Listen to me, please. / feat Jack L.Blacstone

Jack & Olympe Հ Shut up, listen to me.

Du courage. C'est ce qu'il lui faut pour réussir à pousser la porte de l'Eliot house, devant laquelle la jeune Cabot était plantée depuis au moins 10 minutes. Mais la nuit qui commence à tomber, et le froid qui se glisse contre sa peau nue finissent de la convaincre qu'il faut absolument qu'elle pousse cette porte. Trottinant, les pans de sa robe pâle se mouvant en rythme, elle fini bien vite devant la porte de son fiancé. Ce soir, elle a décidé de lui annoncer qu'elle va rompre les fiançailles avec lui, c'est décidé. Tremblante, sa main hésite longuement sur la porte, glissant doucement dessus, puis finalement elle inspire un grand coup, et toque. Elle espère qu'il ne sera pas là, qu'elle va pouvoir repousser ce moment encore et encore, seulement rapidement la voix de l'homme l'invite à entrer, et elle ouvre doucement la porte, timide dans cette chambre, même si elle l'a déjà visité plusieurs fois. Au lieu d'aller le saluer, elle préfère s'assoir sur le lit, loin de lui qui est assit face à son bureau, pour parler sérieusement, et ne pas être tenté par tout autre divertissement. Il faut que je te parle Jack. Pas de bonjour, pas d'explication, un minimum de mots pour ne pas faire de gaffe. Attaquer tout de suite le vif du sujet, et repartir : la Cabot est comme passé en pilote automatique. Ce n'est plus possible entre nous. Ces fiançailles sont une connerie, j'ai parlé à mon père..

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What ?!

I can't listen to this...

Assit à son bureau comme un riche homme d'affaire en plein travail, oeil vif sur ses tonnes de papiers, Jack paraissait le plus sérieux possible. Stylo en main, il écrivait des notes à une vitesse impressionnante, sans quitter des yeux les différents modèles. Voici bientôt deux heures qu'il travaillait aussi sérieusement, et pas une fois il ne s'était accordé une pause, pas le genre de l'Eliot. Il entendit l'alarme de son portable qui lui indiqua un nouveau message et après avoir reposé soigneusement son crayon se saisit de l'appareil. L'écran afficha deux messages de son père, il ne baissa même pas les yeux pour les lire et se remit au travail. Mais décidément on se décidait à le troubler lorsqu'il entendit toquer à la porte. Il leva un sourcil, s'interrogeant, il misa tout sur la belle Olympe.

« Entrez. » Dit-il d'une voix qui se voulait curieuse.

Et naturellement, le lynx avait misé juste. Il en eut presque envie de sourire mais son visage resta neutre. Olympe semblait nerveuse, incertaine. Apparemment, elle n'était pas venue pour ce dont il avait pensé en premier. Il plissa les yeux et la laissa s’asseoir puis parler, pas très bavard.

« Il faut que je te parle Jack.»

Malgré tous les efforts de la jeune fille, sa voix tremblait quelques peu. Il ne la lâcha pas du regard, curieux comme un fauve voyant la gazelle négocier.

« Ces fiançailles sont une connerie, j'ai parlé à mon père...»

Il s'enfonça dans son siège. Comme toujours, sa réaction se fit intérieure. Dans sa tête, il avait écarquillé les yeux, ouvert la bouche et ne savait pas quoi dire. Il était totalement choqué et un peu blessé par ce qu'elle venait de dire. Il eu même la grossière envie de lâcher un : quoi ?! qui en aurait dit long. Mais comme toujours, de l'extérieur, il se contenta d'avantage plisser les yeux et de l'observer plus intensément.

« Attends. Tu veux rompre nos fiançailles ? »

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Jack & Olympe Հ Shut up, listen to me.

