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I’ve come home - Gigi

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I'm going to fly to the moon and back
EXORDIUM.
A la fin de cette fashion week, sous les flashs des photographes, je repris subitement conscience dans un éclair de douleur. Mes entrailles me brûlaient affreusement. J'essayai de comprendre ce que je faisais là? Paris, ho mon amour. Je sais la raison de ma venue mais j'ignore celle qui m'a fait rester. Maman n'a de cesse de répéter que je ne dois pas bloquer ma vie pour la sienne qui est peut-être bientôt finie et papa ne supporte pas de m'avoir près de lui. C'est réciproque mon vieux, toi et moi nous ne sommes pas faits pour vivre à deux. Si je suis dans mon élément, j'ai dans l'esprit ta publication récente qui tournique et les tripes qui se tord. C'est décidé Paris, c'est ce soir que je m'en vais.

Boston m’accueille en début de nuit. Si l'envie de retrouver ma meute est grande, je ne peux pas débarquer à cette heure-ci. Oué bon si, je pourrai, ce serait un retour signé à la hauteur du personnage mais il y a une autre personne que je veux retrouver. J'indique l'adresse du nirvana au chauffeur après être monté dans son taxi avec le minimum d'affaires sur moi. Il faut dire que je suis parti, comme ça, dans ma tenue de gala. Si l'entrée fracassante auprès de ma fratrie est raté, j'ai tout le trajet pour réfléchir à celle que je vais te réserver. Tu n'es pas prête ma beauté.
Déposé à l'entrée, j'ai l'oeil analyste qui repère comme un changement auprès de la clientèle qui se trouve devant. Je n'ai pas le temps de m'attarder sur ce détail, j'ai tout un plan à exécuter. Malheureusement, seul, ce sera un peu compliqué. A hauteur des vigiles avec qui j'échange quelques normes de civilité, je ne met pas longtemps avant d'expliquer que j'ai besoin de leur aide Il va falloir simuler une immense embrouille. Je veux que l'employée la plus proche court auprès de votre patronne pour lui dire de se déplacer. Que c'est nécessaire parce que le gars à l'entrée est tout simplement entrain de poser sérieusement problème. Je me retourne sur les pauvres qui patientent pour entrer Même vous, j'veux que vous fassiez comme un cercle de spectateurs vous voyez comme quand y'a une bagarre ou idiotie du genre. Mon regard sur les agents de sécurité Et dès qu'elle arrive aux portes, comme moïse, vous vous écartez pour qu'elle me voit directement. Pile devant elle. Vous me suivez? Et je ne sais pas si tu les tortures pour qu'ils acceptent aussi facilement de collaborer mais le stratagème est lancé.      

       


@Gigi Desrosiers I’ve come home - Gigi  2511619667
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Assise au bureau, les yeux sur les caméras, je vérifie rapidement que tout se passe bien aussi bien dans la salle principale que dans les cabines privées. Le coup d’oeil est furtif puisque tout à l’heure de bien se passer. Le changement qu’a subi le Nirvana m’a beaucoup stressé. J’avais peur que ça ne marche pas, qu’on finisse dans le mur en plus de finir dans le rouge. Et ce putain de couvre feu imposé par la doyenne nous a fait perdre près de dix jours de chiffres, ce qui n’est pas rien. Seulement, grâce à mes employés et nos fidèles clients, nous avons réussi à nous en sortir comme des chefs et j’en suis tout simplement heureuse. Un sourire sur le visage, je m’allonge sur le petit canapé qu’il y a dans mon bureau et décide de scroller un peu sur internet - et plus particulièrement sur tiktok - pour trouver de nouvelles idées à proposer aux filles et aux clients. Mon téléphone me tombe sur le visage et alors que je grimace, je regarde l’heure. Il est tellement tôt mais je suis éclatée des derniers jours que j’ai enchaîné. J’hésite vraiment à prendre mes affaires et rentrer mais je préfère piquer un petit somme ici. De toute façon, ça serait super dangereux de rentrer maintenant, je risquerais de m’endormir au volant. Le sommeil profond, je sursaute lorsque la porte s’ouvre à la volée et que l’une de mes employées me parle d’une bagarre que je dois venir gérer. Et les videurs, ils font quoi ?! Je soupire fortement, mets quelques secondes à retrouver mes esprits et sors de mon bureau, luttant contre l’envie de faire comme si je n’étais pas là. C’est vers l’entrée qu’il y a un problème. Le pas lourd et rapide, le corps droit, je fonce un peu dans le tas. Il se passe quoi là ? Des dizaines de visages se tournent vers moi alors que j’écrase mes poings sur mes hanches, le regard sombre. Et quand tout le monde se décale et que je te vois, toute la colère qu’il y avait sur mon visage disparaît. C’est un peu comme si mon coeur revenait à la vie. Ou qu’il se décrochait pour tomber et rebondir afin de revenir à sa place. Gaspard ? Ton prénom soufflé, je ne peux m’empêcher de laisser la joie me posséder. Je cours vers toi et saute dans tes bras. Les talons aigues qui pendent à moitié à mes pieds alors que mes chevilles sont croisées, j’embrasse tes joues puis tes lèvres. T’es rentré. Et t’as beau être le meilleur ami de mon mari, t’es un peu le mien aussi. Ça, c’est la surprise de l’année… Dis-moi que t’es rentré… Et que c’est pas l’affaire de quelques jours. Boston a besoin de toi, j’ai besoin de toi.
