercher n'importe quel chef jihadiste et le faire disparaitre du Globe, je peux former des militaires à le faire, je peux pas apprendre à un gouverneur régional à administrer ses citoyens, pas plus que je ne peux faire tomber la pluie pour les Peuls madame. La vérité c'est ça, ce qu'on demande à mes hommes et pour lequel ils ont été formés, ils le font bien.»

Les gestes s'accélérèrent et en quelques clics d'oeil, l'arme avait été remontée et était prête à l'emploi puis posée en évidence, prête à être saisie pour répondre à un ennemi. Mais en l'état, Joshua y déposa son gilet tactique, seule restait sa ceinture avec son Glock, mais au moins son torse respirait avec un simple t-shirt. Se levant, le lieutenant s'empara d'un bidon d'eau et en fit couler un filet sur sa main. Il porta celle-ci à son visage et son cou et sa nuque pour se débarbouiller. La discussion n'était pas close pour autant. « Mes convictions ? Que contrairement à ce que pense Rousseau, l'état de Nature n'est pas particulièrement pacifique et que la guerre existait déjà au Paléolithique. Alors quitte à ce que la guerre fasse partie de la nature de l'Homme, autant que j'en porte le fardeau à la place de mes concitoyens. Et puis, parce que je trouve votre monde trop compliqué à comprendre Madame, et on manque de liberté et d'aventure. » Pour illustrer ses propos et son absolue liberté par rapport à l'Homme des villes, l'officier ouvrit une portière de jeep pour lui cacher le bassin et plaça le baril d'eau destiné à la toilette sur l'armature supérieure du véhicule. Tombant t-shirt et short, il ouvrit le bouchon et un nouveau filet d'eau ample le trempa intégralement. Il referma pour économiser ce précieux bien et se savonna grâce à sa trousse de campagne à portée. Son savon frais passa sur tout son corps pour créer de la mousse blanche sur son torse visible.« Si la situation est meilleure pour les gens ? C'est surtout aux Français qu'il faut demander ça, c'est leur zone, nous on accompagne surtout les forces locales ici, pas beaucoup plus. Je dirais qu'ils sont globalement contents de ne pas se faire racketter tous les jours pour financer des groupes armés. Maintenant, ce sont leurs fils qui sont dans les groupes armés, la plupart rejoigneny les bandes d'Aqmi car on leur propose le double du salaire offert par le gouvernement... Ils savent qu'on sera pas toujours là. Mais pas plus qu'on a gagné en Irak et son gagnera en Afghanistan, on ne devrait gagner ici. Mais pas besoin de m'endormir, je sais que vous n'êtes pas là pour redorer notre blason, j'en aurais été déçu d'ailleurs, vous êtes là pour travailler c'est suffisant comme ça. »Une nouvelle salve d'eau tomba pour rincer le savon et le militaire se rhanilla une fois séché par une petite serviette. Ses cheveux blonds perlaient encore mais le reste oscillait simplement entre sec et légèrement humide. Il revenait vers le centre du camp jusqu'à son lit pour s'y rasseoir, prendre en même temps son roman. « Malheureusement je ne pose que pour les calendriers sexy de l'unité madame. Plus sérieusement, nous ne sommes pas du genre à montrer notre visage. Maintenant, si vous avez l'âme d'une artiste, il y a toujours moyen de faire des beaux plans d'une jeep dans le désert, du camp à la belle étoile. Mais notre visage, nos concitoyens n'ont pas à les voir, ou alors c'est que quelque chose s'est mal passé et qu'on rentre dans une boîte enveloppée d'un drapeau.»
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