Un peu timide, un peu gauche, elle avait fini par entrer dans sa chambre, et avait dès le début balancer la bombe. Elle ne voulait pas tourner autour du pot, elle aurait encore plus de mal à s'exprimer, et même si elle redoutait sa réaction, elle était légèrement soulagée d'avoir fini par lui annoncer qu'elle avait rompu les fiançailles du point de vue de son père, et qu'elle devait l'annoncer maintenant au principal intéressé.
« Attends. Tu veux rompre nos fiançailles ? » Gênée, la jeune fille détourna les yeux, observant d'un air absorbé le mur de la chambre de Jack. Oui, c'est ce qu'elle voulait, même si elle mourrait de peur à l'idée de se retrouver seul, sans un homme obligé de la fréquenter, même si elle avait peur que l'Eliot ne s'énerve sur elle. Passant une main tremblante dans ses longs cheveux détachés, la jeune femme inspira, puis après quelques secondes poursuivit, devant s'expliquer. Je ne peux plus supporter cette distance etre nous. Nous ne sommes pas un couple, nous ne sommes mêmes pas des amis.. Jamais nous n'avons échangé plus de trente mots à la suite en privé. Un peu plus forte, une fois lancée, la Cabot croisait les bras sur sa poitrine, avant de poursuivre : Tu t'en fou de moi, tu es distant, froid, énervant, tu ne m'accorde aucune attention, jamais tu te demande ce que j'aimerais, tu ne sais même pas ce que j'aime. Mais tu ne m'as pas choisit, et je ne t'ai pas choisis, maintenant, c'est réglé. Se levant, la jeune fille baissa les yeux vers la bague que Jack avait été obligé de lui offrir, lorsqu'ils avaient appris l'alliance de leurs parents. C'était une simple bague en argent, comme elle l'avait voulu, et qui ne montrait pas l'engagement qui la liait à un homme. Elle l'enleva doucement, et lui tendis. Il fallait qu'elle sorte, qu'elle aille courir, qu'elle se change les idées, totalement perturbée par ce qu'elle venait de dire.

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What ?!

I can't listen to this...

Et le pire dans tout cela, c'est qu'elle était très sérieuse. Il l'observait toujours, alors qu'elle tentait de s'expliquer, toute tremblante de partout. Il tenta d'ignorer les tremblements de la jeune femme, mais bien sûr les yeux du lynx n'ignoraient jamais rien. Il ne manqua donc pas de noter qu'elle semblait avoir peur. Mais peur de quoi ? Il n'allait pas la violer, et encore moins la frapper. Bien que froid, ce n'était pas du tout son genre. A défaut d'être muet, il n'était pas violent.

« Je ne peux plus supporter cette distance etre nous. Nous ne sommes pas un couple, nous ne sommes mêmes pas des amis.. Jamais nous n'avons échangé plus de trente mots à la suite en privé. Tu t'en fou de moi, tu es distant, froid, énervant, tu ne m'accorde aucune attention, jamais tu te demande ce que j'aimerais, tu ne sais même pas ce que j'aime. Mais tu ne m'as pas choisit, et je ne t'ai pas choisis, maintenant, c'est réglé. » Dit-il d'une voix qui se voulait curieuse.

Il n'avait même pas essayé de l'arrêter. Et à présent, elle lui tendait l'anneau et il réalisait enfin qu'il était en train de se faire larguer en beauté, pour parler clairement. Il cligna des yeux, un peu surpris... Non, pas qu'un peu, il se devait d'être honnête avec lui même. Il savait cependant bien que ça allait arriver un jour. Olympe restait une femme malgré tout, et les femmes ont besoin de plus qu'un peu de sexe et une babiole en argent. Il se leva alors de sa chaise, imposant qu'il était.

« Tu vas vraiment faire ça ? Vraiment ? »

Il avait beaucoup de mal à réaliser. Il s'approcha lentement d'elle.

« Non mais... Tu as raison Olympe. Tu as tout à fait raison.» Il plongea son regard dans le sien, comme il savait si bien le faire. « Est-ce que tu es tombée amoureuse d'un autre homme ? Je comprend tu sais. C'est vrai ce que tu dis. Je suis le pire amant de la terre, et nous ne nous sommes pas choisi. Je ne t'aime pas, tu ne m'aimes pas. Ces fiançailles étaient un erreur. Une histoire d'argent. »

A quel jeu jouait-il ? Elle allait bientôt comprendre.

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Jack & Olympe Հ Shut up, listen to me.

Heureuse d'avoir réussit à s'exprimer correctement, et de ne pas avoir perdu le contrôle de la situation, la Cabot lui tendit l'anneau d'argent, symbole de leur fiançailles forcées. Ce n'était vraiment pas facile d'annoncer à Jack qu'elle ne supportait plus la situation, et en le voyant se lever qui s'approcher d'elle, son souffle s’accéléra... Oui, elle allait faire ça, vraiment, elle l'avait décider, elle ne pouvait plus reculer. Oui, vraiment Jack. La voix qui vacille un peu, et les yeux qui fuient. Olympe était mal, cette proximité la gênait, et elle ne comprenait plus rien. Jack tenait un discours étrange, même si il ne l'aimait pas, pour un homme qui venait de se faire plaquer. Et son regard qui lui traversait le corps, encore.. Olympe ferma les yeux, recula, et se mordis la lèvre. Pourquoi rendait-il les choses compliquées? Rouvrant les yeux, elle confirma qu'un mouvement de tête ses paroles. Oui, voilà. Une histoire d'argent. Le bras encore tendu, la jeune femme attendait qu'il prenne l'anneau, qu'elle puisse s'enfuir, enfin.