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EXORDIUM.
Quand le plan se déroule à merveille et que la foule s'écarte comme la mer rouge, j'ai un sourire d'un gamin de cinq ans. Si tes yeux étaient entrain de fusiller, en un claquement de doigts ils se mettent à étinceler. Peut-être même à vibrer. Ou alors c'est mon coeur qui vibre d bonheur. Quand tu prononces mon prénom, soufflé comme un soupire d'espoir je répond un simple Oui? C'est moi. Et voilà que démarre ta course qui se termine dans mes bras. Y'a des pétasses complètement torchées qui passent en se foulant à moitié les deux chevilles, parce qu'elles ont pas pensé à retirer leurs talons de 16. Je m'en fous, je retombe dans tes yeux. Ta bouche. Avant de revenir enfouir mon visage dans ton cou pour bien inhaler ton parfum qui m'avait tant manqué. Oué, je me suis retourné plusieurs fois en France sur des inconnus qui s'asperger du même. C'est trop bon putain. Je tourne sur moi même en t'ayant toujours au creux de mes membres en oubliant le monde autour de nous. Mes lèvres à ton oreille J'suis rentrée mon coeur. Pour de bon. Hors de question que je reparte aussi longtemps, loin de toi, loin des gens que j'aime. Je rajoute même Depuis notre séjour à Paris, cette ville à connue une nitescence que je ne retrouve plus quand t'y es pas. Une lueur que je retrouve là. Tes pieds sur la terre ferme, mes deux mains entourent ton visage et je colle mon front au tien pour te demander avec profondeur Comment tu vas? Parce que j'ai pas pu éviter de partir pour aider ma mère, mais pas un seul jour n'est passé sans que je ne pense au fait que je t'ai abandonné alors que tu venais de perdre la tienne. Si tu comptais passer la nuit avec un homme, dis lui que ça vient de s'annuler. C'est synonyme d'un "c'est à mes cotés que tu vas la passer". Ici, ou chez moi, chez toi, où tu voudras tant qu'il n'y a que toi et moi.  
       
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J’aurais peut-être dû rentrer dormir. J’aurais clairement dû le faire. Mais si je l’avais fait, je ne t’aurais pas retrouvé ce soir et ça, ce serait le plus gros drame de ma vie. Quand mes yeux se posent sur toi, je ressens tout un tas de choses que je n’arrive même pas à décrire. Y a de la joie, y a de l’amour, y a de la folie, y a les souvenirs de nos soirées, y a la tristesse de ton départ aussi. Je connais la raison de ton départ précipité, de ces jours loin de moi, de nous ici parce qu’avec Raphaël, tu nous as manqué chaque jour que Dieu a fait. Je me demande d’ailleurs si mon mari est dans le coup mais je m’en fou, préférant profiter du moment, de l’opportunité de te sauter dans les bras et de te serrer contre moi. Je ne savais pas qu’un être que l’on pouvait voir d’un si mauvais œil pouvait devenir un pilier avec le temps. Putain, si Raph nous voyait, il crierait sur place et tenterait de nous rappeler que de base, on pouvait pas trop se blairer toi et moi. Comme quoi, il n’y a vraiment que les cons qui ne changent pas d’avis. Tout le stress sur mes épaules semble s’évaporer à longueurs de secondes que je suis là, perchée dans tes bras comme un koala à sa canne à sucre. Boston avait perdu de sa splendeur alors même que je suis toujours là. Je souris largement et décolle doucement mon visage de ton cou. Je profite de la vue si proche de tes traits fins avant de retrouver la terre ferme. Je ne quitte pas ton visage de peur que tu disparaisses et souffle Tellement mieux maintenant que t’es là. Et c’est la vérité. Je ne dis pas ça pour te mousser ou te faire sentir apprécié. Tu l’es, vraiment. Tu sais à quel point les relations sont importantes pour moi et à quel point je ne mens jamais, surtout pas là-dessus. Et toi, comment tu vas ? Parce que je sais que ces dernières semaines, c’est par le biais de ta famille que tu as vécu, par leur loupe et je n’aime vraiment pas cela pour toi, je ne peux le nier. Ma main se glisse dans la tienne et je te tire vers le club qui s’est refait une beauté et vers mon bureau. Je comptais rentrer chez moi et dormir alors je ne suis qu’à toi. Que je souffle alors que l’on arrive dans mon bureau. Qu’est-ce que tu veux faire ? Que je te demande en m’appuyant sur mon bureau. On peut s’amuser, on peut se poser, on peut faire tout ce dont tu as envie. Tous les deux ou avec notre acolyte, qui a replongé - ou n’en est pas loin -, je le regrette.
