Invité
est en ligne
Invité
Les originesaméricaines, anglaises, irlandaises et écossaises.
feat. max irons
mis au monde le 06/12/92 à boston
il possède la nationalité américaine.
en couple avec sa petite amie de longue date.
membre du conseil d'administration de la boite de son père dont il se prépare à reprendre un jour les rênes.
aisé (héritier, fils de milliardaire).
Le caractère
charmant. -- pas bavard, pas timide pour autant, il est juste peu loquace, voir franchement secret, nymbé d'une aura de mystère qui n'est pas sans ajouter à son charme. -- frustré, un poil mélancolique et torturé. jamais tout à fait heureux, le sourire qui courbe machinalement les lèvres mais qui ne monte pas toujours jusqu'aux yeux. -- agréable, plus que ça même, intéressant. -- intelligent. -- protecteur. -- attentif, du moins il essaie. -- passionné. -- menteur, trop de secrets à dissimuler, trop de pensées qui ne prennent pas forme sur ses lèvres. -- adroit, du genre à réaliser tout ce qu'il entreprend. être le dernier choisi en cours de sport ? il n'a jamais connu, monsieur "je suis bon en tout". -- charismatique. -- aimant, même quand il se loupe, même quand il fou le bordel. -- avenant. -- indécis. -- embrouillé. -- fatigué. trop jeune, vraiment, pour être aussi fatigué. -- travailleur. -- tolérant. -- bienveillant, le coeur à la bonne place. -- cultivé. -- curieux. -- patient, enfin jusqu'à un certain point. -- tempéré. compréhensif. -- frustré et frustrant. -- ferme et vindicatif quand la situation l'y pousse. être gentil ne veut pas dire tout passer à tout le monde. -- généreux. -- tendre. -- débrouillard. -- créatif.
Les anecdotes
DADDY'S HEIR
Le sentiment persistant de vivre la vie d’un autre. Reed n’a jamais vraiment eut de choix dans la vie. Son sexe et sa position d’aîné ont fait de lui l’héritier de son père et il a été sculpté par ce dernier durant les trente dernières années dans le but de pouvoir parfaire ce projet. C’est ce que reed éprouve à l’égard de son père. S’il aime profondément cet homme auquel on n’en finit pas de le comparer, une partie de lui éprouve un mélange constant de ressentiment et d’inquiétude à son égard. Il reproche (en silence, les reproches, il n’a jamais formulé cette pensée clairement) à son géniteur de lui mettre une pression folle sur les épaules depuis qu’il est en âge de combler la moindre attente. Il regrette aussi d’être constamment poussé, même dans sa vie d’adulte. C’est de plus en plus difficile pour lui alors que le but esquissé par son père avant même sa naissance commence réellement à prendre forme. Les études brillamment réussies, l’université « familiale » intégrée ? C’est fait. Les premières années post-Harvard passées dans un cabinet de conseil en stratégie conformément à l’opinion paternelle ? Fait aussi. L’entreprise familiale intégrée ? Objectif également accompli. Et la vie privée, la petite amie parfaite qu’il a demandé en mariage et qu’il épousera l’été prochain au cours d'une cérémonie gargantuesque ? Une énième attente comblée. Autant de choix qui lui ont été pour la plupart littéralement dictés, au détriment d’autres décisions qu’il aurait pu prendre et qui l'auraient certainement davantage épanouis. Autant d’opportunités manquées qui le hantent encore quand il se retrouve au lit auprès de sa fiancée, saisit par le panique de foncer droit dans le mur, de tout foutre en l’air. C’est l’amour et l’admiration qu’il porte à son père qui le maintiens captif, de même que cette soif permanente de le rendre fier.GOLDEN BOY