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Jack L. Blackstone a écrit:
What ?!
I can't listen to this...

Pas une seule fois il n'avait baissé les yeux ou détourné le regard. Ses pupilles étaient profondément encrées dans celle de la jeune femme et il voyait bien que ça la déstabilisait. Mais c'est ce qu'il voulait. Parce que si il y avait bien une chose que Jack Lewis Blackstone ne supportait pas, c'est qu'on lui dise non. Olympe était la seule femme avec qui il s'était fiancé, et il refusait littéralement de se faire plaquer de la sorte. Mais en un sens, il comprenait les sentiments de la jeune femme. Celle ci aurait surement préférée un homme doux qui lui murmurait des tonnes de mots doux, la berçant au creux de son torse. Jack, faire ça ? Non. Il ne s'en sentait pas capable. Et pourtant, il refusait absolument qu'elle parte comme ça.

Doucement, il glissa ses doigts contre la paume de la Cabot pour en saisir le fameux anneaux, minuscule pour des doigts aussi fins. Son regard fixait toujours le sien alors qu'il refermait ses doigts sur le bijoux qu'il bloqua par la suite contre sa paume. Olympe parut déstabilisée mais après une petite hésitation, se dirigea vers la porte. D'un seul mot, il l'arrêta net.

« Cependant.»

Car non, il était hors de question qu'il s'arrête là. Ainsi ses pas forts, puissants et durs résonnèrent sur le sol, juste derrière elle alors qu'il avançait dans son dos.

«J'ai cru, l'espace d'un instant, l'espace de la seconde ou tu m'embrassais et tu me souriais, ces nuits là, Olympe Hélène Jones, que tu aurais pu être différente. Parce que contrairement à toutes les filles avec lesquelles je suis sortie, aucune ne m'a sourit autant que toi. Et je me suis dis "si elle est capable de sourire à une pierre tombale comme moi, elle est capable de beaucoup chose, et cette fille elle vaut plus que je le pense". Mais... »

Il se plaça juste devant la porte, ses yeux noirs brillants d'un sentiment indéchiffrable plus fort que la haine et moins doux que l'amour, quelque chose d'intense.

« Tu as raison. C'est une histoire d'argent Olympe. Pas moyen. Nous ne nous aimons pas, nous ne nous sommes jamais aimés. Et moi j'ai cru que tu réussirais à me faire changer. Mais regardes, je suis toujours le même, tu es toujours la même. Tu n'as aucun sentiment pour moi... Hum. C'est mieux, tu as raison. »

Il se pencha vers elle et l'embrassa tendrement alors qu'elle était toute songeuse. Il se décolla aussitôt et la raccompagna jusqu'a la porte.

« Bonne nuit alors. Salue ton père de ma part. »

Est-ce qu'il venait de lui déclarer quelque chose, derrière de longue phrase ambigües ? Il était plutôt fier de lui, de ce qu'il avait dit et du regard étonné qu'elle n'avait cessé de lui lancer. Il passa un doigt sur ses lèvres, le visage toujours neutre mais pourtant, on aurait juré voir sa lèvre se plisser doucement, comme pour sourire.

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Jack & Olympe Հ Shut up, listen to me.

Elle pensait être le maitre du jeu cette fois, elle pensait maitriser les faits, elle voulait gagner, elle voulait pourune fois qu'il ne soit pas fort et indestructible. Alors quand il se ressaisit, elle se sentit obligée de se stopper, pour l'écouter. Parce que elle pensait qu'il allait dire quelque chose de gentil, mais il préféra un long discours étrange à la place. L'observant avec des yeux comme des soucoupes, la Cabot n'osait pas bouger tant elle était surprise. Son regard la boulversait, et sa décision, déjà terriblement dure à prendre, était maintenant une vraie torture. Elle voyait l'anneau d'argent qui luisait dans les grandes mains de l'Eliot, elle pouvait encore sentir son contact au doigt, ce qui la chamboulait énormément. Pourquoi ne pas simplement la laisser partir..? Elle ne le vit même pas s'approcher d'elle, et c'est le contact furtif des lèvres de l'homme qui la firent réagir. Elle se recula un peu, mais il l'accompagna à la porte, alors elle en profitait pour souffler, pour ne pas être celle qui était fautive Tu n'es pas normal. Un homme normal m'aurait crié dessus, m'aurait demandé une dernière nuit, juste une nuit, et à la place du baiser chaste que tu viens de me donner, il m'aurait embrassé langoureusement. Et comme moi je suis normale, je n'aurais pas eu la force de dire non.. Finalement, la jeune femme sortit, et referma la porte derrière elle. Son coeur battant la chamade, elle se laissa glisser le dos contre la porte de la chambre, encore choquée par ce qu'elle venait de faire. Elle avait eut le courage et le cran de le faire, mais sa gloire avait un gout amer. Un gout d'insécurité, et d'inconnu. Mais comme Jack l'avait dit, elle n'était avec lui que pour l'argent..