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Mon retour est si précipité que je n'ai pas pensé à prévenir telle une telle personne. Style, ton mari, ma meilleure amie ou l'autre partie de ma fratrie. En fait, en y pensant, la liste est encore longue en ce qui concerne les gens à qui je devrais annoncer mon retour. Je suis certain que je vais en oublier une bonne moitié, ou un quart ( oué je tente d'être gentil et de croire en moi ). Mais sur l'instant je ne me souci pas de ça, ni même de ceux que ça peut vexer que ce soit ici que je vienne me précipiter. Instinctivement, c'est parce qu'au fond j'en avais besoin, de ce câlin. Quand la chaleur de ton corps est au creux de mes bras, je comprend immédiatement pourquoi je suis là. Pour retrouver la splendeur dont tu fais écho, celle qui manquait à ma vie de tous les jours dans ce Paris si gris. Arrête de me charmer t'es mariée! Les lèvres qui ne descendant pas d'un millimètre, je te fais retrouver le pied, un peu à contre coeur. Ce dernier contre lequel je t'aurai encore bien gardé.  Mais il faut parfois faire des choix et si j'avais opté pour cette envie, je n'aurai pas le plaisir d'avoir ton visage en face de moi. T'es mon dilemme Gigi. Ma paupière gauche cligne sous ta révélation qui n'est pas un mensonge, je le sais, mentir n'est pas dans tes habitudes. Mieux. Maintenant que j'suis ici. Et avec toi. On en revient à ce que je disais au début, sinon ce n'est pas à cet endroit que je serai venu. Nos doigts liés, tu m'entraines à toute vitesse dans ton club que je vois un tantinet changé. Ma tête vacille de droite à gauche, l'autre main se lève comme pour t'interpeler mais c'est peine perdue. Une scène digne d'un cartoon. Dans le bureau, tu vas t'appuyer sur ton mobilier pendant que je réajuste ma veste Si j'te dis que j'veux te faire l'amour sur ton bureau ça te va? Bien que je soupçonne que faire l'amour n'est pas ce que tu préfères. Je laisse un rire échapper avant d'avouer J'ai un peu soif. Et en m'asseyant dans le sofa, j'ajoute Et il faut que je me désaltère pour pouvoir te poser pleins de questions sur tout ce que j'ai raté. Comme le relooking de ton bébé. Autant en faire allusion maintenant pour que ça ne sorte pas de mon esprit parfois un point dispersé. Tu sais de où j'arrive comme ça? Et je me redresse dans un bond pour faire un tour sur moi, ou deux je ne sais pas. Les membres écartés comme pour te dire "admire moi ça!" Et je m'approche doucement de toi. La distance est insupportable quand je viens à peine de te retrouver.