On ne peut pas se faire aimer de tout le monde dans la vie et ce n'est pas un but que Reed poursuit, mais force est quand même de considérer qu'il est plutôt doué pour ce qui est de faire l'unanimité (ou du moins ce qui s'en rapproche). Doté d'une personnalité relativement lisse (ce qui peut déranger ou irriter des gens toutefois), il a toujours incarné une sorte d'idéal. Un garçon bien élevé, attirant, charmant, le genre de gars qu'on présente à ses parents avec l'assurance qu'ils n'y trouveront rien à redire. Il n'a jamais eut beaucoup d'ennemis, mais à plusieurs exceptions près (quand même), il a souvent l'impression que bon nombre de ses relations restent par bien des aspects superficielles. C'est un sentiment qui s'est renforcé en grandissant. L'impression d'être à la fois en dehors et dedans, comme s'il pouvait se voir lui-même de l'extérieur, ressemblant en tout point aux autres personnes de son âge et issues du même milieu, mais tout en se sentant fondamentalement différent à l'intérieur. Autant de doutes et d'instants d'inconfort qu'il a constamment maintenus sous clés, ne s'en confiant jamais à personne. ou si, il s'en est bien confié une fois, à son meilleur ami. confidence qu'il a lâché dans un moment de doute et qu'il a regretté à la seconde où une expression déroutée s'est imprimée sur le visage de son interlocuteur, incapable de donner du sens à ses propos. Populaire depuis la petite école, mais pas le plus bavard pour autant, Reed se laisse au final porter par son entourage. Il ne fait pas de vagues, incarnant un ami patient et présent, mais aussi un peu absent, noyé dans un flot constant de pensées. Un gars à part, au coeur de tout, pourtant à jamais sur le bas côté. Ironique venant du roi du lycée en personne, couronne vissée sur la tête, mais pas si surprenant que ça pour un garçon qui, bien qu'élevé pour devenir un leader, a vécu depuis sa naissance sous la poigne d'une figure extérieure. bien qu'ayant tout ce qu'on peut bien vouloir posséder, du moins selon les clichés et sur le papier, reed reste hanté par la frustration de ce qui pourrait être, mais ne sera à prioris jamais.THE PROTECTOR
Grand frère d'une fratrie de trois, avec des écarts d'âges tout de même relativement importants, Reed s'est toujours investi du devoir de protéger ses cadets, nécessité qui s'étend d'ailleurs bien au delà de sa fratrie. Profondément gentil et emphatique, il est toujours enclin à faire ce qu'il faut pour que son entourage se sente bien et ce parfois (souvent) au mépris de ses propres aspirations. il encaisse beaucoup et il ne compte plus le nombre de fois où il aurait aimé pouvoir s'accaparer la douleur de quelqu'un d'autre, notamment celle de sa soeur qui a traversé des périodes très dures durant lesquelles il était incapable de lui venir en aide. trop souvent, malheureusement, reed se sent inutile, impuissant, et il ne peut qu'être présent, que soutenir les gens qu'il aime de son mieux en espérant que la tempête finira par passer sans trop tarder.THE MERMAN
il a un penchant de longue date pour la mer. de façon plus générale, reed est attiré par tout ce qu'il ne connait pas et/ou qui ne fait pas partie de son quotidien. il compose depuis de très longues années avec un vif besoin d'évasion, un désir brut de partir, de découvrir d'autres cadres, d'autres cultures, d'autres vies. trop souvent étranglé par sa propre existence, il est profondément curieux et adore voyager à l'étranger. son amour pour l'océan résulte d'une vieille passion toujours cultivée pour les voiliers (passion d'enfance liée à son père, lui-même amateur de bateaux), mais pas que. faire face à l'océan l'apaise. cela le réduit à sa condition d'être humain unique sur une terre qui en abrite des milliards, mais se sentir aussi minuscule ne lui pèse pas, au contraire. il aime l'immensité de l'océan, l'idée de ne voir rien d'autre que de l'eau à perte de vue, lui laissant le champs libre pour se libérer de tout et de tout le monde, tout en laissant son imagination s'emballer. c'est immédiat. il suffit qu'il grimpe sur un voilier et qu'il mette les voiles pour se sentir instantanément apaisé, libéré. un sentiment merveilleux mais qui ne dure pas et qu'il ne retrouve que très rarement lorsqu'il se tiens sur la terre ferme.ANECDOTES EN VRAC