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What ?!

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A vrai dire, l'Eliot était plutôt fier de lui. Il avait fait ce qu'il voulait faire : l'embrouiller. Oui, il avait parfaitement réussi la manœuvre. Derrière ses longues phrases, il avait vu les deux yeux ronds de la jeune femme, c'est ce qu'il voulait. La faire douter. Elle lâcha cependant une pique alors qu'il s’apprêtait à refermer la porte :

« Tu n'es pas normal. Un homme normal m'aurait crié dessus, m'aurait demandé une dernière nuit, juste une nuit, et à la place du baiser chaste que tu viens de me donner, il m'aurait embrassé langoureusement. Et comme moi je suis normale, je n'aurais pas eu la force de dire non..»

Il pencha légèrement la tête sur le coté et leva un sourcil, expression dont lui seul avait le secret.

«C'est ce que tu aurais voulu ? Après ce que tu viens de me dire ? C'est toi qui n'est pas normale. »

Elle ne répondit pas et referma la porte derrière elle, mais Jack savait qu'elle l'avait entendu. Il hésita à la retenir, partagé, se demandant si ça n'aurait pas été trop... Trop. Oui peut être. Et pourtant, il alla à la porte qu'il ouvrit grand et aperçu la silhouette qui s'échappait. Il lui lança.

« Olympe ! Attends ! »

Il se surprit lui même du ton qu'il avait utilisé : un ton fort et appelant, refusant de la voir partir. Il ne prit même pas le temps de refermer la porte et se lança à sa poursuite dans le couloir, attrapant son bras.

« Olympe ! »

Cette fois elle s'arrêta, le visage du brun avait prit une mine beaucoup plus insistante, moins froide.

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Jack & Olympe Հ Shut up, listen to me.

Elle avait fui, même si elle l'avait entendu. Anormale? Ce n'est pas de sa faute, c'est lui qui avait rendu plus ou moins les choses difficiles, déjà que dans la tête de la jeune femme c'était compliqué, elle luttait contre son instinct de sécurité qui lui disait de rester tranquillement fiancé à un homme riche, choisit par ses parents. Mais voilà, elle avait besoin d'air maintenant, son cœur avait besoin de battre vraiment, il avait besoin de passion. Elle ne voulait plus être enfermé, un souffle de liberté l'animait, elle sortait de plus en plus, jusqu'à avoir du mal à aller travailler, alors qu'elle était toujours si studieuse. Et elle ne voulait plus t'attache. Contre la porte, elle cherchait sa respiration, ne réalisant toujours pas son acte. Puis la porte s'ouvrit, et sans réfléchir elle se mis à courir. Entendant Jack qui courrait derrière elle, elle voulu accélérer, mais en talons haut elle n'avait aucune chance, et il fini par attraper son bras. Se débattant, elle réussit un instant à le faire lâcher, et dans l'élan elle manqua de tomber, seulement il attrapa son bras de nouveau, pour qu'elle se tourne vers lui. La Cabot s'obstinait à lui tourner le dos, se débattant, sans oser crier dans la maison des Eliots. Lâche moi, Jack ! Je veux juste partir, oublie ce que je t'ai dis, oublie-moi.. Secouant son bras, et fini par se mettre face à lui, pour frapper de sa main libre le bras et le torse de son ex fiancé. Elle y allait de toute sa force, mais l'homme avait l'air de ne rien sentir, et la jeune femme fini par s'effondrer, se laissant tomber par terre. Lâche moi..

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Jack L. Blackstone a écrit:
What ?!
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Olympe se débatait de toutes ses forces, ses petits bras s'agitaient et elle tentais d'assaillir le brun de coup. Bien que très peu sportif, le garçon avait une musculature imposante qui forçait le respect et qui bombait ses costumes à cinq mille dollars. Il ne ressentit même pas la violence des coups de poings Il lui attrapa les poignets.

« Calmes toi ! S'il te plais, écoutes moi, Olympe ! »

Il tenta de la maitriser et profita d'un moment de silence pour parler.

« Ecoutes... Je suis... Désolé. Mais je t'en pris, tu ne peux pas faire ça, tu ne peux pas ME faire ça. Je... » Il retint un grognement, cherchant à tout prix à la retenir. «Je ferai des efforts ! S'il te plais, je te le demande Olympe... A....Accorde moi une autre chance. »

Ouf. C'était dur, très dur. Il n'avait jamais fais ce genre de chose avant, demander, prier quelqu'un. Il cligna des yeux, surpris de lui même, il tendit le dos.

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