       
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Quand je te vois face à moi, c’est un poids qui s’enlève de mes épaules. J’avais si peur, tellement peur que tu ne reviennes jamais. Après tout, Paris n’est-elle pas la capitale de la mode ? Ton job, tu peux le faire n’importe où et ici ou ailleurs, c’est pareil. Ou pas. Parce qu’ailleurs, il n’y a pas tes petits frères et soeurs, ton meilleur ami et la merveilleuse personne que je suis. Le sourire qui s’est glissé sur mes lèvres lorsque je t’ai vu ne disparaît pas, c’est impossible. Comment pourrais-je réagir autrement ? Impossible, je te dis ! Je suis heureuse, rassurée, plus légère et si je pouvais rester accrochée à toi comme un koala à sa canne à sucre, je jure que je le ferais. Seulement, c’est difficile de marcher comme ça et puis, je n’en reste pas moins la propriétaire des lieux, j’ai un minimum de standing à respecter. Raaaah comme si ça m’avait déjà gêné ! Que je souffle en riant légèrement. Et ça ne gêne pas mon mari non plus, si ce n’est pas merveilleux. Je l’ai bien trouvé, mon Raphaël, quand j’y pense. Qu’est-ce que j’aurais fait sans lui ? J’en sais trop rien mais une chose est sûre, je ne serais pas là ce soir. Ni à Boston, ni dans tes bras. Cette proximité nous a pas été offert, on a travaillé pour s’en sortir si bien tous les deux et c’est tout ce qu’il me fallait pour un moment de bonheur, une pause dans le monde qui nous entoure. Je ne peux m’empêcher de sourire et de me sentir fière quand tu dis que ça va mieux maintenant que tu es ici et avec moi. Forcément. Comment pourrait-il en être autrement ? Et tout se passe si vite. J’ai envie de discuter, j’ai pas envie de continuer d’être soft parce que le monde pourrait nous voir et toi, t’en loupes pas une. J’éclate de rire à tes mots et souffle J’en aurais tellement besoin en plus. Je ne sais même plus quand est la dernière fois que je me suis envoyée en l’air et c’est triste. J’ai eu trop de choses à gérer ces dernières semaines et plus de temps pour la récréation. Mais Raph nous tuerait et j’ai pas envie de mourir. J’hausse les épaules avant de me soulever pour m’asseoir sur le bureau. Je bats légèrement des jambes et t’écoutes. Qu’est-ce que tu veux boire ? J’ai toujours l’oreillette en place et pourrais nous faire apporter ce qu’on veut. J’acquiesce - on a définitivement beaucoup de choses à se dire - et ne me gêne pas pour te reluquer quand tu tournes sur toi même devant moi. Le grand Gaspard Wertheimer m’offre un show privé ! Bien sûr que je vais en profiter. De l’aéroport. Enfin, je l’espère, sinon je risquerais de pleurer. Dramatique au possible. J’attrape ta main et t’attire à moi. Mes jambes à nouveau autour de ta taille, mes bras autour de tes épaules, je te regarde dans les yeux et dis Dis moi tout, je veux tout savoir. Les hauts, les bas, les travers et les joies de ces longues semaines sans toi.
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Cette ambiguïté entre nous est né au fil de l'amitié et je pense que tout le monde se demande si c'est sérieux ou non. J'aime laisser planer le doute, avoir ce truc à nous. Pis, je n'arriverai même pas à dire ce qu'il en est de ton coté, réellement. Est-ce que je veux savoir? Nan. Gigi en manque? Ca ne se bouscule plus à ta porte? Il va falloir m'expliquer car c'est quelque chose qui n'est encore jamais arrivé depuis que l'on se connait. Putain mais est-ce tout a changé le temps de mon absence? Ce qu'il ne sait pas ne peut pas lui faire de mal. Que je dis d'un sérieux à faire froid dans le dos. Puis j'explose de rire avant de balayer ça de ma main et d'affirmer Nan j'rigole, j'pourrai pas éviter de me vanter de me faire une bombe comme toi. Et ça retomberait forcément à ses oreilles, on le verrait donc rapidement débarquer. Tu crois qu'il tuerait qui en premier? Toi ou moi? Parce que je suis toujours obligée de laisser échapper les questions qui passent par ma petite tête, aussi bête soit-elle. Un Spritz s'il te plait. Et parce que j'ai envie de tout partager avec toi, je t'interroge sur l'endroit où je me trouvai avant de décider d'abandonner Paris comme une envie de pisser. Je tourne sur moi même jusqu'à ce que ta réponse me fasse m'arrêter brusquement, limite désespéré de ton humour assez nul mais qui pourtant me fait rigoler. Je comptai riposter comme je le fais si bien mais tu m'attires à toi comme pour m'emprisonner. Je dis bien comme parce que je ne le vois pas comme ça mais plutôt comme un moyen de rattraper les jours sans pouvoir se caliner. Mes mains sur tes hanches, mes yeux dans les tiens. Nous sommes sages comme une image, à condition que ce soit un nude. J'sors de la fashion week. Les lèvres qui s'étirent après que l'inférieur soit mordillée C'était grandiose, mais quand je me suis tourné pour partager ce moment, j'ai ressenti ce manque. J'avais pas les personnes que je souhaitai à mes cotés alors je suis parti et j'ai sauté dans le premier taxi. Puis l'avion mais tu l'avais deviné. Je suis parti avec ce que j'avais sur moi. Parce que l'essentiel est ici. J'appellerais mes parents pour expliquer cette impulsivité et comme toujours ils seront affligés mais habitués d'avoir un fils aussi taré. Celui dont le visage est si proche du tien, toi que j'avais hâte de retrouver.