outre l'océan et les voiliers, reed possède une autre passion rescapée de son enfance : le dessin. plus particulièrement, il s'est pris de passion pour l'architecture, au point d'emmagasiner d'innombrables ouvrages qui traitent du sujet et qui encombrent désormais les murs de l'une de ses chambres d'amis. s'il n'y avait pas eut l'héritage familial à honorer (ou juste si son père avait consenti à le comprendre et à l'écouter, ou seulement s'il l'avait un jour vraiment regardé), il se serait dirigé vers une carrière d'architecte. l'un de ses innombrables sacrifices, un rêve abandonné au profit de ceux des autres. l'architecture est resté une passion, un sujet de curiosité parmi tant d'autres. -- il a toujours beaucoup lu. il est curieux d'énormément de choses et à plaisir à s'ensevelir dans les recherches. il a de ce fait une culture générale très étendue avec des sujets de prédilection. l'un d'eux est la mythologie, sujet qui a durablement marqué son intérêt alors qu'il entrait dans la pré-adolescence. -- ses ongles sont en très mauvais état. il les ronge et triture les peaux autour de ses ongles, allant parfois jusqu'à se retrouver la peau en sang. une sale habitude décriée par ses parents d'abord (ils ont multiplié les stratagèmes pour lui faire passer cette habitude, en vain), puis par d'autres membres de son entourage (parmi lesquels sa fiancée qui a tout de même fini par s'habituer, à défaut de pouvoir y faire elle-même quoi que ce soit). -- il est toujours bien vêtu. son métier l'exige de lui, il ne peut pas se permettre d'avoir l'air débraillé. plus une nécessité donc qu'une satisfaction personnelle. -- il est très rare qu'il se mette en colère. reed se veut constamment (ou presque) mesuré. c'est ce qu'on lui a enseigné, qu'il était primordial pour tout un chacun de développer une bonne prise sur ses émotions et sur ses instincts. malgré tout, certaines situations le font littéralement sortir de ses gonds. il peut alors se montrer très tranchant et vindicatif, certains actes ne méritant à ses yeux tout simplement pas le pardon. -- il adore manger dans des fast food. un bon tacos, voilà qui fait plus son bonheur que n'importe quel autre plat. -- il est très peu grossier, sûrement à cause de la remontrance qui est toujours venue fissa en présence de ses parents. (language, reed) quand il se met à jurer, c'est vraiment que ça ne va pas et qu'une tempête est à prévoir. -- il est incapable de dormir si le moindre rayon de lumière perce dans la pièce. -- il est trilingue (anglais, français et allemand), mais il se débrouille aussi en espagnol et en italien. -- alors même qu'il est loin d'être stupide, il se considère bien souvent comme un parfait idiot. rien à vouloir avec le boulot, ou ses études avant ça. c'est tout le reste qui pèche. -- il dort peu et est familier aux insomnies. -- il fume énormément et boit pas mal aussi. rien de préoccupant, du moins pour l'instant.
- Code:
<div class="card-user-bottin-idwbya"><idwbya class="text-s-bebas text-upper">MAX IRONS</idwbya><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Reed Cobalt"</span></div>
chronologie
venue au monde de
naissance d'
deux ans après la venue au monde d'eliot, madame cobalt (elsa) accouche de la petite fille dont la naissance cloture la fratrie,
la vie se poursuit tranquillement, sans problèmes ni perturbations. reed est un enfant de douze ans facile à vivre,
à la rentrée scolaire 2005, une nouvelle élève fait son entrée.