       
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James a pas le temps de venir, on s’est retrouvé dans une putain de ville en confinement et accessoirement, j’ai un bébé à faire vivre. Ça prend du temps, ces trucs. Bon, ça ne fait pas si longtemps que ça que je n’ai rien fait avec quelqu’un, qu’on se le dise. Mais quinze jours, c’est un peu comme la traversée du désert pour moi, c’est pour dire. J’aime ça. Pas accroc mais demandeuse, un peu exigeante sur les bords aussi. Je comptais demander à Elias de s’occuper de moi à Noël pour qu’il pense à autre chose mais bon, il avait littéralement autre chose en tête. Sa petite amie. Putain qu’est-ce que ça m’a fait chier de voir ça. Mais ce n’est pas bien grave, j’ai trouvé d’autres moyens de me détendre et de profiter, même si c’était seule. Je sais pas trop. Je dirai toi pour que t’essayes pas de le dissuader. Et puisque moi j’essayerais de m’enfuir en hurlant, il irait vite. J’hausse les épaules en essayant de garder mon sérieux, ce qui n’est pas facile. Raphaël nous tuerait en même temps je pense. Je ne peux pas m’imaginer la déception sur son visage et s’il y a bien un homme que je ne veux pas décevoir, c’est bien lui. Il m’a tellement apporté que je ne peux pas lui faire ça. Je peux jouer avec la tentation, ton sex appeal mais je ne tomberai jamais du mauvais côté. Les boissons commandées à l’aide de ma radio, je me concentre sur toi. La proximité presque à néant, l’employée qui se chargera de nous apporter le verre croira probablement qu’on va s’envoyer en l’air toute la soirée. Je me fixe bien de ce qu’ils pensent, je sais ce que je vaux et je sais aussi que je pourrais compter sur quelques âmes pour défendre mon honneur. C’est pour ça que t’es aussi beau. Que je lance en glissant l’index entre deux boutons, appuyant doucement sur ton torse avec un sourire. J’espère que c’est moi qui t’a manqué en premier. Que je rajoute avec un sourire en coin. C’est plus fort que moi, j’aime t’embêter, te faire dire tout haut ce que toute personne sensée voudrait entendre venant de leur Gaspard à elle. Tes parents vont te tuer. Que je souffle en haussant les épaules et te défiant du regard. Je sais à quel point ta famille est importante pour toi et que tu t’en fiches pas mal si quelqu’un t’en veut pour cela. Je suis heureuse de faire partie de cette folle troupe. On frappe rapidement à la porte et je tends le cou pour que mon employée me voit, cachée derrière ton corps. Merci Lola. Profites de l’occasion, t’es la general manager ce soir. Et la brune quitte rapidement le bureau, ce qui me fait revenir sur toi. Du coup tu restes, tu le promets ? Que je souffle en te donnant ton verre et attrapant le mien. J’attends que tu confirmes avant de trinquer à tout ça, à ton retour et donc au retour du duo le plus chaotique de tout Boston.
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J'écoute soigneusement les mésaventures qui explique ton néant sexuel de ces derniers temps. J'ignore le délai exact mais il doit se compter en petits jours te connaissant. Je ne vais pas te fouetter, j'ai un appétit sexuel assez important et je comprend l'effet que ça provoque dans le corps et sur l'humeur quand nous ne sommes pas rassasier. James aurait dû trouver le temps. Pour quelqu'un comme toi, on le prend le temps, on se l'approprie. Mais oué, les affaires n'attendent pas. Et à ce que j'vois, il y a eu des changements. Dont on parlera parce que j'ai vraiment envie de savoir comment le monde a tourné quand je n'étais pas là. L'image de mon frère et moi flash dans mon esprit et je fais une grimace avant de t'informer Chut! Il y a des choses qui doivent rester dans ta boite à fantasmes... Terminant ma phrase dans un éclat de rire. J'peux tout entendre, mais pas quand ça implique mon frère. Et encore une grimace nan? Toujours dans l'excès, à surjouer. A ce que tu penses être l'ordre chronologique de nos morts si on finissait par coucher ensemble, c'est un soupire qui s'évade comme mon regard furtivement hors du tien J'le savais... Est-ce que ce serait le meilleur pour la fin ou le plus dur en premier? Allez, celle-là je la garde dans mon intérieur sinan je ne vais plus m'arrêter et ça va se terminer sur un " qui est né en premier, l'oeuf ou la poule? " et on veut tous éviter d'en arriver là. T'as tout tes employés au bout? De cette oreillette que je viens frôler de mon doigt qui continu sa route sur ta joue, pour venir se poser sur ta lèvre inférieure avant de retrouver la hanche déserte. Qui d'autre? Le premier qui va entrer va vraiment se dire que je suis entrain de te charmer. Tu devrais profiter de moi avant que ça arrive alors. Si tu veux du défi dans les yeux, je t'en donne à la pelle. Nos respirations s'emmêlent alors qu'on frappe à la porte. Je ne prend pas la peine de me retourner, préférant avoir la tête dans ta poitrine au moment où tu te tend pour voir qui c'est. Il y a des moments qu'il faut vivre. Jusqu'à ce que ton corps se détende et qu'un verre s'introduise entre les deux à proximité. Je l'attrape, faisant glisser ma paume sur ta cuisse Je reste, c'est promis. La ville a eu un peu de répit mais c'est terminé, nous sommes de retour et on va doublement tout enflammer.
       
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Mes yeux sur toi j’hausse les épaules. James aurait dû trouver du temps et, en même temps, c’est tout le but d’une relation libre que de venir quand on en a le temps ou l’envie. On ne se doit rien, on profite quand on est ensemble et voilà. Ça m’a toujours convenu mais j’ai clairement besoin de me détendre et de déstresser. Je sais que ta venue va y contribuer, aucun doute là-dessus. Dieu que j’ai hâte de notre première escapade, de notre première folie. Mais avant cela, l’heure est à la prise de nouvelles, à la discussion plus ou moins poussée et aux questions. Beaucoup de changements oui. Et de sacrés casses tête aussi. Je sais que je n’ai pas fini mais j’aime ce que je fais alors je ne vais pas pleurer là-dessus. C’est fatiguant mais ça vaut le coup et si nous avons eu quelques jours creux, tout va pour le mieux maintenant. Mon rire éclate dans la pièce quand je parle de ton frère et de mes plans de me le faire pendant la période de Noël mais je suis arrivée bien trop tard. Il avait sa petite amie avec lui et je dois dire que la vue de sa gamine m’a grandement calmé aussi. Roooh… pourtant j’avais de ces fantasmes. Que je souffle, bougeant ma main devant mon visage pour me faire un peu d’air, comme s’il s’agissait d’un éventail. Il a quelque chose dans le regard mais bon, c’est partie remise ou peut-être pas, s’il finit par épouser celle avec qui il sort maintenant. Pas pour moi, j’ai déjà mes affaires conjugales et ça me suffit amplement. Et en parlant de cela… Ouai, aucun doute, j’hurlerais la mort pour qu’il me laisse la vie, la laissant te massacrer en premier pour gagner du temps et m’enfuir. Je ne suis pas sûre que ça serait fructueux mais bon… Juste les managers et les videurs. Pourquoi ? Tu veux leur faire une déclaration ? Je ris légèrement et reste concentrée sur ton visage qui m’a tellement manqué. Je ne sais même pas comment j’ai fait pour m’en sortir sans toi, comment on a fait. Parce que je sais qu’il n’y a pas qu’à moi que t’as manqué. Mais je suis quand même touchée de voir que je suis la première qui t’a manqué. Il faut dire que passer du temps avec moi, c’est un peu comme une bouffée d’oxygène ou un rail de coke, au choix. Tout va vite, l’arrivée des cocktails, les positions retrouvées et la proximité aussi. Je suis heureuse d’entendre cela… Que je souffle rapidement, faisant tinter nos verres. Santé. Que je rajoute en français, un léger accent pointant le bout de son nez. Bon, qu’est-ce que tu veux faire pour ta première soirée de retour à Boston ? Tu choisis et on file. Ils n’ont pas besoin de moi ici, de toute façon. Je ne suis pas en salle et je dormais avant ton arrivée. J’ai envie de boire et de danser un peu… Mais qu’avec toi. On file au LUX ? Retrouver le troisième du trio. Il a replongé. Que je t’informe en touchant ma narine, comme si t’avais besoin de comprendre de quoi je parlais.
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