plus de deux ans ans après l'arrivée de celia à boston, casteel, reed et elle sont devenus inséparables. constamment fourrés ensemble, la dynamique de leur trio bascule progressivement alors que
la dernière année de lycée, tout qui s'emballe. reed forme le couple parfait avec celia. si leurs personnalités déraillent et s'opposent de bien des façons, leur relation est également équilibrée par ces différences. les obsessions et les élans de caractère de celia sont apaisés par la nature plus modérée de reed qui sait la rassurer. ils sont bien ensemble, même si
concernant la page suivante, celle de l'université, reed envoie de multiples demandes portées, porté par
reed intègre la harvard business school (double cursus business, gouvernement et économie international et finance et économie). les débuts à l'université sont faciles, presque trop. reed ne se sent pas dépaysé, même si le campus est nouveau pour lui. c'est toujours sa ville, y a toujours celia à sa droite, casteel à sa gauche, ça ne bouge pas. il a le sentiment de s'enliser un peu et a déjà quelque part l'impression, alors même que cette époque de sa vie commence à peine, qu'il va passé un peu) côté de ses études universitaires. heureusement, la vie en a encore un peu sous le pied pour lui.
lors d'une soirée d'intégration où il s'est rendu seul, il fait la connaissance de @mara villa-ricci et il a
le point de rupture atteins et toutes les digues qui cèdent. il se retrouve seul avec mara et quand il lit l'accord et les sentiments partagés dans ses yeux, il cède.
il n'arrive pas à regretter ce qu'il a fait, même si la culpabilité le pétris à chaque instant. le souvenir de ce moment de perdition avec mara le hante et, visiblement, il la hante aussi. sauf que là où lui n'a aucune envie de renoncer à la présence de mara (il a besoin d'elle), cette dernière se montre plus distante, sa façon de gérer sa propre culpabilité et sa trahison envers celia. reed en est un peu blessé mais il comprend, bien sûr qu'il comprend. il lui laisse l'espace qu'elle réclame, ne faisant pas mine de demander plus que ce qu'elle consent encore à lui donner.
il est à une soirée avec mara, comme la fois où tout a changé, la fois où ils ont cédés. celia n'est pas là, étant à une autre soirée organisée par les membres de sa confrérie. casteel est en vadrouille également, les laissant seuls de leur côté. et ils n'ont plus vraiment l'habitude de ça, mara et reed depuis des mois. être seuls. y en a toujours un qui s'échappe quand ils se retrouvent dans cette situation à présent (la plupart du temps, c'est mara qui le fait). mais pas ce soir là.
un accident. c'est allé hyper vite. quelqu'un qui surgit sur la route, mara qui ne réagit pas suffisamment vite. reed qui hurle, qui bondit pour prendre le volant, mais il ne peut plus rien faire,
c'est dans cet état que reed est
avoir voulu se barrer durant une année pour voyager et mettre de la distance entre boston et lui? check. n'avoir même pas formulé cette suggestion car il aurait eut son père sur le dos durant des mois ? double check. au final, reed n'a pas perdu temps à sa sortie d'harvard.
toute une période passée sans troubles particuliers, ce qui ne veut pas dire que la vie est facile pour reed, qui
au cours d'un repas chez son père en compagnie de son frère et de sa soeur, il fait la connaissance de
une nouvelle année s'écoule sans anicroches.
en parallèle, reed quitte son emploi et
pas une période simple pour reed qui a l'impression de ne plus pouvoir souffler. s'il est habitué à avoir son père sur son dos, ça s'aggrave maintenant qu'il bosse avec lui. les journées sont longues, quand même intéressantes, mais franchement longues, d'autant plus que monsieur cobalt aime les rallonger sous prétexte de suggérer à son fils de venir boire un verre à la maison mais ce n'est qu'une excuse pour parler de boulot, encore.
reed refait ce qu'il s'était promis de ne jamais refaire :
un soir de mi-décembre,
(Invité)